En voiture !

- Par l'auteur HDS Petitchimiste2 -
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Récit libertin : En voiture ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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En voiture !
Nos emplettes en ce samedi de mi-septembre furent fructueuses. Nous avions décidé de rafraichir notre chambre à coucher dont la décoration était quelque peu passée. En milieu d’après-midi, nous avions acheté peintures, moulures, rideaux et tentures ; il nous manquait quelques meubles et le papier peint, que nous escomptions trouver dans le centre commercial de Vélizy au sud-ouest de Paris.

Le soleil de fin d’été échauffait l’atmosphère, mon épouse retroussa donc son ample jupe à mi-cuisses afin que les rayons atteignissent ses jambes nues à travers la fenêtre ouverte de notre voiture. La conduite en ville était jalonnée d’arrêts fréquents ; au cours de l’un d’eux, une moto se glissa entre le trottoir et la portière avant droite.

Cette scène se répéta à l’arrêt suivant. Je réalisai que le motard observait les jambes nues de ma belle. Il le faisait discrètement à travers la visière de son casque intégral, il pensait certainement pouvoir mater sans se faire surprendre. Après avoir redémarré, je fis part de cette situation saugrenue à mon épouse qui sourit et posa ses pieds sur le tableau de bord.

- Ainsi, il pourra détailler la totalité de mes jambes, précisa-t-elle
A l’arrêt suivant, le motard s’arrêta encore le long de la portière droite ; cela confirmait que ma belle plaisait à l’inconnu. Je redémarrai, elle remonta davantage sa jupe pour découvrir nettement l’entrejambe de sa culotte en dentelles blanches. J’approchai d’un feu rouge qui passa d’un coup à l’orange. Nos deux véhicules s’arrêtèrent une fois encore côte à côte. Mon épouse proposa un marché au motard.

- Retire ton casque ; si ton visage me plaît, alors je te montre ma poitrine !

L’homme ne se fit point prier ; ma belle déboutonna alors son chemisier du cou au nombril, en écarta les pans, et fis déborder ses seins des bonnets. Le regard du motard se fixa sur les aréoles légèrement fripées. Lorsque je poursuivis ma route, l’inconnu remit son casque et nous suivit.

Au nouvel arrêt, mon épouse proposa au motard :
- Tu peux les palper si tu veux !

Il retira le gant de sa main gauche, passa son bras à travers la fenêtre ouverte, caressa les seins ; il insista plusieurs fois sur les aréoles. Juste avant de redémarrer, ma belle renchérit :
- Suis-nous ; nous avons quelques achats à faire.

Je parquai quelques minutes plus tard notre véhicule dans le parking du centre commercial, sur une place éloignée de l’entrée la plus proche. Le motard gara son engin sur un emplacement contigu à notre voiture. Mon épouse rangea sa poitrine dans son soutien-gorge, boutonna son chemisier avant de sortir de la voiture et de s’approcher de l’inconnu.

- Va à la pharmacie du centre et achète une grosse boîte de préservatifs, exigea-t-elle ! Une très grosse boîte ! Je suis très gourmande …
La contrepartie de l’achat paraissait évidemment alléchante pour le motard. De mon côté, je devais très vite imaginer comment ma belle pouvait émoustiller cet inconnu. Quant à elle, elle se dirigeait déjà vers les boutiques les plus proches.

J’achetai un balai équipé d’un long manche en bois, une bouteille d’eau, une bombe de mousse à raser, des rasoirs, des verres jetables, des serviettes en papier, une bobine de cordelettes en chanvre. Lorsque je rejoignis la voiture, le motard attendait seul ; il avait acheté une boîte de cinquante préservatifs. Je couchais le balai devant les sièges arrière de notre véhicule, et le sac contenant mes autres emplettes dans la portière avant gauche. J’échangeai quelques mots avec lui ; je lui précisai par exemple que nous devions faire languir ma belle avant de nous dévêtir. Lorsqu’elle arriva, elle rangea dans le coffre les derniers éléments de décoration qui nous manquaient. Nous poursuivîmes ensuite notre route, elle et moi dans notre voiture et le motard sur son engin, vers une destination que j’avais gardée pour moi.

Nous dûmes nous arrêter à un feu rouge sur les hauteurs de Jouy-en-Josas. Je demandais à mon épouse de relever sa jupe jusqu’au nombril, ce qu’elle fit. Elle s’affaissa légèrement ensuite sur l’assise de son fauteuil pour montrer au motard qui l’observait par la fenêtre sa culotte en dentelles, y compris l’entrejambe entre ses cuisses ouvertes. Elle souriait en regardant l’inconnu qu’elle aguichait ostensiblement.

Nous continuâmes notre route.

- Au prochain arrêt, tu retires ta culotte, lui dis-je.

Un passage à niveau se ferma devant nous. Je dus donc stopper notre véhicule pendant plus de trois minutes. Ma belle découvrit son sexe sous les yeux du motard et jeta son dessous sur le siège arrière. Elle plaça ensuite ses pieds sur le tableau de bord, chevilles extérieures contre le revêtement, et plia ses genoux. Ainsi affalée dans son fauteuil, elle exhibait l’intégralité de ses petites lèvres recouvertes de poils pubiens entre ses cuisses dont l’angle était largement obtus. Je caressais son bas-ventre que je trouvais râpeux : sa dernière tonte remontait à près de dix jours, et l’épaisseur de sa toison atteignait environ cinq millimètres. Un train passa devant nous ; les passagers qui regardaient dans notre direction purent se rincer l’œil à travers notre pare-brise.

Je continuais notre chemin lorsque les barrières s’ouvrirent. Un nouveau feu rouge me contraignit à arrêter la voiture une nouvelle fois. Je donnai à ma passagère la bouteille d’eau en lui demandant de mouiller son sexe. Elle la saisit d’une main, l’ouvrit et en fit couler un petit filet de liquide qui atterrit à mi-chemin entre son nombril et son capuchon. De l’autre main, elle étalait l’eau sur tout son pubis. Lorsque l’intégralité de sa toison fut humectée, elle me rendit la bouteille et se palpa l’aine de ses deux mains. Lorsqu’elle massait ses grandes lèvres, les petites s’incurvaient : en forme de demi ellipses droites ou gauches, de S parfois inversés. Je sentis ma verge se gonfler légèrement.

J’accélérai lorsque le feu passa au vert. A l’arrêt suivant, j’attendis que la moto arrivât au niveau de la portière avant droite et donnai à mon épouse la bombe de mousse à raser. Elle en emplit la paume de sa main, et commença à recouvrir son sexe. Elle dut recommencer plusieurs fois pour que sa toison se colorât en blanc.

Lorsque je dus repartir, elle me rendit la bombe de mousse. Je savais qu’entre l’enduction et le rasage, il fallait attendre quelques minutes pour que les tissus cutanés s’attendrissent. Je conduisis donc pendant près de dix minutes, puis garai notre automobile sur le bord d’une route peu fréquentée menant au plateau du Moulon. Le motard arrêta une fois encore son engin à hauteur de la portière avant droite ; comme une partie de la mousse avait pénétré le derme de ma belle, quelques poils étaient devenus visibles. Je lui demandai donc :
- Epaissis la couche de mousse sur ton sexe.

Sous le regard de l’inconnu, elle déposa directement la mousse sur sa toison, et l’étala de ses mains ; son pubis redevint blanc. Je remplis un verre d’eau que je posai entre les deux sièges avant, et me penchais sur le volant pour mieux observer le sexe de ma passagère à qui je tendis un rasoir. Elle s’en saisit, posa la tête au niveau de son capuchon, tira vers son nombril les lames qui crissaient en coupant les poils. Une première bande de peau dégagée apparaissait peu à peu ; avant de faire apparaître une seconde bande, elle rinça la tête dans le verre.

Lorsque l’intégralité de la toison située au-dessus du capuchon eut disparu, j’offris un rasoir neuf à mon épouse. Elle posa la tête à la base de sa grande lèvre droite, et tira délicatement les lames qui crissaient une nouvelle fois. Ce premier passage fit disparaître la mousse et la toison. Elle rinça la tête dans le verre, et fit un second passage sur la même zone. Lorsqu’elle en rasait la partie proche de l’anus, la base des petites lèvres jointives fut attirée vers la droite ; elles s’écartaient imperceptiblement au niveau du vagin et formaient une courbe très marquée dont le rayon augmentait au fur et à mesure que le rasoir s’approchait du capuchon.

Ma belle refit cette opération de rasage à plusieurs reprises. A chaque nouveau passage, l’écartement des petites lèvres s’accroissait. Je lui donnai un nouveau rasoir pour qu’elle dégageât la dernière partie de son pubis. Lors de l’ultime passage du rasoir sur sa grande lèvre gauche, les petites ne se recollaient plus juste au-dessus de l’anus lorsqu’elles reprenaient leur position naturelle ; l’ouverture du vagin était permanente. Je donnai à mon épouse une serviette en papier, elle essuya son pubis pour faire disparaître les ultimes petites traces de mousse.

Je caressais délicatement son bas ventre ; certaines zones étaient encore très légèrement râpeuses. Je tendis une nouvelle fois la bombe à ma belle qui fit blanchir son pubis. Elle utilisa un nouveau rasoir pour parfaire le lissage de son sexe, et une serviette propre pour le faire briller. Je fis parcourir mes doigts du nombril à l’anus, et constatai que son sexe était totalement glabre. Ses petites lèvres étaient décollées sur toute leur hauteur : tel un coquelicot au printemps, sa vulve venait d’éclore ; ses tissus muqueux étaient suffisamment souples pour que son réceptacle intime acceptât tout type pénétration. Mon érection était dorénavant significative.

Mon épouse sortit son bras par la fenêtre ouverte, et palpa à travers le pantalon le sexe du motard.

- Mon petit numéro de rasage t’a fait de l’effet apparemment, constata-t-elle.

L’inconnu retira son gant, et caressa le sexe de ma belle. Il insistait sur son clitoris qui doubla rapidement de volume. Je redémarrai la voiture ; le motard sortit son bras de l’habitacle. Durant le trajet, je proposais à ma passagère un défi :
- Si tu cries grâce avant moi lors des ébats à venir, alors tu auras un gage. Sinon, le motard et moi en aurons un !
- De quels gages parlons-nous, demanda-t-elle ?
- Le gagnant choisira, répondis-je
Nous poursuivîmes notre route jusqu’à une aire de stationnement situé sur les hauteurs du campus d’Orsay. Il était vide : la rentrée universitaire était prévue au début du mois d’octobre. Je garai notre voiture à l’angle le plus éloigné de l’entrée du parc sans toutefois couper le contact ; un écran de frondaisons nous masquait de la route d’accès. J’ouvris la portière droite pour permettre à ma passagère de descendre du véhicule ; elle retrouva une tenue vestimentaire décente quand la base de sa jupe se rajusta au niveau des mollets.

Ma belle se jeta au coup du motard qui avait déjà retiré son casque et se tenait debout contre son engin. Alors qu’elle l’embrassait fougueusement, je me glissais derrière elle pour retirer son chemisier et son soutien-gorge. Une fois torse nu, elle s’apprêtait à retirer le blouson de l’inconnu. Je lui pris la main et l’accompagnai vers notre véhicule, pour qu’elle s’assît à la place du mort. Quant à l’inconnu et moi, nous prîmes place sur la banquette arrière, lui derrière mon épouse et moi côté gauche.

Comme la boîte de vitesse de la voiture était automatique, il n’y avait pas de levier sur le large tunnel qui séparait les deux fauteuils avant.

- Assieds-toi face à nous entre les deux sièges, demandai-je à mon épouse.

Elle s’installa dos contre le tableau de bord, à cheval sur le tunnel. Sa jupe cachait ses charmes de la taille aux chevilles. Le motard s’extasia :
- Elle a une superbe poitrine !

Il avança la main et palpa le buste nu.

- Et en plus, elle est ferme, renchérit-il.

Deux masses identiques aussi volumineuses et denses que des pamplemousses de belles tailles emplissaient harmonieusement ses poches cutanées fixées de chaque côté du sternum à hauteur des aisselles. La ptose marquée de ses seins sans vergeture et leurs aréoles froissées dont les noisettes pointaient vers le haut des humérus donnaient au torse de ma belle un cachet subtil et excitant.

- Relève le dos de ta jupe pour que tes fesses soient en contact avec le tapis de sol, et pose tes pieds sur les fauteuils, ordonnai-je.

Elle obtempéra. Elle posa ses bras en croix sur le haut du tableau de bord. Comme ses chevilles extérieures reposaient sur les assises des sièges, l’avant de sa jupe pendait entre ses cuisses, et la recouvrait dorénavant de la taille aux genoux. Sous l’effet des vibrations du moteur qui tournait au ralenti, ses mollets nus vibraient.

Je déboutonnais lentement la jupe en partant de la base. Je laissai toutefois la taille du vêtement serrée autour de l’abdomen, les pans tombèrent de chaque côté du tunnel sous l’effet de la pesanteur. Mon épouse exhibait ainsi l’intégralité de ses charmes. Je demandais au motard de lui offrir un préservatif, elle s’en empara en nous interrogeant du regard.

J’avais embrayé la boîte automatique en position d’arrêt bloqué ; ainsi, le frein à main pouvait rester en position ouverte. La poignée située entre les deux dossiers avant était en position basse dans son logement intégré dans le tunnel de séparation des sièges. Je l’inclinai de quelques degrés, l’extrémité faisait face aux petites lèvres de ma belle qui comprit soudain ce que j’attendais d’elle.

Elle déchira l’enveloppe du préservatif avec ses dents, et le déroula autour de la poignée de frein en forme de cylindre dont la circonférence était légèrement plus importante que celle d’un pénis en érection. Alors qu’elle approchait ses doigts de son sexe, je lui précisai :
- Fais plonger le frein dans son sexe sans t’aider de tes mains !

Elle reposa ses bras en croix sur le tableau de bord, et avança lentement son bassin vers moi. Lorsqu’elle sentit l’extrémité de la poignée effleurer ses petites lèvres, elle fit faire à ses fesses des petits mouvements circulaires. Sa vulve s’ouvrit davantage, le frein trouva enfin l’entrée du vagin.

Comme elle ne s’était pas servie de ses doigts et que son sexe était imberbe, l’inconnu et moi observâmes la déformation de son bas-ventre sans le moindre obstacle visuel. Les grandes lèvres habituellement charnues dans leurs positions naturelles se renflaient peu à peu au fur et à mesure que la poignée disparaissait. Le capuchon s’ouvrait en V inversé, et le clitoris gonflé débordait. La progression du frein était lente ; les petites lèvres épousaient la poignée et entraient dans l’intimité de mon épouse.

Comme la pénétration était délicate, ma belle l’interrompit plusieurs fois avant de la reprendre. Parfois, elle faisait même ressortir légèrement la poignée de son sexe dont les muqueuses vaginales adhéraient au préservatif. Sa vulve prenait du relief : la partie proche de son vagin qui enserrait le frein dépassait légèrement ses grandes lèvres. Mon érection atteignit son point culminant ; quant au motard, il avait glissé une main de son pantalon.

Après quelques allers-retours du bassin, la poignée dont la garde touchait la vulve disparut sur plus de quinze centimètres. Je déboutonnais la taille de la jupe que je jetai sur la planche arrière. D’harmonieux bourrelets abdominaux apparurent, mon épouse était répandue devant l’inconnu et moi. J’espérais que ce futur amant saurait se retenir d’éjaculer, mais rien n’était moins sûr.

La faible vitesse de rotation du moteur provoquait des vibrations que le frein transmettait au corps de ma belle, dont les seins remuaient en cadence. Elle relevait parfois son menton, et retenait sa respiration pendant plusieurs secondes. Je choisis l’un de ces instants où elle ne me regardait plus pour m’emparer du balai et le glisser au-dessus du dossier devant moi. J’appuyais la tête sur l’accélérateur, la vitesse de rotation du moteur s’emballa au point que mon épouse émit un cri de surprise et fit sortir brusquement le frein de son orifice intime en reculant violemment.

Je la laissai reprendre son souffle et ses esprits pendant quelques secondes. Puis je demandai au motard de lui tendre un nouveau préservatif. Elle remplaça celui qui gainait la poignée de frein qu’elle fit pénétrer une nouvelle fois dans sexe. J’appuyais la tête de balai à plusieurs reprises sur l’accélérateur, plusieurs orgasmes impressionnants parcoururent son corps. De violents spasmes brutaux et incontrôlés agitèrent son tronc, au point que ses fesses reculèrent d’un coup pour faire sortir l’objet de son vagin, et que ses seins remuèrent dans toutes les directions. Elle poussa plusieurs cris stridents, puis reprit son souffle en pétrissant sa poitrine d’une main et en ajustant ses petites lèvres largement décollées de l’autre.

Une fois calmée, elle reprit sa position bras en croix alors que sa respiration devenait presque normale. Entre ses cuisses largement ouvertes, elle nous montrait son vagin béant dont suintaient d’infimes sécrétions et que quelques contractions fermèrent à plusieurs reprises.

- Je suis toujours en manque, précisa-t-elle.
- Surprends-nous encore, répondis-je.

Elle avança une nouvelle fois son bassin vers nous, en relevant ses fesses de quelques centimètres. Lorsque son anus se présenta à la poignée recouverte du préservatif lubrifié, il s’ouvrit d’un coup. Elle jeta son corps vers l’avant, le frein disparut en moins d’une seconde. Ses seins bougèrent une nouvelle fois au rythme des rotations du moteur. Elle nous présentait de haut en bas son clitoris gonflé, sa vulve découverte entre ses petites lèvres décollées, ses deux orifices intimes grand ouverts dont le plus proche du sol était rempli. Les traits de son visage se durcirent, et sa bouche s’ouvrit en cul-de-poule. Pour amplifier son plaisir, elle agitait ses fesses pour que l’objet vibrant qui la comblait excitât ses zones érogènes internes.

J’attendis quelques minutes avant de d’appuyer à nouveau plusieurs fois sur l’accélérateur avec la tête du balai. De nouveaux spasmes orgasmiques ébranlèrent le corps de ma belle qui s’efforça de conserver la poignée en elle. Ses cris d’extase devenaient petit à petit plus stridents ; comme les fenêtres étaient ouvertes, ils étaient très certainement audibles sur plusieurs centaines de mètres : elle était dans un état second, et se moquait apparemment éperdument d’être surprise intégralement nue en pleine action.

Elle fit sortir la poignée de longues minutes plus tard, alors qu’un nouveau spasme plus violent que les précédents agita son corps. Elle resta répandue devant nous un long moment pour reprendre ses esprits. J’en profitais pour récupérer le balai dont je dévissais la tête du manche. Je sortis du véhicule, ouvris la portière avant gauche pour couper le contact et aider ma belle à sortir. Je la guidais vers l’angle de l’aire de stationnement, sa démarche était si chancelante que nous mîmes plusieurs minutes à parcourir moins de dix mètres. Le motard nous suivit.

Une clôture à larges mailles délimitait le parc sur tout son périmètre. Le poteau d’angle était renforcé. Je fis grimper mon épouse face à moi et dos au grillage, elle y callait solidement les pointes de ses escarpins à environ cinquante centimètres du sol ; l’angle entre son corps et la clôture mesurait approximativement quarante-cinq degrés. Je m’agenouillai devant elle, et embrassai son bas-ventre juste au-dessus du capuchon. Je descendis légèrement mes lèvres et suçai son clitoris au goût aigre-doux. J’entendais ma belle gémir faiblement ; je poursuivis mon cunnilingus en mordillant d’abord ses petites lèvres, en glissant ma langue dans sa vulve ensuite. Après quelques longues minutes, je me faufilais entre ses jambes et me glissais dans l’espace confiné situé entre son corps et la clôture.

L’inconnu prit le relai ; il aspirait bruyamment pour attirer sa vulve dans sa bouche et faire pénétrer sa langue dans son vagin. Quant à moi, je glissai le manche à balai dans les mailles de la clôture derrière le dos de mon épouse au niveau des hautes vertèbres lombaires. Une fois le coït buccal achevé, j’incitai ma belle à fléchir ses genoux ; lorsque sa nuque atteignit la perche, elle enroula ses bras autour et agrippa le grillage de ses doigts. Je m’installai alors devant elle pour l’observer de face ; le sillon qui séparait ses seins s’était accentué, et ses petites lèvres ouvertes que je titillais pour les faire balancer pendaient sous son bas-ventre entre ses muscles abducteurs. Les rapports sexuels intenses qu’elle avait eus lors de l’acte d’amour avec la voiture expliquaient ses pas approximatifs, les noisettes proéminentes et provocantes de ses aréoles, se vulve ouverte prête à accueillir des pénétrations au plus profond d’elle-même.

Le motard se glissa à son tour derrière elle ; je m’y collais, ma braguette frottait contre son capuchon.

- Découvre ton sexe, demanda-t-elle. Je veux sentir ta verge contre mon aine.

Alors que je me dévêtais de la taille aux chevilles, je vis entre les jambes de mon épouse l’inconnu qui avait déjà baissé pantalon et caleçon ; il coiffait son pénis d’un préservatif. Je me plaquai une nouvelle fois contre le corps de ma belle et passai mes bras derrière son dos pour l’attirer vers moi. Elle frottait vigoureusement son bas-ventre contre mon sexe. Mon excitation atteignait son paroxysme.

Soudain, ma belle écarquilla ses yeux et ouvrit sa bouche pour inspirer une grande bouffée d’air. Après l’avoir expirée, elle m’expliqua à voix basse :
- Il est en moi !
- N’est-ce pas ce que tu cherchais, demandai-je ?
- Bien sûr, répondit-elle haletante tout en balançant son bassin. Mais habituellement, j’observe attentivement le sexe nu de mes conquêtes, puis je joue avec avant de me faire pénétrer.

Les mouvements de son ventre s’accélérèrent, la pression de son mont de Vénus qui frottait ma verge était de plus en plus intense, et la langue fouillait ma bouche lors de longs baisers langoureux. Et après quelques courtes minutes, j’entendis le motard râler longuement ; ce que je craignais arriva : il éjacula avant que notre partenaire atteignît un nouveau Nirvana bien mérité.

Elle cessa baisers et frottements ; je lus sur son visage sa déception, et entendis des bruits d’élastique : l’inconnu libérait son sexe du préservatif plein ; après quelques secondes, son érection était revenue à son apogée, il fit entrer son pénis dans une protection neuve. Lorsqu’il pénétra de nouveau mon épouse, son visage s’éclaira d’un sourire éblouissant. Avant de gober ma bouche une nouvelle fois, elle précisa doucement :
- Il y a de la place pour deux !

Je la pénétrais délicatement ; le motard et moi remuèrent ensuite nos fesses pour tenter de la satisfaire au mieux.

- Je vous en prie, synchronisez-vous, supplia-t-elle !

Nous arrêtâmes donc nos mouvements de bassin, tout en restant ancrés en elle. Puis nous rentrâmes nos fesses simultanément avant de nous cambrer. Ainsi, en répétant ces mouvements, nous la pénétrions aux mêmes instants jusqu’au tréfonds de ses entrailles.

- Palpez mes fesses et mes seins, exigea-t-elle.

Je fis entrer mes phalanges dans les parties charnues situées sous son coccyx, et le motard les siennes dans sa poitrine. Ma belle commença à gémir, sa respiration s’accéléra. Lorsqu’elle atteignit l’orgasme, je lâchai une grande quantité de semences. Le motard m’imita quelques secondes plus tard en râlant une nouvelle fois. Lorsque nous sortîmes de l’intimé de mon épouse, elle déroula ses bras de la perche, et posa ses pieds sur le sol.

Elle récupéra le manche à balai, prit le motard par la main et nous accompagna à la voiture. Elle l’installa à la place du mort et lui retira son polo. Elle récupéra la tête de balai qu’elle vissa au manche, s’installa ensuite au volant, démarra le moteur, prit place sur le tunnel de séparation des deux sièges avant, posa le balai sur le dossier du conducteur avec la tête contre la pédale d’accélérateur. Quant à moi, je m’asseyais au centre de la banquette arrière en lui montrant ostensiblement mon importante érection.

- Je suis en transe, précisa mon épouse.

Elle arracha le préservatif qui enserrait la poignée de frein.

- Donnez m’en un nouveau, exigea-t-elle !

Le motard s’exécuta. Elle arracha violemment l’enveloppe, et déroula d’un geste précis le latex autour du manche. Elle posa ses bras en croix sur le tableau de bord et émit un geignement étouffé lorsqu’elle avança d’un coup son bassin pour faire une nouvelle fois pénétrer le frein dans son sexe. Sa poitrine se mit à vibrer de nouveau.

Alors qu’elle éprouvait évidemment du plaisir en se dandinant autour de la poignée, elle se mit à jouer de sa main droite avec le sexe de l’inconnu. Elle alternait les caresses de la verge dans son poing fermé, les roulements des testicules dans sa paume, les pressions des phalanges à la base des bourses juste au-dessus de l’anus. Elle provoqua l’éjaculation quelques minutes plus tard.

Comme la nuit tombait, j’allumai les plafonniers. Ma belle se libéra du frein et s’agenouilla sur le siège du conducteur. Elle se pencha pour pratiquer une fellation à l’inconnu. Ses seins ballotaient au-dessus du tunnel, je les palpais longuement et en pinçais les aréoles pour les froisser davantage et rétrécir leurs diamètres, alors qu’elle aspirait le sperme étalé sur le ventre de l’inconnu : elle mit un long moment pour nettoyer l’abdomen et les parties génitales.

Elle s’assit une fois encore sur le tunnel et fit pénétrer le frein dans son anus. Pour augmenter son plaisir, elle se saisit du manche à balai pour enfoncer plusieurs fois l’accélérateur tout en caressant fébrilement la verge du motard dans son poing serré. Elle ne s’occupait plus de moi : elle n’avait d’yeux que pour son amant éphémère. Je fus d’un coup envahi d’un sentiment de jalousie, au point que je souhaitais par-dessus tout qu’elle perdît notre défi : je lui concoctais un gage plus dégradant que celui que j’avais imaginé lorsque nous avions débuté nos ébats.

Le motard éjacula une nouvelle fois ; ma belle nous incita alors à quitter la voiture en me demandant de retirer ma chemise, ce que je fis. Nous étions dorénavant intégralement nus tous les trois. Je me couchais dos dans l’herbe, elle s’assit sur moi en faisant pénétrer ma verge dans son vagin. L’inconnu se présenta debout devant elle pour qu’elle nettoyât son sexe luisant qui redevint propre quelques instants plus tard sous l’effet des fellations et léchages ; quant à moi, j’inondais les entrailles de mon épouse.

Durant l’heure qui suivit, ma belle alternait les scènes en plein air pendant lesquelles elle utilisait nos pénis pour se faire plaisir, et celles dans notre véhicule pour que le frein pénétrât ses orifices intimes. Elle finit essoufflée, répandue et affalée sur le tunnel.

- Je n’en peux plus, nous confia-t-elle !
- Veux-tu dire que tu abdiques, demandai-je ?
- Je suis prête à subir ton gage, répondit-elle. Laisse-moi quelques minutes pour récupérer !

Alors qu’elle reprenait ses esprits, le motard et moi nous rhabillâmes. Elle nous rejoignit quelques minutes plus tard, et me regarda d’un air interrogatif.

- Tu vas d’abord prendre dans ton sac à main ton nécessaire à couture de secours. Tu récupères ensuite tous les préservatifs usagés pour t’en faire un collier.

Elle enfila un long fil blanc dans le chas d’une aiguille, récupéra la trentaine protections qui gisaient dans et hors de la voiture, et les enfila telles des perles. Je récupérai ce trophée que je nouai derrière sa nuque. J’éteignis ensuite les plafonniers et coupai le contact pour faire taire le moteur. Je pris la bobine de cordelette, une paire de ciseaux dans la boîte à outils de secours et verrouillai les portières.

- Tu déambuleras nue dans certaines allées du campus, ajoutai-je.

Le motard et moi la guidâmes vers la sortie de l’aire de stationnement. Nous empruntâmes ensuite tous les trois la route qui la longeait, en passant régulièrement sous des réverbères qui nous éclairaient. Nous entendîmes au loin une voiture qui s’approchait.

- Collez-vous contre moi pour me dissimuler, supplia-t-elle.

Lorsque le véhicule nous dépassa, elle était prise en en sandwich entre le motard devant et moi derrière, et donc pratiquement invisible ; elle attirait de ses mains l’inconnu debout devant elle, j’en profitais pour lui palper la poitrine. Lorsque la route fut une nouvelle fois déserte, elle sortit de sa cachette et nous reprîmes notre marche.

Lorsque nous arrivâmes au bord de la descente abrupte qui surplombait la vallée, nous suivîmes un sentier qui nous permit d’atteindre un large chemin forestier perpendiculaire au trajet que nous suivions. Nous le suivîmes sur quelques mètres jusqu’à atteindre un banc avec l’assise orientée vers le tracé. J’installai ma belle debout fesses contre le haut du dossier et jambes très écartées. J’attachai ses chevilles aux pieds du banc, et ses poignets au dossier. Le motard déposa la boîte de préservatifs sur l’assise avant que nous nous éloignassions d’elle. Elle restait donc seule et vulnérable face à une chaussée bitumée parallèle au chemin et distante d’une vingtaine de mètres de mon épouse.

L’inconnu et moi rejoignîmes nos véhicules. Le motard s’éloigna pour regagner son domicile, alors que je conduisais vers l’endroit où j’avais attaché mon épouse. Je garai mon véhicule à environ cent mètres du banc, et m’en approchai silencieusement à pieds. Ma belle s’ébattait avec un homme assis qui avait passé ses jambes entre l’assise et le dossier ; elle se trémoussait genoux fléchis vulve contre l’aine de son partenaire qui la pénétrait profondément. Je prévoyais notre nuit en alcôve particulièrement trépidante.

Lorsque l’homme s’éloigna de mon épouse, je la rejoignis et la libérai. Je lui imposai de monter nue dans notre voiture pour rejoindre notre logis.

- Donne-moi ma culotte pour éviter que mes sécrétions et ta semence suintent le long de mes cuisses, implora-t-elle.

Je lui rendis donc son dessous, mais lui imposais de l’entrer dans son sexe. Elle fit donc le voyage dans le plus simple appareil.

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