Les aventures de Cayla : La documentaliste

- Par l'auteur HDS Cayylaaa -
Récit érotique écrit par Cayylaaa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Les aventures de Cayla : La documentaliste Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Les aventures de Cayla : La documentaliste
J'aimerais partager avec vous l'expérience que j'ai vécu l'année dernière.

J'entamais ma dernière année au lycée dans l'un des plus réputé de la capital. Nous étions encore dans le courant du mois d'octobre quand j'ai entendu parlé d'une aide pour élèves de terminal en difficulté apportée par mademoiselle Paul, la documentaliste. MademoisellePaul ne répondait en rien aux stéréotypes que l'on pourrait se faire de la documentaliste dans un lycée, bien au contraire. C'était une jeune femme âgée de la trentaine, avec de long cheveux lisse blond qui tombaient en cascade dans son dos et de grands yeux verts. Il fallait avouer que c'était une très jolie femme.
J'avais donc décidé de me renseigner un peu plus sur l'aide que la documentaliste pouvait m'apporter. Un mardi, lors de ma pause déjeuner, je me rendais au CDI que je trouvais vide à ma grande surprise, lui qui ne désemplissait jamais -bien que je n'y soit pas allée souvent. Je m'aventurais dans la pièce et me postais devant le grand bureau où bon nombre de livre était éparpillé. Je jetais un rapide coup d'œil aux couvertures lorsque l'une d'entre elle attira mon attention, caché sous un livre de sciences humaines. Je regardais brièvement autour de moi pour m'assurer d'être seule et je posais mon sac par terre avant d'attraper le livre que j'avais repéré. C'était en réalité d'un magazine, mais pas n'importe lequel, un magazine coquin. Je commençais à le feuilleter et je constatais avec excitation une page consacré aux positions entre femme. J'inspectais les dessins avec attention pendant que mon bas ventre commençait à me tirailler. « Tu as besoin d'aide ? » Je sursautais en entendant la voix féminine de mademoiselle Paul. Je me retournais, tentant de caché la revue coquine du mieux que je pouvais derrière mon dos tout en ayant l'air normal. « Oui, je vous cherchais justement.Je voulais avoir des renseignement sur l'aide que vous apporter aux élèves de terminal ES. » Je parlais rapidement tandis que la documentaliste faisait le tour de son bureau pour déposer quelques livres sur celui ci.
« Oh je vois ! Et bien je peux te proposer des cours de soutient pour les mathématiques, les SES, et la philosophie. Ils auront lieu le mardi et le vendredi à partir de 18h. » Le sourire aux lèvres, elle m'informa ensuite des différents points qu'elle ciblait dans le soutient. J'acquiesçais d'un mouvement de la tête à chaque parole qui sortait de sa bouche sans réellement faire attention. J'étais plutôt plongée dans mes pensées lointaine. Que faisait-elle avec une revue coquine pour femme sur son lieu de travail ? Mais avant je me demander si elle était vraiment à elle. Je n'eus pas le temps de me poser plus de question que la sonnerie annonçant la reprise des cours retentissait. Je la remerciais et la saluais validant notre rendez vous de vendredi. J'attrapais mon sac et cachais la revue du mieux que je pouvais derrière celui ci puis je sortais du CDI me dirigeant vers la salle de mon prochain cours. Le soir même, lorsque toute ma famille fut couché, je ne pus résister à l'envie de feuilleter d'avantage le magazine dans mon sac. Plus les pages passait plus j'en apprenait sur le plaisir lesbien et je ne pus m'empêcher de finir avec ma main dans ma culotte lorsque je lisais l'un des témoignages d'une lectrice.
Le vendredi, je me présentais au CDI comme convenus. Aucun de mes camarades de classes n'était là, seulement de vieille connaissance de la classe de seconde et d'autres inconnus. Nous étions environ une dizaine à attendre lorsque Mademoiselle Paul arrivaen trottinant s'excusant de son retard, elle nous fit entré et nous demanda de nous installé un par table et d'inscrire notre prénom sur une feuille de papier . Je soupirais à cette initiative. J'avais l'impression de me retrouvé lors de mes années collège. Elle nous donna rapidement une séries exercices de mathématique à effectuer. Mademoiselle Paul circulait entre les tables s'accoudant sur celle ci, elle offrait ses fesses ferme et rebondit au regard pervers des garçons se trouvant au cour. Ceci dit je ne pouvais moi non plus détaché mon regard de ce cul magnifiquement moulé dans son pantalon blanc serrée. Je me surprenais même à me mordre la lèvre en tentant d'imaginer la couleur de son string. Soudain, elle me sortit brutalement de ma rêverie quand elle posa ses coudes sur ma table. « Alors Joyce, tu t'en sors ? » Sa voix mélodieuse me demanda avec prévenance. Je basculais mon regard vers elle et me retrouvais face à sa poitrine généreuse qui semblait prête à sortir de son débardeur. Je me léchais les lèvres en sentant mon string se mouiller. « Plus où moins. » Répondis-je en plantant mon regard bleu dans le sien. Elle m'offrit un sourire et attrapa une chaise pour s'asseoir près de moi. La documentaliste commença à m'expliquer mais mon attention était porté sur tout autre chose que son exercice de maths. « Tu vois c'est simple au fond ! » Elle s'exclama en souriant et se redressa rapidement, emportant sa généreuse poitrine avec elle. Cependant elle se rebaissa vers mon oreille.
« Tu resteras à la fin du cour je dois te parler. » Intriguais par sa futur révélation, je me contentais de ranger mes affaires silencieusement alors que tout les autres quitté peu à peu le CDI.
Mon sac sur l'épaule, je m'approchais du bureau bien en ordre comparait à la dernière fois que je suis venu. « Vous vouliez me voir mademoiselle? » Entamais-je. Celle ci se leva de son siège devant son ordinateur et alla vérifier que tout le monde s'en était allé. « Ta lecture a été bonne ? » Me demanda-t-elle finalement un brin de malice dans les yeux. « Ma lecture ? » J'avalais difficilement ma salive. « Enfin Joyce, mardi tu es bien reparti avec mon magazine ! J'espère au moins qu'il t'a appris des choses. » Plus elle parlait plus elle s'approchait de moi dans une démarche sexy. Je demeurais immobile tout en observant cette magnifique créature qui se collait bientôt à moi. Elle n'était guère plus grande que moi, seulement cinq centimètres de plus peut être. « Alors il t'a plu ? » Elle me relançait à nouveaux. Timidement j'acquiesçais en hochant doucement la tête, je ne quittais pas ses yeux vert du regard. Elle m'adressa un large sourire en me frottant l'épaule tendrement de sa main manucuré. « Tu sais, je t'ai observé durant la totalité de l'aide ce soir, et j'ai été forcée de constater que tu avais une forte capacité à te déconcentré très vite. » Elle continuait ses caresses tandis qu'elle me forçait à lâcher mon sac de sa main libre. « Ah bon ? » Je commençais à chauffer sérieusement. Elle acquiesce d'unpetit bruit qui se rapprochait d'un gémissement. J'étais désormais à peu près sur de ce qu'elle désirait et je ne pouvais mentir sur le fait que je le désirais également. Mon entre jambe était littéralement en feu, je gardais les cuisses serrées afin de ne pas laisser s'échapper le flot de mouille. Je me demandais quand est ce qu'elle se déciderait à m'embrasser ou du moins passer à l'action. J'en avais terriblement envie. Mon regard toujours planté dans le sien, elle laissa sa main glissait le long de ma poitrine me coupant le souffle l'espace d'un instant. Mademoiselle Paul m'offrit un clin d'œil tout en retournant derrière son bureau me laissant là, frustrée et la moule ruisselante . « Bonne soirée et bon week end Joyce. » Elle disait d'une voix aguicheuse et mielleuse. Ce soir là je quittais lelycée énervée et excitée. Heureusement, mes parents étaient partis en voyage d'affaire, je me retrouvais donc seule à la maison pour le week-end et certainement jusqu'à la semaine prochaine.
Une fois chez moi, je balançais mon sac dans l'entrée avant de monter dans ma chambre, j'avais l'impression de devenir folle tellement je ressentais le besoin de me soulagé. J'enlevais à la hâte mes chaussures ainsi que le reste de mes vêtements, me laissant en sous-vêtement dans ma chambre face au miroir. Je n'avais jamais été attiré par les filles, au contraire, je ne me voyais pas être baisé autrement qu'avec une bite dans le con. Et pourtant aujourd'hui je ressentais l'envie de goûter aux plaisirs saphique. Je prenais place sur mon lit les jambes largement ouverte. Je commençais par malaxer mes seins à travers mon soutient gorge seulement je me torturais inutilement puisque tout ce que je voulais c'était m'astiquer le clitoris. J'enlevais alors mes deux derniers vêtements et je laissais ma main droite se perdre sur mon pubis lisse où une bosse dure séparées les deux lèvres. J'étais complètement trempé. De mon autres mains je pinçais tour à tour mes tétons qui pointaient au milieu de mes globes mesurant un bon 90 C. Ma main gauche caressait doucement mon clitoris déjà hyper-sensible. Mes doigts trempés de mouilles laisser entendre des bruits de succion alors que branler seulement mon clitoris. Je commençais à gémir sous le plaisir que me procurait mes doigts. Je me mis alors à fantasmer pour la première fois sur mademoiselle Paul. Je l'imaginais là, en face de moi me regardant me soulagé tandis qu'elle observait ma chatte béhante grande ouverte offerte pour elle. Elle s'approche son sourire de fausse vierge effarouché collé aux lèvres, ses lèvres qui mangeront bientôt mon abricot juteux. Oh oui. Je rentrais un doigt dans mon puits et un deuxième suivit le premier. Je hurlais mon plaisir tandis que dans mon fantasme mademoiselle Paul se jetait sur mes lèvres intimes, elle dévorait ma moule. Hummm elle aimait ça cette salope, elle me léchait goulûment mon jus de haut en bas tout en me regardant ce qui rendait cette instant terriblement érotique. Puis comme défié, elle mordait mon clito avec fougue tout en suçant ce dernier comme elle suçait autrefois le tétons de sa mère. Je retirais mes doigts de ma chatte et les portait à ma bouche en léchant et suçant mon jus. J'imaginais que c'était celui de mademoiselle Paul. Mais je ne m'imaginais pas encore lui donner du plaisir, je voulais mon orgasme. d'abord. Le souffle haletant et les gémissements encore présent de mon naissant, je cherchais dans ma table de nuit mon gode d'un diamètre raisonnable, environ 3-4 centimètres. Je le prenais dans ma bouche, le suçant comme je l'aurais fais avec une vrai queue, je le poussais jusqu'au fond de ma gorge pour le ressortir avec un long filet de bave. Je me sentais vraiment comme une salope. Ma bave coulant sur mes seins et je l'étalais m'imaginant étalant du sperme sur ma poitrine. Je plaçais le gode à mon entrée, faisant coulisser le long de ma vulve ouverte le gland de la fausse bite en plastique, je remontais ensuite sur le clitoris autour duquel je le faisais tourner. Je baisse le gland jusqu'à ce qu'il se trouve en face de mon troue et je l'enfonce lentement en gémissant de plaisir. Je le rentre entièrement dans la moule déjà bien défoncé par mes aventures précédente, je ne tarde pas à le faire aller et venir à un rythme soutenue et rapide tandis que quand je ferme les yeux c'est mademoiselle Paul qui me défonce la chatte. Je hurle de plaisir quand je rajoute deux doigts sur le clitoris afin de le branler. Mademoiselle Paul me ramone la chatte avec amour. « Tu aimes ça hein. » « Oh ouiiiii , plus fort hummm c'est bon ! » J'accélèreencore le rythme de la pénétration comme si c'était possible et je sens enfin mon orgasme sur le point d'éclater alors je laisse mon clito afin de cracher sur mes seins et d'étaler ce mélange de bave et de mouille sur les seins. Je sens mon vagin se contracté et j'enlève le gode afin de laisser plusieurs jet de mouille s'échapper de ma moule. Mon souffle saccadé se mêle à mes gémissements. Je retombe pantelante et sans force sur mon lit le gode toujours dans la main. Je ne le laisse pas plus longtemps sans attention et je l'enfonce dans ma bouche de me délectant de mon jus tandis que mes cuisses toujours ouverte accueille ma main qui caresse doucement ma chatte magnifiquement maltraité. Le gode quitte mes lèvres et je le balade partout sur ma poitrine mouillé avant de le laisser glisser sur mon corps. Les paupières lourde je m'endors les jambes écartés en pensant à la documentalite.

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