Titre de l'histoire érotique : VICTOR - Episode 1

- Par l'auteur HDS JulesM -
Récit érotique écrit par JulesM [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : VICTOR - Episode 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : VICTOR - Episode 1
On m’a souvent demandé si être gay était un choix. Si c’en était un, je n’aurais sûrement pas choisi d’en être. Car j’ai toujours pensé que préférer les mecs et l’assumer pour espérer être heureux, rendait les choses encore plus difficiles dans de nombreux domaines. Que toute ma vie je devrais composer avec les personnes qui m’accepteront et celles qui me rejetteront. Mais là où cela a sans doute été le plus difficile à assumer, c’est dans mon métier. Car j’ai gardé ce secret pendant des mois, allant jusqu’à m’inventer une vie d’hétéro pour ne pas éveiller les soupçons de mes collègues.
Pourtant aujourd’hui, tout cela est très différent. Je m’appelle Victor et à cette époque j’ai vingt-trois ans. Si cela vous intéresse, voici mon histoire.


MON APPARTEMENT - 23H30

- Ah putain, ouais ! Vas-y mec, plus fort ! Encore ! Encore ! Démonte-moi putain !
À quatre pattes devant moi, un jeune minet métis de banlieue rencontré quelques heures plus tôt sur une application de rencontres, que je suis en train de défoncer depuis maintenant une bonne vingtaine de minutes et qui en redemande encore. Il est plutôt pas mal, belle gueule, corps plutôt fin, mais surtout un bon petit cul dans lequel je m’éclate bien. Mais je sens que je viens, et lui aussi. Alors qu’il se finit et éjacule sur ma couette, je sors de lui, enlève ma capote et me finit sur ses fesses tandis qu’il gémit et soupire de plaisir. Sans un mot, je me lève et je me dirige vers la salle de bains pour me nettoyer. Je viens encore de me taper un inconnu, juste une pulsion assouvie. À peine ai-je joui que je n’ai qu’une hâte : qu’il prenne ses affaires et qu’il se casse.
- Ça va ? Ça t’as pas plu ? me demande-t-il, se tenant dans l’encadrement de la porte de la salle de bains.
- Si si, c’était très bien. Tu es un bon coup ! répondis-je en passant à côté de lui et en lui donnant une claque sur les fesses, “SI tu veux tu peux prendre une douche avant d’y aller”. Je renfile mon boxer et je me dirige maintenant vers le séjour pour boire un verre d’eau. Je m’allonge dans le canapé et je me demande combien de temps tout ce cirque va durer. Combien de temps vais-je continuer ces coups d’un soir ? J’ai déjà 23 piges, et puis je commence un peu à en avoir marre. Mais d’un autre côté, entamer une relation sérieuse est difficile pour moi. Tiens, le voilà déjà qui revient lui. Je ne me rappelle même pas de son prénom, je sais que c’est un prénom maghrébin mais impossible de le retrouver.
- Bon bah je vais y aller moi.
- D’accord.
C’est tout ce que je trouve à lui répondre.
- On se rappelle ?
- Pourquoi pas oui, laisse-moi ton numéro sur le carnet là, sur le comptoir.
Le petit mec prend un crayon, inscrit son numéro puis il vient m’embrasser sur la joue avant de quitter l’appartement. Et moi je n’ai pas bougé de mon canapé. Comme dégouté de tout ce qu’il vient de se passer. Comme dégouté de moi-même. Et c’est sur ce canapé que je finis par m’endormir.



MON APPARTEMENT - 4H00 DU MATIN

Mon réveil sonne et je suis encore affalé sur ce canapé qui m’a pété le dos toute la nuit. Putain il faut déjà se lever et aller bosser. Je me dirige vers le comptoir de la cuisine derrière moi, sur le carnet je lis “Bilal 06.XX.XX.XX.XX”. Ah voilà, Bilal, c’était ça son prénom. J’arrache la feuille et la jette à la poubelle.
Alors que je peine à boire ma tasse de maté encore trop chaude, je regarde les messages que j’ai reçu sur mon application de rencontres : toujours rien de sérieux là-dedans. Soudain un message m’interpelle “Ce n’est pas toi qui est venu à la sortie de la boite gay le “...” Club la fois dernière ? Je t’avais déjà repéré et t’es encore plus canon sur tes photos !”. Ce message me fait frissonner, de peur que vie privée et vie professionnelle se croisent, je le supprime aussitôt et je bloque l’utilisateur.

J’entre dans la salle de bains et scrute mon visage dans le miroir. J’ai d’immenses cernes sous les yeux et j’ai une tête à faire peur. Au fait, je suis brun très foncé, je garde les cheveux très courts sur le dessus, et dégradés jusqu’à blanc sur les côtés, au-dessus d’une barbe complète assez fournie que je taille impeccablement tous les matins pour qu’elle soit droite sur mes joues et dans mon cou. J’ai les yeux entre le marron et le vert, plus ou moins clairs selon l’éclairage, une mâchoire carrée et masculine. Je mesure un mètre quatre-vingt-cinq pour environ soixante-dix kilos, je ne me pèse que très rarement. Je fais pas mal de sport dans le cadre de mon boulot : musculation, course et krav-maga. Je suis donc plutôt bien musclé, des épaules et un dos assez larges, des pectoraux carrés et saillants, des abdos assez dessinés surplombant un V abdominal bien creusé. Sur mon épaule gauche se trouve le tatouage d’un lion en polygones qu’une ancienne amie à moi avait dessiné. Mes autres tatouages... je vous laisserai les découvrir plus tard. J’ai quelques poils sur le haut de mon torse et sur le trajet entre mon nombril et mon pubis, sinon je ne suis que très peu poilu. Bref on ne va pas se mentir, je suis quand même plutôt beau gosse et je n’ai jamais eu beaucoup de mal à accumuler les conquêtes. Loin de moi l’idée de me vanter, attention. Pour ce qui est du reste… gardons encore une part de mystère entre nous.

Bref, je me rase, je me douche, je m’habille et je choisis ma tenue de travail que je range dans mon sac de sport. J’enfile mon blouson de cuir, je prends mon casque à la main et je pars au boulot en moto.


HOTEL DE POLICE - 4H45 DU MATIN

- Salut Victor ! Comment tu vas ?
- Ça va et toi ? Comment s’est passé la nuit ?
- Calme. On s’est fait chier franchement…
- Putain… j’espère que ça va bouger aujourd’hui, j’ai pas envie de passer la matinée le cul dans la bagnole.

Je dépose mes affaires au casier et je me prépare : j’accroche mon holster, mon bâton télescopique et mes menottes à ma ceinture. Je passe à l’armurerie récupérer mon Sig, et je me dirige vers la salle de brief. Ah au fait, si vous ne l’aviez pas deviné, je suis flic à la bac.


VOITURE DE LA BAC - 9H00 DU MATIN

- Putain on se fait chier encore aujourd’hui…
- Eh ouais Vic, on va être obligé de faire de la filature… me dit Christophe.

Christophe c’est mon collègue. Il est sympa et c’est un des moins con du groupe (et des moins raciste aussi). Du coup on s’entend plutôt bien, on a même déjà été voir quelques matchs ensemble.

- J’ai horreur de ça, tu le sais… vivement que je refasse de la nuit, le matin ça m’emmerde.
- C’est gentil pour tes collègues ! lança Mélanie

Mélanie c’est ma collègue féminine, la seule de la Bac à laquelle j’appartiens. Faut dire que notre chef est plutôt du genre macho / facho. Alors quand une petite beurette s’est pointée pour lui demander d’intégrer son équipage, au départ ça l’a bien fait marrer. Mais quand elle lui a mis sa race sur le ring, là il s’est mis à voir les choses différemment. Je ne sais pas si c’est parce-que je suis gay et qu’elle l’a sentie, ou juste parce-que nos personnalités accrochent bien, mais c’est sans doute ma collègue préférée de toute l’équipe. Avec Thomas bien sûr, mon meilleur pote qui fait les nuits. Les autres… comment dire. Ils sont sympas c’est sûr, mais soit pas très malins, soit un peu beauf. Du coup on s’entend bien mais sans plus.

- Arrête ! Tu sais bien que je ne partirai pas sans toi !
- J’espère bien ! Tu me laisserais pas avec Chris quand même !
- Je t’emmerde ma vieille.

On se marrait plutôt bien dans cet équipage, ça compensait les sorties qui étaient parfois assez monotones quand les appels radios ne venaient pas. Ce n’est pas qu’on ne voulait pas bosser, on était tous les trois amoureux de notre métier et on ne demandait que ça. Mais les situations faisaient que parfois… souvent même, bah rien de tout cela n’était passionnant.

- De TNZ 1 à Bac Alpha, on a besoin de vous pour une victime d’agression, elle se trouve boulevard Victor Hugo à la sortie du “...” Club.
- Bac Alpha à TNZ1, on prend. Hé allez ! Enfin du boulot les gars !
J’ouvre la vitre de mon côté passager et j’accroche le gyrophare magnétique au toit de la bagnole, et nous voilà parti, sirène hurlante, roulant à tombeau ouvert dans les rues de la ville.
- C’est pas encore la sortie de cette boite gay là ? demanda Mélanie
- Je crois que si… c’est toujours le bordel là-bas, répondit Christophe.

À cette annonce mon sang se glace. Si un seul des mecs présents là-bas m’a déjà vu sur l’application, me reconnaît et fait des allusions devant mes collègues, je suis foutu.
Arrivés sur place, un mec est assis par terre, visiblement blessé à la tête et au bras. Alors que je passe mon brassard orange autour de mon bras, je l’observe plus en détails. Il est jeune, je dirais une vingtaine d’années. Brun, cheveux courts mais une coupe travaillée, grand mais assez fin. Il porte un simple t-shirt blanc avec un jean indigo slim et des baskets blanches. Plutôt pas mal quoi. “Tu t’en occupes Victor ?”
- Bonjour Monsieur, c’est la police…
- Ah bah quand même ! On a le temps de se faire crever dix fois ! lance ce qui semble être son mec et qui arrive vers nous en gueulant et en faisant des gestes dans tous les sens.
- Hé… on va se calmer tout de suite monsieur. Pour l’instant je parle à votre ami, quand j’aurai besoin de votre avis je vous le ferai savoir… Bien. Racontez-moi ce qu’il s’est passé ?
- Bah y’a deux mecs qui ont débarqué, qui nous ont traités de pédés et qui ont commencé à nous chercher. Ensuite ils ont commencé à nous mettre des claques et quand j’ai voulu me défendre bah ils m’ont mis une droite et je suis tombé juste là ! Mon copain a juste eu le temps de se mettre à l’abri avant que des passants n’arrivent et les fasse fuir.
- Ok… et vous sortez de boite à neuf heures vous ?
- Bah on bosse ici, on avait encore du taf.
- Ah d’accord. Ils ressemblaient à quoi vos agresseurs ?

Le temps de prendre sa déposition, les pompiers arrivaient pour s’occuper de lui. Avec mes collègues, on commence à faire le tour du quartier pour essayer de retrouver les agresseurs. Autant chercher une aiguille dans une botte de foins vu les descriptions qu’on a. Mais comme les délinquants sont souvent loin d’être malins, on finit par les retrouver quelques rues plus loin au bord d’un square.

- Putain c’est eux ! Les deux là, la description correspond ! lance Mélanie
- On fait quoi Chris ? On tape ?
- Allez ouais.

À peine approche-t-on en voiture qu’on se fait détroncher et qu’ils se mettent à se barrer en courant. Sans réfléchir, je sors de la voiture et je me mets à courir derrière eux. À l’oreillette de ma radio, je les situe et j’appelle des renforts. Ils se séparent, Chris et Mélanie tournent à gauche pour suivre le premier, moi à droite pour suivre le deuxième. “Arrête-toi ! Police !”. Je lui gueule après il n’en a rien à faire. Malheureusement pour lui, la course c’est pas son truc et il finit par se cramer et se laisser rattraper. Alors qu’il essaie de se défendre et de me frapper, je lui fais une clé et le maîtrise sur le capot d’une voiture “Lâche-moi batard !”
- T’as cru que t’allais aller loin comme ça ?
- Eh j’ai rien fait chef ! Qu’est-ce que j’ai fait ? J’ai rien fait !”
- Pourquoi tu te barres alors ?
Après une palpation de sécurité, je le menotte et je l’emmène avec moi jusqu’à la voiture. Chris et Mélanie reviennent avec le second qu’ils ont réussi à choper un peu plus loin. Une voiture de patrouille vient en renfort et on les conduit au poste.

HOTEL DE POLICE - 11H00

- Tu vas savoir avancer tout seul ou il te faut de l’élan ?
- Hé chef, j’avance là ! Vas-y !
- Bah plus vite.
Je l’installe sur le banc et accroche une de ses menottes au mur en attendant qu’il soit entendu par un OPJ de service qui prendra le relais. Tandis que je l’abandonne aux collègues, on décide de se prendre notre pause déjeuner tout en remplissant la paperasse habituelle. J’avale mon sandwich en tapant ma procédure à l’ordi quand un bleu passe la porte “C’est votre équipage qui a chopé les deux de l’agression boulevard Victor Hugo ?”
- Oui pourquoi ? demande Chris
- La victime voudrait vous voir pour vous remercier.
- Vas-y Vic ! Moi j’ai pas la forme… me dit Chris
Je me résigne donc à suivre mon collègue jusqu’à l’accueil où se trouve la victime et son mec : “Merci beaucoup de les avoir retrouvés. On s’excuse pour tout à l’heure, vraiment… merci la police !”
- C’est normal… c’est notre boulot. Et puis je ne vous cache pas qu’on a eu de la chance aussi.
- On ne se serait pas déjà vu quelque part ? me demande le mec de la victime
- Pardon ?
- Je sais pas, votre tête ne m’est pas inconnue.
Le gardien en tenue à côté de moi me regarde de façon étrange, attendant ma réponse à ces insinuations.
- Euh… ça ne me dit rien. Mais j’ai une tête assez commune…
- Pas tant que ça… en tout cas merci, bonne continuation.
- Oui, au revoir !

Je retourne à notre bureau assez désappointé. Il va vraiment falloir que je quitte cette application, je vais finir par me faire détroncher par tout le monde. En passant dans un couloir je croise deux collègues en tenue dont Sam, un pote de mon club de sport :
- Ah Victor ! Je te présente Tristan, un élève gardien en stage en police secours pour trois mois. Tristan, Victor, un BAC man.
- Un BAC man ?
- Un mec de la BAC, enchanté ! je lui serre la main et je l’observe plus en détails.
Ce qu’il est beau ce con ! Un mètre quatre-vingt, châtain, il a des cheveux assez longs sur le dessus et courts sur le côté, coiffés à l’arrière façon Beckham, et une barbe de trois jours parfaitement dessinée. Il a plutôt l’air baraqué, et ses yeux… putain ses yeux bleus je pourrais les bouffer tellement ils sont beaux. Je suis tellement sous le charme que j’en perds la notion du temps et j’en oublie que je lui serre la main depuis un moment déjà. Je me réveille et je lâche un “Bah bienvenue !” avant de me barrer sans un mot de plus, bouleversé. En arrivant dans mon bureau, je m’assois et je reste un moment à fixer le vide. Mélanie me réveille :
- T’as vu un fantôme ou quoi ?
- Hein ? Non, désolé… j’ai pas beaucoup dormi.
- Y’a une demoiselle qui a encore dû en faire les frais cette nuit… dit en rigolant Chris.
- Ah d’accord… répondit Mélanie, visiblement peu convaincue.

MON APPARTEMENT - 14H00

Me voilà enfin rentré chez moi. Putain, quelle journée ! Entre les deux autres qui ont failli m’outer devant tout le commissariat et Tristan qui m’a mis la tête à l’envers… Je prends une douche puis je m’allonge en boxer sur le canapé pour regarder un peu la télé. Et je ne sais pas si c’est parce-que le programme n’était pas intéressant ou si c’est parce-qu’il était vraiment beau, mais impossible de me sortir le stagiaire de la tête. C’était sûrement la première fois qu’un mec me faisait autant d’effet. Mais bon… peine perdue. Non seulement il était sûrement hétéro, mais de toute façon sortir avec un flic, et qui plus est de mon commissariat, c’était hors de question. Trop risqué.
Me voilà donc à nouveau sur mon application de rencontres. Je trie mes messages quand un nouveau me saute aux yeux “Encore merci à la police ;)”. C’est ma victime. Putain il m’a retrouvé ce con ! Là je suis en stress complet… s’il revient au poste pour un complément de procédure, je suis mort.
- Derien mais… ça ne doit pas se savoir. Je peux compter sur toi ?
- Ne t’en fais pas, je comprends ;)
- Ton mec n’est pas jaloux de te savoir sur cette application ?
- Ce n’est pas mon mec, c’est juste un collègue. Il me tourne un peu autour mais c’est pas mon genre.
- Ah d’accord ! C’est quoi ton genre ?
- Plutôt beau brun, flic et baraqué…
- Ahah, t’es con !
- Je suis sérieux… et puis j’ai très envie de te remercier. À ma façon.

Mais c’est qu’il me chauffe ce con ? Je ne sais pas quoi faire. Me taper une victime c’est pas vraiment déontologique. Et puis si ça dérape et qu’il me fait des emmerdes…
Alors que j’étais en train de réfléchir je reçois une photo de lui assez osée. Il ne m’en fallait pas plus… rendez-vous est pris pour le soir-même chez lui.


APPARTEMENT DE L’INCONNU - 20H00

- Salut. C’est Julien moi au fait.
- Salut, Victor.
- Je t’en prie, entre…
- Tu vis ici tout seul ?
- Mon coloc est chez ses parents pour la semaine.
- Vous êtes étudiants ?
- Oui en langues étrangères.
- Ah cool… et t’as quel âge ?
- Je ne suis pas mineur, si c’est votre question Monsieur l’agent… dit-il en se rapprochant de moi.
- Ahah, non c’était juste de la curiosité.
- Dix-neuf. Mais je ne crois pas que tu sois venu pour faire la conversation… dit-il en plaçant sa main directement à l’emplacement de ma queue.
- Effectivement.

Sans se détacher de mon regard, il s’agenouille et commence à dégrafer mon jean. Il se met à embrasser ma queue à travers mon boxer tout en glissant sa main sous mon t-shirt pour me caresser l’abdomen. Il baisse mon boxer pour laisser sortir mon sexe qu’il avale aussitôt jusqu’à la garde, et qu’il commence à sucer vigoureusement. Putain il sait y faire le petit, il a de l’entrainement. Sa langue tourne autour de mon gland et se glisse dans les moindres recoins tandis que ses lèvres glissent de haut en bas dans un rythme frénétique.
Il la sort de sa bouche et la branle avec sa main, puis commence à me lécher les couilles.
Après un petit moment de cette bonne pipe, je lance les hostilités :

- Tu comptes en rester là pendant longtemps, ou on va se décider à passer à l’action ?
Il me regarde et sourit pour acquiescer. On se déssape mutuellement puis je l’attrape et le porte jusqu’au lit. Pas besoin de lui dire qu’il se met déjà à quatre pattes devant moi pour m’offrir son trou. J’y mets quelques coups de langue puis je m’en occupe sérieusement. Une fois qu’il commence à se dilater, j’y insère un doigt puis un deuxième. Là aussi il doit avoir l’habitude vu la vitesse à laquelle il s’écarte.

- Je veux ta grosse queue maintenant !

J’enfile un préservatif pendant qu’il se lubrifie et se doigte devant moi, puis je me présente à l’entrée de son trou. J’y rentre doucement jusque la garde, puis je commence mes mouvements de vas et viens. Après un court instant, il en demande plus “Vas-y, baise-moi allez !”. J’agrippe ses hanches et je commence à sérieusement le démonter. Mes couilles claquent contre ses fesses et ma bite sort presque entièrement à chaque fois. Lui, il gueule comme c’est pas permis. Tous ses voisins doivent être au courant qu’il se fait enculer. “Plus fort ! Démonte-moi ! Je veux sentir ta grosse queue allez !”

Je l’attrape par le flanc et je le retourne. Sur le dos, je l’amène au bord du lit et lui relève les jambes, puis je recommence à le pénétrer. Une jambe sur chacune de mes épaules, je me donne à fond en lui tandis qu’il tente de s’agripper à mes pecs avec ses mains. Je m’affale encore un peu plus sur lui, remonte encore un peu plus ses jambes jusqu’à être contre lui et m’enfoncer encore plus profond dans son cul. Il passe son bras autour de mon cou et colle sa tête contre la mienne tandis qu’il continue de gueuler et de gémir comme un petit minet. “Baise moi contre le mur !”
Il se relève et s’appuie contre le mur en me tendant ses fesses. Je lui remet un peu de lubrifiant et je me renfonce jusqu’à la garde tandis qu’il soupire de plaisir. Je pose une main sur son épaule, de l’autre j’attrape sa taille, et là je le déboite littéralement. Mes couilles claquent encore plus violemment contre ses fesses et lui perd presque sa voix tellement il gueule. “Oh putain ouais, je la sens bien là ! Baise-moi ! Fais-moi mal vas-y !”
Eh ben, sous ses airs d’ange c’est une sacré salope en fait ce petit mec. Je lui claque violemment son petit cul, si fort qu’il en a une trace rouge, mais ça ne l’empêche pas de gueuler qu’il adore ça et qu’il veut encore ma queue. Toutefois au bout de plusieurs minutes, je l’informe que je vais bientôt venir. “Jouis sur ma gueule !”
Il se retourne et vient présenter son visage juste devant ma queue. J’enlève la capote, me branle et je finis par jouir sur sa joue. J’étale le tout avec mon gland et je viens lui en donner un peu dans la bouche, il lèche ça avec délectation puis se rallonge sur le lit, me regarde, et se doigte tout en se branlant jusqu’à se faire jouir en gémissant comme une salope.

On se nettoie, on se rhabille, puis il s’approche de moi “Eh ben, j’aimerais bien rencontrer des flics comme toi plus souvent !”
- T’es pas mal non plus dans ton genre… je ne m’attendais pas à ça.
Il prend un post-it et inscrit quelque chose dessus avant de me le donner : “C’est mon numéro. Quand t’as envie de te faire plaisir, tu m’appelles et je rapplique”.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Merci pour ce début d histoire. Je me languissais de te relire. A très bientôt j espère. lol

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Beau début pour cette nouvelle histoire avec Victor
Toujours aussi bien écrit
Mais que sont devenus Jules et Nathan ?

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J'adore ton histoire et j'espère qu'il va y soirée nombreuses suites

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Eh ben tout est dit dans les précédents avis ,cela devient rare les derniers temps de lire de telles récits , moi aussi j'attend la suite avec impatience

Histoire Erotique
salut tres belle histoire bien exitente et du bon sexe hate de lire la suite a bientot

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Quel plaisir de lire à nouveau une de tes histoires. Jules et Nathan nous manquent mais c'est avec plaisir qu'on accueille Victor.
Toujours aussi agréable et excitante. On se fait prendre par l'histoire. Vivement la suite de cette nouvelle aventure que tu concoctes et qu'on suivra avec délectation

Histoire Erotique
Génial, ça fait longtemps qu'on avait pas eu un récit d'une telle qualité sur HDS, bravo !!

Histoire Erotique
Félicitations pour ce très beau travail d'écriture. Les scènes s'enchaînent à un rythme très sympathique, tout est parfaitement dosé, j'adore et j'adhère !
Mille mercis,
Rollerbi

Histoire Erotique
waou un policier en plus ^^ humm aurait bien aime me tapé un policier,lol néanmoins super beau récit qui est tres bien écrit d'autant plus, au plaisir de pouvoir vous lire assez longtemps dans vos aventures à tout bientôt mec
et je bande grave merci encore Victor :)



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Histoire sexe : Une rose rouge
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