LES AVENTURES DE DJE 63 : EN SCENE

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : LES AVENTURES DE DJE 63 : EN SCENE Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DJE 63 : EN SCENE
LES AVENTURES DE DJE 63Ep 63 : EN SCENE

On était fatigué la veille, aussi on traînait tous au lit. Il était déjà neuf heures passées quand Léa arrivait et je n'étais pas levé. Elle s'était déshabillée en seulement quelques secondes et s'était glissée contre moi sous la couette. D'une main rapide elle attrapait le harnais et le gode dans le tiroir … Pas dans mon tiroir, pas dans celui ou je cache mes jouets mais dans le tiroir de la table de nuit, c'est elle qui les y avait rangés …
Érection du matin … Vous connaissez la suite ! Et bien moi c'était encore du lourd ce matin, la chaleur de ses seins, et la douceur de sa peau provoquaient une pression infernale dans ma cage de chasteté … Je soulevais le bassin pour que Léa puisse passer la sangle et pendant ce temps là elle ne disait plus rien. En fait ce matin là je n'avais pas vraiment envie de servir de sex-toy mais … Bon ! … Léa avait parfaitement compris comment ne pas me demander mon avis … Elle tenait ça de mon petit frère !

Elle s'allongeait sur moi et me caressait avec son corps. Elle me caressait avec ses seins, je sentais ses tétons se durcir contre ma poitrine, je sentais mes tétons se dresser et se durcir également .

Ses baisers étaient doux, ses cheveux me chatouillaient le visage, quelques mèches se glissaient dans mon cou et me faisaient sursauter et frémir. Je rigolais de ces chatouillis, Léa penchait son visage vers moi, elle me souriait , me donnait de tendres, très tendres, baiser sur le visage , les yeux, le front,les joues, le cou et pour finir les lèvres bien sûr. Nos baisers étaient chauds, doux intenses …
Je sentais le poids de son corps contre le mien, elle n'était pas bien lourde, elle passait ses bras autour de mon cou, je la prenais dans mes bras et on se laissait rouler, elle se retrouvait en dessous de moi puis de nouveau au dessus … Mes mains parcouraient sont dos, je m'attardais sur ses fesses, elle repliait une cuisse contre ma hanche et passait sa jambe derrière ma cuisse.

Je la pénétrait doucement, le gode qu'elle m'avait posé s'enfonçait doucement en elle, elle fermait les yeux et doucement s'abandonnait, sans dissimuler son plaisir. Je roulais sur le dos, elle me chevauchait et c'est elle qui désormais contrôlait le mouvement. Elle prenait position, ses jambes repliées, ses pieds contres mes genoux. Je lui caressais les cuisses.

Elle se relevait, se laissait tomber. Le gode ressortait légèrement puis s'enfonçait complètement. Elle se cambrait, se redressait et je l'entendait gémir. Ses seins se balançaient devant moi, je lui caressais le ventre et remontais mes mains sur sa poitrine. Instinctivement je balançais mon bassin également, je suivais ses mouvements. Elle semblait en demander plus, je répondais dans la seconde. Elle se crispait, j'en faisais de même.

Ça faisait un moment qu'on ne s'était pas retrouvé ensemble et elle donnait l'impression de vouloir rattraper le temps perdu. Elle se donnait, elle se lâchait et j'étais là pour la recevoir. Elle se laissait tomber sur moi, je la serrais contre moi. Je la retournais sur le dos et prenais le contrôle à mon tour. Je m'étendais sur elle de tout mon poids en prenant bien soin de ne pas l'écraser, en prenant soin de son confort …
Elle grimaçait, tremblait, se crispait. Elle était prise de véritables convulsions, ne contrôlait plus sa respiration, je la sentais venir, je sentais le plaisir monter en elle, je la sentais jouir dans mes bras. Je la sentais vibrer, se tordre, gémir de plaisir. Je la sentais se convulser dans mes bras. Je continuait encore quelques instants les mouvements puis ralentissais puis me laissais tomber à côté d'elle.

Je la regardais, elle était belle, en sueur, elle tremblait encore pendant quelques instants, elle tournait le visage vers moi, me souriait, son sourire ressemblait encore à une grimace mais il y avait un reflet, un éclair dans ses yeux.

Moi ! Bien sûr je n'avais pas joui mais mon cœur battait fort, dans sa cage ma bite se contractait au rythme de mes pulsations cardiaques … J'étais en manque, j'allais exploser, le désir n'avait jamais été aussi fort qu'à ce moment précis.

Je ne bronchais pas, ne râlais pas, ne réclamais pas. J'étais en sueur moi aussi et je lui souriais …
Après une bonne douche, un bon petit déjeuner et le temps nécessaire pour récupérer … Cinq minutes ! … Bein quoi je suis un grand sportif moi, je récupère vite ! …
Bref … Je retrouvait l'équipe dans les installation sportives de la fac … Les autres équipes arrivaient, s'installaient et se reposaient, on ne les verrait pas avant le début de la compétition, le surlendemain !

Tout le monde me traitait comme le capitaine de l'équipe sportive de notre école comme si c'était le cas, comme si ça allait de soi … Pour tout le monde c'était logique, depuis le temps que j'étais le champion, qu'on parlait de moi comme … Oui comme du Capitaine De L’Équipe.

Bon, j'étais pas vraiment mal à l'aise devant tous mes camarades, je les connaissais tous individuellement, et j'avais déjà pris la parole pour motiver tout ce joli monde. L'an dernier, pour ceux qui s'en souviennent, la situation était alors dramatique, on parlait de dépression, de dopage, de tricheries diverses. J'avais remotivé tout le monde et on avait fait un tabac … Cette année, la situation était plus facile. Tout le monde avait le moral, aucune suspicion de tricherie d'aucune sorte, dehors la ville entière nous soutenait, même la télévision nous soutiendrait cette année, on avait une forme à démoraliser un champion des Jeux Olympiques … Et pour ce qui est du dopage, le test était prévu et personne n'était inquiet !

Je prenais la parole, je les encourageais et en réponse il m'acclamaient. Luc faisait bien sûr le mariole en rajoutant toujours un '' Ouééé '' juste après tout le monde, histoire de se faire remarqué et finissait par faire rigoler toute l'équipe, même bob se marrait sans se cacher pour une fois ! On organisait l'emploi du temps, entraînement pour être en forme au dernier moment et repos … Une partie de l'internat était réservé à l'équipe et une fois de plus je rentrais chez moi le soir, Antoine aussi … Personne ne s'en offusquait, on avait pris l'habitude l'année précédente, aussi … Mon appartement avait des allures d'état major … Tous les responsables des différents groupes s'y retrouvaient, les responsables de la fac aussi et c'est Luc qui semblait organiser tout ça … Je renonçais à comprendre ce qui se passait …
Charles avait laissé tombé la cuisine et commandait des plats préparés pour tout le monde … Des plats préparés peut être mais il les commandait chez un traiteur … On a une réputation à tenir et on n'a pas l'habitude de servir n'importe quoi à nos invités … Mon frère approchait, en se dandinant comme s'il préparait une mauvaise plaisanterie, ou …
Luc : Dis moi Jérémy tu me prêtes ta voiture dis ?
Moi : Mais tu n'es pas un peu fou dans ta tête toi … Quand tu auras ton permis peut être mais pas avant …Luc : Justement !

Je regardais Bob d'un air interrogateur, il me répondait en faisant oui de la tête !

Moi : Non ?
Luc : Si !
Moi : Mais il faut avoir 18 ans pour le passer !
Luc : Bein justement !
Moi : Non ?
Luc : Si !

Bob nous regardait il était plié de rire.

Bob : Je confirme, j'y étais !
Moi : Mais ?
Luc : Bein oui mon anniversaire c'était aujourd'hui et j'ai précisément passé et réussi mon permis de conduire aujourd'hui !
Moi : Mince ! Excuse moi Luc, je l'avait complètement oublié. Il faut que je dise ça à Antoine …
Je fonçais voir Antoine que ne cachait pas surprise … On revenait !

Antoine : Mais c'est que le petit il devient grand, c'est à peine croyable je ne l'ai pas vu grandir.
Luc : Bon ça va on se connaît depuis moins d'un an et tu me l'a déjà fait celle là … Tu me prête ta voiture dis Antoine dis ?
Antoine : Non !
Luc : Pffff. Et toi Jérémy ?
Moi : Tu sais conduire au moins ?
Luc : C'est malin ! Ça ne vous tente pas d'arriver à la compétition avec un chauffeur. Moi je conduit ta voiture et Bob conduira la voiture d'Antoine !
Antoine : Là pour moi ça va ! Bob on l'a vu conduire et il fait ça très bien ! Pour moi c'est d'accord .
Luc : En plus il faut que je sois aussi sur place en même temps que vous !
Moi : Pourquoi faire ?
Luc : Euh … Pour … Pour soutenir mon équipe pardi !

J'avais l'impression que mon petit frère me cachait quelque chose mais … comment le faire parler ? Je finissais par attraper Bob à la fin du repas, la veille de la compétition.

Moi : Alors Bob, tu es prêt pour demain ?
Bob : Oui mais c'est pas moi qui vais concourir.
Moi : Certes mais avec Luc … Je suppose que tu vas le soutenir !
Bob : Le soutenir ?
Moi : Je pense que ça se passera très bien, tu sais comment il est !
Bob : Comment il est ?

Bob devenait tout rouge, mais quand je dis rouge, c'était presque rouge Bordeaux ( bon j'exagère un peu ). Je savais qu'on me cachait quelque chose !

Moi : Vous me cachez quoi tous les deux ?

Bob se mettait à crier.

Bob : Au secours Luc ! Ton frère veux me faire parler, il a deviner quelque chose !

Luc arrivait.

Luc : Bob tu ne dis plus rien, plus un mot ! Et toi Djé tu ne t'approches pas de mon doudou.

Antoine qui avait vu la scène me regardait d'un air surpris ! Bob et Luc se retiraient dans leur chambre et Luc verrouillait la porte !

Moi : Mais qu'est-ce qu'il a encore inventé ?
Antoine : Et tu as vu il t-a appelé Djé !
Moi : C'est bizarre ça, il ne m'appelle jamais Djé …
Le grand jour était enfin arrivé. Antoine et moi nous étions bien habillé, costume, cravate … Luc arrivait, lui aussi s'était particulièrement bien habillé. J'y croyais pas !

Charles : ( il préparait le petit déjeuner ) Tu as vu ça Djé ? C'était quelque chose, je te dis pas ! Il m'a fait une comédie pour que je l'habille comme s'il allait rencontre le président de la république … Je ne sais pas ce qu'il a encore inventé … Mais … Tu n'aurais pas une idée sur le sujet ?
Moi : Je me doute bien qu'il a une idée derrière la tête mais …J'allais te poser la même question ! J'ai même essayé de faire parler Bob … Charles : Oui, on m'a raconté ! …
On prenait le petit déjeuner, Luc me cachait quelque chose mais il n'y avait aucun moyen de le faire parler. Bob était tout rouge et n'osait ni parler ni même me regarder de peur d'en dire trop ! Finalement on faisait route, comme prévu, on arrivait, Antoine et moi dans notre voiture respective et avec un chauffeur. Quand je sortais de la voiture Luc me lançait …
Luc : Tu n'essayes pas de me contacter ! Si tu veux me parler tu contacte Bob, il fera suivre …
Je regardais Bob qui haussait les épaules sans rien dire l'air désabusé !

Moi : Mais qu'est-ce qu'il a encore inventé ?

Tout se passait comme prévu, nos deux voitures se suivaient, nos deux chauffeurs allaient garer les voitures … Finalement Luc conduit bien, au volant il ne fait pas le mariole … Ça change !

Antoine et moi entrions dans le bâtiment, il était tôt mais il y avait déjà du monde … La journaliste télé nous attendait avec son micro et son cameraman … Elle nous accueillait avec un grand sourire, et me saluait sans oublier de me présenter des excuses pour l'année passée ! J'en revenais pas ! Elle nous faisait promettre d'accepter un interview avant de nous laisser entrer et de nous encourager …
La journaliste : … On sera tous avec vous à vous soutenir les champions !


Antoine : C'est la même journaliste que l'an dernier ?
Moi : Elle a bien changé !

Je passerai rapidement sur les épreuves de cette compétition amicale. On ne s'en sortait pas aussi bien que l'année précédente … Non pas que notre niveau avait baissé mais c'est celui des nos adversaires qui s'était amélioré ! Il y avait un bon nombre de porteur de dispositif de chasteté chez nos adversaires et on sait, on est bien placé pour savoir que ça motive !

On n'avait toutefois pas à se plaindre, notre équipe raflait un pas loin des deux tiers des médailles et coupes distribuées … Les deux autres équipes se partageaient le tiers restant …
Mais il se passait autre chose … Luc et Bob avaient totalement disparu, Charles qui nous avait suivi et avait rejoint les masseurs de notre équipe ne savait pas non plus ou ils pouvaient être. Greg lui en savait plus qu'il ne voulait en dire et quand je lui demandais ce qu'était devenu mon petit frère il me répondait par un sourire farceur …
Le premier jour, notre équipe se retrouvait au réfectoire pour le repas … Un écran télé géant y était installé, j'entendais la voix de Luc qui répondait à l'animateur. Je sursautais, me retournais vers la télé, c'était bien lui, le guignol ! Il n'était pas interviewer, il co-animait l'émission en direct !

Dans le réfectoire c'était la crise de rire …
… Regardez les gars … la télé …… Tient il est là lui …… Il est bien habillé en plus …… Luc , animateur télé … … C'est un clown, ça lui ira bien …
Et il s'en sortait bien en plus, Greg arrivait derrière moi.

Greg : Alors tu as compris ce qu'il te cachait ?
Moi : J'y crois pas, mais comment il a fait pour ne pas vendre la mèche ?
Greg : Il devient mature ! Il a passé 18 ans !
Moi : Il a peut être passé ses 18 ans mais mature … Ça c'est pas encore pour demain !

Un peu plus tard dans la journée alors que je n'étais pas en compétition, mon téléphone sonnait, numéro inconnu, je répondais … Une voix familière qui ne manifestait pas la moindre conviction dans sa façon de parler …
Téléphone : Allo ! Monsieur Brosso Jérémy service sportif de la télévision je vous téléphone pour vous demander si vous accepteriez un interview avec notre nouveau présentateur vedette ?
Moi : Allo … Bob ? C'est toi Bob ?
Bob : Bein oui c'est moi ! ( d'une voix totalement désabusée ) … Moi : Mais c'est quoi cette histoire ? Et ce bruit derrière toi ? On dirait que quelqu'un rigole …Bob : C'est Luc !
Moi : Vous êtes vraiment des clowns tous les deux ! Passe le moi !
Luc : Salut Jérémy ! Dis tu es d'accort pour l'interview ? Dis ? Je commence moi dans le métier si je peux interviewer un champion ce serait bon pour ma carrière !
Moi : ( en éclatant de rire ) Mais tu es vraiment un clown toi !
Luc : Tu m'as vu à la télé ? Je suis comment ? Je suis mignon à la télé ?
Moi : Je t'ai vu, tu es super …
On continuait la discussion quelques instants, il avait un direct … Mais il était content de son coup. Dans la fac on parlait encore plus de lui que de l'équipe … Surtout que, je ne sais plus si je vous l'ai dit mais la retransmission était nationale !

C'était une compétition sportive mais c'était aussi une fête, les supporters maquillés aux couleurs de leurs équipes faisaient beaucoup de bruit. Luc donnait de sa personne on le voyait sur le terrain avec son oreillette et son micro en direct ! Je ne participais plus à aucune compétition pour le reste de la journée aussi je passais rapidement à la douche pour être prêt et présentable.

Les douches étaient désertes à ce moment de la journée, évidement dehors c'était la fête … Mais dans les douches, une personne, un athlète, un seul prenait sa douche et profitait de ce moment de calme. Il était grand, finement musclé, les cheveux très courts, il bandait, il ne faisait pas partie de notre équipe !

J'avais retiré mes vêtements, ma bite manifestait dans sa cage, je sentais cette pression forte et douce à la fois. J’enclenchais ma douche, il sursautait, il ne m'avait pas entendu venir .

Lui : Oh ! Salut …
Voyant mon dispositif …
Lui : Oh excuse moi mais … Je … Ça te dérange pas ? ( en montrant sa queue qui était bien droite )
Je lui répondais par un sourire et commençais à me savonner.

Lui : Dans mon équipe il y en a aussi qui portent ce genre de truc !
Moi : Et ils font partie des meilleurs ?
Lui : Ils sont bons, mais le meilleur … C'est moi !
Moi : C'est vrai que tu as l'air très en forme !

Il s'approchait, toujours en se savonnant.

Lui : Tu arrives à le supporter facilement ?
Moi : C'est très confortable.
Lui : Oui mais tu ne peux pas … Moi : Me frotter le dos ?

Il rigolait. Sa voix changeait.

Lui : Tu veux que je te frotte le dos ?

Je me retournais … Pour ceux qui prendraient l'histoire en cours de route, vous ne pouvez pas le savoir mais … Je ne suis pas farouche ! Je le laissait me frotter le dos …
C'était plus une caresse dans le dos qu'une friction mais je le laissais faire.

Je le laissais faire quand il y mettait les deux mains, quand ses caresses descendaient sur les côtés de mon torse, sur mes reins, sur mes fesses …
Je le laissais faire quand un doigt se glissait entre mes fesses … Mais ça m'avait manqué ça ! Ça faisait des mois que je subissais une totale abstinence … Pour faire plaisir à Léa, pour préserver mon énergie, pour … J'en pouvais plus et … Je le laissais faire quand je sentais sa queue se glisser entre mes cuisse et quand il me prenait dans ses bras. Je le laissais faire et je passais mes mains dans mon dos pour le retenir !

Il me tirait vers lui, avançait son bassin et sa queue avançait et reculait entre mes cuisses, je tournais la tête. Il m'embrassait, il reculait un peu son bassin et quand il l'avançait de nouveau je sentais sa queue presser contre mon cul, me dilater l'anus et s'enfoncer doucement mais fermement dans mon cul.

C'était bon, j'avais presque oublié combien c'était bon depuis tous ces mois ou je n'avais rien fait. C'était terriblement bon, un peu douloureux mais si peu. Il terminait pas un coup de bassin, il était bien en place et me caressait en me serrant contre lui. Il était câlin et m'embrassait dans le cou.

Il commençait à me ramoner doucement me cul, puis plus fort et finalement se laissait aller, ses coups de rein devenaient plus rapides et plus violents. D'un coup violent il me repoussait en avant des deux mains il me retenait et me ramenait vers lui . Rapidement je jutais, je jouissais peu après et continuais à juter. J'avais le souffle court. Depuis des moi j'en avais rêvé, j'avais attendu ce moment, c'était vraiment bon, le plaisir montait, ma prostate hurlait au secours c'était génial.

Tous ces moments ou je m'étais fait défoncé le cul me revenais à la mémoire, un peu comme si toute ma vie sexuelle de passif défilait devant mes yeux. Je ne me contrôlait plus je hurlais de plaisir sans même m'en rendre compte. Il hurlait aussi dans mon oreille au moment ou il jouissait dans mon cul. Quelques convulsions de son bassin et il se retirait.

Je me sentais vidé, bien, terriblement bien mais vidé. Lui il avait le sourire.

Lui : Tu sais ceux qui portent ce genre de truc ils sont comme toi eux aussi, ils aiment bien ma queue … Alors moi … Il n'est pas question que je porte un truc comme ça !

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