Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1087)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1087) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1087)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1087) -
Puis chacun fut amené au poste qu’il devait occuper… Quand Monsieur le Marquis d’Evans ouvrit la porte devant Son ami, dans ce premier Musée Mondial de la D/s tout était plongé dans le noir. Le Châtelain invita Wangdak à entrer. Au moment où ce dernier passa le pas de la porte, le couloir s’éclaira. Tout était magnifiquement décoré. Le sol était en une moquette épaisse bleu roi quadrillée aux liserés jaune or, moquette étouffant les bruits des pas. Les murs étaient couverts de riches tentures rouges bordeaux. L’éclairage était fait par de magnifiques et volumineux lustres à pendants de cristal tels ceux que l’on trouve, par exemple, à Versailles. Des cadres en bois précieux couverts de feuilles d’or mettaient en valeur des peintures, des gravures, des dessins, des photos de toutes époques, de tous pays, de situations D/s. des sculptures étaient disséminées un peu partout, D/s ou simplement érotiques.

Quand ils avancèrent dans la galerie, des vitrines s’illuminaient au fur et à mesure de leur avancée et s’éteignaient lorsqu’elles étaient dépassées, laissant les visiteurs toujours dans la pénombre. La première vitrine s’illumina sur une sorte de grande maison de poupées. A l’extérieur se trouvaient autant de boutons que de pièces. Lorsque l’on appuyait sur l’un d’eux, la pièce concernée s’illuminait et des automates prenaient vie et vivaient un moment D/s. Dans une vitrine plus petite se trouvaient des jeux érotiques, comme un jeu d’échec où chaque pièce représentait un acte D/s, des jeux de cartes et des jeux de dés coquins… autour d’un magnifique siège d’amour fabriqué à Paris en 1890.

Un peu plus loin, il y avait une exposition impressionnante, fixe, de plugs, godes, vibrants ou non, en plastique, bois, métal. Il y avait même des pénis factices qui se remplissaient d’un liquide blanchi et épaissi au couleur du sperme, et après un temps défini de masturbation avec, se mettait à « éjaculer ». Il y avait des rangées de fouets, badines, triques, martinets, pades. En dessous de chaque objet, il y avait des pancartes indiquant le pays d’origine, la matière, l’ancienneté, et, au cas où une personne visitant le Musée douterait de l’utilisation de l’un d’eux, un descriptif indiquant le fonctionnement. Tout le texte était traduit par des écouteurs à la demande de la langue du visiteur en anglais, espagnol, brésilien, portugais, allemand et chinois. Il y avait également de faux seins, de fausses vulves et de faux pénis pour exposer différentes manières à les anneler, avec un nombre d’anneaux toujours croissant. Il y avait également une grande collection de colliers, de laisses d’un côté, de l’autre tout ce qu’il fallait pour attacher, ligoter, allant de simples menottes à des manchettes en cuir richement décorées, des cordes en toutes matières, des chaînes… Des « smother box », traduit littéralement « des boites à étouffer » : la tête du soumis est enfermée dans une boite en bois, au niveau du visage il y avait une lunette de toilette. Une personne s’assoit dessus et soulage ses besoins naturels, le soumis devant avaler comme il peut. Cet appareil existait également en modèle sans la boite, sous forme de chaise, de fauteuil, de caisse. Il y avait également des croix, en bois, en métal, recouverte de cuir, avec des anneaux, des crochets, des sangles intégrées. Et même divers corsets, certains en tissu, d’autre même en métal !

Wangdak avait droit à une visite guidée. Il restait silencieux et très attentif aux explications de Monsieur le Marquis qui, parce qu’Il connaissait le Musée qu’Il avait Lui-même mis en place, faisait le meilleur guide qu’il puisse avoir. Son ami et invité se montrait donc fort intéressé par tout ce qu’il voyait, et s’imaginait utilisant tel ou tel objet avec un de ceux qui lui appartenait. Par exemple, il s’imaginait bien utilisant le siège d’amour exposé avec sa chienne Sangmo. C’était un objet destiné à prendre du plaisir des deux côtés, mais rien n’empêchait d’attacher sa soumise et future femme dessus pour s’en servir en mode plus D/s… Le Châtelain le regardait en souriant, devinant sans trop de mal les pensées qui pouvaient traverser l’esprit de son ami. Il ne montrait pas de signes d’impatience, sachant très bien maitriser Son comportement et Ses agissements, mais intérieurement, Son cœur réagissait comme celui d’un enfant, impatient de montrer à Son ami la suite de la visite, qui lui plairait et l’exciterait sans que le moindre doute fût permis. Mais Il laissait à Wangdak le temps de tout observer à la vitesse où il l’entendait. Il savait qu’ils approchaient de choses plus « intéressantes »…
En effet, la vitrine qui s’illumina lorsqu’ils avancèrent était toujours une vitrine de présentation, mais pour mettre en valeur les différents objets, des soumis vivants avaient été disposés. La lumière en contre-jour, permettait aux visiteurs de voir ce qui se passait, mais à l’inverse, les soumis ne pouvaient pas voir ce qu’il y avait, et qui il y avait, derrière les vitrines. Certains d’eux présentaient des baguettes qui enserraient douloureusement des couilles, des pénis, des seins qui portaient également au bout de leurs tétons des chaines, des langues. La suivante vitrine exposait des cages de chasteté, toujours sur modèle vivant. L’une d’elle avait des pointes qui menaçaient le pénis qui aurait voulu trop grossir. Certaines semblaient inoffensives. Mais Wangdak repéra de nouveaux boutons, et après un regard à Monsieur le Marquis, qui lui répondit d’un signe de tête en souriant, il appuya sur l’un d’eux. Immédiatement l’un des soumis tressauta et grimaça de douleur. Effectivement, c’était une ceinture électrifiée et le bouton envoyait des petites décharges dans le sexe qu’elle emprisonnait.

Venait alors une salle « d’expositions ». Des soumises étaient exposées derrière une vitrine, couchées, attachées et maintenues écartelées jambes et bras en croix avec le sexe écarté bien voyant plaqué contre la devanture. A cet emplacement une ouverture était prévu afin que le visiteur excité puisse à souhait, simplement enfiler sa verge dans cette ouverture et ainsi pénétrer la soumise offerte pour se vider les couilles. Mais pour que les pénétrations soient lubrifiées au bon moment, des vibromasseurs automatiques s’enclenchaient sur les clitoris et les deux tétons dès que le visiteur s’approchait de la vitrine et s’intensifiait à l’approche de l’ouverture … La même idée était aussi proposée avec des soumis et soumises afin de pouvoir prendre aussi leur cul, toujours exhibé er accessible derrière la vitrine. Il y avait aussi, plus loin, des nacelles suspendues au plafond, dans lesquels des soumis étaient assis, si l’on peut dire. Elles étaient profondes, et ils se retrouvaient plutôt pliés en deux, les jambes et les bras ne pouvant faire autrement que d’aller vers le haut. Une même roue en cuir était présente plusieurs fois. Ses nombreuses attaches permettaient de multiples positions, toutes présentées par des soumises, les roues tournant sur elles-mêmes sur un socle indéfiniment. Des domestiques étaient présents pour les fouetter à un rythme aussi précis que celui d’un métronome. Il y avait également une sorte de meuble avec un coussin posé sur la base sur lequel on devait se mettre à genoux et une plateforme courbe sur laquelle poser le ventre. Au Dominant de choisir ce que devait faire de ses bras le chien soumis ou la chienne soumise qui devait rester dessus, soit mains dans le dos, bras étendus en avant, ou sur les côtés, ou pourquoi pas, comme le soumis qui était actuellement dessus, les bras étirés en arrière et vers le haut grâce à une chaîne fixé à un crochet présent dans le plafond.

Il y avait également un tréteau avec un côté creux, l’autre avec une ouverture pour la tête, les bras et les jambes, un soumis se retrouvait à devoir tenir sur une planche en pente, sans devoir toucher le sol. Et pour finir cette salle, une boite pour voyeur/exhibitionniste. Cette boîte contenait de petites ouvertures permettant de voir à l’intérieur, où il se trouvait un lit couvert de draps de satin. On pouvait donc être voyeur et voir ce qui s’y passait, exhibitionniste et être en train de se montrer en train de dominer ou de baiser. Là en l’occurrence se trouvait une des chiennes MDE de Monsieur le Marquis d’Evans, en train de se caresser dans des poses suggestives, se masturbant jusqu’à en avoir de puissantes envie de jouir, à en croire sa façon de se mouvoir et d’haleter. Mais elle ne devait pas avoir droit à ce plaisir ! Wangdak la regardait d’ailleurs avec envie, ce que vit rapidement le Châtelain qui lui proposa en souriant de la rejoindre dans la boîte.

- Mais je ne suis absolument pas exhibitionniste, mon cher ami !
- Il n’y a pas d’autres visiteurs que Moi, et je Vous promets de ne point Vous déranger pendant Vos ébats ! Mais je vous en prie, laissez-vous aller à vos envies, vos pulsions, c’est aussi un des buts de ce Musée D/s!

Wangdak n’hésita pas longtemps, et alors que Monsieur le Marquis s’éloignait discrètement, il pénétra dans la boîte. La soumise arrêta ses caresses et se prosterna attendant de savoir ce que l’on allait exiger d’elle. Il lui ordonna de continuer ce qu’elle était en train de faire et elle s’exécuta tandis qu’il sortait son sexe déjà en demi érection de son pantalon et qu’il commençait à sa branler en la regardant. Quand il fut bien gonflé, il se dirigea vers la chienne soumise, la fit mettre en levrette et la besogna sauvagement, étant déjà proche de l’explosion, et il se vida en elle en de longs jets de spermes épais et chauds, dans une femelle surexcitée, mais n’ayant toujours pas eu l’autorisation de jouir. Après qu’elle lui eut nettoyé sa verge qui n’avait pas tout perdu de sa vigueur, Wangdak sortit de la boîte, puis dans le couloir où il continua à avancer, seul, de quelques pas. Il retrouva son ami un peu plus loin, devant une nouvelle devanture.

Et venait enfin « la salle des machines » ! Salle de tortures, de plaisirs, d’entrainements… suivant le point de vue de qui la regardait ou qui était dedans à subir les divers mécanismes. Il y avait un appareil devant lequel était trois soumis, chacun ayant le sexe accaparé par une partie de la machine. L’un se faisait branler indéfiniment par une main mécanique, le second l’avait enfoncé dans une vulve qui le pompait, et le troisième dans la bouche d’une tête féminine qui le suçait. La machine pouvait être autant un objet de plaisir que de torture, car si les trois males avaient le droit d’éjaculer, la machine ne s’arrêtait pas tant que le Maître ne décidait pas d’appuyer sur le bouton qu’il fallait. Il y avait une planche sur laquelle un soumis se tenait penché en attrapant des anneaux dans le sol, et une tapette large lui appliquait une fessée mécaniquement. Dans le couloir, plusieurs boutons servaient à commander la vitesse et la force de frappe et le Tibétain s’amusa un moment à surprendre le pauvre chien dont le derrière lui cuisait, mais qui était un mâle entrainait et qui donc ne laissait échapper aucun son. Deux soumises, allongées sur le dos chacune sur une table, subissaient les assauts mécaniques d’une main qui leur faisait vivre, pour l’une un fist vaginal, pour l’autre un fist anal.

D’autres étaient attachés à des chaises et des pompes à seins, à clitoris les faisaient gonfler jusque ce soit douloureux, avant de relâcher la pression et de recommencer. D’autres étaient reliés à des pinces, des plugs ou des godes branchés à des batteries qui s’actionnaient toujours depuis des boutons se trouvant dans le couloir et permettant aux visiteurs de s’amuser avec les mannequins humains du musée. On y trouvait aussi deux vélos fixé au sol, un modèle féminin, où un plug anal et un gode s’activait au mouvement du pédalier dans la chatte et l’anus de la femelle qui le montait, et un modèle masculin, où le gode avait été remplacé par une main qui branler la queue du mâle installé dessus… Et enfin venait le dernier appareil, celui où je me trouvais être. Debout sur deux pédales fixées au sol, les bras étendus vers le haut, accrochée par les poignets à des chaines qui pendaient du plafond, je me retrouvais les trois orifices encombrés, par des godes en bois de bonnes tailles, que le pédalier faisait aller et venir dans mes trous. Sans action humaine, autre que la mienne, seules mes jambes influaient sur la vitesse de mouvement. Mais Wangdak trouva vite les manettes permettant de la faire varier. J’eus très vite envie de hurler ma jouissance. Je bavais comme une chienne sur le morceau de bois qui m’occupait la bouche. Ma cyprine dégoulinait sur celui qui me pilonnait la chatte. Je sentais mes sphincters se contractaient autour de celui qui me labourait profondément le cul !

- Eh bien cher ami ! Votre Cheptel est sans aucun doute très endurant ! Ne les récompenserez-Vous pas pour cela ?
- Je le puis effectivement ! Il y a un panneau de commande qui permet d’activer l’allumage de panneau sur lesquels peuvent apparaître l’autorisation de jouir. Je peux soit en allumer un à la fois, soit plusieurs, voir même tous. Avec également l’indication de jouir en silence ou la possibilité de laisser éclater leurs cris.
- Hummm, je ne serais pas contre un petit concert de jouissance, alors, si Vous le voulez bien !
- Ce sera un plaisir pour moi également !

Il se dirigea alors vers un petit placard et appuya là où il le fallait. On ne tarda pas à entendre de toute part des cris plus ou moins bestiaux d’orgasmes retenus depuis plus de deux heures qu’avaient duré la visite des deux amis. Les cris durèrent jusqu’à ce qu’ils sortent du musée et qu’ils en verrouillent l’accès principal, ce qui eut pour effet de stopper net toutes les machines, tous les mécanismes et également les panneaux d’autorisation à la jouissance. Plusieurs domestiques les aidèrent à s’extraire des machines et ils furent tous emmenés, lorsqu’ils eurent récupérer un peu, dans la cuisine où les attendait une collation revigorante.

- Eh bien, Vous Vous êtes surpassé encore une fois, mon Cher Edouard ! Toutes ces époques présentes, tous ces matériaux, tous ces objets, divers et variés… Vous avez une magnifique collection ! Et cette idée de pouvoir interagir avec les appareils, sans que les soumis et soumises puissent voir et donc prévoir quoique ce soit est tout simplement génial ! Je Vous félicite bien sincèrement !
- Je Vous remercie, Vos mots me touchent ! Pour un premier Musée mondial de la D/s, je ne voulais pas bâcler le travail, et je suis heureux que cela ait pu Vous plaire ! Voulez-vous observer où en est Votre chienne favorite ? Depuis mon bureau, grâce aux caméras de surveillance, vous pourriez suivre son entraînement.
- Je Vous suis avec plaisir. Vous le savez, il y a de nombreuses années maintenant que je suis Dominant. Jamais je n’aurai pensé que je pourrais éprouver de tels sentiments pour une chienne qui m’appartiendrait. Et pourtant… J’attends avec une vive impatience notre mariage, qui fera d’elle ma propriété absolue, même aux yeux de la loi ! Jamais aucune chienne ne m’aura fait tant battre le cœur, ne m’aura fait tant bander également, je puis bien Vous l’avouer ! J’ai mis du temps à me l’avouer et encore plus à le lui avouer à elle, mais je ne peux nier les sentiments profonds d’amour que j’ai pour elle !

Monsieur le Marquis sourit tendrement en attendant son ami parlé. Il ne le jugeait pas, bien au contraire, et Il lui souhaitait sincèrement d’être le plus heureux possible dans sa future vie maritale, qui pourtant ne ferait jamais disparaître le Maître qui savait être intransigeant, qu’il était, ni la chienne soumise que Sangmo ne cesserait jamais d’être…
(A suivre …)

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