Femme BCBG, escorte, non, pute… (128)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (128) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (128)
Je vais être une nouvelle fois obligé de détromper Annabelle l’attachée parlementaire de Marie-Christine que si j’ai bien aimé passer la soirée avec elle ou je l’ai défloré avec mes doigts elle qui était encore vierge, je tiens à ma liberté.
Livia vient de me dire que toute la nuit Annabelle lui avait fait l’éloge de la femme dont elle est amoureuse, j’ai réussi Illy à accepter de vivre sa vie comme je vis la mienne depuis ma rencontre avec Valérie.

• Livia j’écoute ce que tu m’expliques l’as-tu détrompé sur mes sentiments pour elle, j’ai adoré baiser ensemble comme j’ai adoré faire l’amour une nouvelle fois avec toi.

Livia éclate de rire me laissant pantoise.

• Grosse bétasse Christine, Annabelle m’a bien parlé de tes doigts qui l’ont dépucelé mais tu as ouvert en elle son sexe et son cerveau, elle a compris en me voyant faire l’amour avec Marie-Christine que c'était notre amie qui était la femme de sa vie.
Comme elle était mariée, elle refusait de lui dire mais suite à son divorce et à ton intervention elle lui a ouvert son cœur et il s’est avéré que l’alignement des planètes dans leur zodiaque était parfait et elles sont devenues amantes.
Ce que tu as lu sur le coming-out de Marie-Christine était due à ses tatouages que son mari voulait mettre sur Internet pour qu’elle abaisse ses exigences sur la répartition de leurs biens.
Après le retour de Marie-Christine du Canada elles vont annoncer que dans un premier temps elles vont se pacser avant de convoler comme leur permet la nouvelle loi en justes noces.
• Ouf je souffle, je vais envoyer une carte de félicitation à nos deux amies, me voilà rassurée.

Nous sommes prêtes et je me reverrais toujours aller de l’ascenseur à la porte de sortie de l’hôtel sous le regard du réceptionniste et d’une femme de ménage poussant un chariot avec des produits d’entretien pour nettoyer les vitres de la porte d’entrée ainsi qu’un couple de vieilles personnes.
Le monsieur a baissé ses lunettes pour mieux me voir, une femme blonde dans une combinaison de cuir rouge légèrement trop courte montrant mes mollets simplement barrés de lanière des chaussures de cuir rouge, j’ai presque envie d’aller lui mettre la main sur le pantalon je dois réveiller en lui de vieux souvenir malgré son grand âge.
Est-ce moi ou Livia qui est aussi jolie mais faisant moins escorte dans sa tenue avec ma valise et surtout ses bottes blanches.
Au moment de sortir elle me passe le casque et je dois avoir l’air d’une extra-terrestre avant de m’engouffrer dans le parking récupérer ma voiture et à la sortie je lui rends lui donnant rendez-vous comme prévu pour notre week-end en amoureuse dans sa maison à Honfleur.

Honfleur, je suis contente de monter à l’arrière de la moto de ma motarde préférée avec laquelle j’ai une pleine confiance.
J’ai acheté un sac à dos de la couleur de ma combinaison et tel des chevaliers des temps modernes elle démarre la faisant vrombir mais démarrant sans excès comme à son habitude.
L’autoroute à 130 aucun problème la vitesse est conséquente, le plus dur pour Livia c’est de voir des voitures en excès de vitesse la doubler et que dire des motos qui nous font un petit geste plein de condescendance pour cette moto qui se traîne.
L’autoroute cela peut aller mais quel calvaire quand on passe sur les départementales.
Alors que je vois le panneau Honfleur vers la droite, elle s’oriente toujours vers le soleil couchant à gauche, nous longeons la côte et la mer ainsi que des plages sans fin avec l’envie de conduire des motos à pleine vitesse comme Livia m’a dit le faire régulièrement.
Villerville c’est devant une maison dominant la mer qu’elle nous arrête et qu’elle ouvre la porte d’un garage sous la maison ayant récupéré les clefs dans sa malle.
Trois motos, le modèle, la cylindrée j’ignore tout ce que je sais c’est que ce sont trois motos avec châssis, roues et moteurs.

• Je vois que tu te grattes le crâne, cette moto 125 KTM, 2 temps bien sûr modifiés par mes mécanos, je dois t’avouer que quand nous étions dans mon Jacuzzi j’ai un peu enjolivé les choses, je vais éviter de me faire mal en te disant que j’ai terminé dans les derniers concurrents.
L’année suivante je n’ai pas couru ainsi que celles d’après prises par d’autres courses et surtout Camille m’ayant abandonnée comme je te l’ai dit.
La seconde c’est une 250 Yamaha, 2 temps, j’ai couru avec l’an passé, là c’est la réalité, toujours 300 coureurs au départ, 10ème au général, tous classements confondus et 1re sur 21 femmes, tu vois la progression.
Et celle-là, que mon équipe vient de déposer est une 250 Yamaha, 4 temps, c’est pour cela que je suis là, je vais l’essayer pour la première fois avant de viser le top 3 au général et bien sûr le mumber-one des féminines.
• Cette maison est-ce la tienne ?
• Oui, à mes parents, je dois dire étais car ils se sont retirés vers Saint Jean de Luz pour vivre au soleil mais toujours au bord de la mer.
Mais tu dois les connaître, ce sont des amis de Valérie et mon père est une personne connue dans le monde de la télé.
• Pardon, c’est incroyable tu es la fille de Frédéric et Frédérique.
• Adoptive seulement, maman Frédérique a été dans l’impossibilité d’avoir des enfants, j’ignore qui est ma mère et c’est bien ainsi, j’ai vécu ici avec une nurse qui m’a quitté il y a 2 ans, j’ai dû la remplacer par une voisine qui gère mes clefs et mon garde-manger.

Livia la fille adoptive de Fred et Fred, je commence à comprendre que si je sais bien des choses sur l’organisation je suis loin d’en métriser tous les rouages, à commencer par la branche Igor en Russie ou je sens que je vais découvrir de nouvelles parties du réseau de tout ce beau monde a tissé.

• Ma 1 000 est rentrée au chaud jusqu’à notre retour dimanche dans l’après-midi, allons nous doucher avant je te montre ta maison.
• La tienne.
• J’ai comme habitude quand j’ai une invitée de la mettre entièrement à sa disposition.
• Alors montre-moi la salle de bain, je vais te savonner le dos.

Je l’embrasse après l’avoir aidé à ôter sa combinaison et elle la mienne.
Elle entre dans l’eau que j’ai fait couler à température et comme nous aimons le faire tout en nous embrassant serrant nos seins les uns contre les autres aimant retrouver nos pointes qui s’agacent avec nos mains nous nous donnons un premier orgasme qui je l’espère serai suivi de beaucoup d’autres pendant notre séjour.

• Montre-moi ta chambre, je vieillis, le carrelage de la salle de bain j’ai déjà donné, ton gazon sur ta terrasse à regarder le jour se lever sur Paris j’adore mais là.
Mais c’est un cimetière.
Cette photo c’est Camille.
• Oui pendant notre temps de bonheur.
• Un cimetière, tu entretien un cimetière, dans la salle de bain que s'est-il passé ?
• Nous nous sommes aimées.
• C’était dans le passé.
• Non dans le présent.
• Erreur, regarde je viens vers toi, je te prends dans mes bras je t’embrasse présent ou passé ?
• Présent.
• Erreur, c’est déjà passé puisque pour te parler nous avons arrêté.
• J’ai compris, ces photos sont la preuve que je vis dans le passé alors qu’il y a des myriades de choses que je vais vivre dans le futur qui passeront par un présent finissant dans le passé.
• Tout à fait cela, c’est ma philosophie de la vie et c’est pour cela que je suis devenue une pute qui s’assume, si j’étais resté dans le monde ou mes parents, paix à leur âme, ont voulu me cloisonner à cette heure comme toi je vivrais toujours à Paris dans mon appartement certes femme BCBG mais femme frustrée du cul.
• Tu as raison pour le cimetière, j’enlève toutes ces photos.

Elle les détache une à une et veut les déchirer.

• Stop, que fais-tu ?
• Je les mets à la poubelle.
• Tu es bête, ce que je doute fortement, le passé est attaché à notre vie et doit rester le passé sauf si un fait exceptionnel vient le réveiller.
Qui te dit qu’un jour avec ta moto l’organisation te demandera de porter des papiers chez une escorte comme tu l’as fait souvent pour moi et que celle-ci suivant l’évolution de sa vie par le plus grand des hasards se serait Camille.
Que lui dirais-tu si elle vient demain et que tu aies brûlé votre passé ?
Tu lui dirais que c’est parce que tu avais trop mal de sa trahison que tu l’as effacé, ranges c’est photo dans une boîte si le hasard concernant Camille se produit, tu pourras les ressortir lui montrant que de nouveau le passé redevient le présent.

Après les avoir rangés, nous roulons sur son lit nos clitoris en contact l’un et l’autre, ouf, elle semble avoir compris et je suis rassuré quand nous jouissons si elle les avait laissés j’aurais eu l’impression que c’est Camille qu’elle baisait et que nous étions trois, moi servant de faire-valoir ?
A peine notre jouissance prise nous trouvons un autre terrain de jeu, j’adore quand elle me titille les seins me faisant hurler quand j’ai trop mal mais l’invitant à continuer pendant un long moment encore.
Je retrouve son clito pendant qu’elle retrouve le mien en position de 69 que j’ai pratiqué de mainte fois dans l’exercice de mon travail d’escorte, j’allais dire de mes fonctions, je dois plutôt dire dans l’exercice de mes plaisirs.

• Assez baiser ma belle blonde, allons voir ce que ma gouvernante nous a mis dans le frigo avant d’aller essayer ma moto.

Nous allons dans la cuisine et nous profitons du coucher de soleil sur la mer grignotant les gambas que nous nous décortiquons l’une pour l’autre avec de la salade de laitue afin de garder notre ligne, plongée dans de la sauce asiatique.


• Descendons remettre nos combinaisons, et allons faire de la moto.
• Nous allons sur la plage, tu vas voir comment ton nouvel engin se comporte sur le sable.
• Non ma belle, un tel engin demande une prise en main sur une route avant d’aller sur le sable même si je suis une pro.
• Alors je vais remonter sur la terrasse pour t’attendre.
• Non Christine, tu vas prendre ma 125 déjà bien puissante pour une débutante et tu vas lui faire du charme comme une femme le fait à une autre femme désirant la séduire.
• Une femme avec une femme qu’elle veut séduire.
• Aucune ambiguïté, une moto c’est féminin, une femme c’est ?
• Féminin.
• Aller ont démarre, demain ont ira sur le sable.

Je roule prudemment c’est facile car Livia en fait de même avec moi, nous roulons jusqu’à Trouville, une première fois, une moto dont je suis dans l’incapacité de dire de quel type et model elle est nous double font la caisse, nous la voyons revenir nous croisant et refessant le manège deux autres fois…

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