COLLECTION COCU. Ma belle-mère, quelle salope (1/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Ma belle-mère, quelle salope (1/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2018 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION COCU. Ma belle-mère, quelle salope (1/4)
• Julien, tu es prêt à emmener les enfants à la plage, je te dépose avant d’aller à Royan chercher Arlette à son train.
• Mais oui Minouche, tu es gentille d’aller la chercher pendant que je vais pouvoir faire des châteaux de sable avec Adrien et Adrienne, je suis avec vous une semaine, avant de retourner aux taffes.

Minouche, 28 ans des jumeaux de 2 ans avec le choix du roi, moi qui refusais les grossesses, j’ai eu un pot terrible, Julien est content, il a ses deux gosses, inutile de remettre le couvert.

• Non, laisse-moi, je vais être en retard pour aller chercher ta mère, tu la connais, l’heure c’est l’heure, avant l’heure, ce n’est pas l’heure, après l’heure, ce n’est plus l’heure.
• C'était bien une femme de gendarme.

C’est tout guilleret que je fais la route jusqu’à la gare, je suis à la limite d’un excès de vitesse, depuis Noël où elle est venue chez nous près de Paris où nous avons notre maison et l’entreprise de Julien.

• Arlette enfin, depuis Noël, tu m’as manqué.
• Toi aussi Minouche, si je m’écoutais, mais il y a trop de monde.
Aide-moi à porter mes valises, avec ce que j’ai déjà dans ma maison de vacances, j’en prends trop.


Arlette était propriétaire de cette maison au-dessus du marché de Saint-Palais sur mer, l’ayant hérité des parents de Serge le gendarme, mais comme ses moyens l'empêchait d'entretenir ses deux biens, nous avons racheté 50 % de notre lieu de vacances à tous.

• Alors voilà la nouvelle merveille du monde, mon fils parle de sa C4 Picasso, chaque fois que je l’ai au téléphone.
• Arlette, grand Picasso, 7 places alors qu’une 5 aurait suffi, tu le connais, il veut toujours voire plus grand.
• Oui, c’est le plus grand défaut de mon fils, mais c’est pratique, comment bascule-t-on les sièges, au secours, je m’effondre, attend, je reviens vers toi.
• Arrête de t’amuser, si tu la casses, ce sera un drame jusqu’à son départ dans 7 jours.
• Où vas-tu, la mer, c’est à gauche, après tout droit.
• J’aime passer par l’intérieur des terres, il est à la plage avec ses mômes, on a le temps, on lui dira que le train avait du retard.
• Je vois que j’ai bien fait de mettre ma mini, je sais qu’elle fait ressortir mon cul, mais je sais aussi que tu aimes.

J’arrive dans une pinède et je prends un chemin où jamais personne ne passe avant d’arrêter la voiture.

• Enfin, dans mes bras, ma chérie, si tu savais comme tu m’as manqué.
• Je le sais, le temps me paraît interminable entre deux moments où nous nous retrouvons, nos coups de fil enflammés chaque fois qu’il est parti au travail ne me suffisant pas.
• Moi aussi, mais tu sais que nous prendrons trop de risques à ce que tu vendes Bordeaux pour venir acheter près de chez nous.
• Oui, embrasse-moi, regarde, j’ai oublié ma culotte.

Nous éclatons de rire.

• Moi aussi, nous sommes deux belles cochonnes, promet moi, cette année quand Julien sera retourné à Paris pas le train où nous le conduirons, pas de mec à la maison qui le ferait cocu.
• Jurée, crachée, il a de la chance que sa voiture est neuve.

Je suis comment dire, oui, il faut lâcher le mot, je suis la maîtresse de ma belle-mère depuis quatre ans, c’est arrivé au bal du 14 juillet, avant d’avoir mes enfants quand nous avons dansé un slow.
J’ai senti qu’elle se frottait sur moi, très naturellement quand nous l’avons pu, elle est venue me rejoindre dans notre chambre délaissée par son fils.
Pour respecter le lit conjugal, je l’ai emmené dans sa chambre ou nos baisers ont été fusionnelles, depuis nous sommes amantes, dans la chambre ou dans la voiture quand nous rentrons de nos orgies.

• Je sais que tu aimes quand nous ramenons deux beaux mâles à la maison et qu’ils nous défoncent pendant des heures.
• Mais maintenant, il y a les jumeaux, se sera plus difficile, Adrien est proche de parler, je me vois mal dire à ton fils, pourquoi il montre du doigt un monsieur sur la plage en l’appelant papa.
• Nous verrons bien, mais du moment que je suis dans tes bras dans cette voiture, nos trois mois de vacances seront magnifiques, embrasse-moi.
J’ai bien fait de trouver la poignée qui couche le siège, ce sera plus pratique.

Arlette bascule son siège et remonte sa jupe, me montrant notre lieu de plaisir, depuis ce Noël où j’attends pour lui sucer la chatte.

• Passe-moi ma veste, je l’ai mise sur le siège arrière, je vais éviter de lui salir ses sièges, je lui emprunte déjà sa femme, ce serait un crime à sa voiture.
• Sans compter les questions qu’il pourrait se poser, pourquoi, j’ai mouillé le temps du parcours, descendons, le sable dans ces pinèdes est doux même si nous nous en mettons partout.
• Hors de question, tient met ta veste sous tes fesses, quand nous le rejoindrons à la plage, il pourrait trouver bizarre qu’il y ait déjà du sable à l’intérieur, si tu savais, il la nettoie tous les jours, tu verras demain matin.

Je me penche et après qu’elle est placée sa veste, je commence à la sucer, c’est divin, le monde est mal fait, malgré la différence d’âge, je suis sexuellement accro à ma belle-mère.
Je savais que j’aimais les femmes, j’ai toujours voulu refouler cet instinct malsain, mais quand j’ai été dans ses bras, j’ai fondu.
Belle-maman dès nos premiers rapports a voulu me dire qu’elle a été sa vie, mon beau-père était motard dans la gendarmerie et était plus amoureux de sa moto que de sa femme.
Tiens bizarres, ça doit être de famille, lui sa moto, Julien sa C4 Picasso grand modèle.
Rapidement, elle a été la salope de la gendarmerie où ils étaient logés, femmes et hommes la connaissaient bien, jusqu’au jour où l’on est venu lui annoncer qu’il était mort dans une poursuite avec des braqueurs.
Le co-pilote était sorti par sa fenêtre avec une grosse mitraillette et l’avait arrosé, il avait reçu plus de dix balles, elle avait reçu une indemnisée, il avait eu une médaille et elle avait quitté la caserne pour son appartement de Bordeaux.
À ce moment, Julien m'était inconnu, il venait juste de finir ses études d’ingénieur et de monter sa boîte de mécanique de précision.

• Tu suces très bien, à mon tour, mais avec le volant, je vais me contenter de te caresser, quand il sera revenu à Paris, tu vas voir comment je vais te défoncer avec ma langue.
• Passe-moi ta veste, tu sais que le simple contact de tes doigts fait sortir des petits jets de cyprine.
• Tu te souviens la première fois où je t’ai fait découvrir que tu étais une femme fontaine, tu t’es mise à pleurer, tu croyais que tu étais malade.
• J’en suis encore morte de honte, mais il vaut mieux prévoir, même si c'est qu’avec toi que je coule comme ça.
• C’est une preuve de notre amour, mais tu as raison, il vaut mieux prévoir.

Nous nous caressons, nous nous embrassons, j’expulse ma cyprine sous ses doigts tachant sa veste.

• Petite salope, rentrons, il va falloir que je la donne au pressing.
• Tu te rends compte, si la jeune fille du pressing est lesbienne, elle va sentir mon odeur !

Nous quittons la forêt et nous retrouvons mes enfants et mon mari, pendant les jours où il est là, nous sommes irréprochables, juste une petite main caressant un cul dans la cuisine quand l’une passe derrière l’autre.

• Soyer sage pendant le reste de vos vacances, merci du bon moment que j’ai passé avec vous, une telle harmonie entre sa mère et sa femme, c’est rare, Paul mon bras droit, l'oblige à les séparer dès qu’elles sont ensembles deux minutes.
Minouche fait attention à ma voiture.

Arlette avant que nous conduisions Julien à la gare fait jouer les enfants pendant que je faisais une nouvelle fois mon devoir conjugal, quand le train, part, s’il pouvait nous voir, c’est la main dans sa main, qu’avec les deux mains libres, nous poussons la poussette des jumeaux.

• Tu vois Arlette, qu’est-ce que j’avais dit pour sa voiture, j’avais aussi raison pour les lavages du matin.
• Tu me rappelles une chose que j’avais oubliée de te dire, le lendemain de notre arrêt en forêt le jour de mon arrivée, je suis venue vers lui quand il la nettoyait.
Il pestait en frottant son tapis de sol, il s'est plein que tu es fait tomber du liquide, il avait du mal à le retirer, il a passé ses doigts dessus et les a portés à sa bouche, s’il te broutait la chatte au lieu de simplement te baiser, il aurait reconnu le goût.

Le soir, quand les enfants sont couchés, elle me déshabille, je la déshabille et je retrouve le goût de sa chatte comme elle retrouve le goût de la mienne.

• Viens dans la chambre, j’ai mis une alèse en plastique sous mes draps, sur ce canapé, il faudrait que je trouve le détachant dont il se sert dans la voiture.

C’est presque en courant que nous entrons dans sa chambre, demain, il va falloir que je lave les draps, tous les matins, sauf quand j’aurais mes règles et que je garderais ma culotte.
Nos vacances commencent bien, je suis contente d’avoir dit à Arlette que je voulais que les hommes chez moi, je refuse, même si chaque fois que nous allions chez eux avant la naissance de mes enfants, nous nous éclations.
Grâce à eux, je redeviens une femme vertueuse, même si je couche avec Arlette ma belle-maman…

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Histoire sexe : Une rose rouge
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