COLLECTION HISTOIRE COURTE. Enterrement de vie de jeunes filles (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Enterrement de vie de jeunes filles (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Enterrement de vie de jeunes filles (1/1)
Dans ma vie, j’ai toujours su que je ferais fortune, moi qui viens de la banlieue de l’est de Paris.
À l’école, j’étais moyenne, j’étais surtout une chipie, dès mon adolescence, le sexe m'a intéressé, mon clitoris pour commencer jusqu’au jour où l’année de mon bac, mon prof de philo m'a dépucelé dans la salle des professeurs.
Dépucelage classique, coucher sur la table où ils prennent leur café avec le risque d’autres profs, voir du proviseur entrant, il m’avait demandé de venir pour parler d’un devoir que je lui avais remis.
Il m’a relevé les jambes, écarté ma petite culotte et pénétré, quand il a déchargé, j’avais une légère douleur, mais sans plus, là où les choses se sont gâtées, c’est lorsqu’il est sorti et qu’il a constaté qu’il venait de me dépuceler.
Ça c’était fait, je pouvais continuer ma quette à ma réussite.
Il avait du sang sur son pantalon, par malchance, il devait faire cours dans une demi-heure, j’ai su qu’il avait téléphoné au proviseur pour lui dire qu’il était subitement tombé malade et qu’il rentrait chez lui.
Est-ce le sang sur son pantalon, huit jours plus tard, il se disait dans le lycée que sa femme avait demandé le divorce, ayant la preuve qu’il la trompait, j’ignore si cela était dû à la perte de ma petite fleur, donc de ma faute, il a été muté à l’autre bout de la France.
À la suite de cet épisode, il y a eu de nombreux garçons du lycée, certains me baisaient dans les chiottes, juste un petit coup vite fait.
Bien sûr, j’ai loupé mon bac et avec la possibilité de devenir médecin comme mon père, alors pour atteindre mon but, je me suis persuadé qu’il fallait que je trouve un concept nouveau pour le pays.

Je cherchais sans trouver, Poubelle avait déjà inventé l’objet du même nom, Pasteur avait déjà découvert la pénicilline et Marie Curie était morte de sa découverte, nous menant à la bombe atomique.
Il me fallait trouver quelque chose de Terre à Terre.
J’oubliais, j’aurais pu imiter sœur Thérésa, très peu pour moi, vivre sur un monceau de détritus, je laisse cela à d’autres, bien que de laisser mon nom dans la postérité comme sainte pouvais être intéressante.
Le nombre de turpitudes que je commençais à accumuler était aussi un obstacle, bien que cette chère femme ait avoué qu’elle avait eu une vie bien remplie dans tous les sens du terme.
Je savais qu’un jour, il me faudrait un coup de pouce du destin pour trouver ma route me conduisant à la fortune, du moins une vie aisée.

Je déambulais dans les rues de Paris, cherchant un lieu à louer pour habiter, je voulais m’émanciper du giron de mes parents.
Je suis entrée dans une agence, un jeune homme très avenant, s'est occupé de moi, il m’a dit s’appeler Corentin, il m’a proposé de visiter des studios, seule surface accessible avec l’argent laissé par ma grand-mère en attendant les nombreux billets de 100 voire 200 € que je suis sûr de gagner.
C’est au troisième que la chance attendue est venue, nous venions de descendre d’un studio à mourir d’ennui, la seule fenêtre donnait sur le mur d’une usine désaffecté de l’autre côté de la ruelle.
Nous redescendions quand la porte donnant sur l’extérieur franchi, je vois en face de moi une porte en fer avec un judas, avec une enseigne marquée « Club privé », le sexe voilà ma voie.

• Corentin, c’est votre agence qui cherche à louer ce club privé.
• Jennifer, vous voyez bien l’affiche sur la porte, c’est celle de notre agence, mais c’est impossible à louer, le propriétaire a fait faillite, le club est trop isolé dans cette petite rue.
Pourtant, il y a du potentiel, avec une bonne pub, vous voyez le porche sur le côté, il donne sur la cour de l’usine qui se trouvait dans ce bâtiment pouvant se transformer en parking.
• On peut visiter, j’aimerais voir comment était fait un club privé où les gens venaient s’encanailler.
• Club privé, club libertin ou échangiste, vous y êtes déjà entrée pour votre plaisir personnel, il y en a de nombreux dans Paris.
• Vous me demandez si je couche avec le premier venu, c’est ce qui se passe dans ce genre de club.
• Quand le club était ouvert, étant célibataire, j’y suis venu une fois, les hommes proposaient, les femmes disposaient, sur certains côtés, les libertins sont plus respectueux des femmes que certains hommes.
Si vous m’attendez dans ce café au coin, je retourne à l’agence chercher les clefs et je vous fais visiter.

Un quart d’heure, le temps de prendre un café, plus celui qu’il m’offre à son retour et il ouvre la porte.

• Entrez, j’ai apporté une lampe torche, le compteur est coupé, comme la salle principale est borgne, nous ne verrions rien.

Un vestibule, ou une chaise permettait au videur de s’asseoir entre deux clients ou clientes, sépare de la salle du bar, tout autour des salles, plutôt des niches ou les couples libertins venaient baiser.

• Vous voyez, dans cette cage en verre, le soir où je suis venu, mais non, il m’est impossible de vous expliquer ce que nous avons fait avec une femme.
• Vous en avez trop dit, Corentin, je suis loin d’être prude, qu’avez-vous fais, mieux faite moi voir.

Corentin est beau gosse, il se trouve que je suis seule depuis trop longtemps et un petit coup de bite me ferait du bien.
Dans la lumière blafarde de la lampe torche, j’ouvre ma robe d’été pour me présenter en string, je porte rarement des soutiens-gorge.

• Tu viens.

Je trouve l’entrée dans la cage vitrée par un trou sur l’arrière, il y a toujours les coussins au sol, heureusement, car il m’est impossible d’être debout, une odeur de poussière est présente, j’ai trop envie de baiser, j’en fais abstraction.
Je vois la lampe posée au sol et quelques minutes après, les coussins bouger derrière moi, la lumière diffusée par la torche à travers la vitre me montre qu’il bande, il est à genoux sa tête au plus haut du plafond de verre.

• Tu vois, nous étions dans cette cage, isolé des autres, j’étais derrière cette femme comme je le suis maintenant, la différence avec aujourd’hui, c’est que dès que nous sommes entrés, les voyeurs ont accouru, il y avait même le mari. Lève la tête, il était assis au-dessus de nous et se masturbait, alors j’ai pris sa femme par les hanches et je l’ai pénétré.
• Vas-y, pénètre-moi, je comprendrais mieux la scène.
• Je le voyais redoubler pour se masturber, son épouse rapidement s’est mise à jouir en levant la tête, le regardant.
Tu vois mal, sur le côté de la cage, des trous lui permettaient d’entendre sa femme jouir, nous avons baisé presque trente minutes, la cage finissant par se trouvant maculer de sperme en même temps que j’envoyais le miens dans le vagin de cette salope.
• Arrête de parler.

C’est ainsi que ce jeune garçon me baise, me faisant jouir avant qu’à mon tour, je reçoive son sperme en même temps qu’un bel orgasme.

• Sortons, je vais te faire voir autre chose.
• Attends, j’ai beaucoup aimé, mais il faut que je reprenne mon souffle, tu me feras voir un autre endroit de débauche une autre fois.
• Tu te trompes, c’est loin d’être sexuel, suis-moi.

Il m’entraîne vers le fond de la salle, ouvre une porte, un escalier semble monter vers les étages, quelques marches rapidement gravies dans notre nudité, il ouvre une nouvelle porte sur un palier.

• Regarde Jennifer, il y a même un appartement, ceux qui ont créé ce club, habitaient là, si tu veux, je peux te louer l’ensemble pour un prix intéressant.
• J’aurais bien une idée de création d’un endroit strictement réservé aux femmes, c’est un concept que j’ai vu dans un reportage à la télévision.
• Réservés aux femmes, les hommes en seraient exclus.
• C’était en Europe, j’en suis certaine, Bulgarie ou la Hongrie, cette boîte organisait les jeudis, vendredis et samedis des soirées ou les jeunes femmes venaient enterrer leur vie de célibataire.
L’établissement mettait à leur disposition des chippendales qui arrivaient habiller sur scène, ils se retiraient un par un pour qu’un seul fasse son numéro devant les clientes.
Son numéro se poursuivait dans la salle où il enlevait tout, montrant leur sexe en érection, les jeunes femmes, voire les moins jeunes le suçaient, il papillonnait jusqu’à arriver à l’une de celles qui allaient se marier et lui faisait carrément l’amour.
Ils disaient que certaines fois, des vierges se faisaient enlever leur pucelage, le prix des entrées et les boissons que ces nanas ingurgitaient ont fait faire fortune à celui qui a créé le concept.
• Attends, je vais faire entrer le jour, ici du temps de l’usine, c’étaient les bureaux de la direction, on voit Paris, regarde, la tour Eiffel, certes un petit bout d’un pilier, mais c’est tout de même la tour Eiffel.
• Le coin cuisine, une grande pièce où tu peux mettre ton armoire et ton lit et l’emplacement d’une salle de bain, mais dans la faillite, les créanciers ont tout récupéré ce qui était récupérable.

Le store ouvert, le soleil illumine la pièce, c’est fini, je suis conquise, j’ouvre mon concept trois mois plus tard, aidé par Corentin, pour la remise en état, surtout de l’appartement.
Il a amené son lit et sa cuisinière, il nous faut compter sous après sous, un ami travaillant dans une banque, espérant tirer avantage de notre club, nous obtient la somme nécessaire.
C’est moi qui lui fais visiter le club, Corentin ayant une visite d’appartement, je lui montre la cage en verre où je pense enfermer les filles venant enterrer leur vie de jeune fille.
Sachant renvoyer l’ascenseur, une nouvelle fois, je me trouve sur les coussins que j’ai déjà changés, tout est dépoussiéré.

C’est le soir de l’inauguration, la campagne de presse semble efficace, la salle est pleine, le bar fonctionne à fond, sur la scène, Corentin vient de sortir sa verge, je suis prêteuse quand mes intérêts pour mon but sont en jeu.

C’est moi qui ai sélectionné mes étalons, j’ai privilégié les différentes ethnies, j’espère toucher toutes les jeunes femmes venantes des différents quartiers de Paris et qui ont défilé lors de la coupe du monde 1998, black, blanc, beur.
Bien sûr, le sexe a de l’importance, j’ai parlé d’étalon, revenez dans un an, j’aurais plus d’éléments pour dire si je vais faire banco, mais je crois en ma bonne étoile, je retourne derrière ma vitre surplombant la salle, et la cage en verre.
Une belle rousse d’une vingtaine d’années est placée à l’intérieure, Abdou me black vient la rejoindre.

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