Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Nos dix-huit ans. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Nos dix-huit ans. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Nos dix-huit ans. (1/1)
13 juillet, dans quelques jours, je vais avoir dix-huit ans, je suis une jolie petite blonde avec des seins que j’aime mettre en valeur.
Au lycée on m’appelle « l’allumeuse » étant toujours vierge avec des tenues faisant bander tous les garçons.
Depuis nos petites classes Ondine, Vivian et Olivier sont comme les trois doigts d’une main.
Ondine, c’est moi, 1m76, blonde pour 70 kilos, Vivian fils des voisins de mes parents 1m80, aujourd’hui 85 kilos luttant de façon récurrente contre son embonpoint chronique, petit, nous l’appelions « bouboule ».
Je pense qu’à ce jour, il est encore puceau.
Olivier, le beau gosse, 1m75, presque le même nombre de centimètres que moi, le beau brun affichant 68 kilos, son surnom « l’élastique », il est dans l’équipe de gymnastique du lycée spécialiste du sol ou il rebondit comme pourrait le faire une balle ou un élastique.

J’ai un problème, ce qui entraîne ma virginité et mon surnom, car entre les deux garçons il m’est impossible de choisir celui qui me dépucellera.
Je sais que c’est l’un d’eux, surtout après que je suis sortie en soirée avec Damien un autre garçon du bahut plus vieux que nous, car il a redoublé deux classes.
J’ai accepté un baiser, me demandant si en lui donnant je trompais mes amis, embrasser est-ce tromper ?
Il m’a caressé les seins, je n’ai ressenti aucun effet, eux qui sont si prompts à s’enflammer dans mon bain quand je les savonne, que dire lorsque sa main a voulu se poser sur ma chatte au travers de ma petite robe à fleurs si légères que l'on m’aurait dites nue.
Je lui ai balancé une baffe qui a permis à tout le lycée de m’appeler l’allumeuse, sans pour autant régler mon dilemme.
C’est un sacré dilemme, car je sens les garçons aussi enclins à me bousculer, mais hésitant à être le premier, à ce rythme-là, dans sept ans je vais coiffer sainte Catherine avec la tradition des chapeaux ridicules.

Je décide de prendre le taureau par les cornes, je leur propose de partir en vacances chez ma grand-mère au bord du lac de Serre-Ponçon où elle a une maison et où nous pourrons camper nous installant sur sa pelouse.
La tente lieu de promiscuité où je sens qu’il me sera facile de faire craquer l’un ou l’autre surtout qu’à chaque vacance Mamy Giselle m’a laissé toute possibilité de vivre ma vie.
Mamy Giselle, celle dont j’ai découvert un jour dans des cahiers écrits de sa main qu’elle avait été une grande amoureuse.
Elle faisait partie de la classe bourgeoise parisienne qui s'amusait beaucoup dans des fêtes interminables, si je devais faire la liste de ses amants, j’en aurais pour des heures.
Je dois avouer que chaque fois qu’elle faisait sa sieste, je me glissais subrepticement dans sa chambre comme si j’étais une petite souris, je remettais en place le numéro précédent pour prendre le numéro suivant.
Les situations qu’elle rapportait étaient si nombreuses et pleines de détail que pendant ces dernières vacances je me suis masturbée mordant un mouchoir de peur de la réveiller.
Elle avait épousé grand-père Léon à dix-neuf ans vierge entraînant la naissance de maman, mais le couple avait dérivé vers des plaisirs de plus en plus hard, on sentait son amour pour Léon, mais le besoin de sexe qui les taraudait jusqu’au jour où il l’a offert à l’un de ses amis.
Ce fut sa première expérience avec deux hommes et je me suis particulièrement fait jouir quand elle expliquait dans tous les détails les doubles pénétrations qu’ils lui prodiguaient.
Chaque fois que je refermais un cahier avant de mettre mon maillot de bain pour descendre jusqu’au lac cent mètre plus bas ma petite chatte était en feu et l’eau toujours un peu froide du lac me servait de régulateur de température.
Quand je passais devant cette vieille dame qui dormait comment pourrait-on croire qu’elle était une vieille dame indigne qui avait vu défilé, sucé, enfilé en elle plus de bites que je n’en verrais jamais dans ma vie.
J’arrête là mes confidences sur Mamy Giselle, c’est mon histoire et non la sienne même si elle est assez cochonne pour vous intéresser, pour finir de parler d’elle, elle était prof de math, papy Léon prof d’économie mort il y a cinq ans.
C’est au lendemain de leur déménagement qu’il l’a laissé seule dans sa grande maison, au moment de leur retraite.
Ils avaient vendu Paris pour venir au bord de ce lac ou ils avaient passé de bonnes vacances avec maman pendant plusieurs années.
Maman, là encore il y aurait beaucoup à dire, parlons de notre bac réussi pour chacun des garçons avec des notes limites et moi, mention « bien » loupant le « très bien » de quelques dixièmes.
Bref, nous avions le bac nous ouvrant les portes de la fac sans savoir les uns ou les autres quelles orientations prendre, mais surtout nous ressentions la peur d’être séparés.
En cadeau nous avions demandé à nos parents d’aller camper comme je l’ai dit et je me suis occupé de l’achat de la tente, tous parents comme garçons ont cru que nous emportions une tente avec deux compartiments l’un pour eux l’autre pour moi.
Nous venons d’arriver chez mamy et nous nous apprêtons à monter la tente pour la nuit.

Je joue la surprise quand nous la déplions de nous apercevoir qu’il n’y en a qu’un, ils veulent que je couche dans la maison.

• Sûrement pas, je suis venue avec vous camper, nous sommes adultes tout du moins vous, moi dans trois jours, regardez, il y a de pas de place pour trois.

Je place les tapis de sol leur montrant que j’ai raison.
Les deux garçons se regardent.

• Vivian, Ondine a raison, ce sera plus sympa, nous garderons nos sous-vêtements et la situation sera claire, dépéchons-nous, l’eau nous tant les bras avant d’aller manger avec mamy.

Je réussis mon coup, la soirée se passe bien, dîné avec ma grand-mère enchantée d’avoir des jeunes auprès d’elle, ces repas sont la seule concession pour nos parents sans aucune difficulté avant de nous diriger vers la tente ou après avoir allumé le feu préparé avant le dîner, Olivier prenant sa guitare.
J’ai un but et surtout une idée pour y arriver, la troisième nuit, celle de mes dix-huit ans, j’ai prévu un peu de champagne sans alcool officiellement, mais comme je vais préparer le repas, je changerais le sans alcool contre du vrai.

Les deux premières nuits je suis sage, je me couche en flancs de fusils sur un côté, la première nuit, c’est Vivian qui se retrouve situé vers mes fesses, le lendemain, c’est Olivier.
Au matin je vois bien que mes deux amis bandent.

• Que vous arrive-t-il les garçons, pourquoi vos slips ressemblent à des tentes.

Je me permets cette remarque, ce soir je vais passer à la casserole.

• C’est facile pour toi, Ondine, nous le matin avant d’aller pisser, nos verges sont tendues.
• Alors, sortez vite sous soulager.

Nous fêtons mon anniversaire comme prévu avec mamy, je lui sers du champagne sans alcool alors que mes tourtereaux trinquent pour la quatrième fois.

• Aller, il est temps d’aller te coucher mamy et nous aussi, le soleil et mon repas d’anniversaire, plus la plage et la natation je suis épuisé.

Les garçons sont un peu pompettes et veulent aller se coucher.

• Olivier, joue-nous quelques morceaux, après j’ai une surprise pour vous deux mes amis.

Il joue, j’attends qu’il fasse nuit, je me lève et je retire mes vêtements sous le regard des hommes qui n’en perdent pas une miette.

• Bain de minuit, le dernier à l’eau à un gage.

Je pars en courant, et j’atteins l’eau la première, je me retourne, Olivier finit deuxième presque à égalité avec Vivian.
Nous sautons dans l’eau, la lune me renvoie la vision des verges tressautantes, j’ai envie de les saisir, mais j’évite d’être aussi direct.

• Vivian, je suis arrivée la première toi le dernier, je te donne un gage.

Je fais celle qui hésite.

• Viens m’embrasser.

Il s’avance et me claque deux poutous sur les joues.

• Tu appelles, ça embrasser, un gage est un gage, c’est mon anniversaire, un gage est un gage, avec la langue.
• Ondine, tu es folle, tu vas me faire bander.
• Ce serait intéressant, depuis des années j’ai deux eunuques avec moi.

Il m’embrasse, j’apprécie sa verge le long de ma petite chatte qui vient se placer entre mes cuisses au fur et à mesure qu’elle se tend.

• Olivier, viens derrière moi et caresse moi les seins, j’ai envie de sentir ta verge me caresser les fesses.

Les deux garçons exécutent mes ordres à la perfection.

• Vivian allonge-toi, tu vas me dépuceler.

Il le fait, je sens mon hymen se rompre quand certainement mon sang inonde sa verge et ses cuisses.

• Ondine, Vivian aura été le premier, je suis un peu jaloux.
• Oliver, ma chatte est empalée sur Vivian, pour mon anniversaire, je veux devenir entièrement femme pour vous, j’aimerais que tu me sodomise, chacun de vous aurez dépucelé une partie de moi.

Il m’encule me faisant un peu mal, car il est plus puissant que son compère, mais ayant réussi son coup, je me mords la lèvre surtout qu’une fraction de seconde plus tard ils arrivent à me faire jouir.
Jouirent, toute la nuit, sous la tente, devant le feu que nous entretenons, ils me prennent en levrette chacun leur tour, et au matin recommencent en inversant la prise en double pénétration.
Sentir les deux verges se caresser au travers de mon périnée, c’est divin, deux hommes deux bites, deux bites à sucer, l’une d’elles toujours prête comme un bon petit soldat.

À la fin des vacances nous quittons ma grand-mère lui promettant de revenir l’an prochain, ce que nous ignorons c’est que nous serons quatre, neuf mois plus tard, je mets au monde Wendy notre petit garçon.
Tous veulent savoir qui est le père, nous nous en fichons, c’est le nôtre, nous habitons au-dessus du restaurant que nous avons acheté près des anciennes halles, je fais la cuisine, nous pouvons faire trente couverts maxi plus dix s’il fait beau en terrasse.
Vivian fait le service, le premier jour, nous lui avons mis un tablier blanc de soubrette, une nouvelle fois il avait droit à un gage.
Olivier s’occupe de notre fils dans sa poussette en même temps qu’il sert les boissons au bar.
Notre service fini, la caisse comptée, la porte avec la pancarte « FERMER », nous baisons tous les trois, le temps de monter à l’étage nous semblant long, car je leur ai promis le plus vite possible de leur offrir notre petite fille.

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