Titre de l'histoire érotique : Les lycéennes, ces salopes #1 Laure

- Par l'auteur HDS Tom Imoral -
Récit érotique écrit par Tom Imoral [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Les lycéennes, ces salopes #1 Laure Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(8.5 / 10)
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(9.0 / 10)

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Titre de l'histoire érotique : Les lycéennes, ces salopes #1 Laure
#1 Laure
Je vais vous raconter un vendredi après midi saisissant qui s’est déroulé l’été de mes dix-sept ans. J’allais chez une amie, dont le nom change pour devenir Laure. J’allai donc chez elle en vélo sous un soleil de plomb. Lorsqu’elle m’ouvrit, j’eus la surprise de voir qu’elle ne portait qu’un tee-shirt moulant qui lui arrivait mi-cuisse. Après m’avoir salué, elle me fit entrer.
- Je t’attendais, me sourit-elle. Ça faisait un bail que l’on ne s’était pas vus.
- Oui, environ trois jours, quatre heures et dix-huit minutes, plaisanta-je.
- T’es con, rit-elle. T’as faim ? Je m’apprêtais à prendre un goûter.
- Pourquoi pas ? Il n’y a pas d’âge pour manger un goûter.
Lorsqu’elle me tourna le dos pour avancer, je vis que son tee-shirt était transparent, dévoilant sa culotte plutôt courte, ne cachant qu’une infime partie de ses fesses magnifiques. Après avoir mangé le fameux goûter, nous sommes allés nous asseoir dans les fauteuils du canapé où parlions de tout et de rien. Je sentis qu’elle était troublée : elle se passait sans arrêt la main dans les cheveux, évitait mon regard et croisait et décroisait les jambes. À un moment, elle fit tomber ses clés avec lesquelles elle jouait nerveusement. Elle se leva et se pencha pour les ramasser, tendant son cul à peine couvert vers moi. Fasciné par ses formes, je ne pus en détacher mon regard tout le long de la descente et de la remontée. Je vis qu’au niveau des lèvres, la culotte rose était trempée. Je compris enfin la source de son trouble ; elle était en manque. Son copain était parti depuis plus d’un mois en vacances et le manque de sexe commençait à devenir ingérable.
Troublée par mon regard lorsqu’elle se rassit, elle s’excusa et prétexta avoir un besoin urgent pour quitter la pièce. Elle alla aux toilettes, tandis que je me souriais à moi-même. Une occasion inouïe de m’envoyer en l’air se présentait et j’allai la saisir à pleines mains. Son copain ? Je le détestais et qu’elle reste avec ce con m’horrifiait. Ma conscience ? Je m’arrangerai avec elle plus tard. Ma copine ? Elle n’en saura rien.
Lorsque Laure revint, le regard plus assuré qu’à son départ, et se rassit, je lui demandai s’il y avait quelqu’un d’autre que nous chez elle.
- Non, mes parents et mes frères sont partis passer un week-end à Paris. Je suis toute seule jusqu’à dimanche soir, conclut-elle en souriant.
Nous continuâmes à parler de nos sujets habituels tandis que sa nervosité revenait au galop : coiffage incessant de cheveux, tripotage permanent de son trousseau de clé, mouvements réguliers de jambes, chute des clés. Elle se releva pour les ramasser. Comme la première fois, je pus admirer son fessier parfait, à la différence près que cette fois-ci, elle ne portait plus sa culotte trempée. Surpris, je contemplai donc ce cul rebondi et sa fente brillante de mouille avec envie. Elle se redressa et se retourna, surprenant mon regard. Elle me fit un clin d’œil puis se rassit en écartant les cuisses. La vue sur son entrejambe ainsi offerte me donna une demi-molle.
- Que dois-je y comprendre ? Demandai-je en souriant
- Que j’ai envie d’un bon cuni, répondit-elle, les yeux clos.
M’avançant, je me mis à genoux devant le fauteuil et me penchai en avant pour m’approcher de sa fente déjà ouverte. Relevant la tête, je demandai une dernière fois :
- Tu es sûre de le vouloir ?
- Oui ! répondit-elle sèchement, la voix enrouée, ne daignant même pas d’ouvrir les yeux.
Me penchant sur son entrejambe, j’écartai avec mes deux pouces ses grandes lèvres et donnai quelques coups de langue sur son Mont Vénus, tirant d’elle de longs soupirs de soulagement. La pauvre, elle devait attendre ça depuis longtemps pour réagir aussi vite. Mes lèvres remplacèrent ma langue, se promenant sur ses petites lèvres si sensibles, les effleurant, les embrassant. Puis ma langue revint à la source de son plaisir, la léchant furieusement, la titillant avec malice, jouant avec. Ma langue eut bientôt raison de la jeune fille, la faisant jouir bruyamment. Elle cria pendant quelques dizaines de secondes, l’orgasme la secouant avec une intensité surprenante. Elle déversa un peu de son essence dans ma bouche, mais si peu. Dommage, j’en adore le goût, différend chez chaque femme.
Elle ouvrit enfin les yeux, les joues rougies. Je lui souris en lui demandant si ça allait. Pour toute réponse, elle se leva, me forçant à reculer pour la laisser quitter le fauteuil et alla s’asseoir sur la table en verre du salon, après avoir enlevé son haut, dévoilant ses petits seins aux tétons durcis d’envie. Elle s’allongea sur la plaque en verre, appuyée sur ses coudes. Elle écarta les cuisses et me regarda comme si elle m’attendait. Je me mis devant elle et voulut l’embrasser, mais elle me repoussa. Je la regardai avec surprise, ce à quoi elle répondit :
- Ce n’est pas ça que je veux.
N’étant pas sur de savoir ce qu’elle voulait, je m’apprêtai à le lui demander quand elle baissa mon pantalon et mon caleçon d’un même geste, sortant mon sexe à moitié en érection. Elle le branla frénétiquement à une main jusqu’à ce qu’il ait atteint sa taille maximale puis elle le guida directement dans son puits d’amour, où elle l’enfonça d’un coup. Elle poussa un long soupir puis appuya sur mes fesses pour être pénétrée au maximum.
Surpris par ses initiatives, je me retirai puis revint d’un coup, la faisant pousser un petit cri. Elle écarta les jambes au maximum et s’allongea sur le dos pour me laisser la baiser correctement. Mon gros sexe faisait de rapides allers-retours dans sa chatte serrée, la faisant gémir.
Quelques minutes passèrent, elle criait de plaisir tandis que mes va-et-vient devenaient de plus en plus rapides, la pénétrant au maximum. Son puits d’amour pouvait accueillir mon sexe en entier et c’était assez inhabituel étant donné ses dimensions.
Le plaisir fut à son paroxysme lorsqu’elle lâcha un cri plus long et plus fort que les autres en nous éclaboussant, moi et la table, de sa cyprine rejetée. Elle nous arrosa ainsi pendant quelques uns de mes mouvements, hurlant de bonheur. Sa jouissance retomba et je me retirai d’elle, le sexe encore bien raide.
Elle ouvrit les yeux et me regarda, les prunelles chargées de plaisir. Je reculai pour la laisser se remettre debout et admirer les conséquences de sa jouissance.
- Merci, me fit-elle.
- Un si bel orgasme, répondis-je en rigolant. Ça s’arrose !
Elle rigola aussi puis remarqua mon érection.
- Tu bandes encore ?
- Bien vu capitaine obvious.
- Je vais arranger ça, dit-elle avec un clin d’œil.
Elle se mit à genoux devant moi et mon sexe disparut dans sa bouche, tandis que ses mains s’affairaient, l’une massant la base de mon sexe et l’autre jouant avec mes bourses. Elle fit des allers-retours le long de ma verge avec ses lèvres trempées de salive, sa langue caressant elle aussi ma colonne de chair. Je ne tardai pas à jouir. Voyant mon plaisir, elle relâcha mon sexe mais dit en continuant à le masser d’une main :
- Mais tu n’as pas éjaculé.
- Ça vient, lui répondis-je d’une voix étouffé par le plaisir.
Elle continua donc de me branler mais y mit les deux mains, gardant mon gland à hauteur de son visage.
- Je… Voulus-je dire avant de lâcher un énorme jet de sperme épais qui atterrit sur son visage souriant, sur la joue gauche.
- Hum, c’est tout chaud, fit-elle avant de recevoir un deuxième jet de ma semence au niveau de l’œil droite, juste à côté du nez.
Grognant de plaisir, j’éjaculai de nombreux jets, couvrant son visage réjoui de mon foutre épais.

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