UM, DOIS, TRES

- Par l'auteur HDS Akileditu -
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : UM, DOIS, TRES Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2017 dans la catégorie Plus on est
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UM, DOIS, TRES
Il y a une semaine, coup de fil. C’est Paulo.
« -Hi ! How are you ? Are you at home ? Can I come this afternoon ?
-Of course !
-I am with…a woman. It’s a problem ?
-…No !
-You know, she is a little sex addict…-…You are welcome ! »Il a quand même bien fait de me prévenir, Paulo ! Pour une surprise, c’en est une ! Moi qui le croyais pur homo ! Why not ? Ca me rappellera mes débuts hétéro. J’ai toujours aimé faire l’amour avec des filles, même si depuis quelques années, c’est beaucoup plus rare.
Ca sonne ! Les vlà.
A peine ouvert, Paulo me saute au cou et m’embrasse à pleine bouche. Eh ben, comme ça, c’est fait. Pas besoin de s’embarrasser avec de longues explications. Quand on se décolle, il me présente quand même Catarina. Une superbe brune, brésilienne comme lui, de 30 ns environ. Longs cheveux bruns, joli visage, silhouette impeccable. Il me la présente comme une collègue de travail. Elle a l’air sympa, souriante et ouverte. Elle m’apporte plein de barquettes de petits plats chinois pour manger ce soir. Trop gentil ! On discute de tout et de rien –elle parle trop bien l’anglais-, en écoutant de la musique brésilienne. A un moment, elle eu même m’apprendre à danser la cumbia cubaine ! On s’y met tous les trois dans la bonne humeur. Paulo, trouvant qu’il fait trop chaud, se met torse nu, bientôt imité par moi et par…Catarina. Elle a de très jolis petits seins, pointus, bien fermes. Trop beau. J’essaie de deviner si Catarina et Paulo ont déjà baisé ensemble. Finalement, je me dis que je connais la réponse…Ca me fait un petit pincement au cœur.
Arrive l’heure du souper. On s’installe autour d’une table basse et on allume pas mal de bougies. On sort les baguettes. Le repas est trop bon et très joyeux. Décidément, Catarina est vraiment super sympa. On se relaxe en écoutant de la musique douce, à la lueur des bougies. Paulo est lové contre moi sur le canapé. Catarina pas bien loin, juste à sa gauche. Les mains commencent à se balader, de l’un ou l’une à l’autre. Paulo de temps en temps m’embrasse et aussitôt il fait de même avec Catarina. Elle a passé son bras derrière Paulo et me caresse la nuque et les cheveux. Catarina propose alors une douche pour tous avant d’aller au lit –il n’y en a qu’un seul-. Catarina se propose de nous déshabiller- enfin, du peu qui nous reste- La coquine ! Elle sait y mettre toute la retenue et l’hésitation qu’il faut. ? Avec Paulo, avant même qu’elle ne nous enlève lentement le slip, on bande déjà comme des fous. On se glisse tous les trois dans la douche à l’italienne. Catarina, comme Paulo, a la chatte rasée sauf un tout petit carré très ras su le haut. On s’asperge joyeusement. Catarina propose de nous savonner délicatement. Pour être délicat, ce fut délicat ! Même doux et caressant. Tout en évitant soigneusement les « zones à risques »/ Paulo, lui me colle et m’embrasse goulûment. Assez vite, Catarina ne se concentre plus que sur nos « zones médianes ». A genoux dans la douche, sous le jet ruisselant, elle nous masse les fesses, écarte nos globes, nous savonne la raie, écartant nos jambes pour mieux passer sa mains sous nos couilles. Wouaah ! Trop bon ! Bientôt, on sent sa main se glisser entre nos deux ventres collés pour venir caresser nos bites dressées. A tour de rôle, elle nous caresse la tige. Joueur, Paulo se colle de plus en plus à moi, pour mieux sentir sa main ? Bon prince, je me décolle de Paulo et lui présente ma barre à sa bouche. Elle la saisit à deux mains et me suce le bout du gland. Trop jouissif. Je caresse ses cheveux mouillés. Du coup, Paulo en veut aussi. Il approche sa queue de la mienne. Elle colle nos deux bites ensemble et essaie de gober nos deux glands ensemble. Trop bon. Paulo me passe son majeur dans ma raie, cherchant ma rondelle. Puis il se retourne et présente sa raie à la bouche de Catarina, jambes bien écartées. Je la vois aussitôt lui parcourir la raie du bout de sa langue. Ca me donne envie d’en avoir autant. Elle alterne ses caresses buccales entre nous deux. J’estime qu’elle mérite, elle aussi, quelques bonnes caresses. On la fait se relever, on lui écarte les jambes au maximum. Paulo se met à genoux pour lui lécher la chatte. Je me place derrière elle pour lui lécher la raie. Elle ondule du ventre sous les deux caresses appuyées en gémissant, presque en miaulant…J’ai comme dans l’idée qu’elle doit bien crier quand elle jouit. Je lui titille la rondelle du bout de ma langue. Je vois ses mains qui écartent ses globes au maximum, se cambrant pour mieux s’offrir. J’imagine que, de l’autre côté, Paulo en fait autant sur son clito. Elle râle de plus en plus, murmurant des mots en portugais. A son raidissement, j’imagine que Paulo lui a passé un doigt. Je passe ma main par devant. C’est bien ça. Je donne une impulsion à la main de Paulo pour qu’il commence son va et vient dans son fourreau d’amour. De mon côté, j’essaie de lui passer un doigt. J’enduis mon index de gel de douche et je force un peu. C’est passé. Comme Paulo m’avait signalé qu’elle était plutôt sex addict, je m’étais dit qu’elle ne devait avoir aucune réticence de ce côté-là. De toute manière, j’ai comme dans l’idée que Paulo lui a largement fait son éducation – si elle était à faire- sur ce versant de la sexualité… Elle a grogné de plus belle. Oui, Paulo avait raison, elle adore le sexe et toutes ses variantes. On la tripote ainsi un bon moment. Elle râle de plus en plus. C’est alors que Paulo se relève et lui demande de nous savonner. En échange, avec Paulo, on lui enduit son joli corps de gel de douche. Cette fois, elle n’évite plus nos bites. Bien au contraire ! Elle insiste voluptueusement. Trop trop bon. Quand on est tous biens blancs de savon, on relance le jet tiède pour se rincer. Puis on se sèche en se caressant les uns les autres avec les serviettes. Catarina nous parfume et on se dirige vers le lit…On se jette sur le lit pendant que Catarina transfère les bougies de la salle à manger à la chambre. Ca rajoute à l’ambiance caliente. On s’allonge côte à côte avec Paulo, sur le dos, bites bandées, offerts. Catarina nous approche par le bas. Elle se love le long de nos jambes, progressant vers nos sexes qui l’attendent. De sa langue pointée, elle titille nos boules pendant que ses mains caressent l’intérieur de nos cuisses. Elle remonte, à tour de rôle, le long de nos hampes pour venir chatouiller du bout de sa langue, le frein de nos prépuces. Trop coooool. Paulo a passé son bras sous mes épaules et attire ma bouche vers la sienne. Nos langues se mêlent. Catarina m’a pris en bouche lentement, suavement pendant qu’elle branle lentement Paulo. Je sens sa chatte humide qui se frotte contre mon pied. Je la caresse du pied. Sa main gauche me masse le bas ventre, jouant avec ma ligne de poils – la dreamline, comme dit Paulo-. Paulo veut sa part. Il réclame. Elle change de sucre d’orge et vient me branler doucement de la main gauche. Après un long moment de ces caresses, Paulo lui demande de nous offrir son cul. Elle se met en position de 69., offrant son cul et sa chatte à nos bouches avides. On se met à la lécher copieusement. Malgré la pipe qu’elle continue de faire à Paulo, on l’entend gémir de plaisir. Paulo, par-dessous son ventre, lui passe le bout de sa langue dans son fourreau. De mon côté, je lui lèche la raie. Je crois bien que Paulo doit maintenant lui exciter le clito car elle ne peut plus assurer sa fellation, tant elle se tortille. Paulo lui a passé deux doigts, je lui en passe un puis rapidement deux dans son trou. Elle couine de plus belle. Paulo veut alors la prendre en levrette. Je vois sa longue bite s’enfoncer lentement dans son vagin. Trop beau, il faut que je filme ça. Elle a tourné la tête et remercie Paulo de ses yeux radieux. Je mets l’appareil en mode vidéo et filme tout en gros plans. Paulo, ça l’excite grave d’être ainsi sous les feux de la rampe. Catarina crie de plus en plus fort à chaque fois que Paulo s’enfonce en elle. Elle se tire les cheveux. Elle caresse furieusement la cuisse de Paulo. Elle commence à décoller. Paulo continue à la limer puissamment et moi à la filmer comme un fou. Ca m’a toujours retourné le ventre de voir deux personnes faire ainsi l’amour tout près de moi, abandonnées à leur plaisir. Trop beau de voir ça dans les reflets des bougies. Paulo se penche vers elle, lui saisit les seins et le ventre et l’attire vers lui, tout contre son corps. Catarina a empoigné ma bite, me la malaxe furieusement et m’indique, par gestes, qu’elle aimerait bien la sentir en elle, elle aussi. Paulo a vu et me laisse la place bien volontiers. Je la pénètre doucement, ma bite commence à glisser lentement dans sa chatte humide. C’est doux, chaud et enveloppant. D’un seul coup, ça me rappelle les sensations que j’avais avec les filles. Trop bon aussi ! Je coulisse lentement. Elle gémit bruyamment. Oui, elle est bien « sonore » en amour ! Elle a agrippé mes fesses et me tire vers elle à chaque coup de reins. Elle voudrait que je m’enfonce encore plus au tréfonds de son antre humide, de son ventre. Je sens le fond de son vagin avec mon gland. Coool. Paulo, derrière moi, me parcourt la raie avec sa langue. Il me titille le trou. Il a bien du mérite, je n’arrête pas d’aller et venir dans la chatte de Catarina. Il a passé un doigt et me dilate doucement. Je vais être comblé par tous les bouts. Il a présenté son gland, force et passe. Je sens sa bite qui me pénètre de plus en plus. Viens ma belle ! Viens ! Paulo commence à me trombonner. Je sens parfaitement la douce caresse de sa tige de fer dans mon cul. Il se synchronise parfaitement sur mon va et vient dans Catarina. Je sens sa toison rase qui vient me chatouiller les fesses quand il me pénètre à fond. C’est doux. Ah que j’aime ta bite en moi, mon Paulo !! J’arrête un moment de limer Catarina pour mieux sentir mon Paulo. Je contracte mon périnée ce qui crée des contractions sur ma bite et sur mon trou. Les deux apprécient un max. Paulo s’est reculé légèrement, tout en restant en moi avec son gland, ne bouge plus et attend que ce soit moi qui coulisse sur sa bite quand je ressors de Catarina. Trop bon ! Catarina vibre de tout son corps à chacun de mes coups de reins. Je me demande ce que ça va être quand elle va jouir à fond… Ca m’excite grave de la voir réagir ainsi. On sent bien qu’elle adore ça, se faire bourrer par une bonne bite Je me demande si tous les Brésiliens sont comme ces deux là. Si oui, les nuits là bas doivent être super bruyantes !
Catarina demande à Paulo s’il veut bien filmer tout ça, en automatique. Il n’a rien contre. En revenant vers nous, il en profite pour imaginer d’autres positions. Il me retire délicatement de la chatte de Catarina, m’allonge sur le dos, demande à Catarina de venir s’empaler sur mon sexe. Paulo, quant à lui, veut essayer de la pénétrer par l’arrière, en même temps. Force gel, il présente son gland. On ne peut pas dire qu’il l’ait beaucoup préparée à son assaut. Il doit savoir, par expérience, que ça va le faire quand même. Catarina ne bouge plus, complètement embrochée sur ma pine, légèrement penchée en avant pour accueillir Paulo. Je vois ses traits se durcir un peu quand il passe son gland. Mais, très vite, elle se détend et rayonne à nouveau. Elle ne pouvait rêver mieux, honorée par tous les trous. Elle gémit souffle, criant des mots en portugais :« -E bom ! Esta quente !! Novamente !!! » ‘ C’est bon ! C’est chaud !!Encore !!!)Paulo se penche en avant et nous enserre tous les deux de ses bras. Il cherche ma bouche que je lui offre bien volontiers. Catarina coulisse doucement sur ma tige. J’entends le bruit de succion que fait sa chatte et le feulement de la bite de Paulo dans son cul. Ca m’excite grave ! Ca va encore faire de bien belles images tout ça. Cette fois, c’est Catarina qui a envie de nouvelles sensations. Elle se retire de ma bite et décolle doucement Paulo de son cul. Elle place Paulo au dessus de ma pine dressée. Paulo s’enduit rapidement de gel. Il s’embroche d’un coup sec. Je sais aussi que, parfois, il aime ainsi se faire déchirer d’un coup, d’un seul. Catarina se place devant lui, à califourchon sur mon torse et vient proposer sa chatte à ma bouche. Elle veut que je lui excite la chatte, le clito et plus si affinités…Je ne me fais pas prier et elle non plus. Je sens Paulo qui monte et descend doucement sur mon nœud. Elle a empoigné ma tête et me guide vers ce qu’elle veut. La lécher encore et encore, lui passer une belle langue pointue pendant qu’elle caresse son clito voluptueusement. Paulo coulisse à l’aise sur mon dard. Il doit ressentir cette douce sensation de remplissage de ses entrailles par mon dard. Catarina se recule légèrement vers Paulo, cherchant à ce qu’il lui bourre le cul à nouveau. Paulo, enfoncé sur moi, ne bouge plus. C’est elle qui coulisse sur sa bite. Je voudrais que ça dure ainsi des heures et même toute la nuit, tellement c’est bon. Il la laisse profiter ainsi un bon moment…Cette fois, c’est Paulo qui imagine un autre scénario. Il dit quelque chose en portugais. Elle se retire et vient se mettre en levrette sur le lit, jambes bien écartées. On s’est compris. Paulo m’empoigne par la bite et on se dirige vers elle. On s’enduit à nouveau de gel. Paulo présente son gland en premier. Il passe aussitôt et continue à la limer. J’ai déjà envie de le remplacer. Pour l’exciter encore plus, je passe ma mains sous ventre et vient agacer son clito. Elle rugit. Ca fait rigoler Paulo. Il va te vient, à l’aise, radieux. Bon prince, il me cède la place. Je la saillis brutalement puis, très vite, j’y vais tout doux. J’adore la pénétrer là aussi. C’est serré mais le frottement sur ma bite est d’autant plus intense. J’augmente un peu la vitesse de mon limage. Elle se tortille de plus belle, en gémissant. Elle a des soubresauts de plaisir. Décidément, elle aime TOUT ! On passe ainsi un sacré bon moment à la limer à tour de rôle. Elle en a deux pour le prix d’un. On fait bien attention de ne pas aller jusqu’à l’explosion finale. On ne s’est pas encore mis d’accord là-dessus…A un moment, là voilà qui se retourne et qui s’allonge sur le dos, jambes largement écartées, offerte. Elle a même placé un coussin sous ses reins pour mieux nous accueillir ! Paulo me propose d’y aller d’abord et de me lâcher à fond. Je la pénètre facilement mais doucement, me retirant pour m’enfoncer encore plus. Son fourreau est super doux. J’adore. Je me mets à la limer puissamment. Son regard brillant m’a accroché et ne me lâchera plus. Elle râle en continu. Paulo a repris l’appareil et virevolte autour de nous pour fixer tout ça. Elle a posé ses deux jambes sur mes épaules pour que ma bite la pénètre encore plus à fond. Je kiffe. Je sais que je vais jouir ainsi cette fois. J’aimerais arriver à la faire jouir, elle aussi, en même temps que moi. Je me mets à la pistonner de plus en plus vite, de plus en plus fort. Mes couilles claquent contre son périnée. Je sens que je viens. Je me raidis. Elle le sent. Je me vide les couilles dans son ventre et l’inonde de mon miel, de mon sperme chaud. Mais, je ne crois pas qu’elle ait totalement joui, elle. Ce sera donc à Paulo d’essayer de la satisfaire. Paulo ne lui laisse aucun répit et l’entreprend aussitôt. Sa bite glisse à l’aise sur mon sperme qui lubrifie tout parfaitement. Il me faut un petit temps pour reprendre mes esprits et mon souffle et me remettre à filmer. La cadence des coups de bite de Paulo a considérablement augmenté mais je sais aussi qu’il est super endurant. Elle crie de plus en plus fort. Je vois ses mains qui griffent les fesses de Paulo, l’attirant tout au fond d’elle, retenant au maximum sa bite en elle. Leurs respirations deviennent rauques, saccadées mais synchrones. Ils baisent en cadence, comme un vieux couple qui se connait bien. Elle bascule sa tête de plus en plus vite de gauche à droite. Elle va venir. Elle vient dans un torrent de cris rauques. Mon salaud, c’est toi qui a eu l’honneur de la faire chavirer. Je suis jaloux. Tout son corps tremble. Je n’ai jamais entendu quelqu’un jouir aussi fort ! Wouaah ! Je filme, je filme. Paulo, lui aussi, n’est pas loin d’explose. Encore plus vite, encore plus fort. Il est luisant de sueur. Il décharge, électrisé. Elle a du ressentir la puissance de ses jets car elle a crié à nouveau.
Nous voilà repus de sexe tous les trois après ce premier round. On sombre rapidement dans le sommeil. Catarina entre nous deux, chacune de ses mains posée sur nos bites…….
Vers le milieu de la nuit, je suis réveillé par une main qui caresse lentement mes cheveux. J’ouvre un œil. C’est Paulo. Il est assis sur le bord du lit, de mon côté, dans le noir. J’ai compris. Il a envie de moi, mais en privé. Je me relève doucement et on s’enferme dans la salle de bain. Il est là, nu, face à moi et me détaille de haut en bas. Il bande légèrement. Il vient se coller à moi et m’embrasse tendrement. Je retrouve le Paulo doux, affectueux, sensible qui se dévoile de plus en plus. Il m’entraîne vers la douche, fais couler doucement le jet tiède. Il me caresse, me savonne. Je lui rends la pareille. Je sens que ça va être doux et tendre. C’est drôle mais, depuis un moment, à chaque fois qu’on se retrouve, il a besoin de ces moments très intimes avec moi…Tant mieux ! Il commence à bien bander et moi aussi. Je crois que je ne serai jamais rassasié de son corps. C’est juste pas possible. On se serre sous le jet ruisselant. Il me murmure des trucs très doux, en portugais, à l’oreille. Il commence à se frotter contre moi, bite contre bite, torse contre torse. Il a empoigné mes fesses et me pousse contre le mur de la douche. L’eau coule sur nos visages. Il approche ses lèvres et les colle aux miennes. Je sens son souffle chaud. Sa langue cherche la mienne. Son baiser est très doux, très long. J’adore ces moments privilégiés. Paulo a l’air d’en avoir autant besoin que moi. C’est toujours lui qui les provoque. Moi aussi, j’ai empoigné son cul et le malaxe doucement. Je passe ma main entre nos deux ventres collé, empoigne nos deux bites et les branle lentement du bout des doigts. Paulo glisse le long de mon corps, s’agenouille pour venir me caresser la tige de son visage. Il se frotte tendrement. J’adore. Puis il promène ses lèvres sur mes couilles, les gobe une à une, remonte le long de ma tige pour arriver au gland qu’il m’agace du bout de sa langue, avec beaucoup de lenteur. Il vient le suçoter du bout de ses lèvres. Je me prépare à décoller car je sais qu’il suce divinement bien. C’est très progressif. Il a l’art de faire monter la pression très lentement, très savamment. Ses mains enserrent mes couilles, en coquille. Il alterne les petits coups de langue, les aspirations, les gorges profondes, les retraits, les descentes contrôlées. Je sens la chaleur de sa bouche. C’est trop bon ! Il accélère ses allées et venues mais ne veut sûrement pas me faire jouir trop vite. La preuve, il se redresse en écartant mes jambes. Il passe sa bite sous mes couilles t glisse le long de mon périnée. Il cherche ma rondelle. Il coupe l’eau m’enduit le trou, le doigte un peu, s’enduit à son tour et cherche le passage. Je m’adosse au mur de la douche et enserre sa taille avec mes jambes. Je m’accroche à ses épaules. C’est ce que je préfère. Il le sait. Il entre facilement, mais en douceur. Il commence à me limer tout doucement. Je sens sa tige me parcourir le ventre. Je ressens bien la moindre de ses vibrations. Je l’aime trop sa bite. Surtout dans mon ventre ! Viens ma belle ! Et restes y ! Il continue à me labourer, toujours au même rythme lent, sans accélération. Encore ! Encore !! il me dévore la bouche Il a remis l’eau tiède qui nous caresse le corps à tous les deux.
« -Je t’aime Paulo ! » Je lui souffle ça dans l’oreille. Ca m’est venu comme ça, sans préméditation. C’est sorti tout seul. Il n’a pas euy besoin de traduction en anglais pour comprendre. Il me serre à me rompre. Il a légèrement reculé sa tête, m’a regardé avec une intensité brûlante…Je jurerais que ses yeux se sont embués et que ça n’avait rien à voir avec le jet de la douche, m’a encore serré à me casser, m’a embrassé comme jamais. Je crois que j’avais sa réponse. Depuis le temps que je sentais monter en moi mon attachement envers lui, ça avait fini par me submerger. J’étais comme délivré de lui avoir dit. D’un autre côté, je savais que je pouvais me prépa rer à déguster. Avec sa gueule d’amour son corps de rêve, ses voyages, ses rencontres, son boulot…Avec son énorme appétit sexuel aussi. Je savais bien que je ne pouvais le mettre en cage, me le garder rien que pour moi, auprès de moi…J’allais devoir apprendre à surmonter. On est resté là, immobiles sous la douche, à savourer cet instant. Il a recommencé à me limer doucement. J’ai voulu lui offrir sa position favorite, alors je me suis mis en levrette sur le sol de la douche. Il est entré en moi langoureusement t a repris son délicieux va et vient. J’ai trouvé sa cadence « joyeuse ». Je me suis préparé à une séance d’anthologie. Ses mouvements s’accéléraient régulièrement. Je sentais parfaitement bien sa barre brûlante me labourer le ventre. J’ai creusé les reins pour m’offrir davantage. Après ce qu’il avait déchargé avec Catarina, je savais que ça allait durer un bon moment. C’est pas moi qui m’en plaindrais. Il m’a retourné sur le dos, allongé sur le sol de la douche pour qu’on se noie dans nos yeux. Son visage rayonnait. Il était magnifique de beauté, de puissance. Et ça a duré, ça a duré…Je sentais bien qu’il ne voulait pas en finir mais qu’il cherchait plutôt à prolonger ces instants à l’infini…Il me limait, me limait. Toujours au même rythme, lentement, voluptueusement…J’aurais voulu que ça ne finisse jamais. Pourtant, à un moment, j’agrippais ses fesses et lui faisais comprendre par gestes, que je voulais qu’il jouisse. Vas y Paulo ! Défonces moi ! Prends ton pied ! Fais moi jouir et explose ton miel en moi ! Emplis moi du nectar de ton désir ! Il s’est répandu en moi en deux longs jets, tétanisé. J’ai voulu le garder longtemps en moi mais il a tenu à me faire jouir, moi aussi. Il est ressorti de mon ventre et a commencé à me sucer. J’ai compris que c’est comme ça qu’il voulait que j’explose. Celle là aussi, je m’en rappellerai longtemps. P… que ce fut bon ! Je lui ai barbouillé le visage en jouissant. Il a nettoyé ma bite à fond, en la suçant. On s’est relavé, reséché et on a regagné la chambre à pas de loup. Catarina n’avait pas bougé. Elle dormait – ou alors elle faisait bien semblant -. On a repris nos places et on a sombré jusqu’au matin. C’est elle qui nous a réveillés, sur le coup de dix heures avec ses caresses feutrées. On ne lui a pas sauté dessus.
Toute la matinée, elle s’est baladée dans l’appart vêtue d’un seul et unique magnifique slip brésilien jaune citron qui la mettait superbement en valeur. Nous aussi, on se baladait en slips. On adore ça tous les deux. Elle n’a pas manqué de poses aguichantes, de frôlements « accidentels ». C’est là qu’elle a du comprendre qu’il y avait eu un deuxième round. Sans elle. Sur le coup de midi, Paulo a proposé de sortir pour aller manger quelque part. On s’est longuement baladé avant de trouver un japonais délicieux. Sous la table, je sentais tout le temps les jambes et les pieds de Catarina qui me caressaient. Je suppose qu’elle en faisait autant avec Paulo. Pendant le repas, je l’ai trouvé un peu contrarié, agacé. Cela me parut bizarre car, d’habitude, Paulo est plutôt d’humeur joyeuse. Très souvent, Catarina cherchait à capter le regard de Paulo et n’y arrivait pas. Après le resto, on se balada encore en ville un long moment. On finit par rentrer à l’appart. On se remit en slips. Catarina cherchait de plus en plus le contact avec Paulo Agacé, il lui sauta littéralement dessus, presque brutalement. Il la prit sauvagement, par l’arrière. Ne lui enlevant même pas son slip, se contentant de lui écarter pour lui fourrer sa bite dans sa chatte d’un seul coup. Catarina gémit mais ne dit rien. Je ne reconnaissais plus mon Paulo, si doux d’habitude. Paulo la pilonnait comme s’il voulait en finir le plus vite possible. Je les regardais, interloqué. Pendant tout ce temps, Paulo cherchait à éviter mon regard. Il accéléra encore ses coups de bite. Franchement, je trouvais qu’il y allait un peu fort…Très vite, il jouit et se retira. Bien sûr, Catarina n’avait pas eu le temps d’apprécier quoi que ce soit, encore moins de jouir…Tout le reste de l’après midi, il chercha visiblement à l’éviter. Catarina s’enferma longuement dans la salle de bain. J’en profitais pour lui demander ce qui n’allait pas. Il botta en touche. Pas son habitude.
Il voulut partir pour l’aéroport bien avant l’heure prévue du vol. J’eus le courage de les accompagner, cette fois. Catarina m’embrassa comme du bon pain. Paulo me gratifia d’un très long baiser devant tout le hall de l’aéroport. Et devant Catarina.
Deux jours plus tard, je reçus un SMS de Paulo qui m’indiquait qu’il ne sortait plus avec Catarina…Que cherchait-il à me dire ? A me faire comprendre ?
Est-ce que c’est ce que je lui avais murmuré sous la douche qui l’avait troublé à ce point ?

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