Titre de l'histoire érotique : Léna, ma maîtresse

- Par l'auteur HDS El16 -
Récit érotique écrit par El16 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Léna, ma maîtresse Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2017 dans la catégorie Fétichisme
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Titre de l'histoire érotique : Léna, ma maîtresse
Chapitre 1 :

Thomas étais en train de piqué du nez, assis sur une chaise, dans une classe avec 25 élèves. Il faisait très sombre dehors, normale, on étais en automne. Une petite pluie fine tombais, doucement. Les lumières étais éteintes, ont regardais un film, Reservoir Dogs.
Thomas avais demander a faire des études de cinéma simplement pour avoir moin de travaille a la maison. Et donc plus de temps pour ces plaisir personnelle. Il passait toute c'est soirée, c'est week-end, c'est vacances. A se masturber sur des femmes en train de se lécher les pieds.
Sois une des filles étais la dominatrice et l'autres la soumise. Ou sois...
- Thomas ?
Thomas ouvrit les yeux. Mme Martin étais penché sur lui, ces seins pendais devant ces yeux.
- Prends des notes s'il te plait. C'est pas parce que tu a une bonne moyen que tu dois te reposer sur tes lorier.
Mme Martin se redressa et marcha vers le fond de la classe.
- Oui, madame.
Il fit un grand sourire et fixa pendant quelques instant ces pieds, dans ses petites chaussures a talons.
Il commensa a se caresser doucement le sexe en pesant a ses délicieux pied, dans sa bouche. Ces orteils étais si petit et avais l'aire si délicieux. La taille de ces pieds ? Un petit 36 et demi a vue d'oeil.
Il les avais déjà vue. Un vendredi après-midi, alors que toute la classe étais en controle surprise. Elle commencais a corriger ces copies, elle avait enlever ces chaussures et écartais ces orteils, si minuscule, avec un verni sur les ongles proches du rouge pourpre.
Il sortit de ces pensés, deux de ces potes, au premier rang, regardaient un pornos. Une jeune fille se faisait pénétré par une femme avec un god-ceinture. Manque de bol, pour lui, sa ne l'excitais pas du tout.
Non, lui, c'étais les pieds des filles qui l'interrésais. La façon si gracieuse quelles ont de croisé leur jambes, nues. En frottant un peton contre la jambe du premier mâl venu.

Une fois sortit de la classe, Thomas passat devant tous le monde. Il se mélanga a la foule, qui étaient préssé de revenir a l'internat.
En même temps qu'il marchait, il regardais autour de lui le magnifique spectacle qui s'offrait a lui.
De belles filles, marchant dans les couloirs, transpirant dans leur chaussures, dans leurs chaussettes blanches, (les préférées de Thomas). Pour les autres couleurs, il amait moin, même les chaussettes a rayures.
Lui il aimait sucer les chaussettes d'une fille, que les traces de sa salive s'imprime sur le blanc imaculer de ces petits bou de tisu remplit d'une transpiration divine.

Il sortit des batiments, la pluie devenait de plus en plus épaisse. Il marchait assez vite, mais avec un calme olympien. Il arriva a la porte qui s'éparais le monde du lycée, avec celui de l'internat.
La nuit étais froide, sombre, inquiétante, et si silencieuse.
- On se croirais dans un polar d'Olivier Marchal.
Il se retourna et rentra dans se monde, fraternelle, familliale. Remplit de frêre et aussi de traître, personne ne devait connaitre son secret. Enfin, une personne étais au courant mais bon. Elle ne contait pas.
Il monta les escaliers de l'internat.

Comme d'habitude, la même routine, on pose son sac, on fais ces devoir. Il se posa sur son lit, pensife, il ferma les yeux quand tout a coup.
Il reçut un texto, de Léna "Je t'attend en bah, tu te magne, ne me fais pas attendre".

Il sortit de sa chambre, et marcha jusqu'à l'entrée. Il toqua a une porte. Jonathan sortit de la chambre, le surveillant.
- Ouai, ouai, je connais la chanson t'inquiète.
Jonathan sortie son badge et ouvrit la porte. Thomas lui fit un sourire, que jonathan lui rendit.
- Alors ? On gère pas les bailles nous ?
- Merci, Jo. Dit Thomas.
Il passa la porte et se retourna.
- Je te revaudrais sa.
Jonathan rigola.
- Ouai, sa fais plus d'une cinquantaine de fois que tu me dis sa, mais bon, c'est quand même gentil de...
Thomas étais déja partit.

Il étais dans le couloir, decendais le grand escalier. Puis tourna a droite, il y avait une salle de permanence. Il l'ouvrit.

Léna était dedans, assis sur une table, les jambes croisés. Plutôt petite, environ (1m60), blonde, les cheveux mi-long, un visage d'ange, fine. Jean serrer, pul et petite couverture autour des bras, et oui c'étais une frilleuse, mais bon, dans quelques minute, elle se réchaufferais. Ces chaussures étais des Lévis, et ces chaussettes étais blanches.
- Salu. Dit-elle.
- Salu.
Elle lui fit un regard noir.
- Euh... pardon. Bonsoir maitresse.
Son regard redevient celui d'un ange et elle lui fit un sourire.
- C'est bien, bon soumit. Allez, maintenant, viens au pied de ta maitresse.
Instinctivement, il su qu'il devait se mettre a quatres pattes, il suivit le fond de sa pensé. Et telles un petit chien, s'approcha des pieds de sa maitresse. Thomas se frotta conttre les jambes de Léna.
- Aujourd'hui, j'ai prit des chaussures légère, en toile, et je ne pouvais pas savoir qu'il allait pleuvoir.
Elle montra du doight le bout de ces chaussures, en effet, ces pieds étais trempé. Mais Thomas allais y remédier.
- Tu peut les sécher pour moi, j'ai froid et je suis fatigué.
- Oui, ma maitresse.
Thomas la déchaussa, puis se rendit compte que non pas le bout, mais tous ces pieds était trempé. Il commenca par prendre le pied gauche et le mis dans sa bouche, il fit pareille avec l'autres. Le mélange entre l'eau qui s'était infiltré et sa sueur donnais un gout divin. Sa commencais déja a se remuer dans son pantalon.
Ces chaussettes commencais a sécher, il passa des petits couts de langue. En évitant de mettre de la bave sur sa langue.
- Fais autres chose, je m'ennuit là.
Elle ne lui avait jamais dis sa. Il ne réfléchissat pas plus longtemps. Il enleva ses chaussette, bien qu'il est tout de même réussit a sécher ses chaussettes, ces pieds restais frigorifier. Voulut l'habituer au contact de sa bouche, alors il commenca par embrasser ses pieds. Puis par donner des petits coups de langue, il la touchais a peine.
Thomas savait qu'elle étais extrèmement chatouilleurse. Il ne voulais pas la brusqué. Même si il adorais quand elle le disputait, quand elle lui donnais des coups, quand elle le punisait. Là, il n'avait pas envie, trop fatigué.
Il passa a la vitesse supérieur et commenca a lécher son peton, du talon, jusqu'aux orteils, il l'entendit frissoner. Il en profita pour lui sucer les orteils, partit qu'il adorait le plus.
Puis il se souvient que son moment préféré, à elle. C'étais quand il m'était sa langue entre chaque orteils ou q'il prenait chaque orteil pour le sucer vigoureusement. Se qu'il fit.
Il leva les yeux, pour la regarder. Elle s'était reposer contre une caisse en carton derrière son dos. Et elle regardais la pluie, tomber dehors.
Son sexe était gonflé depuis tellement longtemps que sa commencais a lui faire mal.
Quand elle posa ses yeux sur lui, il les baissa, normalement, il n'avais pas le droit de la regarder, un soumit ne devait en aucun cas regarder sa maitresse, c'étais signe de...
- Massage. Dit-elle tous doucement.
- Mmmmm ? Demanda Thomas, les orteils encore dans sa bouche.
- Fais moi un massage, il font du bien les tiens. Dit-elle d'une douceur incompréhensible.
Il s'éxécuta
Soi il pasait sa langue sur la plante de ces pieds et s'amusait mettant chaque doight entre ces orteil, lui écartant ces orteil en évantaille. Ou massait délicatement chaque orteille avec son pousse et son indexe.
Soi il sucait tendrement ses orteille en lui massant la plante des pieds. Et quelques fois, juste pour le plaisir, il lui fis des petites caresse. Souvent elle gémissait, de bohneur.
Il se perdit dans le temps, et ne réfléchissant plus, il se concentra sur son unique travaille. Faire du bien a sa maitresse.
Malgré sa, son excitation persista et il davait éjaculé, jouir, se faire du bien.
Mais bon, son esprit taquint pris le deçut et quelques fois il la chatouilla tous doucement. Dès fois elle fronçais les soucilles et lui demandais gentillement d'arretter, mais avec un soupçon d'autoriter, il faisait se qu'elle disait.
Pourquoi ? Parce que c'étais sa maitresse.
N'en pouvant plus de cette excitation qu'il ne pouvait pas calmer, il arretta tous. Et ce contenta de lui embrasser les pieds.
- Qu'est ce que tu fais ? Continue. Ordonna t'elle.
Il hésita, sa n'avait jamais été aussi loin, avant c'étais juste une histoire de 15 minute. Ou intimement ils jouaient a se petit jeu. Là c'était autres chose.
- Est-ce que je pourrais me masturber sur vos pieds divin, s'il vous plait, ma maitresse.
Elle ne dis rien, puis brisa le silence.
- Bon, ok, mais on le fais a ma façon. Dit Léna.
Il sa laissa porté, avec tout se qui c'étais passer, il ne pouvait que jouir.
- Mets toi sur le dos, par terre, et baisse ton pantalon.
Il s'éxecuta, elle prit une chaise et s'assit, elle lui mit une chaussette dans la bouche, et elle enfila l'autres sur son pénis. La chaussette étant tout de même très petite, recouvrait les 3 quarts de son sexe.
Elle mit son pied gauche sur son sexe, et l'autres sur son visage. Elle lui massat tranquillement la queu. Il finit par jouir, elle lui enleva la chaussette et mit l'autre. Puis continua a masser pendant deux bonnes minutes. Les deux chaussettes étaient remplit de sperme.
- Merci. Dit-elle d'un ton enjoué.
Elle les enfilas.
- Voilàt, comme sa au moin, je suis sur que se soir, j'aurais pas trop froid.
Il se releva tous doucement, puis resta a genoux, il ne savait qoui dire, c'étais la première fois qu'ils étais aller aussi loin.
- J'espère que tu va t'en remettre, parce que maintenant, se sera sa, chaque soir. Dit Léna, d'un ton moqueur.
Elle s'approcha et l'embrassa tendrement. Il ferma les yeux. Respira un grand coup. Puis les rouvrits. Elle étais déjà partit.

Il remonta les escaliers, pensif, se soir, pour une fois, il allait bien dormir. Il toqua en faisant le code. Deux toques, puis un seul, puis trois. Jonathan ouvrit. Il était inquier.
- Bah alors ? Sa fais plus de deux heures, on avait dis juste 30 minutes. Qu'est ce que ta foutu ? T'était ou ?
Thomas le dépassa, entra, puis se retourna, il lui fis un sourire.
- J'étais au septième ciel.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle histoire

Histoire Erotique
ge trouve ke se tecste pik bocoup lé yeux

je trouve que ce texte pique beaucoup les yeux



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Histoire sexe : Une rose rouge
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