Yvette, Raoul et moi

- Par l'auteur HDS Fabriss34 -
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Yvette, Raoul et moi Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2011 dans la catégorie Plus on est
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Yvette, Raoul et moi
Le temps est à la neige. Je n’ose pas mettre le nez dehors: j’ai horreur du froid. Je me fait porter
malade par mon médecin: elle sait ce que j’aime. C’est une femme médecin qui me porte une attention
particulière depuis que j’ai 15 ans. Nous avons 15 ans de différence, elle est tellement bien faite
qu’elle semble plus jeune que ça.
Oh, au début j’avais une angine, ma mère a fait venir cette femme: elle est venue plusieurs fois me
visiter, allant jusqu’à me faire mettre nue dans la chambre pour m’ausculter alors que ce n’était
que la gorge. Il a même fallu qu’elle me touche la poitrine, particulièrement les seins pour décider
que je devais venir au cabinet une fois par semaine, en fin de journée. Elle me donnait une drôle de
chaleur dans le bas ventre, chaleur que je calmais en me caressant. Ma mère soucieuse de ma santé
était d’accord. Si elle avait su !
Maintenant je suis seule dans la vie, ma mère m’a quittée.
Chaque mardi après midi je vais toujours chez Yvette, le médecin Elle me donne toujours des plaisirs
que j‘aime: je les lui rend toujours; j‘aime sa cyprine. Je travaille dans une grosse boite avec un
bon salaire, j’ai même un petit ami qui aime me baiser, comme j’aime ce qu’il me fait, sauf les
cunnilingus. La seule à savoir me sucer normalement est mon médecin. Elle sait bien me faire jouir
depuis le temps, même quand elle m’a dépucelée.
Donc aujourd’hui je l’ai appelée, elle doit venir dans la matinée, tout à l’heure. Je reste comme j-
ai dormi: nue.
Il me tarde qu’elle soit près de moi, plutôt contre moi, nue en 69, mon sexe dans sa bouche et le
sien dans la mienne. Ce soir je le dirai à mon chéri qui me baisera fort en regrettant toujours de
ne pas pouvoir me sucer alors que moi, je le suce jusqu’au moment ou je reçois sa semence dans le
bouche.
Enfin elle est là, avant tout, avant d’oublier, elle fait les certificats nécessaires à mon arrêt de
travail: 8 jours. Elle en profite, elle viendra tous les jours pour me baiser. Qu’elle chance.
Aujourd’hui elle sait que je n’ai rien, elle est vite nue, me rejoint dans les draps, m’embrasse
plus que tendrement.
Nos langues se caressent longuement pendant que nos mains sont déjà sur les seins de l’autre. Elle a
une poitrine qui tient le coup aux ans. J’aime avoir ses tétons sous mes lèvres: ils gonflent
d’excitation. Aujourd’hui j’ai décidé de dominer Yvette. Elle doit m’obéir en tout ce que je
demande: je veut qu’elle se branle devant moi, alors que souvent c’est l’inverse. Elle écarte ses
cuisses, ouvre sa chatte pour que je vois tout son sexe, y compris son petit trou. Avec deux doigts
de la main gauche elle fait sortir le clitoris de sa gaine, elle se caresse lentement d’abord, en me
regardant dans les yeux, le plaisir fait briller ses yeux. Je sois sa cyprine couler entre ses
fesses. J’en profite pour mouiller un doigt que j’entre directement dans son cul. Je le fait
coulisser: elle gémit.
Je ne peux pas savoir ce qui la fait jouir, ces doigts ou le mien. Je l’enjambe pour donner ma
chatte à sa bouche. Je sens sa langue lécher mon bouton, ses lèvres s’y mettent aussi. Il n’y a
qu’elle pour réussir aussi bien.
Elle se relève nue pour appeler sa secrétaire au cabinet pour décommander tous ses rendez vous: elle
revient toute souriante, elle va se consacrer à notre plaisir. Elle me saute presque dessus: je dois
la faire jouir: je suis la seule parait-il à lui donner ce qu’elle veut. Je sais ce qu’elle me veut:
ma langue sur et dans son cul: mon doigt ne lui suffit plus. Je lui donne satisfaction pendant
qu’elle me lèche, ma langue aussi est au travail, dans toute sa fente depuis le bouton jusqu’au
petit trou. Là, je suçote son anus: elle se tend vers ma langue; je force à peine pour la rentrer
dans le trou. Elle ne tient jamais longtemps: je sens ma langue resserrées par son sphincter par à
coup.
Je ne résiste pas non plus aux caresses. Yvette git toujours sur le dos, les jambes ouvertes dans
l’attente de la suite.
Je prends l’instrument qu’elle n’aime pas: mon gode. Elle ne l’aime pas parce que je m’en sers pour
me baiser seule; baiser avec mon ami lui convient, quoique. Elle ne s’attend pas à la suite: je vais
la pénétrer avec le gode.
Un jour elle a avoué qu’elle s’était faite baiser deux fois par le même type qui ne lui avait jamais
fait connaitre d’orgasme, et depuis elle ne voulais plus connaitre d’autres baises avec une bite.
Aujourd’hui elle va connaitre une autre baise avec moi. Je n’ai pas pitié d’elle: elle jouira comme
moi. Dès qu’elle voit la bite en plastique, elle commence à regimber. Non, non, elle ne veux pas.
Qu’elle veille ou pas, elle va se faire mettre et par une fille encore. Je force surtout pour
qu’elle ne ferme pas son compas. Enfin j’arrive à l’avoir par ruse, je repose ma tête sur son pubis,
croyant que je vais aller sur sa chatte, elle ouvre à nouveau ses cuisses. En allant vite je peux
lui enfiler le gode. Je le lui met à fond avant de le faire aller et venir.
Sa moue de réprobation se transforme quand elle sens le plaisir envahir sa chatte et son corps en
entier. Je pose mes lèvres sur les siennes. Elle jouit brusquement en me remerciant de ce plaisir
qu’elle ne connaissait pas.
Le temps va trop vite: nous devons finir de baiser, son temps est compté. Je l’accompagne à la porte
pour un dernier baiser: elle s’en va pour prendre l’ascenseur. Je reste la porte ouverte pour
qu’elle me voit en partant.
Dès que je rentre j’ai besoin de prendre une douche pour me faire du bien. Sous la douche, je me
masturbe encore une fois; j’aime ainsi.
Puisque je suis « malade » je vais me coucher en attendant mon amour. Je crois que je vais lui
permettre de me sucer. Le pauvre, je réserve ma chatte à une langue féminine, je peux bien la
partager avec celui que j’aime.
Il me vient une idée diabolique: si je demande à Yvette de revenir ce soir, je ne lui parlerai
surtout pas de Raoul.
Raoul mon amour qui me baise si bien, par devant dans le con et par derrière dans le cul. J’aime la
sucer pour son sperme.
Raoul vient comme toujours à 20 heures: juste pour casser une croute avec moi sur ses genoux, ma
main sur sa bite, sa main dans mon vagin. Ainsi se passent toujours nos préliminaires. La suite est
que je suis assise sur la table, ma chatte ouverte sur la bouche de Raoul. C’est la première fois
que je me donne ainsi. Il en est plus qu’heureux: je vois sa bite plus grosse que d’habitude:
qu’est-ce qu’il va me mettre tout à l’heure: je vais prendre le maximum de sperme.
Il sait me sucer aussi bien qu’Yvette.
J’ai laissé la porte ouverte dans l’attente d’Yvette: je n’en ai pas parlé à Raoul. Je pense qu’il
appréciera d’être en trio pour une fois.
Je sis donc assise, les bras me soutenant vers l’arrière, la tête en arrière savourant la langue qui
me lèche. Quand je jouis, je relève la tête, Yvette me regarde l’air en colère. Elle sait bien que
je me fait mettre souvent; Mais me voyant avec mon amant, elle n’en peut plus, elle voudrai faire un
je ne sais quoi. Raoul se tourne, il la voit. En se relevant, sa bite bien bandée, il lui montre
comment un véritable mâle est fait: sa bite est plus grosse que le gode. Eblouie, elle se rend. Il
lui donne sa queue qu’elle commence à masturber: elle sait faire ça alors qu’elle prétend avoir peur
des bite dans la chatte. A moins qu’elle les aime dans le cul.

Raoul a envie d’Yvette: je le lui pardonne, je vais même l’aider à la baiser. Mais avant je veux
qu’il m’encule, sans qu’il jouisse: je jouit moi très vite pendant les sodomies en me branlant
aussi. J’expose mon plan qui plait. Me voici toujours sur la table, cette fois sur le ventre: mes
fesses sont à la disposition de qui en veut. Je reçois un baiser d’Yvette avec un doigt qui cherche
à me pénétrer: son doigt qui est vite remplacé par une belle bite qui après s’être mouillé dans ma
chatte entre sans façon dans l’anus. J’aime les pénétrations comme il fait. Il est aidé par les
doigts d’Yvette: elle pose deux doigts sur le bouton, les bougent en cadence comme Raoul me met. Je
ne tiens jamais longtemps comme ça. Les spasmes ne s’arrêtent pas: je jouis longtemps.
Raoul sort de mon cul: il donne sa bite à Yvette qui le prend dans la bouche. Elle est penchée très
en avant: Raoul peut lui passer la main entre les fesses pour arriver sur sa chatte. Il ne cherche
qu’un seul orifice: son con: il y met trois doigts, de quoi lui remplir la chatte. Elle en jouit.
Raoul me donne sa bite juste avant de jouir: je récupère toute sa semence. Je veux la partager avec
Yvette qui ne connait pas encore ce délice; tant pis pour elle.
Nous allons dans la chambre. Yvette veut de moi, comme je veux d’elle. Raoul débande. Couchées nous
nous mettons encore en 69. Nous aimons bien jouir ainsi. J’aime son jus comme elle aime ma cyprine
quand je jouis.
Raoul nous regarde depuis un moment: sa bite se relève lentement. Enfin il bande comme un bœuf.
Je m’arrange pour qu’Yvette soit dessus: Raoul pourra se la payer dans le cul. En l’attendant je met
de la mouille, la mien et celle d’Yvette sur son cul. Elle ne se doute pas de la suite: elle pense
que je vais qui entrer mes doigts dans son anus.
Enfin Raoul est prêt: il vient sur le lit, je prend sa bite, le branle un peu et le je dirige vers
ce beau cul offert. Bien sur Yvette ne veut pas d’une queue dans son ventre. Qu’elle se débatte ou
pas, c’est pareil, la bite lentement s’enfonce pendant qu’Yvette est tendue. Arrive moment où elle
comprend qu’elle n’échappera pas à l’étreinte et la bite dans son cul. A ce moment elle commence à
voir la vie d’un autre regard: elle prend enfin du plaisir dans un endroit qu’elle craignait par-
dessus tout. Sa bouche sur ma chatte me mordille de plus en plus vite: elle jouit enfin avec la bite
de mon amant.
J’ai envie de sperme: j’attends que Raoul la sorte de l’anus d’Yvette. Je suis prête: dès qu’il sort
d’Yvette, je le prends dans la bouche. J’aspire la bite, une main autour de la queue le branle
également: Enfin je sens qu’elle gonfle encore: elle me donne tout le sperme. Je le passe dans la
bouche pour en profiter. Je veux en donner à Yvette qui ce coup ci ne refuse pas: elle aime aussi la
semence d’un homme;
Je sais maintenant que nous formons un ménage à trois. Tant mieux.

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Texte coquin : Yvette, Raoul et moi
Histoire sexe : Une rose rouge
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