LE MEURTRE DE L’ILE D’YEU. (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE MEURTRE DE L’ILE D’YEU. (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MEURTRE DE L’ILE D’YEU. (3/3)
Je suis venu sur l’île d’Yeu pour enquêter sur le meurtre de Jennifer femme de Ludovic ancien plongeur des commandos marines, propriétaire d’une entreprise sur le continent alors qu’avec sa femme ils avaient une magnifique villa avec vue sur la mer.
Magalie semble être celle qui a tué, mais des points de détail me font douter de sa culpabilisée.
Sa sœur aînée Noémie s’est offerte à moi pour que je la disculpe et malgré l’envie de la coucher sur le lit dans la chambre de sa sœur où nous étions, j’ai fait l’effort de refuser pour garder mon intégrité d’enquêteur et surtout pouvoir la continuer.
La vedette de la gendarmerie vient de me déposer sur le quai de Fromentine et je me rends dans la société de Ludovic.

• Bonjours monsieur, permettez-moi d'entrer ?
• Bien sûr, j’ai été prévenu que Jennifer avait été envoyée au CHU de Nantes à l'institut médical légal, y a-t-il un problème ?
• Non, il va y avoir une autopsie plus poussée que les premières constatations que nos enquêteurs ont faites, mais rien à craindre, nous pensons tenir la coupable, pouvons-nous parler en tête à tête.
• Gaëlle, rentrez chez vous, revenez demain, je vous tiendrais au courant.
• Laissez-moi votre adresse sur ce bureau madame si j’avais des questions à vous poser, vous savez depuis le temps que je fais des investigations sur des meurtres les plus évidents sont souvent les plus compliqués.

Nous passons dans son bureau, il ferme la porte, j’adore la technique de la longue laisse, faire penser que j’ai des éléments à charge et à décharge pour les uns et les autres comme le couteau enfoncé dans le thorax de sa femme qui pourrait avoir été enfoncée plus par un professionnel du crime que par une frêle jeune fille.
Sans oublié les propos d’ivrogne de Léon sur une femme rousse amante du mari.

• Monsieur Ludovic, saviez-vous que votre femme avait une liaison avec la petite Mélanie avant sa mort.
• Grand dieu non, apprendre alors que son corps est froid que sa femme est une gouine, pensez bien que si je l’avais su.
• Qu’auriez-vous fait ?
• Je l’aurais éloigné et j’aurais redoublé de prévenance pour qu’elle revienne dans le droit chemin.
• Pour vous avoir des rapports sexuels féminins est une déviation du droit chemin.
• J’ai fait dix ans de commandos, chez nous une femme est une femme et doit se contenter de se faire baiser par la verge de son mari, vous me faites m’emporter dois-je appeler mon avocat, me mettez-vous en examen ?
• Excusez c’est ma faute, pour décontracter l’atmosphère peut nous visiter votre entreprise, étudier les algues doit être passionnant.

La laisse fonctionne, il est devenu trop rapidement virulent, heureusement qu’il a un alibi en béton, il deviendrait mon premier suspect, c’est à ce moment que mon portable sonne, c’est un mail de Charles.

« Je te confirme pour le couteau, la lame est bien entrée portée par une personne gauchère or les empreintes montrent un pouce de main droite sur le manche, j’ai fait vérifier la suspecte est droitière, il va falloir aller voir si le mari est gauché, sinon l’île est petite, il y a peut-être d’autres gauché qui auraient pu avoir des rapports avec la défunte. » « Autre chose, je te confirme le meurtre entre 1 heure et 2 heures comme je te l’avais dit. »
Je lui réponds.

« Je m’occupe du mari. »
Bien sûr, le mari est près de moi.

• Allons-y, par quoi commençons-nous ?
• Le plus intéressant, la salle de démultiplication des algues, nous allons les chercher en mer et nous les faisons proliférer ici, nous travaillons pour l’agriculture, broyé ce sera un très bon engrais.

Nous quittons la pièce, du coin de l’œil je le surveille, il prend la poignée de la main gauche.
Tous le long de la visite, il me confirme que j’ai bien un gauché avec moi, cela limite la possibilité d’un comparse, car deux gauchés dans un même meurtre, les probabilités sont faibles, mais comment le mari a pu être sur l’île la nuit entre 1 et 2 heures ?

• Et derrière cette porte ?
• Rien d’intéressant, c’est le matériel de plongée.
• J’ai fait un peu de plonger, faites-moi voir, le matériel dont vous vous servez il doit être sacrément sophistiqué.
• La salle est en désordre.

J’avance ma main et j’ouvre.

• L’un de vos employés a dû faire du ménage, c’est nickel.
• Oui, je suis surpris.
• Vous avez combien de temps d’autonomie avec vos appareils ?
• Trois heures à 10 mètres, mais les personnes entraînées comme je l’ai été dans les commandos, j’arrive à tenir 4 heures en contrôlant ma respiration.
• Et cela, c’est drôle, on dirait une torpille.
• C’est un seascooter, dérivé des tracteurs des mers que nous avions dans les commandos ou à deux nous pouvions aller à bonne vitesse, à 100 mètres de profondeur.
• Et à quelle vitesse fonctionnent ces petits engins ?
• Sept kilomètres heures pour les plus rapides avec une autonomie de 90 minutes, c’est un moteur électrique, regardez, il est en charge.
Je vous vois venir, vous allez penser qu’avec un tel engin j’aurais pu aller sur l’île sous la mer pour éviter les vagues de la tempête, dommage pas assez d’autonomie, il va vous falloir vous contenter de votre suspect actuel, elle était sur l’île.

Je garde pour moi les renseignements concernant le couteau, toujours la longue laisse, il est tellement imbu de sa personne qu’il me met sur une piste, sa piste surtout depuis que j’ai la certitude que Gaëlle sa secrétaire rousse est sa maîtresse.

• C’était sympa, je vous libère, vous rentrer chez vous.
• Non, je dors ici, je crois que je vais mettre en vente ma villa, il me serait impossible de dormir dans cette chambre où j’ai été heureux et où elle est morte.
• A oui, je vais chercher l’adresse de votre secrétaire.

Je le quitte et fidèle à mes habitudes je vais vers le port trouver un hôtel, je ferais une note de frais.
J’arrive devant la porte d’un hôtel quand mon portable sonne.

• Laurent, c’est encore moi.
• Oui, Charles.
• Une autre nouvelle, la société et la villa sont au nom de la femme de Ludovic, il est fauché, c’est elle qui avait la fortune sans parents et descendance, il est le seul héritier.
• Cela donne un bon motif pour un meurtre, de mon côté j’ai vérifié cela été facile j’étais avec lui quand tu as appelé, il se sert toujours de sa main gauche, je lui ai fait remarquer pour voir sa réaction, il m’a dit que c’était la main du cœur qui était à gauche chez l’homme.

Je m’installe dans ma chambre, je prends mon bloc et je trace les liens entre les personnages en partant du cadavre, chaque fois, les traits relient le mari, mais comment peut-on résister aux éléments s’il l’a fait, ce trait là me manque.
J’ai dû dormir, l’air du large, les allées retours en embarcation, je me lève et vais à ma fenêtre, c’est là que la chance m’ayant toujours servi dans mes enquêtes me rattrape, je vois un 4x4 rouge passer.
J’ai vu le même dans la cour de l’entreprise de Ludovic, il met son clignotant à droite et s’engage sur la route qui mène sur le pont de l’île de Noirmoutier.

• Bonsoir sergent pouvez-vous m’apporter un véhicule de service à l’hôtel du port de Florentine.
Une Clio sans problème du moment qu’elle roule et que le plein est fait.

Le temps de remettre mes vêtements et la voiture est là.

• Merci sergent voulez-vous que je vous ramène ?
Je vois, votre collège vous a suivi, alors bonne nuit.

Je traverse le pont la voiture est souffreteuse, mais le principal, c’est qu’elle roule.
Je traverse la ville de Noirmoutier et d’un coup je vois le 4x4 garé près d’une cabane d’ostréiculteur.
De la lumière sort d’une fenêtre, après m’être garé à bonne distance tel un chat j’arrive sur l’arrière de la cabane et je jette un œil à l’intérieur.
Ils sont là couchés sur un matelas, nus tous les deux, Ludovic prend Gaëlle en levrette et s’active en serrant les hanches de sa secrétaire rousse jusqu'aux poils de sa chatte non rasé, une première pièce du puzzle se met en place, ils sont bien amants.
La deuxième est sous mes yeux, flottant sur l’eau entrant dans le local formant une cache formidable pour l’engin qui doit valoir les yeux de la tête, Ludovic semble posséder un petit sous-marin.
La chance a voulu que la petite Mélodie essaye de sauver sa maîtresse en enlevant le couteau, mais là manque de bol, le coup a été asséné avec une main gauche dont il se sert tout le temps, Ludovic ou Mélanie ?
Pendant ce temps, il a changé de position et il la prend alors qu’elle a une jambe en l’air et qu’il est placé derrière son dos.
Je les laisse baiser tranquillement tout en restant à les surveiller non pas, car je suis voyeur, mais il m’est impossible de faire intervenir les collèges avant le lever du jour et je veux éviter qu’une fois ses couilles vidées, il aille couler son sous-marin au large cachant la preuve de son méfait avec la possibilité de le récupérer plus tard en le tirant vers la surface.
Sans compter que c’est certainement la dernière fois qu’ils baisent tous les deux avant longtemps, en prison ils peuvent finir homo ou lesbienne ce qui me fait marrer quand je repense à ce qu’il m’a dit sur la place des femmes dans la société.
On en a connu des machos comme lui qui se sont fait défoncer la rondelle par deux ou trois balaises, leur faisant pousser les cheveux pour qu’elles deviennent de vraies tantouses.
Quand il a éjaculé, je la vois se blottir dans ses bras comme le font toutes femmes amoureuses alors qu'il semble lointain comme étranger, toujours cette impression de froideur intérieure.

• Ludovic j’ai peur de ce gendarme qui enquête et qui est venu te voir cet après-midi, j'ai la certitude qu'il va découvrir ton plan et je vais aller en prison.
• Aucune crainte, je l’ai endormie avec le matériel qui est dans le local de plongée, il est reparti très satisfait des réponses que je lui aie faites comment peut-il découvrir que j’ai un mini sous-marin ?

La longue laisse a fonctionné, le nœud coulant vient de se refermer autour de son cou et je suis certain au moment où je les voie partir, elle a pied, lui dans son véhicule qu’elle va s’écraser comme une merde dès que je vais la cuisiner un peu, même en présence de son avocat, comme il est dit dans un jeu à la télé, elle est « le maillon faible » du duo.

Dans la matinée le couple est appréhendé et conduit dans les locaux de la gendarmerie, comme je le supputais Gaëlle en pleure s’allonge sur les projets de son amant depuis l’été ou il avait décidé de supprimer sa femme.
C’est la morte qui a offert le sous-marin à son mari à sa demande sous couvert de faire progresser leur société et qui n’avait plus qu’à attendre une grosse tempête arrêtant le trafic entre le continent et l’île pour s'y rendre par le fond de la mer moins impacté par la grosseur des vagues, elle lui a acheté le joujou qui l’a tuée.
Dès cet été, il a simulé un pseudo cambriolage pour découper une vitre, porter plainte et bien sûr oublié de réparer ce qui lui a permis en venant de la plage en petite fouler de rentrer le plus vite possible si quelqu’un avait essayé de le joindre et de se retrouver dans la chambre ou sa femme dormait.
Il a pris le couteau qu’il avait placé là en faisant voir à la vue de tous que c’était grâce à lui que sa vie avait été sauvée quand il s’est prétendument pris dans des algues.
Là une faute, il a enlevé le drap qui couvrait sa femme pour bien viser le cœur, mais elle s’est réveillée, il a dû lui sauter dessus s’assayant à la hauteur de sa chatte obligée de lui bloquer les mains dans sa droite au-dessus de sa tête.
Il a pris son couteau de la gauche et a frappé là où il avait appris à le faire, 007 avait par ses chiffres un permis de tuer, dans les commandos marines lors d’interventions spéciales il avait ce rang, cela m’a été confirmé par le responsable du centre de commandos marines actuel.
Il avait prévu de frapper en tenant son couteau à deux mains, ce qui dans son ancien job ne se faisait jamais, le naturel est revenu et il a frappé précisément entre ses côtes, on connaît l’erreur faîte par Mélanie en touchant le couteau, mais par chance pour elle et pour moi en le prenant par sa main droite.
Circonstance aggravante qui va certainement remettre rapidement la pauvre Gaëlle dans le circuit des femmes à baiser ayant été un jouet car son rôle était principalement de le récupérer à la sortie du bateau quand il s’est fait voir sur le quai sachant d’avance que la navette était supprimée pour qu’elle l’emmène jusqu’à la cabane d’ostréiculteur qu’elle avait loué à son nom pour brouiller les pistes.
Il la voyait au travail, mais il la baisait dans la cabane évitant d’aller chez elle qui habitait à Noirmoutier dans une maison qu’elle louait.
Quant au sous-marin, elle nous indique qu’il avait décidé de le mettre réellement en service vu qu’il valait presque 500 000 €.
De son côté il nous avoue que lorsque tous seraient rentré dans l’ordre il avait décidé de l’éliminer la trouvant trop conne pour rester avec lui, elle devait tomber dans l’emplacement ou en ce moment le sous-marin est caché, il devait le faire à marée haute ce qu’il l’aurait aidé à la noyer.
Il devait lui donner rendez-vous pour une petite partie de jambes en l’air arrivé de sa société un dimanche en scaphandre, la noyer et retourner ranger son matériel, ni vu ni connu, son plan était parfait, car préalablement il devait vider le local de toutes traces de ses frasques avec elle, genre matelas.

• Noémie, ta chatte est-elle toujours à ma disposition ?
• Je viens de voir arriver la navette sans ma sœur, pourquoi viendrais-je te rejoindre.
• Regarde la vedette de la gendarmerie qui doit suivre, qui vois-tu à la proue.
• Mélanie, merci.
• Amène ta vulve que tu m’offrais il y a peu, la vedette va t’amener à Fromentine je suis à l’hôtel du Port, chambre 12, as-tu des bombes de chantilly ?
• Trois, pourquoi ?
• Amène-les j’adore en manger sur le ventre de ma femme.

La communication se coupe, je vois dans ma tête Noémie embrasser Mélanie, monter sur la vedette et passer le long du bateau de Léon qui doit se tenir au garde à vous.

• Entre, viens dans mes bras.

À partir de ce moment et pendant trois jours, je lui prends sa chatte épilée dans toutes les positions, celle que je vais épouser s’avère être une sacrée cochonne voire salope devançant mes moindres désirs.
Trois jours sans sortir manquant de chantilly pendant presque deux jours, ses seins, sa moule, ma bite, sont souvent couvert pour notre plus grand plaisir gustatif.
En ce moment je lui mets un doigt dans la rosette jusqu’à maintenant elle me refusait de la sodomiser, mais là elle a les jambes au-dessus de sa tête et vient de me prendre en main me plaçant ou il me suffit de pousser pour lui prendre l’anus, c’est avec délice que j’entre dans sa petite grotte qui m’enserre divinement.

• Noémie veux-tu m’épouser, le 31 décembre j’ai fini mon contrat avec la gendarmerie, avant de te rencontrer, je pensais rempiler pour cinq ans, mais je me verrais bien tenir une auberge sur le port de l’île d’Yeu entouré de nos enfants.
Dernière chose, après t’avoir épousé en juillet, je t’emmènerais à Tahiti en voyage de noces où j’ai un ami qui sera enchanté de me revoir et voir la divine femme qui est la mienne.

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Texte coquin : LE MEURTRE DE L’ILE D’YEU. (3/3)
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