Si j'avais connu

- Par l'auteur HDS Simon -
Récit érotique écrit par Simon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Si j'avais connu Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2006 dans la catégorie Dominants et dominés
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Si j'avais connu
En lisant ces histoires de sexe qu'on peut consulter sur internet, je m'étais imaginé qu'il devait être agréable de subir la soumission d'une personne de l'autre sexe. Etant dans la quarantaine, marié depuis plusieurs années et n'ayant pas eu d'expériences sexuelles étendues, je fantasmais sur le genre de relations que l'on retrouve dans les différents sites où la soumission est de rigueur. Je dois dire également que ma vie de couple est assez satisfaisante puisque j'ai une épouse tranquille mais qui sait satisfaire mes besoins sexuels. Et, je lui rend la pareille. Mais, depuis quelques mois, en consultant les sites internet les plus osés, j'avais envie de vivre une expérience du genre de celle qu'on y retrouve. Et je me faisais plaisir mentalement en pensant à ce que ça pourrait être d'être complètement soumis aux désirs de l'autre. Evidemment, j'avais bien tenté de faire une approche en ce sens à mon épouse mais cette dernière n'avait pas spécialement répondu à mes invitations. Je m'employai donc à passer en revue les sites internet où je pourrais trouver une compagne à ma hauteur. Après plusieurs courriels expédiés dans des sites de rencontre, je trouvai finalement une femme prête à me rencontrer. Je constatai d'une part que les femmes ayant des désirs de domination sont plutôt rares, celles ayant des désirs de soumission s'avérant bien plus nombreuses. Je me rendis également compte que le fait de ne pas avoir d'expérience en cette matière répugnait la plupart de celles qui s'affichaient comme dominatrice. Mais, j'avais finalement établi une communication avec une personne qui pourrait assouvir le désir qui devenait de plus en plus persistant chez moi. Un rendez-vous avait été organisé dans un café-bistrot pour prendre un premier verre et voir s'il y avait bien compatibilité entre nous. C'est ainsi qu'à la fin d'un après-midi de semaine, je me retrouvai attablé, fleur blanche à la boutonnière, en attente de ma partenaire. La fleur devait être un signe distinctif, bien que superflu puisque nous avions précédemment échangé des photographies sur internet. Je reconnus Rosette lorsque je la vis venir à ma table. Après les présentations d'usage, la conversation ne fut pas tellement longue. Nous avons constaté que nous avions les affinités nécessaires pour poursuivre l'expérience et avons convenu nous retrouver dans un chalet loué pour le prochain week-end. Je trouvai un excuse convenable auprès de mon épouse pour pouvoir m'absenter le samedi et le dimanche suivant. C'était assez inattendu de ma part, mais je crois que les raisons invoquées paraissaient crédibles. Le samedi, je me rendis au chalet que j'avais loué en campagne avec ma petite valise d'effets personnels. Rosette arriva plus tard. Il faut dire qu'elle m'avait indiqué avoir une certaine expérience dans la domination pour avoir rencontré un nombre assez important d'hommes et même de femmes. Après s'être installés, nous avons entamé la discussion. Après des vérifications d'usage, il fallait établir les règles, ce qui fût fait assez promptement à raison de l'expérience de Rosette. D'un commun accord, nous avons fixé seulement trois conditions : 1. Rosette aurait le droit d'exiger de moi tout ce qu'elle désirait, 2. Je devais obéir en tout point et faire tout ce qu'elle me dirait, 3. Si je désirais arrêter le tout, je n'avais qu'à prononcer trois fois le mot assez. C'était assez simple comme règles. Le tout étant convenu, Rosette me demanda d'aller dans ma chambre, de me dévêtir et de revenir entièrement nu. De son côté, elle passa dans la sienne pour se mettre en tenue. Je revins au salon, non sans une certaine gêne, avant que Rosette ne revienne. Cette dernière ne tarda pas à revenir, vêtue d'une guêpiere, gantée jusqu'aux coudes, avec des bas noirs et des souliers comme on en voit dans les sites internet sado-maso. Elle me demanda de me lever pour me mettre un collier d'esclave avec un anneau et des entraves aux poignets et aux chevilles. Elle pourrait ainsi m'attacher à sa guise. Elle passa mon corps en revue en ne ménageant pas ses commentaires sur ce qu'elle aimait et ce qu'elle n'amait pas. Je désirai échanger, mais j'appris rapidement qu'un esclave n'a pas de droit de parole. Après m'être fait attaché sur le divan, fesses exposés, Rosette entrepris de me faire subir un premier châtiment. A froid, elle y alla en martelant mes fesses alternativement de sa main gantée. Après cet exercice, elle passa à la tapette en cuir. Jusque là, je n'avais rien à redire. Le tout s'endurait bien. Mais, je savais bien qu'il devait certainement y avoir un crescendo dans ce traitement. Après la tapette, ce fût au tour d'une lanière de cuir, puis d'un fouet avec plusieurs tiges. Là le traitement devenait de plus en plus insupportable et la douleur s'intensifiait au point où chaque coup avait des répercussions profondes dans tout mon corps. Je poussais des gémissements à chaque fois que mes fesses subissait un nouvel outrage. La partie arrêta momentanément. Je croyais bien que c'était la fin. Mais ce n'était pas le cas. Rosette alla dans sa chambre et revint avec une huile de camphre qu'elle m'appliqua sur les fesses. C'était brûlant. Si je n'avais pas été attaché, j'aurais couru dans les wc prendre un bain de siège. Mais j'étais bel et bien prisonnier de cette maîtresse qui savait y faire avec un corps d'esclave. Insérant insidieusement sa main entre mes deux jambes, elle vint vérifier l'état de mes parties. Palpant de sa main encore gantée mes boules et ma verge, je sentis également la chaleur de cette huile de camphre dont elle conservait encore les résidus. Après s'être amusée à bien me frotter et m'avoir bien humilié de propos blessants sur l'aspect et la grosseur de mon sexe, Rosette entrepris de continuer le traitement. Non seulement j'avais les fesses en feu, mais je pouvais supporter à peine la douleur infligée à mes testicules et à ma queue. Cette fois, c'est avec une palette de bois que ma tortionnaire reprenait le boulot et s'acharnant à changer la cadence de ses coups, tantôt en alternance sur chaque fesse, tantôt en coups rapides et répétitifs sur une fesse, puis sur l'autre. C'en était trop, je suppliais d'arrêter cette torture. Rosette arrêta et vint me regarder droit dans les yeux. Elle me fit savoir que j'étais son esclave et que je n'avais rien à redire des gratitudes qu'elle avait à mon endroit. Elle me fit savoir qu'elle n'appréciait pas mon comportement et qu'elle allait me punir pour cela. Elle empoigna un long fouet, se rendit derrière moi, s'installa en position. Le fouet claqua lorsqu'elle lui fit prendre son élan et s'abattit en l'espace d'une ou deux secondes sur mes fesses déjà endolories. Je poussai un long cri tellement la souffrance était extrême. Mon corps se mit à trembler de douleur. Rosette se préparait pour son prochain coup. Je n'en pouvais plus. Les yeux humectés de larmes, je criai avec la voix la plus forte «Assez, assez, assez». Le mot de passe était lâché à peine 30 minutes après que le traitement ne soit commencé. Le week-end se termina donc ainsi. Je rentrai à la maison prématurément, invoquant un contretemps. Et, jje mentionnai qu'il m'était arrivé un accident et que j'avais tombé pour expliquer la raison pour laquelle j'avais une démarche inhabituelle. Mon désir de jouer les esclaves soumis venait de finir à tout jamais. Si vous-même en avez envie, je vous conseille de bien y penser.

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