COLLECTION LESBIENNE. Le chalet de mes parents (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION LESBIENNE. Le chalet de mes parents (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNE. Le chalet de mes parents (2/2)
Je suis venue passer mes vacances dans le nouveau chalet que mes parents viennent d’acquérir dans le massif des Bauges au-dessus d’Aix-les-Bains.
Pour parvenir au chalet, je passe devant un centre équestre avant d’arriver par un chemin de terre jusqu’à lui.
Je me fais bronzer quand une cavalière arrive et met pied à terre, c’est Véronique la proprio du centre venant me demander si elle peut faire passer ses chevaux devant chez nous, au risque d'avoir des déjections.
L’ancienne propriétaire, ayant marché dans un crottin frais, était venue leur interdire avant de divorcer, l’obligeant à vendre à mes parents.

Pour me remercier, elle m’invite à venir dîner, me demandant de porter une tenue pour le soir.
Je suis troublée par cette jolie femme ayant environ ma taille et des seins bien cachés, mais semblant assez développés.

La veille, elle m’a parlé d’une pouliche allant mettre bas.
Je suis dans ses bras, dansant langoureusement un slow, quand Sylvain, son employé, vient la prévenir que ça se passe mal à l’écurie.

Je suis une élève en école vétérinaire. Malgré l’obligation de réserve, n’ayant pas encore mes diplômes, je prends le risque d’intervenir, sauvant la jument et le poulain avant de me retrouver à genoux dans la baignoire, nos bouches enfin se retrouvant.

• C’est bon de t’embrasser en te caressant les seins, je suis loin d’avoir pensé que mon premier rapport sexuel serait avec une très belle femme.
• Es-tu vierge ?
• Oui !
• Garçon et fille ?
• Oui.
• Incroyable, à notre époque, jolie comme tu es, si je mets deux doigts dans ta chatte, je trouverais ton hymen.
• Oui, ça te choque !
• Surtout pas, surtout qu’à ma façon, même si j’ai perdu mon hymen, ma chatte est vierge de toute pénétration par un garçon.

Elle semble marquer un temps, je sens que la vie de Véronique est loin d’avoir été simple, surtout quand je baisse les yeux et que je vois les traces brunes sur ses bras.

• Alors comment l’as-tu perdue ?
• J’ai vécu à Paris dans le Quartier latin, c’est avec un gode ceinture que j’ai été défloré, mais j’ai envie de te caresser, je t’expliquerai après.

Elle me prend un sein, qu’elle met dans sa bouche, ma pointe qui darne de plaisir. Je suis excitée comme jamais, pour la première fois, je prends conscience de mon sexe, pour la première fois, je suis femme.
Bien sûr, certains soirs dans mon lit, l’envie de me caresser m’a traversée, mais j’ai toujours réfréné mes envies de peur que mes études en pâtissent.

• J’aimerais que tu m’offres ton pucelage, j’ai toujours ce gode m’ayant pénétré la première fois, acceptes-tu que pour toi, il en soit de même.
• Finissons de nous laver, j'ai confiance, je suis d’accord.

Nous finissons de nous laver, de nous rincer, de nous sécher et toujours soudées l’une à l’autre, elle me ramène dans sa chambre.
Elle sort d’un tiroir, une belle bite, elle me fait un peu peur, mais si c’est Véronique qui me prend, je suis en entière situation de confiance.
Elle prend un harnais et le place à l’endroit idéal, avant de se le fixer autour de sa taille.

Quand je la vois arriver, j’écarte mes cuisses, doucement, le gland passe en moi, doucement, je sens que cela résiste et doucement elle me déflore, je viens de devenir une femme, pleinement une femme, sans pour autant avoir souffert.

Elle donne de grand coup dès qu’elle sent que le passage est fait, je me mets à crier, mais c’est de plaisir.
Plusieurs fois, j’ai recueilli les confessions de copines parlant de ce passage de la vie, toutes ont souffert, moi, non, je jouis, avant qu’elle ne vienne se lover dans mes bras.

• Peux-tu me dire ce que sont ces traces brunes sur tes bras ?
• Quand je suis montée à Paris, je venais d’avoir mon bac, j’ignorais ce que je voulais faire, ça facilite les dérives et rapidement j’ai compris que les garçons c'était très peu pour moi.
J’étais attirée par les filles, j’ai fait la connaissance de Mira, une jeune femme, d’origine espagnole, elle faisait partie d’un réseau de passeurs de drogue entre son pays et Paris.
Elle m’a initiée à la drogue, jusqu’aux piqûres dans les bras.
Elle est décédée d’une overdose, j’ai eu la chance que les services médicaux me prennent en charge à temps, la substance que nous avions prise était frelatée.

C’est elle qui possédait ce gode, je l’ai gardé en souvenir des quelques bons moments que nous avions eus dans ces années-là.
C’est dans cette période que nous avons commencé à nous tatouer, nous étions tellement défoncées que nous voulions ressembler à des œuvres d’art.

• J’ignore pour elle, mais toi, j’apprécie le travail, certes ces taches brunes te rappellent cette mauvaise période, je comprends que tu les caches.
Dis-moi pour ton centre équestre, c’est le trafic de drogue qui t’a permis de l’acheter ?
• Ce que j’ai acheté, ce sont 18 mois de cure de désintoxication, que l’on m’a imposée, avec un début de travail pour m’occuper d’animaux.
Dans la même période, j’ai eu la malchance de perdre ma grand-mère en même temps que j’ai réussissais mes examens.
J’ai pu acheter ce centre équestre, elle avait quelques biens et comme il y avait eu un drame ici, je l’ai eu à bas prix, mais c’est toute ma vie, si j’échoue, j’ai peur de retomber dans mes travers.
• Maintenant, je suis près de toi, nous serons deux pour être fortes.

C’est ainsi qu’avant la fin de la nuit, elle m’a appris à m’occuper de son clitoris avec le bout de mon pouce que je faisais tournoyer jusqu’à ce que sa cyprine coule.
Elle m’a appris à les frotter l’un contre l’autre en croisant nos jambes.
Bref, au matin, c’est très fatigué que nous sommes allées voir le poulain et sa maman.

Véronique m’a prêté une tenue d’écuyère jusqu’aux bottes, nous avions la même taille et la même pointure.
Nous avons mis nos robes à la poubelle, irrécupérables.
Elle a cinq chevaux à elle et dix en pension dont celui de cet acteur célèbre, elle l’a appelé en visioconférence avec Internet, lui montrant des photos de son jeune poulain, il est ravi.
C’est à ce moment que le vétérinaire est arrivé avec son épouse qui le conduisait, il était encore positif à l’alcool.

• Vous êtes la célèbre, Jennifer, je pense, dont on parle dans notre canard local !
• Jennifer, c’est mon nom, mais célèbre dans votre journal, pourquoi ?
• Lisez !

Il me tend un journal, en première page, une photo du centre équestre, avec comme titre et article.

« Les pompiers sont intervenus hier au début de la nuit, au centre équestre bien connu après le double meurtre qui s'y était produit.
La propriétaire actuelle avait un gros problème avec la jument du célèbre acteur, dont nous tairons le nom, mais que nous voyons souvent dans la région.
Le poulain était coincé et le vétérinaire ayant un petit problème de santé, était dans l’impossibilité de venir, son épouse a appelé les pompiers à tout hasard.
Quand ils sont arrivés, la jeune Jennifer, en vacances dans le chalet que ses parents venaient d’acheter à deux pas du centre équestre, est intervenue.
Elle est étudiante en école de vétérinaires à Lyon, elle a dégagé le poulain et les pompiers ont aidé les deux jeunes femmes à l’amener dans notre monde.
Nul doute, la jeune Jennifer a de l’avenir comme vétérinaire, merci à elle.
Un de nos reporters part pour le centre pour photographier la jeune femme avec son premier acte de bravoure.
Nous montrerons le poulain et sa maman dans notre édition de demain. »
Je suis fichue, terminées les études de vétérinaire, j’ai pratiqué sans le droit de le faire. Où y a-t-il un Ronald que je cherche un emploi ?

Eh non, je suis restée avec Véronique, jusqu’à mon retour à l’école comme une héroïne, j’ai appris à bouchonner les chevaux, à gérer un centre équestre, Véronique m’a avoué avoir pu acheter ce centre à la suite du meurtre du proprio par le mari de sa maîtresse. Elle habitait Aix et venait officiellement faire du cheval.
Du cheval, elle en faisait sur la bite du patron.
Son mari l’a su et il est venu les dessouder avec un couteau de boucher, c’était son métier, il avait encore une boucherie chevaline rare dans le pays.
C’est après ces meurtres que mon amie a pu acheter à prix cassé, le fils étant allergique aux animaux.

Mes parents venus en août, ont compris ma situation, surtout quand nous leur avons dit que nous prendrions les dispositions nécessaires avec la Suisse, pour qu’ils aient des petits-enfants.
Ils sont venus tout le mois de leur vacance, faire des balades à cheval, ils sont eux aussi tombés amoureux de ces animaux.

Chaque fois que je peux, je rejoins mon amour, je réussis à ce qu’elle laisse voir ses tatouages.
Dans la vie, il faut savoir assumer son passé, j’assume bien d’être lesbienne, alors que si ses chevaux avaient été propres, le crottin n’aurait pas posé de problème.

L’été suivant, l’acteur célèbre, Jean Dinan, nous a donné le droit de parler de lui et il est venu en vacances, il va nous enlever son poulain, pour son bien, il a fait des essais et il semble être une flèche.
Il part pour un centre près de Deauville avec le plus grand entraîneur et jockey français.

Aujourd’hui, nous nous marrions, j’ai mon diplôme en poche, je remplace monsieur Roland le vétérinaire absent pour problème personnel.
Nous venons de nous dire oui, chacune dans nos robes blanches sous le regard de maman en pleure, elle a toujours été fleur bleue, papa était fière de nous faire entrer à la mairie chacune à son bras.
C’est en sortant que le téléphone de Sylvain, garçon d’honneur de ma compagne a sonné, il s’est isolé et est revenu tout sourire.

• C’était Jean Dunan, il est au champ de courses de Deauville, Galopin, nom que nous lui avons donné, comme il fallait que la première lettre soit un G.
Il vient de gagner la course réservée aux 2 ans de ce meeting de Deauville.
Il avait trois longueurs d’avance sur les meilleurs de sa génération.
Il vous fait savoir que la prime de ce jour ainsi que toutes celles qu’il gagnera cette année seront pour vous, il regrette d’être absent pour votre mariage.

L’avenir du centre est assuré, notre avenir sexuel aussi, nous nous entendons très bien surtout que Galopin est en pleine forme.
Pas de méprise, Galopin, notre Galopin, c’est notre gode ceinture que nous avons baptisé ainsi en l’honneur de notre rencontre et de la naissance du poulain.
Nul doute que ce soir, plutôt cette nuit, il va chauffer quand nous le mettrons à tour de rôle autour de nos tailles pour qu’il s’occupe de nos chattes.

La vie est belle dans le massif des Bauges.

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Histoire sexe : Une rose rouge
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