COLLECTION ESCORTE. Petite pute, mais majeure (1/1) - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

• Que fait tu tonton Robert, arrête de me mettre la main aux fesses chaque fois que tu me vois, je vais le dire à papa, on verra s’il apprécie que son frère veuille sauter sa fille ?
• Ne me dis pas que depuis que tu as tes dix-huit ans, tu es encore vierge Laura.
• Si, je suis une jeune fille sage.
• 500 € pour te sauter, les voilà, les petites salopes qui se font sauter et qui se disent vierges, j’en ai connu quelques-unes, je suis sûr que tu fais partie du lot.

Il sort 5 billets de 100 qu’il pose sur la table.

• Mieux, voilà 1 000 €, quand je sors ma queue de ta craquette, si elle ressort couverte de sang, ces mille euros sont à toi.
• Tu vas les remettre dans ta poche dès que tu m’auras baisé.
• Tu te trompes, mets les dans la tienne et enlèves ta culotte.

Une jeune fille de mon âge à de gros besoins, ces 1 000 € me feraient du bien, j’ai vu un petit ensemble qui me ferait bien plaisir.

• J'accepte, dépucelle-moi, je ne dirais rien.

C’est dans ma chambre que nous allons sur mon lit de jeune fille, je m’allonge pour écarter les cuisses, étant sûr de gagner les 1 000 €, aucun homme ne s’étant intéressé à moi.
C’est la première fois que je vois une verge d’aussi prêt, j’en ai vu dans des films porno sur Internet, Robert en a une moins importante que les bites de certains garçons qui baisent ces femmes dans ces films.
Je serre les dents, quand il me pénètre, doucement.

• Vas-y carrément, je veux qu’il y ait du sang, tu ne t’en tireras pas en gardant la moitié de la somme.
• Tu es une petite salope Laura, je pourrais te comparer à quelqu’un que j’ai connu !
• Qui ?
• Je ne te le dirais pas, mais tu es comme elle, tu vas faire une belle baiseuse.

C’est par ces mots qu’il éjacule me mettant du sperme partout avant de ressortir sa verge couverte de sang.

• Essuie, ma verge avec ta bouche, tu as gagné tes mille euros, fais-moi rebander, je vais te faire jouir.

Pour un premier coup, je fais la totale, il me la met dans la bouche, il bande, il me met à quatre pattes, il me suce de la chatte à mon anus, je coule d’envie, c’est à ce moment que je sens qu’il veut me sodomiser.
Je me laisse tomber sur mon lit.

• Tu voulais me sodomiser, j’ai senti ta verge sur mon anus.
• Laisse-toi faire, tu verras, tu vas aimer.
• Tu as payé pour me dépuceler, mon cul, c’est 2 000 € pour l’avoir.
• Tu es dure en affaires, mais tu as raison, je n’ai plus de liquide, je vais te faire un chèque.
• Je veux du cash, mercredi prochain, j’irai chez toi à 14 heures, prépare les billets, en attendant, tu as le droit de me reprendre la chatte sans aucun supplément.

C’est dépucelé et conscient que je venais de me vendre pour la première fois que nous nous sommes quittés après qu’il m’eut reprise réussissant même à me faire jouir.
Le mercredi, j’arrive chez lui, maman voulait savoir où j’allais, elle a gobé mon bobard malgré que je me sois acheté l’ensemble qui me plaisait tant.

• Entre, Laura, je vais te préparer un café.
• Inutile, allons dans ta chambre, je suis là pour me faire enculer, si tu as les billets, bien sûr.
• Les voilà, tu as pris de l’assurance depuis la semaine dernière, pour une jeune femme perdant son pucelage, c’est fréquent.

Pendant qu’il débite ses conneries, je prends les billets, me mettant nue et en levrette sur son lit.

• T’as vraiment un joli petit cul, je vais me régaler, savoir que je suis le premier, comme dans ta chatte, décuple mon plaisir.

Je manque d’éclater de rire, le samedi, une copine m’a invité à passer la soirée avec des amis, j’y suis allée, j’ai bien aidé à ce que cela dégénère, sous couvert de garder ma virginité et par peur d’avoir un enfant, ils ont été trois à m’enculer.
Prendre 2 000 € au frère de papa pour n’être que le quatrième, me fait jouir pour la première fois par l’anus, il décharge nous nous séparons.

• Maintenant, je veux bien le café que tu m’as offert.
• Dis-moi, j’aurais du mal à te payer de telles sommes tous les mois, je vois que tu t’es déjà acheté de jolis vêtements, aimerais-tu rencontrer des hommes ici tous les mercredis, j’ai des copains qui seraient intéressés.
• Tu veux que je me prostitue, il faut voir, tu t’occupes de trouver les clients m’évitant de racoler et d’éviter de me retrouver aux mœurs.
Qu’est-ce que tu gagnes, combien me prendras-tu sur mes passes ?
• Comme tu y vas, des passes des clients, surtout que je ne te demande rien, il faut bien que j’aide ma nièce à débuter dans sa vie avec le maximum de fric, mais tu as raison, tu t’arrangeras un samedi par mois à venir ici pour que je te baise gratis bien sûr.

C’est comme ça que le mercredi suivant je fais mon premier client, il me déchire tellement que je jouis, surtout qu’il m’a donné plein de beaux billets, il choisit la totale, ma chatte et mon anus ont été visités.

Cela fait des mois, que je continue mes études avec de moins en moins d’envie de continuer, je gagne du fric facile.
Robert a sa soirée, je suis de plus en plus professionnelle, je suis la reine des fellations, j’ai découvert que de nombreux hommes aimaient que je leur mette un doigt dans l’anus en les suçant.

Un dimanche, j’ai rendez-vous avec une amie qui me sert d’alibi quand j’allais respecter mon contrat avec Robert, quand j’arrive, Sandra a chopé la grippe et est couchée, je la quitte Robert m’a dit qu’il m’avait trouvé un gros client pour mercredi, je veux pouvoir l’honorer.
Quand j’ouvre la porte, je vais pour me rendre dans ma chambre afin de réviser l’examen de demain quand j’entends du bruit vers la cuisine, mais surtout des pleurs.
C’est maman qui est assise sur une chaise, Robert debout devant elle, il est en colère à ce que je vois grâce à la glace au-dessus de l’évier.

• Robert ne me dit pas que tu prostitues Laura, quand il est arrivé ce que tu as vu, j’étais une autre à cause de l’alcool qu’il m’avait fait boire.
• Te faire sauter par cinq noirs dont deux avec des queues gigantesques me faisant pâlir de jalousie, c’est facile de dire que tu étais une autre.
Quand je suis parti, celui qui avait la plus grosse et la plus grande était en train de te sodomiser et tu avais du mal à gueuler à cause de celle que tu avais dans la bouche, je revois la scène comme si j’y étais encore.
Mais le pompon, c’est la surprise que vous m’avez faite quand j’ai appris que tu allais épouser mon frère Luc.
J’ai fermé ma gueule surtout quand il m’a dit qu’il t’avait eu vierge.
Vierge, quelle rigolade, le sommet, c’est quand j’ai été son témoin, c’est là que j’ai décidé de me venger.
Quand Laura est née, j’ai décidé d’être patient et qu’à ses dix-huit ans, j’en ferais une pute, je l’ai rendu accro à ce que les clients trouvés sur Internet lui rapportent comme fric.
• Tu es dégueulasse, tu m’as brisé.
• Parce que tu crois que je n’étais pas brisé, quand je t’ai vu avec tes noirs qui plus est, mais ma vengeance n’est pas terminée, ton fils Corenthin à 16 ans, dans deux ans, je vais virer Laura de chez moi.
J’ai déjà un réseau africain qui va la récupérer, elle va être expédiée en Afrique ou comme sa mère, elle se fera sauter par de belles queues noires, à sa place, je vais prostituer ton fils.
J’ai compté les jours avant de dépuceler ta fille, je vais en faire de même avec lui avant de l’enculer, tu peux pleurer, tu ne m’émeus pas, la vengeance est un plat qui se mange froid.
Je vais en faire, une lopette qui se fera enculer pour du fric comme toi, tu te faisais enculer par ta verge noire

Je me suis éclipsée et c’est dans un café que j’ai composé un numéro, je voulais arrêter mes études, c’est avec Sandra que je me suis ouverte sur ce que je pourrais faire, elle avait compris que je me prostituais, elle connaissait l’homme que j’appelle et qui me donne un rendez-vous.
C’est dans son bureau que je comprends ce que fait Sandra pour payer ses études.

• Vous voulez entrer dans le réseau que je gère sur Internet d’escorte de très haut luxe, permettez que je regarde quelque chose.

Il vient à moi me tient la tête dans ses mains, modifie ma coiffure.

• Avec votre blondeur et en reprenant vos cheveux, vous avez des airs de Maryline, je pense que vous devriez adopter ce nom, vous allez faire un tabac, quand on sait le mythe que représente cette icône.
• C’est vrai, on me l’a déjà dit, je suis prête à rencontrer mon premier client quand vous le voudrez.
Puis-je vous poser une question, avez-vous un mac, Sandra m’a parlé d’un certain Robert.

Je lui raconte mon histoire, jusqu’à la conversation entre lui et ma mère.

• Ce dont j’ai peur, c’est pour mon frère, il est très brillant dans ses études, il veut créer son entreprise.
• Voulez-vous qu’on le mette au pas ?
• Comment pouvez-vous faire ?
• Pouvez-vous lui donner rendez-vous demain à 20 heures chez lui ?
• Sans problème, je vais lui faire croire que j’ai envie de lui.
• Arrangez-vous pour laisser la porte ouverte et assister à ce qu’il va lui arriver, il nous arrive de devoir remettre des clients dans le respect de nos filles, les gars que je vais envoyer, savent s’adapter, je vais leur parler.

Comme je l’avais prévu, Robert pensant pouvoir me donner un coup de queue est content de me recevoir, je vais dans la salle de bains, j’ai fait ce qu’il m’a été demandé, cinq minutes plus tard, j’entends Robert hurler.

• Alors, on emmerde la petite dame, on veut baiser son frère, on veut l’enculer, on va te faire voir comment cela fait, je vois que tu avais déjà enlevé ton ben.

Ce sont deux blacks, qui sont dans la chambre, Robert est couché son tort sur le lit, à quatre pattes, son anus est à deux doigts d’être éclaté par la verge que l’un des hommes a sortie, son copain attendant la place.
Je quitte l’appartement quand j’entends.

• Tous les soirs pendant un mois, on va venir te pilonner l’anus, tu vas finir par aimer comme beaucoup de ceux dont nous sommes occupés, n’essaye pas de nous doubler, on t’enverra au pays, les copains seront contents d’avoir une tantouze comme toi.

C’est la dernière fois que j’entends parler de Robert, pendant les années qui suivent, je deviens Maryline, mes clients ont des portefeuilles bien garnis, quant à Corenthin, il vient de finir ses études.
Il a ouvert sa boîte, je l’aide en devenant sa conseillère en communication, s’il le faut, je couche avec ceux qui peuvent nous servir pour que les contrats entrent, il faut dire que bon nombre d’entre eux ont été mes clients, alors baiser Maryline la plus grande escorte de Paris contre un contrat, ils apprécient.

Merci à Robert, grâce à lui, je vais avoir une vie pleine d’insouciance surtout pécuniaire.