Elodie se révelle

- Par l'auteur HDS Violette -
Récit érotique écrit par Violette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Elodie se révelle Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Elodie se révelle
Résumé : une travestie, Eric, recherche du travail. Elle se présente chez son nouveau patron habillée très féminine. Celui-ci, séduit par Eric et ses manières, l’embauche mais il a vu les résilles d’Eric. Cela l’obsède et il se décide de téléphoner à Eric pour lui demander si c’était des chaussettes, bas ou collant. Le téléphone sonne et Eric se présente sottement …

Oui, ici Elodie.
Interloqué par cette réponse Jean est pris au dépourvu. Il ne s’attendait pas à ça
- heu ….bonjour madame, je suis le nouveau patron d’Eric et j’avais besoin de lui parler...
Silence au bout du fil mais Jean entends une respiration qui s’est accélérée.
- allo ! ALLO !
-oui réponds une voix, c’est Eric.
- vous m’aviez dit que vous étiez seul, je ne comprends pas, quelle est cette histoire ?
-Jean, il faut que je vous explique, pardonnez moi de n’avoir pu tout vous dire cet après midi. Mais ce n’est pas facile à dire lors d’une embauche
- mais enfin quoi donc ? Qu’y a-t-il à dire ?
- Eric et Elodie ne sont qu’une et même personne, mes amis me connaissent sous le prénom d’Elodie. Comprenez que ce n’est pas facile d’avouer cela à une embauche !
- ah je comprends mieux, le style féminin, les gestes précieux.
- heu … et bien oui Jean.
- mais dis moi Eric ou Elodie que portais tu cet après midi sous ton pantalon ?
- des bas tenus par un porte- jarretelles !
- ok cela a du te faire rire quand je t’observais...
- oh non, jean, pas du tout j’étais gêné et j’avais peur de vous avouer la vérité. J’avais peur de ne pas avoir la place, j’ai besoin de ce travail, je vous en prie Jean, je ferai tout ce que vous désirez.
- bon, bon, bon, répondit Jean et après quelques instant de réflexion :
- avoues tout de même Elodie que tu as abusé de ma crédulité.
- j’en conviens, Jean et je vous présente mes excuses.
- ce n’est pas suffisant, on réglera ça demain matin, je t’attends à 9h et soit féminine...
- je vous promets d’être là et de vous servir.
- bien on verra ça !
- à demain Elodie.

Jean est resté assis dans son fauteuil, il essaye de réaliser ce qui lui arrive. Si on lui avait dit qu’il embaucherait une travestie soumise comme comptable ce matin, cela l’aura fait rire !
Mais il en était ainsi et cette situation l’excitait, donc elle avait des bas, hum !
Demain matin je vais te la punir « oui, mais comment ?»
Réfléchissant, jean se souvint que son ex avait fait de l’équitation et pas qu’avec le cheval la salope !
Sa tenue doit être restée dans un placard. Jean remonte l’escalier quatre à quatre et fouille les meubles avec fébrilité. Il est comme un ado avant son premier rendez-vous. À force de tout retourner, il arrive à sa recherche : la cravache en cuir.
Il la prend en main, la caresse et fouette l’air, elle siffle dans l’air.
Et il se déchaîne fouettant à vide et à tours de bras. « Prends ça salope putain et encore ça » ... il s’arrêta en sueur. « C’est fou ce qui m’arrive, mais c’est bien agréable, je sens la vie revenir en moi » ; « mais ça doit faire mal ce truc » et il se donne un coup sur la main...
« Oh c’est supportable » un deuxième coup plus fort « oui ça va » et une idée lui traverse le cerveau. Il se déshabille et va devant la glace dans la salle de bain et se donne un coup sur les fesses « bon c’est supportable » puis se donne plusieurs coups en augmentant la force. A chaque coup la languette de cuir en bout claquait sur ses fesses « aie » « hum c’est douloureux quand même » et regardant son derrière dans la glace il vit que celui-ci commençait à rougir !
Tandis qu’une chaleur sourde envahissait son arrière train. La température irradiait son bas ventre et il se mit à bander. Il se masturba lentement et pensa « elodie tu vas dérouiller demain et je te garde mon jus, salope » il alla se coucher en pensant au lendemain et il fit une nuit très érotique...

Quant à Elodie, elle restait très dubitative aussi. « Que je suis conne de me présenter comme ça ». « Enfin c’est fait ». Songeuse, elle alla prendre sa douche et ensuite alla devant son armoire pour y prendre une nuisette qu’elle enfila. Elle se dit « que vais-je mettre demain ? »
« Il faut que je rattrape ma bêtise » elle sorti une guêpière noire et des bas résilles noirs avec un string assorti. Puis elle choisit un pantalon blanc transparent et un chemisier blanc en dentelle. « Il faut que je joue le grand jeu si je veux sauver la face ». « Je dois avoir l’air vraiment salope ». « Ça avait l’air de lui plaire que je sois sexy ». « Il avait l’air fâché quand même ». « Il va me punir, peut être me mettre une correction » pensa t’elle en étant parcourue d’un grand frisson « il y a un bon moment que l’on ne s’est pas occupé de mon petit cul » « ça ne me ferait pas de mal de prendre une bonne fessée, je la mérite ». « Hum, sentir mes fesses toutes rouges et brûlantes, ça me manque »
Et bandante elle se coucha et se dit qu'en fait son erreur allait peut être précipiter les choses mais aussi les éclaircir et lui apporter plus de résultats. Enfin avoir un patron qui est son maître sexuel doit être excitant. Être soumise toute la journée, un rêve. Et le soir peut être qu’il s’occupera de moi aussi, qu’il voudra m’exhiber hum !! Un homme est possessif et aime montrer ce qui lui appartient mais tout le plaisir sera pour moi...


Au matin, Elodie se réveilla et se dépêcha de se préparer bien qu’elle ait largement le temps.
Elle se vêtit des effets préparés la veille. Les sous vêtements noirs traversaient les dessus blancs. Tout se devinait par transparence. « Hum ! J’ai vraiment l’air d’une pute comme ça »
« C’est bien ça va l’exciter ». Mais se posa un petit problème qu’Elodie avait oublié. Pour se rendre à son travail elle avait 40 minutes de RER. Elle alla à sa fenêtre, le ciel était déjà bleu et la journée s’annonçait superbe. « Pas moyen de mettre un imper, je vais avoir l’air cloche ». Elle retourna à son armoire et essaya une légère veste d’été. Pour le haut cela allait. Ça dissimulait pas mal mais les dessins des bas apparaissaient bien en dessous du pantalon. Elle fit un tour sur elle-même devant la glace et se dit « bon ça ira et si on me regarde après tout c’est ce que j’aime ». « Et je n’ai pas le choix je dois jouer mon va-tout aujourd’hui »
C’est donc ainsi vêtue qu’elle descendit dans la rue. Des petits escarpins plats terminaient sa tenue. Arrivée dans la rue elle se dit « il faut que je soigne ma démarche » et elle fit des pas plus petits en faisant rouler son petit cul. Les quelques hommes qui la croisèrent se retournèrent sur elle. Et son angoisse disparue pour laisser place à l’excitation qu’elle avait de se montrer. Cela satisfaisait son besoin d’exhibe. Et c’est le cœur léger qu’elle marcha en roulant du cul jusqu’à la station de RER sans s’occuper des gens qui l’entouraient, plongée dans ses pensées (érotiques bien sur).
Installée dans le wagon elle choisit de rester debout, se tenant à la barre centrale. Un homme, assis à quelques mètres d’elle, la regardait de la tête aux pieds. Il semblait l’avoir devinée. Il lui accrocha le regard et les yeux dans les yeux, il se passa la main sur l’entre jambe pour lui montrer qu’elle le faisait bander. Elodie fixait maintenant cette bosse qui déformait le pantalon de l’inconnu, heureuse d’exciter un male. Elle ne s’aperçut même pas que le train venait de s’arrêter dans une gare dont les quais étaient surchargés de monde. Elle se retrouva plaquée contre la barre centrale. Elle rechercha l’inconnu mais il n’était plus à sa place.
« Dommage » pensa t’elle et le train reparti. Soudain une main passa sous son bras et vint saisir la barre. Bon tout le monde tente de se tenir comme il peut. Mais elle sentit un corps se plaquer contre le sien. Un coup de courant lui traversa le corps et un frisson la parcouru. Il n’en fallait pas plus pour démarrer son imagination. De toute façon elle ne pouvait pas bouger et il lui était impossible de voir celui qui était derrière elle. Il profitait des secousses pour se frotter contre elle ; elle sentait parfaitement la queue tendue qui s’incrustait entre ses fesses.
Elle décida de faire tourner ses fesses pour montrer à l’inconnu qu’elle appréciait. Après quelques moments de ce jeu, la main inconnue quitta la barre et elle sentit celle-ci toucher son cul. Cela la fit frémir. Puis la main revint et se posa sur son poignet. Elle donna un petit coup pour lui indiquer de lâcher la barre. Elodie obéit et la main guida son bras entre eux. La position était mal aisée mais Elodie comprit que l’homme voulait qu’elle le touche.
Elle chercha un peu et oh surprise l’homme avait ouvert son pantalon. Elodie plongeât sa main dans l’ouverture et atteint une queue longue, fine et bien tendue. Elle la caressa et descendit tâter les boules qui étaient gonflées et pleines de jus. Elle remonta et branla la queue comme elle pouvait vu la position mais elle savait que c’était bon pour l’inconnu car elle entendait tout près d’elle une respiration s’accélérer. Cela la transcenda et elle s’activa de plus en plus sur cette queue jusqu’à ressentir sa main inondée de sperme. Elle retira délicatement sa main et ne savait plus qu’en faire tant elle était gluante. Elle avait peur de se tacher. Quand une main par-dessous son épaule lui glissa plusieurs mouchoirs en papier et elle réussit en quelques mouvements à essuyer l’essentiel. Pendant ce temps une voix lui murmura a l’oreille « merci j’espère que l’on se reverra, je prends cette ligne tous les jours ».
« Je dois t’appeler il ou elle ?» « Elodie » répondit elle. « Tu es une belle salope Elodie » conclut l’inconnu.
Quelques stations plus loin, il descendit et cela permit à Elodie de voir que c’était son inconnu du début qui avait profité de la cohue pour venir se coller contre elle.
Heureuse de ce début de journée Elodie descendit de la rame et couru aux toilettes pour se laver et vérifier qu’elle n’était pas tachée.
Puis tout remis en ordre elle repris sa démarche ondulante et se dirigea vers son lieu de travail
Elle fut arrivée en quelques minutes. Là elle essaya de pousser la porte, celle-ci s’ouvrit, elle continua directement vers le bureau du patron. Celui-ci travaillait assis derrière son bureau. Elodie, s’approchant devant le bureau, dit « bonjour Jean »
Celui-ci ne leva pas la tête ni ne répondit…


Fin du 2° épisode

Les avis des lecteurs

très plaisant



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