LA DUCHESSE DE L’AUTOROUTE. (8x14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA DUCHESSE DE L’AUTOROUTE. (8x14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(8.0 / 10)

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LA DUCHESSE DE L’AUTOROUTE. (8x14)
Quelque part je dois être restée trop sentimentale malgré les avatars qui se sont succédé depuis la mort de Pierre mon mari me propulsant sur les parkings des restoroutes du A6 afin d’avoir la protection des mouvements surtout des camionneurs dans ces lieux qui m’évite de me faire attaquer comme cela a failli m’arriver la première nuit le long du parc de notre ville.
L’argent manquant rapidement j’accepte de sucer des bites surtout de routiers avant de connaître ma première soirée à me faire baiser jusqu’à en avoir des échauffements.
Un puceau, un dépanneur et maintenant Édouard mon nouveau receveur bancaire où j’ai ouvert un compte sont les seules avec qui j'ai fait l'amour depuis le décès de Pierre sans monnayer mes charmes.

Pendant trois jours je vais à Beaune vers Lyon, deux fois, car c’est le premier relais après la grande descente venant de Paris où que de nombreux chauffeurs aiment s’arrêter car ils sont arrivés dans le secteur plus plat, le Morvan étant passé.
De l’autre côté, le parking de Saint-Ambreuil vers Paris, m’apporte une grande satisfaction car quand je finis de satisfaire Topaloff qui m’a rejointe semblant être accro à mon anatomie je vois la grosse Bertha sur le parking en face des deux voies se faire embarquer par la gendarmerie.
Je sais qu’à tout moment je pourrais me retrouver dans la même situation mais Fantine m’a expliquée que tapiner est autorisé seul le racolage et l’exhibitions sont interdit.
Bertha venait d’arriver du restoroute avec un client qu’elle avait levé et se faisait baiser dans sa voiture aux yeux de tous.
Pour moi la situation est plus claire, c’est par la radio que la Duchesse rabat les routiers sans jamais traîner avec eux voire les suivre s’ils me reconnaissent à l’intérieur de l’espace publique.
Le premier soir où j’ai sucé sans le savoir j’ai pris des risques car s’était simplement les camions qui me cachaient.
J’appelle Édouard que je rencontre sur le parking à l’intérieur de l’autoroute au péage de Beaune qu’il passe à pied pour me rejoindre et en plus de l’argent que je lui remets il me fait signer des papiers pour avoir pouvoir pour s’occuper des transactions.
De retour sur le parking où se trouve Fantine je dors tranquillement, au matin j’entends le bruit d’un moteur à côté de ma voiture, quand je me lève, je vois un camping-car garé à côté, ils doivent dormir car rien ne bouge derrière les rideaux tirés, je rejoins mon amie qui a ouvert son kiosque pour les petits déjeuners.

• Duchesse que fais-tu là.
• C’est à toi que je devrais le demander Juju, je te croyais partie rejoindre Pierrot.
• Tout le temps où je me suis éloignée, j’étais à son côté, il est devenu invivable, il est saoul du matin au soir, regarde mon œil il m’a donné une volée alors ce matin j’ai fait ma valise et me voilà.
• Te voilà ou vas-tu vivre.
• Avec toi.
• Tu es folle à deux en permanence, ma 208 même break sera vite trop petite pour nous deux surtout que l’hiver arrive et qu'il est impossible d’envisager de rester dans cette voiture.
• C’est pour cela que je suis partie en récupérant ceci.

Elle me montre un trousseau de clefs.

• Viens avec moi.

Je la suis et elle se dirige vers ma voiture mais au dernier moment elle ouvre la porte du camping-car garé à son côté.

• Duchesse votre véhicule pour l’hiver est avancé, la Comtesse vient de prendre son service.
• La Comtesse ?
• C’est mon nom sur le réseau CB, écoute.
• Ici la Comtesse, Topaloff où es-tu ?
• À hauteur de Mâcon vers Paris j’arrive, je serais heureux de faire ta connaissance, je viens de charger dans la zone de Macon Nord et je vais livrer ma ferraille à Auxerre.
• On t’attend.
• Mais Juju, ce camping-car équipé avec cette radio est-il à toi ?
• Aucun problème, je l’ai acheté avec Pierrot quand nous allions ensemble sur les tournages, il est un peu âgé mais son moteur est refait à neuf, Pierrot devait de l’argent à un mafieux aussi il a été mis à mon nom, regarde, carte grise, attestation d’assurance, permis tout est en règle.
• Fais-moi visiter, on a du temps avant l’arrivée de Topaloff.

C’est comme cela que je retrouve ma chatte qui coule d’envie dès que Juliette y met ses lèvres, mon clito à son habitude s’enflamme.
Déjà une jouissance depuis le matin quand la radio crache en javanais.
Mon amie prend le micro et répond à l’appel, impossible de savoir ce qu’elle dit car elle parle une langue étrangère, je comprends simplement qu’ils semblent parler de moi car par deux fois le nom de la Duchesse est évoqué.

• C’est un camion polonais, ils sont deux, ils ont assez d’avance sur leur plan de route et eux aussi ont entendu parler de toi et souhaitent que tu les retrouves dans leur camion.
Tient, ils arrivent, ils font les phares, va-les voir moi je m’occupe de Topaloff, je crois savoir que tu as fait ta première passe avec lui il en fera de même avec la Comtesse, tu vas voir à nous deux nous allons exploser les compteurs.

Je descends du camping-car un peu abasourdi et je fais les quelques mètres en faisant attention que la maréchaussée soit bien absente qui me permettent de sauter sur le marchepied du camion Polonais et de rentrer dans leur cabine le co-pilote ayant ouvert la porte.
Comment traduire ce qu’ils me disent, impossible, mais la couchette qu’ils me montrent me donne la route à suivre pour que je les soulage ?
Je veux qu'ils me payent avant et avec mes doigts je leur fais signe d’allonger les pépettes.
J’ignore à combien avec ces deux étrangers ma copine a monnayé mon cul tout ce que je sais c’est qu’ils me donnent trois billets de 100 que je m’empresse de mettre dans mon sac à main.
Par gestes je leur fais signe qui des deux commence, celui qui m’a ouvert la porte ouvre son jean avec difficulté dans cet habitacle réduit mais je peux passer ma main sur sa queue longue et fine.
J’ignore combien de temps je vais tapiner sur cette portion d’autoroute mais ce qui est sûr c’est que si je continue cela longtemps moi qui ai toujours eu un beau brin de plume j’écrirais sur les queues de mes clients car je pense que d’ici quelque temps j’aurais une vue d’ensemble de cet objet que possèdent les hommes.
Regardons, dans cette cabine la deuxième est sortie et est bien plus volumineuse que la première, le premier Polonais pourrait être complexé en voyant celle de son copain mais il a l’air de bien vivre la situation.
C’est plutôt moi qui stress mais par chance c’est la fine que je vais recevoir la première quand son propriétaire monte dans la couchette en se masturbant.
Je me déshabille et je le rejoins gardant mes bas et mon porte-jarretelles, le gars est couché sur le dos et attends mon bon vouloir les mains croisées derrière la tête la queue fièrement dressée.
Je le suce avec avidité et je me glisse jusqu’à lui pour m’empaler, comme a mon habitude mon corps réagi jusqu’au moment où je sens un mouvement derrière moi et que je me retrouve doublement empalée.
Deux verges en moi, jamais mes pensées les plus lubriques m’auraient fait penser cela possible un jour même si je savais que des femmes le faisait avec leurs amants, surtout que celle qui défonce mon anus est celle d'une taille monstrueuse mais rapidement il s’adapte et comme à mon habitude je jouis de la situation et des verges qui me labourent.
Je hurle de plaisirs surtout que cela dure, dure et dure encore. Toutes mes fibres les plus intimes réagissent, je suis devenue chienne qui hurle à la terre entière qu’il est bon d’être baisé en double pénétration, l'apothéose me parvient quand les deux verges qui me remplissent l’anus et le vagin ou le vagin et l’anus ou les deux simultanément explosent en moi.
Je remets mes vêtements, qu’il m’est difficile d’enfiler dans l’exiguïté de la cabine les poches de ma robe plein de beaux euros.
Je rejoins le camping-car où Henriette brille par son absence, Topaloff doit faire connaissance avec ma nouvelle coéquipière
Dans les jours suivant grâce au camping-car nous faisons des cartons car à tout moment nous entendons la radio crachée.

« Ici Tentacule, Duchesse ou Comtesse, peu importe vous êtes aussi bonne l’une que l’autre, laquelle peut satisfaire ma tentaculaire virilité. »
Nous essayons de répondre à tout le monde si nous sommes dans le secteur et je suis obligée de faire venir Édouard de plus en plus souvent, à ce rythme je vais bientôt penser à ma reconversion mais en gardant la porte ouverte au sexe que j’aurais du mal à me passer.

La route a aussi son lot de mauvaises nouvelles, un matin le bruit circule que Mimi la sauterelle a eu un accident près de Lyon sans qu’aucun de nos amis soit capable de nous en dire plus.
Il nous faut attendre midi pour apprendre qu’il est vivant mais qu’il serait obligé de trouver un autre métier car il lui sera impossible de conduire des 40 tonnes avec une jambe de bois quand-il sortira de l’hôpital de Lyon.
Ce jour-là les radios sont restées muettes chacun attendant des nouvelles, mais la vie sur l’autoroute reprend vite le dessus et le lendemain nous entendons l’appel suivant.

« Diane à vous les filles, je passe enfin dans votre secteur, j’étais en Roumanie où j’ai entendue parler de vous, j’aimerais faire étape avec vous je serais à 20 heures à B.L, j’ai quelques coupures à dépenser, si votre faîte les chattes la mienne a envie des vôtres. »« T’es là Diane chasseresse, c’est Polo tu refuses toujours les bâtons le mien étant disponible »« Masturbe-toi Polo j’ai fait tous ces kilomètres sans trouver de petites culottes, je rêve de celle de nos amies depuis Timisoara, c’est le Baron qui m’a parlé d’elles, vous êtes là les filles. »
C’est moi qui prends le micro Juliette faisant une pipe dans la cabine d’un Allemand.

« Diane, ici la Duchesse, pousse jusqu’à S.A.V.L nous sommes sur ce parking et on t’attend, rejoins-nous si tu le veux. ».
« Sympa les filles, je repartirais vers 6 heures, je descends en Italie. »
J’ai bien dit que nous étions à Saint-Ambreuil vers Lyon car la grosse Bertha depuis que je l’ai vu se faire embarquer par les bleus ayant disparu de la circulation, certains disent qu’elle a pris sa retraite d'autres disent qu’ils l’ont vu faire des clients vers Montélimar et qu’en même temps elle faisait une cure de nougat pour entretenir son gros cul.
La nature ayant horreur du vide notre camping-car ou ma voiture est souvent stationnée au milieu des camionneurs nos amis sur cette aire.
C’est ainsi que nous voyons arriver un camion du genre de ceux où il est marqué à l’arrière « Long véhicule ».
Nous ouvrons la porte du camping-car Juju m’ayant rejoint et nous voyons entrer une jeune femme qui toute mouillée doit peser 50 kilos…

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