Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) - histoire érotique

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1162) –
Sans lui laisser le temps de répondre, il la prend par la nuque et l’embrasse amoureusement pendant de longues secondes… Le dîner est terminé, le Noble se lève et d’un geste de la main obtient de suite le silence.

- Mes amis, j’espère que ce repas vous a comblé, je tiens à remercier Marie pour sa succulente cuisine, et mon cher ami Walter pour l’organisation de cette soirée qui n’est pas terminée. Il est temps de faire place aux plaisirs en tous genres, Mes esclaves sont à votre disposition, n’hésitez pas à en user et en abuser. Des chambres sont disponibles, ainsi que le Donjon et autres salles BDSM largement équipés pour vos plaisirs. Mes serviteurs sauront vous orienter, bonne fin de soirée à tous !

L’assemblée applaudie avant de se lever et de se diriger vers les espaces transformés en lieux cultes D/s. Alors qu’une véritable orgie débute, le Noble invite ses proches amis à le suivre, ainsi le Préfet, le Comte et son ami le Commandant accompagnés de leurs compagnes se dirigent vers Son salon privé, où ils entament une discussion autour d’un excellent cognac savouré dans de larges et hauts verres ballons à pied et du meilleur thé vert pour les dames ne souhaitant pas d’alcool. Quelques heures plus tard, Walter fait son apparition troublant la discussion.

- Messieurs, Mesdames, je vous prie de m’excuser de vous déranger mais le chauffeur de Monsieur le Comte a ramené Madame la Comtesse, elle patiente à l’entrée, dois-je la faire venir ?
- Faites donc Walter et si Monsieur Le Marquis accepte j’aimerai que vous vous joigniez à nous pour rappeler à ma femme sa place.
- Qu’il en soit ainsi, ponctue le Noble.

Le Majordome part chercher la femme du Comte et revient quelques minutes plus tard, la tenant en laisse. Il la place au centre de la pièce, la laisse en position d’attente, à genoux, les mains dans le dos, et rejoint un fauteuil inoccupé. Vanessa regarde cette femme d’une cinquantaine d’année, immobile, présentant de larges marques de cravache sur une grande partie de son corps, visiblement déterminée à se racheter aux yeux de son époux. Vanessa comprend bien la tristesse qui doit l’envahir, celle d’avoir déçu son mari qui est aussi le Maître qui la soumet, celle d’avoir manqué la rare occasion d’être à ses côtés ce soir, celle de le contraindre à la punir. Vanessa ressent aussi une si grande empathie pour elle, comme si elle pouvait ressentir toutes les émotions de cette femme, elle lève des yeux implorants vers le Châtelain qui a bien compris les sentiments qui habitent Vanessa, Il se contente de lui sourire.

- Bonjour chienne, tu as manqué notre excellent repas, fait remarquer le Noble.
- Bonjour Monsieur le Marquis, je tiens à Vous présenter mes excuses, j’ai eu un comportement inacceptable qui a contraint Monsieur Le Comte à me sanctionner.
- Et la sanction était-elle la hauteur de la faute commise ?
- Elle l’est toujours, Monsieur le Marquis.
- Et donc que fais-tu encore à genoux devant nous ?
- Je dois encore obtenir Votre pardon Monsieur le Marquis, et vous demander de sanctionner mon absence à Votre repas, auquel Vous m’aviez si généreusement invitée.

Vanessa est fascinée par sa façon si juste de répondre, le bon ton, les bons mots, au bon moment, elle flirte avec la perfection.

- C’est effectivement la moindre des choses, donc ?
- Monsieur le Marquis, je vous propose 20 coups de cravache, ose-t-elle espérant que la réponse conviendra.
- Hum, il me semble que la cravache a déjà bien caressé ta peau ce soir, non, je vais opter pour une autre sanction, mais je retiens le chiffre 20, ponctue Le Noble de manière énigmatique.

Sans un mot de plus, il fait un signe à Walter qui se lève et, se dirige vers une porte dérobée avant de revenir avec un large bâton. Il se dirige vers la soumise, place le bâton sous ses genoux, puis lui prend les bras pour les lui tendre loin devant, avant de poser sur chacune de ses mains une tasse remplie de thé empruntée sur la table.

- Bien tu l’auras compris, tu vas devoir rester dans cette position pendant 20 minutes, les bras tendus à ne pas renverser les tasses et si tu bouges ou émets le moindre son, on remet le chronomètre à zéro termine Monsieur Le Marquis …
La punition a été salvatrice et c’est difficilement bien passé. La soumise n’a pas bougé d’un iota même si la douleur aux genoux s’amplifiait au fil des minutes qui passaient à cause de l’appui de son corps sur le bâton et les autres douleurs à ses deux bras tendus tenant en mains les tasses de thé. Mais elle a tenu bon et fière d’être arrivée jusqu’à la fin, c’est ainsi qu’au bout de 20 minutes, sur ordre du Noble, elle vient se placer en position prosternée devant Monsieur le Marquis et son mari pour les remercier de l’avoir justement sanctionnée. Elle a même eu l’honneur d’être sodomisée par le Maitre des lieux et d’être prise par tous les dominants présents... La soirée orgiaque se poursuit jusqu’à tard dans la nuit… Le lendemain matin, Vanessa est réveillée par une main sur son épaule, elle ouvre les yeux pour voir une de ses sœurs de soumission la secouer doucement.

- Madame, Le Maître m’a exigé de venir vous réveiller, Il vous attend dans la salle à manger dans dix minutes, chuchote-t-elle.
- Merci, c’est gentil de ta part, répond la jeune femme en souriant.

Vanessa se lève sans réveiller Laurent, prend une douche rapide, attache ses cheveux en chignon, passe son uniforme et, se presse dans les longs couloirs pour rejoindre la salle à manger.

- Bonjour Maître.
- Ponctuelle, comme toujours sourit Le Noble.
- Faire attendre un Maître est toujours un risque, répond Vanessa avec assurance.
- Bien, peu de mes invités sont matinaux après une telle nuit, je me suis donc dit que tu pourrais partager mon déjeuner avant d’aller travailler, dit-Il désignant la chaise à sa droite.
- Merci pour cet honneur, répond la jeune femme en prenant place aux côtés du Noble.

Vanessa déguste le succulent déjeuner préparé par Marie, tout en discutant avec joie de divers sujets qu’entame Monsieur Le Marquis.

- Maître, je tiens à vous remercier pour ce repas, mais l’heure avance et, je vais devoir prendre congé.
- Le plaisir était partagé, j’espère que tu as apprécié cette soirée, ta prochaine venue en ces lieux sera tout autre.
- Il va de soi, mais elle n’en sera pas moins agréable, j’ai hâte de retrouver place à Vos pieds.
- Tu m’en vois ravi, allez file.

La jeune femme rejoint sa voiture, et prend la route direction la caserne, pour assurer sa garde en ce jour de Noël. La journée se passe au fil des interventions, ponctuées de quelques accidents habituels liés aux fêtes de fin d’année. Lors de ses pauses, elle appelle Laurent pour prendre de ses nouvelles, il semble passer une excellente journée au Château. La soirée arrive, et alors qu’elle allait se coucher, Vanessa est appelée pour un homme alcoolisé qui s’exhibe nu en pleine rue. L’équipe a malheureusement l’habitude d’intervenir pour des personnes alcoolisées, encore plus les jours de fêtes, il est assez rare que ces personnes s’exhibent ainsi, mais ce soir l’équipe est amusée de voir cet homme présenter un sexe enfermé dans une drôle de cage de métal. Tous sont focalisés dessus, sauf Vanessa qui repère rapidement sur la hanche de cet homme un tatouage représentant la marque qu’elle porte elle-même, les Armoiries du Maître.

- Les pompiers, ah ces fameux pompiers, il ne manquait plus qu’eux, braille l’homme visiblement fortement alcoolisé. Ces soi-disant héros commandés par un homme qui cache bien sa perfide véritable nature. Et encore je ne vous parle pas de sa femme qui… - Monsieur, je vous demande de vous calmer, coupe Vanessa l’enroulant dans une couverture de survie pour cacher sa nudité, et surtout La Marque du Maître.
- Eh bien quoi la salope ? Tu n’as pas envie de savoir par qui vous êtes dirigés ?
- Elle sait qui nous dirige, elle est la femme de notre commandant, lui répond un de ses collègues.
- En personne ? Eh bien, quelle chance j’ai, ironise l’homme. La chienne est ici.
- Monsieur, je ne vous ai pas manqué de respect, je vous prierais de faire de même. Et si visiblement vous me connaissez, vous devez savoir qu’il vaudrait mieux pour vous, vous arrêter avant que vous ne dépassiez certaines limites.
- Tu me menaces, s’énerve l’homme sous l’emprise de l’alcool.
- Je vous donne un conseil.

Sans s’y attendre Vanessa reçoit un coup de poing en pleine figure, elle a pourtant l’habitude de ce genre de personnes, en cas normal elle est plus attentive et garde ses distances, mais ne s’attendait pas qu’un soumis MDE se permette un tel geste. Aussitôt ses collègues le ceinturent et le plaquent au sol.

- Doucement, on se calme, ordonne Vanessa à ses collègues énervés. Vous le mettez dans le véhicule, si besoin on le ceinture sur le brancard, je vais faire une demande de Police, il n’a rien, ça ne relève pas de nos services.

La police ne tarde pas à arriver, elle menotte l’homme et le mène dans leur véhicule.

- Vous voulez porter plainte ? demande le brigadier à Vanessa.
- Je vais y réfléchir, je vous laisse déjà le prendre en charge, je reviendrai vers vous plus tard.
- Entendu.

L’homme part avec les forces de l’ordre pendant que Vanessa décide de prévenir son compagnon. Elle prend une photo de son visage bien marqué au niveau de l’œil gauche et l’envoie à Laurent avec un SMS :
« Petite agression en intervention, rien de grave, un œil qui va passer au bleu dans quelques jours c’est tout. Je connais la procédure, mais si je fais un rapport je devrais porter plainte, or je ne suis pas certaine que cela soit la bonne solution dans ce cas. Le fautif portait la marque des Armoiries de Monsieur Le Marquis, il était fortement alcoolisé, il est parti avec les forces de l’ordre. Peux-tu me préciser la conduite à tenir ? ».

Laurent est avec Monsieur Le Marquis, ils terminent la soirée dans le salon privé avec quelques esclaves à leur service, lorsqu’il reçoit ce message, il regarde la photo un peu inquiet...

(A suivre …)