La timidité se soigne

- Par l'auteur HDS Georges -
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La timidité se soigne Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La timidité se soigne
Après dix ans de mariage je suis blasé, blasé de ma femme qui rechigne plus ou moins à écarter les cuisses, mais pas de ce qu’elles ont entre les jambes, d’où ma tendance a mater la femme des autres , sans être pervers ou détraqué je suis fiévreux de découvrir une poitrine arrogante, une chatte blonde, brune, rousse, aucune paire de lèvres n’est coupée ou bombée pareillement, clitoris plus ou moins caché, la mouille plus ou moins longue et abondante à sourdre d’un vagin plus ou moins étroit, bref, je ne suis pas un exemple de fidélitéA trente-six ans je suis dans la force de l’âge, si la femme sait maintenir mon excitation je peux tenir une heure ou deux, j’aime aussi la difficulté, celle qui écarte les cuisses dès que je lui touche les genoux ne me tente pas, mais celle qui se rebelle, qui hésite à se laisser toucher ses parties les plus intimes, comme l’anus, j’aime ce combat silencieux qui va la mener à me céder, lorsqu’elle voit que je suis plus attentif à la montée de son plaisir qu’au mien, à la fin elle me laisse disposer de tous ses orifices à ma guise … Par souci de discrétion et pour ne pas m’attirer les foudres du mari si la femme n’est pas assez attentive à cacher une incartade, dès que j’en ai ‘fait le tour’, je ne revois rarement quatre ou cinq mes conquêtes Ce matin à l’arrêt de bus j’ai remarqué qu’une petite brunette me regardait en douce, le visage baissé signe d’une grande timidité, ses yeux noirs n’arrivaient pas à quitter ma silhouette, se détournaient vivement lorsque je la regardais à mon tour pour revenir aussitôt sur moi, au point que je me suis examiné croyant qu’un détail vestimentaire captait son attentionJe lui ai adressé un petit signe amical avant qu’elle ne s’engouffre dans le bus, elle n’y a pas répondu mais le contact est établit, hélas trop de monde pour m’approcher d’elle, le lendemain, bonne nouvelle, elle était là, même scénario, je me suis fait plus insistant pour essayer de renouer le contact auquel elle a répondu par un sourire, toujours visage vers le sol, la seule avancée est que j’ai remarqué une alliance a son annulaire … et un p’tit cul bien moulé dans un jean très serré , si serré qu’il écrase la vulve et efface son bombé , problème de ce genre de vêtement, en cas d’attouchement furtif et consenti comment accéder au minou ? je suis tombé accro a cette fille, la difficulté me séduit, il me la faut absolument Deux autres jours se sont succédé pareillement, je dois me décider, ou ça passe ou ça casse, règle numéro un, attendre qu’elle descende et la suivre … ce que je fais au troisième arrêt, la jeune femme parait surprise de me voir descendre derrière elle mais ne panique absolument pas, je file ma ‘proie’ a vingt mètres qui se retourne furtivement pour voir si je suis toujours derrière elle, au bout d’un moment elle entre dans un magasin de fringues hommes et femmes, j’emboite le pas et la piste par-dessus les présentoirs, nous nous observons ridiculement, ce qui ne mène à rien, il faut que j’ai l’audace de rompre la glace une fois pour toutes - Bonjour …- Bonjour …- Vous cherchez quelque chose en particulier ?
- Non - C’est pour votre mari ?
- Non - Excusez-moi, je crois que je vous embête, au revoir madame …Après ce râteau je me dirige vers la sortie lorsqu’elle m’interpelle - Attendez …- Oui ?
- Je … je suis très timide, je n’ai pas l’habitude … - De vous faire accoster dans la rue par n’importe qui ?
- C’est cela - Je voulais juste parler un peu avec vous, faire connaissance- Que voulez-vous savoir ?
- Acceptez de prendre un verre et vous saurez tout- J’avoue que j’étais prête à dire à mon mari que j’étais harcelée pour qu’il vienne vous corriger et puis j’ai réfléchi … d’accord pour le verre mais pas n’ importe où, dans un lieu discret - Je le vois comme ça, je suis aussi marié !
- Alors nous nous comprenons, je m’appelle Lina …- Et moi Mathis, suivez-moi Lina, je connais un petit bar sympas Le poisson est ferré ce n’est plus qu’une question de patience avant de la dépouiller de ses vêtements qui semble être pour elle une carapace protectrice, le bar du marché est peu fréquenté et possède des tables retirées de la rue et ainsi de la vue, Lina est toujours aussi distante mais aucunement préoccupéeAssise face à moi j’ai le loisir de détailler ses yeux verts, sa bouche sensuelle, une petite fossette termine ce charment tableau sans parler de cette poitrine bien ronde sérieusement maintenue sous un pull ras le cou- Que cherchez-vous Mathis ? qu’est-ce qui vous intéresse chez moi ?
- Tout ! à part ce jean qui cache surement de belles jambes - Jamais je ne m’en séparerais, désolée mais je ne me montre jamais nue même devant mon mari, nous faisons l’amour, c’est un bien grand mot, uniquement dans le noir - Je fais le pari que si vous suivez mes conseils vous allez changer à deux cent pour cent- Vous êtes bien sûr de vous - Je l’affirme, sinon vous ne seriez pas ici devant moi à boire mes paroles, d’une, vous n’avez rien dit à votre époux et de deux, vous me confiez des détails sur votre vie privée - Si je vous aie suivi c’est que je pense que vous pouvez être une bouée de sauvetage pour moi, j’en ai marre de cette vie de soumise - Venez-vous assoir à côté de moi Lina, blindée comme vous êtes aucune chance de vous toucher vos parties intimes !
- Je n’ai pas peur de vous Néanmoins sa respiration est devenue saccadée, sa poitrine se soulève, preuve d’une émotion profonde, cuisses contre cuisses, je passe un bras autour de ses épaules, après un mouvement de recul elle s’abandonne, sa tête se pose sur mon épaule, j’en profite pour glisser une main sur un sein, impossible de discerner un téton sous ces bonnets épais, Lina émet un gémissement avant de se lever d’un bond - Que faites-vous Mathias ? vous ne m’aurez pas aussi facilement, salut Mathias ...
- Demain quatorze heures devant l’hôtel B&B, salut Lina !
Cette femme fuit le plaisir c’est clair, je me suis rendu au rendez-vous sans grande conviction, mais à ma grande surprise Lina est là, elle fait les cent pas un sac en plastique à la main - Je suis venue uniquement pour vous dire que je ne peux accepter d’aller dans une chambre d’hôtel avec vous- J’ai réservé la chambre quarante au premier étage, voici la carte pour la porte, je vous laisse vous installer ?
- Vous êtes têtu...
- Et vous indécise, ne refuser pas ce que vous souhaitez par-dessus tout, je vous laisse deux minutes pour réfléchir Je fais semblant d’aller à ma voiture pour observer son comportement, Lina fais dix pas vers la sortie avant de foncer vers la chambre, cinq minutes plus tard, gonflé à bloc, je vais a la chambre quarante, les rideaux sont tirés la porte entrebâillée, je me fais vite a cette demi-pénombre, je bute dans un tas de vêtements, jean et sous-vêtements compris, Lina est allongée sur le lit vêtue d’une robe assez courte entièrement boutonnée devant, un bandeau épais sur les yeux , mais moi je tiens à mater chaque détails de ce corps gracile alors en douce je tire sur le rideau inondant la chambre de soleil- Pourquoi ce bandeau Lina ?
- La lumière est trop importante, je ne veux pas supporter votre regard lorsque vous allez me dévêtir- Bien, je peux comprendre … - Autre chose, dans mon sac vous allez trouver des cordelettes, attachez moi bras et jambes en croix, sinon je pourrais avoir des réactions violentes, ensuite faites de moi ce que vous voulez …- D’accord … - Que faites-vous ?
- Eh bien je me mets nu ?
- Pourquoi pas ….
- Étendez vos bras au-dessus de votre tête … bien, je ne vais pas serrer exagérément les nœuds, vos jambes, ouvrez les … encore un peu … voilà, détend toi Lina, je vais déboutonner les premiers boutons du haut …- Épargnez-moi les commentaires si je ne suis pas à votre goût- Il faudrait être idiot pour ne pas reconnaitre un corps de reve, mais je me tais …Je découvre deux seins aux tétons dressés que je palperais plus tard …voici le nombril parfaitement dessiné sur un ventre parfaitement plat… et enfin le mont de vénus noir corbeau, Lina essaie vainement de resserrer les jambes, tire sur les cordelettes des bras lorsque je fais glisser les deux pans de tissus, mettant son corps définitivement à nu- NON ! pas ça !!!
- Je fais ce que je veux, c’est bien ton désir ?
- …..ooouuuuuuiiiiii Mathias……..que fais-tu ?
- HHHaaaaaa, je suis à cheval sur ta cuisse, ne rien voir décuple les sensations hein ?
- C’est à la fois inquiétant et merveilleux, c’est quoi ça ?
- C’est ma queue qui tapote sur ta chatte- Elle est dure … - Tu vérifieras de plus près bientôt …Je délaisse la vulve pour me servir de ma bite comme d’un pinceau sur son ventre puis sur ses seins, Lina parait apprécier par différentes mimique de son visage, s’attendant à ce que je lui passe sur la bouche entrouverte, mais pour la pousser dans ses retranchements je cesse cette pratique , déçue elle rechigne - Pourquoi ?
- Je vais détacher une jambe …- Pourquoi ?
- Je veux la lever pour te bouffer la choune à ma guise- Je risque de ruer …- Ça m’étonnerait … hhhhuuuuummmmmmmm tu sens bon la mouille - D’habitude avec mon mari ça ne fais pas d’effetJe fends le calice de la pointe de ma langue, au lieu de ruer Lina se cabre, elle se sert de son talon comme d’un éperon pour m’inciter à lui dévorer le bonbon toujours plus profondément, un coulée de lave odorante envahit mon palais, et lorsque mes doigts entrent en action c’est la folie, je suis obligé de la maintenir tant elle devient hystérique, il faut dire que je ne lui épargne rien, ni le clitoris ni l’anus, elle hurle de joie mais me supplie de retirer mes doigts de son cul prétextant que c’est sale qu’elle ne l’a jamais admis de son mari, le plus gros de l’orgasme passé elle devient docile et me laisse travailler son entrejambes Une fois de plus je casse le rythme et remonte à genoux prés de son visage, cette fois je presse ma queue sur les lèvres qui s’entrouvrent- Détache-moi les mains Mathias...
- Pour que tu me file une baffe ?
- Je n’ai jamais sucé de mon plein gré, ‘il’ m’a toujours baisée la bouche en se masturbant, interdiction de lui toucher le sexe, je veux sentir la texture de ta queue et de tes couilles - Tu avaleras ?
- Pour la première fois, avec joie- Alors soit, mais attention, si tu me mords je te claque le baigneur !
- Je garde encore le bandeau sur les yeux Libérée Lina s’agenouille devant mon appareil génital dressé au ciel et presse longuement bite et couilles entre ses mains a la manière des non-voyant qui ont des yeux au bout des doigts, sa bouche s’ouvre aussi grand qu’elle le peut, la moitié de ma queue est avalée et sucée avec gourmandise, la langue et les lèvres serrées font un travail formidable, mes mains sur mes hanches, ventre en avant, je savoure cette pipe digne d’une pro - C’est Biiiiieeeeeeennnnn petite chaudasse, suce encore comme ça, ça va venir très vite- Mmmmmuuuuuummmmmmmmmm Au moment où je sens la première contraction je lui arrache le bandeau, Lina surprise par la lumière cligne des yeux stupéfaite et amusée de voir ma bite se cabrer sous les giclées de foutre dont le trop perçu dégouline entre ses seins - J’aime ta queue Mathis ! je peux te regarder nu sans me sentir coupable- Regarde-moi vite car je vais m’allonger sur toi - NON !!
- Tu ne veux pas baiser ?
- SI-SI ! mais je veux venir sur toi, chevaucher un homme est mon fantasme, hélas inavouable jusqu'à aujourd’hui- En fait tu viens de naitre à la vie, alors contente toi - Merci Mathias ! je veux voir ta pine disparaitre dans mon con … hoooouuuuaaaaaaa ……, tu es gros ….
- Tu es étroite … regarde là coulisser dans ton ventre, regarde comme elle luit recouverte de ta cyprine- J’aime voir ma moule ouverte par ta queue… Mathias ?
- Oui ?
- Enfile-moi des doigts dans le cul !
- Avec joie, change de trou dès que tu te sentiras prêteLa nuit est tombée alors que nous baisions toujours, du coup elle a passé un coup de fil à son mari et moi à ma femme pour leur dire de ne pas nous attendre ….

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