LE CHARPENTIER

- Par l'auteur HDS VINCENTI -
Récit érotique écrit par VINCENTI [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHARPENTIER Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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LE CHARPENTIER
LE CHARPENTIER
Avant d’être pensionnaire dans l’internat d’un lycée technique, je suivais des stages de formation pendant l’été. L’un d’entre eux était un stage dans un atelier de fabrication de charpentes en bois. J’avais alors 19 ans et j’étais assez timide. J’étais plutôt gros et certaines personnes m’avaient déjà fait des réflexions au sujets de mes fesses. J’entendais des remarques sur la grosseur de mon cul, des propos grivois surtout de la part d’hommes murs que je croisais lors de mes promenades. Ils me faisaient rougir et déclenchaient une sensation de chaleur dans cette partie de ma personne.

Le premier stage se déroulait dans un atelier de charpente. J’y étais seul en compagnie d’un ouvrier âgé de 50 ans. Les autres et le patron travaillaient sur un chantier à l’extérieur. J’étais chargé de dessiner des éléments de la charpente. Ensuite l’ouvrier les découpait et les assemblait.

Il était assez gros, disons bien bâti, avec un gros ventre et des bras musclés.
Il était agréable et me souriait souvent. Bien sûr je lui rendais ses sourires. Il me racontait des histoires tout en fixant son regard sur mon anatomie. J’avais remarqué qu’il s’intéressait beaucoup à mes fesses et mes cuisses sous mon bermuda et moi je ne faisais rien pour les cacher, au contraire. Je faisais toujours en sorte de les mettre en valeur, en écartant largement mes cuisses afin d’avoir plus de stabilité dans mon travail.

Après deux jours, le charpentier était devenu plus familier et souvent il me rendait visite dans le local qui avait été aménagé pour mes activités. Il plaisantait, et même une fois il m’a caressé les fesses en me disant que j’avais un beau derrière très appétissant et que je devais avoir du succès.
Ce soir là il en était resté là mais il ne se privait pas de continuer à faire des commentaires, des allusions….me demandait si je sortais avec une fille… je répondis non et son visage s’éclaira et il me fit un sourire très coquin en passant sa langue sur ses lèvres. Je m’aperçus alors qu’il se touchait au niveau de son sexe, à travers son bleu de travail. Je vis aussi qu’il avait là une grosse bosse, qu’il pétrissait avec ses gros doigts en me souriant.

Puis il défit la fermeture de son bleu et sortit un gros sexe bandé. Je le regardais avec étonnement, c’était la première fois que je voyais un sexe d’homme, j’étais impressionné. Il était gros avec un gros gland décalotté, rouge et luisant.
L’ouvrier me demanda si je voulais le toucher, le caresser. Vous savez, j’étais très timide, je ne savais pas comment réagir….alors l’ouvrier pris ma main et me força à caresser son membre qui était de plus en plus gros. Je me laissais faire, soumis à sa volonté. A ce moment là, il passa sa grosse main derrière ma tête, me tint fermement et approcha son gros sexe décalotté vers ma bouche.
Je sentais son odeur très forte, odeur d’urine et autres. J’étais soumis à ses désirs, ses volontés. Il me dit d’une manière brutale d’ouvrir ma bouche et de lécher, de sucer son gros gland.
Bien sûr, forcé par cet homme je fis ce qu’il me demandait. Je suçais et aspirais son gros gland d’où s’écoulait un liquide que je ne pouvais pas voir, je le goûtais et je me surpris à aimer ce que je faisais, à me conduire comme une salope comme dans les histoires cochonnes que j’avais lues au lycée.

L’ouvrier m’encourageait, il me traitait de salope. Il enfonça son sexe dur bien au fond de ma bouche et fit des vas et viens comme s’il me la baisait.
Moi, j’adorais ce qu’il me faisait subir, j’étais sous l’emprise du gros sexe d’un homme vicieux, à qui je donnais du plaisir.

Puis je sentis son sexe faire des soubresauts, se raidir encore et puis son gland cracha de nombreux et abondants jets de crème chaude et bien gluante. Ces jets me remplirent toute la bouche. L’ouvrier me maintenant toujours la tête, il me fut impossible d’échapper à cette douche de sperme, que j’appréciais. J’avalais, je goûtais. J’adorais ce goût sucré/salé. Cet homme me souriait, satisfait d’avoir vidé ses gros testicules dans la bouche d’un jeune homme.

Alors il caressa mes grosses fesses, baissa brutalement mon bermuda et mon caleçon fit aller et venir ses gros doigts le long de ma raie, appuya sur mon anus, il me le caressait en tournant. Sous ses caresses, je poussais des soupirs de jouissance. Et lui il respirait très fort, soufflait dans mon cou en me disant des mots doux. Je me sentais complètement soumis à ses volontés. Je me sentais femelle, j’avais envie de me faire baiser par ce gros ouvrier qui s’était déjà vidé dans ma bouche.
Puis soudain il s’arrêta net et me dit que demain et il me fera connaître un autre plaisir, en s’occupant bien de mon petit trou vierge et qu’il fera venir un de ses amis viendrait nous rendre une visite.

Effectivement le lendemain matin il me présenta Luc, un de ses amis qui lui rendait visite. Il me salua avec un beau sourire. Il avait la quarantaine. Le charpentier nous invita tous à nous rendre dans mon petit local pour prendre un apéritif.
Alors le charpentier dit à Luc que je j’aimais sucer et que je savais faire bien jouir un homme. Il lui a aussi fait remarquer que j’avais de belles fesses bien appétissantes. Luc était un peu gêné mais il ne tarda pas à me caresser le cul en m’arrachant un profond soupir.
Alors, le charpentier nous versa un alcool fort que nous bûmes tous les trois d’un trait. La tête me tournait un peu.

J’ai alors remarqué que le pantalon de Luc faisait une grosse bosse vers sa braguette. Le charpentier me demanda de l’ouvrir pour découvrir un trésor. Je ne fis pas prier et j’ouvrais sa braguette et fis jaillir un beau sexe bien dur.
Je me mis à genoux et je me mis à sucer son gland qu’il avait découvert. Lui aussi avait une forte odeur qui dans un premier temps m’apparut répugnante, mais après avoir passé ma langue tout autour comme quand on lèche une glace, elle m’apparut délicieuse, j’adorais le goût fort et son odeur.
Je me sentais bien salope, cet homme me donnait son sexe.

Soudain le charpentier baissa mon bermuda et mon slip, il caressa mes grosses fesses, moi je les écartais bien pour qu’il puisse voir mon anus.
Je mis mes coudes sur la table, j’écartais les cuisses.

A ce moment je sentis que Luc jouissait dans ma bouche, plusieurs jets de crème chaude et goûteuse, un délice que je m’empressais d’avaler.
Un peu de son sperme chaud s’écoulait autour de ma bouche, je passais ma langue pour bien le goûter.
A demi couché sur la table du local, appuyé sur mes coudes, je sentais que le charpentier forçait sur mon anus vierge avec son gros gland. Il avait mis beaucoup de gel. Il forçait, ça me faisait mal puis soudain je sentis qu’une pression plus forte de son gland avait eu raison de mon trou. Il y pénétra, la douleur disparut progressivement, le charpentier fit des vas et viens d’abord lents puis rapides et profonds. Il s’acharnait sur mon anus.
Je sentis le plaisir monter, je gémissais et lui derrière moi me pistonnait, avec force, je le sentais bien frapper au fond et ses grosses couilles frotter sur mes cuisses. Il m’avait bien ouvert l’anus, il coulissait bien.
Soudain le charpentier poussa un fort gémissement, il se retira de mon anus. Je sentis qu’il jouissait, qu’il m’arrosait les fesses avec son sperme chaud et gluant. J’étais soumis, je me sentais femelle.
Je ne me suis pas essuyé, j’ai laissé le sperme chaud entre mes fesses puis j’ai remonté mon bermuda et je suis resté ainsi toute la journée, souillé.

La prochaine fois nous irons dans un restaurant avec d’autres copains. Le charpentier connaît très bien le patron qui se fera un plaisir de nous recevoir. Moi, j’ai bien envie de rencontrer d’autres personnes qui aimeraient faire ma connaissance.

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