Bretagne: baise, aide; hasch 3

- Par l'auteur HDS Nature et découvert -
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Récit libertin : Bretagne: baise, aide; hasch 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2018 dans la catégorie Plus on est
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Bretagne: baise, aide; hasch 3
Les chroniques de Nature Et découvert : Bretagne: baise, aide; hasch 3
Je ne sais si la provocation de ma compagne est une prophétie auto-réalisatrice, mais il faut avouer que le samedi suivant restera dans les…annales (entre autres) de notre tournée bretonne de 1988.

Oui, le samedi, c'est boîte de nuit. Et pour la jeunesse « branchée », les keupons, les cold-wave, les amateurs de batcave, de garage et de sons sombres ou synthétiques, quand on est en Bretagne, on va au Mélo (oui oui, celui de Matmatah). Le Mélody Discothèque, c'est à Guipavas, près de l'aéroport de Brest. On s'y envoie en l'air aussi mais ça coûte moins cher en kérosène. Encore que!…au prix du Whisky et du rhum-bière…Pour nous cinq au camping Ty Nadan près d'Arzano, ce ne sont pas 130 km en pas loin de 2h de voiture qui vont nous arrêter. Aussi les préparatifs commencent-ils dès notre retour de baignade dans l'Ellé, qui longe le camping. Nous y étions allés vêtus pour passer entre les emplacements et leurs occupants, souvent des familles hollandaises, des retraités britanniques ou d'autres jeunes étrangers (enfin….français comme nous. Mais pas bretons, quoi) que nous ne voulions pas forcément choquer. La baignade à cinq fut dénudée malgré la présence d'un groupe de trois jeunes filles venues bronzer tranquillement topless que nous avons vraisemblablement troublées.

Toujours est-il que nous sommes revenus comme nous étions partis, en maillot mais déjà très excités. Et nous nous préparons maintenant pour le Mélo. L’entretien de nos sexes nus, pour Pussy et moi, est pour nos compagnons une occasion supplémentaire de se sentir troublés. Le rasage de ma queue et de mes bourses par ma chérie est rapide, vu que j’entretien quotidiennement. Mais je prends délibérément mon temps pour parfaire le soin du minou de ma belle. L’absence de temps et de commodités nuisent à ce qu’elle utilise la cire orientale dont nous nous servons généralement tous les deux quand nous sommes peinards à la maison. Donc là, au camping, j’examine les moindres recoins du corps de Pussy, dans la pièce principale de la tente. Et je rase ce qui dépasse ! Tout ! Partout !! Inutile de dire que je mets plus de temps à examiner et donc à exposer le corps dénudé de ma compagne. Qu’elle va rincer à la douche avant de revenir passer sa tenue de soirée.
Pour Ludo, jean serré troué, caleçon a carreaux, t-shirt jamais lavé des Berurier Noir, Doc Martens noires. En tenue normale, quoi. Yacine, lui, n’est pas looké et son jean droit classique, sa chemise blanche et ses kickers constituent une tenue plutôt banale qui a le mérite de faire ressortir qu'il est beau garçon. Clément ne sort qu'en tenue de hardos revisitée : un futal en lycra rayé vert fluo et noir (verticalement, quand même, hein !), un t-shirt Motörhead , des baskets et, à première vue, rien sous son pantalon flashy.
Moi, je cultive mon look très connoté. Mes cheveux en pétard sont encore courts par rapport a la tignasse de Robert Smith. Mais je suis, pour les petits bourges fringués en Benetton et pompes a glands, un «corbeau- balai à chiottes » comme les autres. Mon t-shirt de Joy Division complète mon jean en faux-cuir noir sous lequel je ne porte rien. A 23 ans, j'ai en toute modestie une plastique qui mérite d’être mise en valeur par des vêtements prés du corps. Des chaussures noires à boucles métalliques? pointues, complètent mon look de vampire en villégiature.
Pussy est paradoxalement dans une moindre recherche de sophistication qu’elle ne l’est au quotidien. Elle se laisse tentée par des Dim Up résilles noirs, qui remontent à 5 bons centimètres de la limite de sa jupe noire en skaï et permettent donc de se régaler d’une partie de ses cuisses fermes et dorées. Sous la jupe, elle renonce à mettre quoi que ce soit, même si son tanga rouge fendu aurait été plus prudent tout en restant pratique. Mais non ! Rien ! En haut, elle opte pour son caraco en dentelle noire qui ne cache strictement rien de ses seins aux larges pointes brunes, toujours dressées. Ses escarpins aux talons vertigineux complètent sa tenue de femme fatale. Déjà assez grande pour une femme, elle se projette en quelque sorte vers le ciel et il n'y a guère besoin d'être au ras du sol pour entrevoir son intimité. Maquillée comme Siouxsie, une chaînette autour de la cheville et une demi-douzaine de bagues aux doigts, elle est prête !

Le voyage vers le Mélo constitue un sympathique apéritif pour les quatre cavaliers de Pussy. A l’arrière de la voiture, coincée entre Ludo et Clément, elle ne peut pas croiser les jambes et c’est une bénédiction pour Yacine qui conduit et utilise beaucoup son rétro intérieur comme pour moi, qui suis souvent retourné et me réjouis par anticipation en l’imaginant assise dans la discothèque. Lorsque nous arrivons sur le parking de la discothèque, chacun fait un effort pour dissimuler l’effet que la situation produit sur son sexe. La consommation durant le voyage de deux bons splifs d’afghan noir ne facilite pas les choses. C’est donc en tirant sur le bas de sa jupe que Pussy nous précède dans la boîte après que le videur ait constaté qu’elle ne dissimulait vraiment, mais alors vraiment rien sous ses quelques rares protections textiles. Et c’est en réajustant nos queues au garde à vous dans nos pantalons que nous la suivons.

Nous arrivons sur « Love like blood » de Killing Joke, un classique qui passait depuis 3 ans, quand je venais pendant mon Service National à Brest. Il est impossible dans cette discothèque rock de trouver beaucoup de ces traditionnelles tables basses entourées de sofas profonds. Dommage : on ne verra pas Pussy avec les genoux plus hauts que le bassin, ce qui serait quasi-pornographique. Mais finalement, la voir grimper sur un tabouret près de l’un des bars de la discothèque comporte certains avantages car ainsi, c’est à peu près le tiers des personnes présentes qui peuvent profiter d’une vue directe sur sa chatte. Le contraste des Dim Up et de la jupe noire avec sa peau hâlée et ses lèves intimes nacrées, entrouvertes, facilite la photographie instantanée dans la rétine de tout voyeur normalement constitué. Certes, Pussy fait l’effort de croiser les jambes la plupart du temps, mais cela a aussi pour conséquence de remonter très haut sa jupe sur les côtés, et par conséquent de faire fantasmer sur sa peau nue, au-dessus de la lisière des bas .
Par moments, Pussy va danser. Sur Public Image ou Billy Idol, le côté rock domine et produit sur ma femelle passablement désinhibée un effet euphorisant. Elle se déhanche, n’hésite pas à virevolter, jambes très peu serrées. Je crois que pas mal de danseurs profitent de la vue de devant. Et que beaucoup de spectateurs sur leurs tabourets ou autour des rares tables basses constatent que la jupe en skaï remontait au-dessus du sillon fessier et dévoilait le bas son petit abricot.

Passablement excité, j’accueille par des baisers ma compagne lorsqu’elle revient s’accouder au bar et se désaltérer. A chaque occasion, je vais un peu plus loin et n’hésite pas à caresser ses seins visibles bandés par-dessus, puis par-dessous la dentelle du caraco. Puis je caresse ses hanches, sans aucune gêne devant les centaines de zombies et de vampires présents ; la lumière certes globalement tamisée mais ponctuellement crue et focalisée sur tel ou tel point est notre alliée dans ce nouvel exercice exhibitionniste. Je sens Pussy frémir sous mes caresses. Du dos de la main que je retire de sous son caraco, j’effleure sa chatte ; sans équivoque, elle est trempée. Elle est semi-assise sur un tabouret haut, un pied au sol, le second posé sur la traverse du tabouret. Sa jupe ne dissimule plus grand-chose, surtout quand elle tend ses bras pour attraper mon cou et m’embrasser sauvagement. Je ressens le trouble ambiant, car j’ai conscience que la nudité totale du sexe de ma compagne est une provocation sexuelle rare et efficace à une époque où seules quelques actrices porno et punkettes prostituées s’affichent aiinsiJe ne sais pas si c’est l’ambiance ou le côté désinhibant de notre fumette du voyage, mais Clément, assis sur le tabouret voisin, semble décidé à transgresser les règles de la bienséance ; il pose sa main sur la cuisse de Pussy, contribuant ainsi à remonter la jupe d’encore quelques centimètres…et commence à caresser la vulve toute douce de ma chérie. Il commence par les côtés, fait le tour avec deux doigts, s’arrête sur le clitoris déjà visible ; Sous la caresse, le sexe s’ouvre encore un peu plus et ne cache rien de son état d’excitation. Il brille et laisse voir les petites lèvres rosées entre lesquelles Clément enfonce sans ménagement son majeur et son annulaire. Puis il la branle consciencieusement, pendant que je continue de mon côté à peloter ses seins et à me faire dévorer la langue. Je sens évidemment Pussy se contracter sous l’effet des caresses intimes de notre ami et lorsque nous comprenons qu’au moins quarante personnes nous regardent, c’est l’extase qui s’annonce. Des spasmes se répandent dans tout le corps de ma nana, tandis que sa chatte ruisselle et qu’elle jouit sur les doigts de Clément. Désormais publiquement dénudée jusqu’au pubis, cuisses largement ouvertes, sexe béant et coulant, Pussy reste quelques secondes ainsi exposée. Mais le temps a suspendu son vol et je parie que plusieurs dizaines de mâles -voire de filles- ici présents garderont en mémoire cette scène d’une infinie et obscène beauté.

La vie normale du Mélo continue néanmoins et lorsque nous reprenons nos esprits – ou pensons l’avoir fait- nous constatons que quelques admirateurs restent focalisés sur ma Pussy, qui a toutefois repris une posture décente. Deux hommes plus âgés que nous, la quarantaine, type motards sportifs, plutôt bien foutus et séduisants, s’approchent et demandent s’ils peuvent nous offrir un verre. Comme ça ne se refuse pas, nous les laissons compléter le rideau humain que mes trois amis et moi avons inconsciemment constitué devant Pussy vis-à-vis du public du Mélo. D’emblée, l’un des hommes branche ma compagne en lui demandant si elle avait l’habitude de ce genre de démonstrations. Ce à quoi elle répond sans se démonter qu’elle n’a jamais testé cela devant un si grand public mais qu’elle et moi sommes modèles nus et posons parfois pour des photos et des vidéos érotiques. Elle oublie de préciser que les images que nous avons faites pour Union ou diverses petites revues locales - dont certaines destinées aux gays, en ce qui me concerne - sont plus pornographiques qu’autre chose. Mais nous ne sommes a priori pas là pour signer des contrats !
La discussion bat son plein. On comprend rapidement que nos deux nouveaux amis ne rêvent que d’une chose et c’est tout juste s’ils ne nous proposent pas d’acheter un moment avec ma compagne, bien qu’ils ne soient pas opposés à l’obtenir gratuitement, au titre du libertinage de bon aloi !
Comme il se trouve que ni Pussy ni moi ne sommes dans cette perspective mercantile qui tient de la prostitution, nous tombons d’accord d’un simple regard. Je m’adresse à mes trois amis :Les gars, on fait comme prévu et on se trouve un coin pour un bain de Minuit ou vous le sentez pas ?

Mes potes sont surpris mais jouent le jeu. Des « mouais » « oui, bien sûr » de circonstances sont lancés. Je me tourne vers les deux « hommes murs » qui m’ont l’air sur le point de tomber de l’arbre :Ca vous tente de venir avec nous ? En plus l’eau froide, ça rafraichirait les idées à tout le monde, plaisanté-je. Et même…vous êtes du coin ? Vous savez où on peut prendre un vrai bain de Minuit sans faire un scandale ?

Oui, me répondent-ils. A même pas 5 km, au Relecq, on peut. On vous montre ?

Allez, ça marche. On se reprend une tournée et on s’arrache ? Fais-je, mesquin, en escomptant sur le fait qu’ils financent la bouteille…ce qu’ils ne manquent pas de faire.

« Bon, en fait, c’est moi qui ait une mentalité de p… » me dis-je en riant et en gloussant intérieurement. Mais je me pardonne vite ce petit péché véniel, en avalant somme toute rapidement deux verres de Cardhu, comme mes 6 compagne et compagnons de la nuit. Nous partons donc sur le coup de 2h du matin, à peine touchés par les ravages de l’alcoolisation et surtout très bien soutenus par les perspectives libidineuses qui nous travaillent tous en cette soirée si bien débutée.
Nos amis « vieux » proposent que Pussy grimpe avec eux mais je m’incruste sans hésitation. On ne sait jamais ! Du coup, nous ouvrons le chemin tandis que mes trois potes suivent dans la 4L de Yacine. En 5 minutes nous sommes au bord de la Rade de Brest sobrement illuminée. Nous descendons de voiture et sommes conduits par nos guides en bas d’une jetée en pierre où s’étale une mini-plage, quasiment recouverte par la marée haute. Un gros rocher incite à y poser des affaires tandis que son voisin, plat et plus accessible, nous laisse tous imaginer qu’il va servir de table pour un festin.

En quelques secondes, tous les hommes sont nus. Pussy ne se prive pas de concentrer les regards sur elle en mettant une minute de plus pour ôter ses bas, son caraco anecdotique puis sa jupe, dévoilant ainsi une fois de plus sa nudité parfaite, équation idéale de rondeur, de douceur, de couleur et de points de focalisation bandants à souhait. Nous prenons tout de même le temps de courir à la mer et d’y plonger, ressortant cependant aussi rapidement que l’eau était froide pour la saison. Malgré tout ; notre excitation ne tarde pas à redevenir démonstrative. Cinq bites de tailles et de formes variables sont érigée, droit vers le ciel étoilé. Ma Pussy, sans un mot, même pas séchée, se dirige lentement vers la pierre plate. Son déhanchement met en valeur ses fesses parfaites Quand elle se retourne, ses seins sont durs et leurs pointes agressives. Elle s’assoit sur la pierre, y recule ses fesses et y pose ses pieds , ouvrant ainsi sa vulve encore gonflée de plaisir et plus humide que jamais. Elle prend appui sur ses bras tendus, restant assise au bord de la pierre, ce qui constitue sans ambiguïté une invitation à passer à table.
Je me tourne vers le premier de nos nouveaux amis et l’invite d’un geste à débuter les hostilités. Je lui demande néanmoins s’il a pensé à se protéger et à protéger ma compagne. Il fouille son pantalon, posé sur le gros rocher, et en ressort un préservatif qu’il enfile avec dextérité sur une queue de belle taille ornée d’un pubis entretenu mais fourni. Sans hésiter, il commence par lécher la chatte de ma femelle, ce qui la fait gémir. Bien qu’il soit plus de 2h du matin, l’éclairage public de la rue, au-dessus, nous rendait tous parfaitement visibles d’un riverain insomniaque ou d’un touriste égaré. Mais Alain -c’est son nom – dévore de plus en plus profondément l’intimité de Pussy et alors qu’elle commence à jouir, il la pénètre brutalement. Pussy, toujours assise, alterne les moments où elle s’appuie sur les mains et ceux où elle s’agrippe au mâle qui la possède. Elle ne simule pas les spasmes qui la secouent et c’est probablement en usant de sa capacité à contracter/ décontracter son vagin autour de la bite qui est en elle qu’elle déclenche l’éjaculation d’Alain, qui lâche un râle de mâle puissant.
Sans perdre de temps, Alain se retirant, son collègue Philippe le remplace. Sans préliminaires, le quadra est moins beau mec, plus massif que son prédécesseur. Sa queue est plus courte mais plus épaisse, au milieu d’une vraie forêt vierge de poils noirs et enfermée elle aussi dans une capote. Très énergique, il va et vient rapidement et profondément dans la chatte de Pussy, qui reste la tête en arrière, les seins pointés vers la Lune et qui geint comme je sais qu’elle le fait habituellement quand elle entre en phase d’orgasmes multiples. Dans un « hannnnnn » court et discret, Philippe lâche aussi son foutre… dans la capote. Pussy transpire. Yacine prend la place et opte aussi pour un besognage rapide et profond. Les bruits de claquement de son pubis et de ses couilles contre ma chérie sont excitants pour nous aussi, et nous sommes tous en train de nous entretenir en érection, y compris nos deux compères pourtant « vidés ». Yacine éjacule et arrache une longue plainte à Pussy qu’il accompagne d’un « mmmm c’est boooon ça, hein, chééérrrieee » Alain s’étonne :C’est ta copine ou c’est la sienne ? En plus il a pas la capote, lui… Je lui explique que Pussy est en ce moment polygame et que nos amis sont tous sains, ce qui ne parait pas évident en ces années d’épidémie de Sida meurtrière -nous connaissions ce drame d’assez près hélas.
Ludo remplace Yacine. Il est bourré mais arrive out de même à glisser sa verge entre les cuisses de Pussy. Comme il y a quelques jours à Kerouini, la semence du premier dans le ventre de ma compagne rend particuliers les allers et venues de la bite tendue du second. C’est chaud, c’’est voluptueux ; ma femelle mouille comme une folle, de surcroît. Elle joue avec l’engin de Ludo avec les muscles de son vagin, ce qui le fait rapidement jouir. Son sperme se mélange à celui de Yacine et à la cyprine de leur hôtesse. Nous sommes tous stimulés par ce qui déborde de cette chatte complètement ouverte et dégoulinante. Clément s’approche et sa queue énorme arrache un sifflement d’admiration à Philippe. Clément trempe sa bite dans la chatte de Pussy, lui assène quelques grands coups de bassins, puis il vient se mettre accroupi sur la pierre plate et enfourne son engin dans la bouche de ma compagne. Il manque de l’étouffer et elle s’aide de la main droite pour contrôler un peu mieux les mouvements de Clément qui lui baise la bouche. Elle caresse ses testicules, passes ses longs ongles vernis sur la queue de notre ami et le pompe avec avidité jusqu’à ce qu’il finisse par lui lâcher de grosses giclées de sperme au fond du palais.
Pendant qu’elle avale progressivement tout ce que Clément lui a balancé et ce qu’elle lèche encore sur son dard, je joue avec son vagin, dans lequel je promène deux puis trois doigts parfaitement à leur aise dans un océan de semence et de miel intime encore mêlés. Je lubrifie l’œillet de ma chérie en le léchant d’abord puis en y mettant mes deux doigts trempés. Pussy est toujours sur le dos, en appui sur les coudes et bien écartée ; tout le monde regarde mes doigts ramoner son cul juste sous son sexe devenu rouge vif, dont on voit le fond qui ressemble à une bouche en train de téter. Une fois que tout le monde a pu admirer cette merveille d’érotisme, je pénètre l’anus de Pussy et à l’inverse de mes copains, je m’efforce d’aller très lentement mais très profondément en elle. Chacun voit qu’elle savoure et que chaque centimètre que j’enfonce dans son ventre l’amène près d’un nouvel orgasme.
En peu de va et vient, j’obtiens de ma femelle des cris de moins en moins discrets. Mais alors que je suis sur le point d’exploser au fond de son ventre, Pussy ahane et arti...cule (du coup) qu’elle veut qu’on jouisse tous sur elle, sur tout son corps.
Ses mots déclenchent mon orgasme et je lui pilonne son petit orifice pour y lâcher de puissants jets de foutre bien profondément. Conscient que pour finir son trip collectif en apothéose, pussy veut qu’on redevienne tous très vite fonctionnels et productifs, je me retire de son cul et la laisse offerte obscène et dégoulinante aux regards des cinq autres mâles présents.
Pussy descend alors de son rocher plat et s’allonge dans le sable a nos pieds. Tous sont au garde-à-vous et s’astiquent vigoureusement en appréciant la lubricité de ma compagne et l’irrésistible puissance de son sex-appeal. Ma femelle est en transe. Alternativement, elle écarte sa chatte des deux mains, se caresse les seins, introduit quatre doigts dans son vagin démesurément ouvert puis dans son anus lui aussi dilaté et encore ruisselant. Je ne tarde pas à rebander comme un âne et à l’instar de mes compagnons de gang bang -car c’en est un, non?- je me branle au-dessus d’elle. Ludo est le premier à éjaculer et il se répand sur les seins durs et luisants de sueur de ma compagne. Mais son premier jet de sperme déclenche celui de Clément, qui, lui, jouit en lourdes giclées sur le visage de Pussy et macule les paupières de ses beaux yeux bleus. Yacine, dans le même temps, se lâche dans le cou de la belle. Alain a tenu 3 secondes de plus et explose sur la joue, l’oreille gauche et les cheveux. Philippe inonde le ventre et passe une deuxième couche sur la poitrine de Pussy. Qui se tétanise dans une extase sonore et visuelle spectaculaire en soulevant son bassin vers le ciel, épaules à terre, m’offrant ainsi l’opportunité de lui jouir sur puis dans la bouche qu’elle ouvre presque autant que ne l’est son sexe.

Malgré ma récente éjaculation annale, je suis ostensiblement “gonflé à bloc” par ces scènes orgiaques et ces visions gluantes. Pussy prend par conséquent un bon jet de sperme supplémentaire en plein visage avant d’avaler les trois suivants, qui lui arrivent au fond de la gorge. Ma femelle est encore parcourue de spasmes orgasmiques tandis que tous ses assaillants l’observent prolonger sa jouissance. Elle passe ses mains sur tout son corps, son visage, ses cheveux et se tartine littéralement de nos six semences mélangées. La lumière du réverbère plus haut se réfléchit sur sa peau uniformément brillante. Elle se lèche à nouveau les doigts, récolte ce qu’elle expulse encore de ses deux orifices devenus rouge foncé et se masse le visage et la tête avec cet élixir de virilité.

La tension retombe quelque peu et nous prenons conscience que quelques véhicules passent un peu plus haut et que nous sommes observés par un couple d’âge indéterminé . Il est plus de 4h du matin. Pussy reprend ses esprits et se dirige vers la mer, où elle se lave consciencieusement en n'oubliant aucun recoin de son anatomie. Venu me rincer à son côté, je la vois asperger sa vulve qu’elle maintient ouverte pour être plus efficace dans ses ablutions. Elle en fait autant pour son anus que l eau de mer n’adoucit pas, puis plonge la tête dans l’eau pour frictionner ses cheveux courts.

Au camping il faudra quand même que je me rince, me dit-elle. Le sel déjà ça irrite mais là vous m’avez mis la chatoune et le cul en feu!
La séparation d’avec nos comparses quadragénaires est expédiée. Alain et Philippe ne tarissent pas d’éloges et de remerciements. En guise d’adieu, Pussy leur caresse la verge quelques secondes.
Réinstallée entre Ludo et moi dans la 4L, nous réalisons seulement qu’elle n’a remis que son caraco arachnéen. Sa jupe est a nos pieds avec ses bas roulés en boule mes ses talons-aiguilles sont restés à ses pieds durant toute la séance de sexe. La nuit couvrira sa nudité pour rejoindre la tente...mais le jour se lève bientôt .

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