Ma nuit blanche

- Par l'auteur HDS Fabriss34 -
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Ma nuit blanche Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Tags : Hotel Escort boy
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(6.0 / 10)

Couleur du fond :
Ma nuit blanche
Ce soir je reste bloquée dans cet hôtel. J’aurai aimé rentrer chez moi, je l’avais promis à mon
homme. Dommage j’avais réussi acheter tout ce qu’il fallait pur le rendre fou de désir: une gaine
lacée noire, un string encore plus mini que les autres qui montre plus qu’il ne cache, des bas noirs
et des escarpins noirs aussi. Je viens d’essayer le tout devant la grande glace de la salle de bain:
je parais encore plus salope. Je me plais: il va me violer quand il me verra demain.
J’enlève tout pour me coucher nue sur le grand lit: je caresse mes seins qui durcissent comme quand
j’ai envie d’un bite. Je me tripote un peu la chatte. Je suis sur le point de me branler. J’hésite
un instant.
Je me souviens que je suis dans un hôtel de luxe: je peux demander ce que je veux au concierge.
- Allo, je voudrai une compagnie.
- Bien madame, un instant.
Il me rappelle peut-être 5 minutes plus tard.
- Oui, j’ai trouvé un excortboy qui devrait vous plaire.
Pour la première fois de ma vie je vais baiser avec un homme que je payerai. Je me demande l’effet
que ça me fera, est-ce qu’il baise bien, Comment est sa bite, est-ce qu’il fait tout ce que je lui
demanderai: je suis drôlement gourmande aujourd’hui, surtout depuis que je sais que je vais ouvrir
mon perte monnaie.
Une demi heure plus tard, on frappe à la porte. Je ne me suis pas rhabillée: je dois donner
l’impressions de n’être qu’une salope. J’ouvre largement la porte, un grand homme entre.
Cérémonieusement il me fait in baise main. Ma nudité n’a pas l’air de l’effrayer, il en a vu
d’autre. Il m’embrasse sur la bouche: un baiser parfait, mieux que ceux de mon époux. Il me tient
par la taille, vient bien contre moi; je sens mes seins contre sa poitrine et sa bite contre mon
ventre: il ne bande pas encore. Je me frotte à lui pur vois sa résistance: il est comme les autres:
mon ventre l’excite beaucoup: je sens le sexe gonfler. Je commence à le déshabiller, il m’arrête:
- Non je le fais pour que tu vois bien.
Il fait un épluchage impeccable, sa chemise d’abord me permet d’admirer ses pectoraux et ses
plaquette de chocolat sur l’abdomen. Je regarde en bas: il enlève ses chaussures et chaussettes,
avant de retirer son pantalon: il reste en caleçon: sa bite est prête à sortir: j’attend le moment.
Il se tourne pour cacher sa nudité et se retourne quand il est enfin nu. J’ai un choc en voyant sa
bite. Je la pensais énorme alors qu’elle est banalement normale, comme celle de mon mari.
Il me reprend dans les bras, cette fois en me tenant la taille et les épaule. Cette fois je sens
bien sa queue contre moi: j’en ai envie dans mon ventre.
Calmement, en homme d’expérience, il me couche sur le lit, écarte mes jambes: je lui montre tout ma
chatte. Il est assis à mes cotés, sans se presser il passe une main à l’intérieur de ma cuisse
droite, la caresse depuis le genou jusqu’à l’aine. Il recommence de l’autre coté. Cette fois sa main
ne s’arrête pas, elle va plus haut, jusqu’au pubis. Il ma fait languir; j’ai besoin de caresses
plus personnelles. Il le sait et ne fait rien pour calmer ma soir de jouissance. Au contraire, il
m’embrasse encore sur la bouche; sa langue entre plus profond: ma langue rend tous les coups. Il
pelote ma poitrine, la faisant encore plus gonfler.
Qu’est-ce qu’il attend pour me baiser? Je l’ai payé tout à l’heure pour ç, non. Je suis sa cliente,
il doit me faire jouir. A moins qu’il ne fasse tout ça justement pour que j’ai envie de lui à en
crever.
Je cherche sa bite, il me la refuse. J’aurai aime le masturber ou le sucer: son sperme doit être bon
dans une bouche de femme.
Enfin il consent à poser sa main sur mon sexe. Il a toutes ma chatte dans sa main. Il la caresse à
grand coup en vas et vient sur elle, sans s’attarder à un endroit quelconque. Pourtant il me fait
mouiller encore.
Je me tend vers sa main: il me caresse enfin le clitoris. Il a écarté les petites lèvres pour faire
ressortir le bout de mon endroit préféré.
Je ferme les yeux: qu’il branle bien, mieux que ce que je peux faire. Il appuie juste ce qu’il faut,
il ne va par trop vite: il attend un instant avant de changer de vitesse, comme s’il lisait dans mes
désirs.
Je ne vais pas tenir longtemps ainsi. Je vais avoir un orgasme imminent. Il tarde pourtant à venir:
il sait comment ralentir mon plaisir. Je ne sais combien de temps dure la masturbation. Je ne m’en
plains pas du tout.
Je sens venir du fond de mon ventre un vague qui monte doucement jusqu’à mon cerveau: je me crispe,
relève mon con vers sa main. Il sens le moment exact où je cri ma jouissance: il entre deux doigts
au moins dans mon vagin. Je le sens à chaque crispation de mon sexe. Il me baise presque en
attendant que je finisse de jouir.
Quel amant. Je ne regrette rien, pas même de tromper mon amour avec un homme que je paie rien que
pour ça.
Cet amant ne m’a pas baiser. Il vient sur moi, entre mes jambes, sa queue bien droite qui vise mon
trou. Je me demande si je doit le diriger ou quoi. Le temps de réfléchir à la question, lui a déjà
répondu; il est à l’orée de ma chambre des délices. Il entre doucement comme si j’étais vierge. Il
écarte mes chairs en me faisant geindre. Il se couche sur moi en m’écrasant. Son poids sur moi est
le bien venu. Je m’accroche à lui avec les bras et les jambes. Quitte à faire la bébête à deux dos,
allons y, je ne me gêne pas.
Sa bite est bonne dans mon ventre. Il me fait jouir encore, et encore.
Il sort de moi, me retourne en levrette. Sans rien me demander, il vient sur mon anus. Le caresse un
bon moment avec son gland: il me fait jouir pour la première fois de cette façon. Il se retire pour
prendre ma cyprine, en tapisse l’entrée se remet en place et m’encule. Je sens mon anus se détendre
devant son assaut. Il va et vient dans le cul. J’aime sa façon de faire, différente bien sur de
celle de mon époux qui pourtant m’encule bien.
Ses couille battent contre mes fesses. Ce salaud me fait jouir sans arrêt. Je voudrai son jus dans
mon cul ou la bouche. Ce n’est pas moi qui décide, il se tend: je reçois une décharge de son sperme
dans les boyaux. Quel plaisir il me donne ainsi.
Je me rend compte que nous n’avons pas dit deux mots.
- Tu va encore me faire jouir ?
- Bien sur, je ne suis pas de ceux qui calle. Regarde ma bite, je n’ai pas débandé.
C’est vrai, sa bite est toujours en forme. Il me la donne: je peux le branler comme j’aime faire.
J’espère qu’il va encore cracher son jus. Le branler n’est pas suffisant.
J’emploie maintenant la méthode forte: je le prends dans la bouche, je le branle à la base: j’aime
bien tenir un homme par sa queue, il me semble que je suis la dominatrice, alors que je ne fais
qu’obéir à mon instinct de femme. Je vais bien plus loin, je caresse le scrotum, me perdre vers son
anus, là où j’aime me faire mettre. Il écarte les fesses, laisse mes doigts l’envahir. J’éprouve un
plaisir bestial à presque l’enculer en le suçant. Je ne sais si ce sont mes doigts dans son anus ou
ma bouche: il jouit sans gêne et sans rien dire dans la bouche. Avant le gout de son sperme j’avais
le gout de mon cul. Maintenant la dominante dans la bouche est sa semence abondante. Il bande
encore. J’ai envie de tirer un dernier coup.
Il me met sur le ventre, j’écarte les jambes, il passe sur moi, sa queue longe l’écartement des
cuisses et après avoir frôlé mon cul il est enfin dans le vagin. Cette fois il entre comme ne
terrain conquis: c’est toujours agréable d’être pénétrée ainsi. Il la met au fond de mon ventre. Je
le sens toujours quand il recommence à aller et venir. Je participe bien sur: ses mains viennent
emprisonner mes seins. Il m’embrasse dans le cou. Je ne sais plus où j’en suis, il me rend folle de
plaisir. Il éjacule encore un fois: je sens son jet puissant.
Cette fois s’en est trop: je cris mon orgasme: je ne crois pas avoir jamais crié.
L’aube arrive: il me faut rentrer. Je crois que je vais avouer à mon mari que je l’ai fait cocu: je
préfère, tout se sait maintenant. Alors que lui aussi m’a bien dit une fois qu’il avait couché avec
une cliente. Nous en avions profiter pour baiser comme des dingues. J’espère qu’il acceptera aussi.
C’est bien ce qui s’est passé en rentrant j’ai avoué ma faute: il m’a embrassée:
- Tu as bien jouis au moins ?
- Oui.
- Tant mieux, je vais te punir:
Il m’a forcé à me mettre toute nue, m’a faite coucher, s’est jeté sur moi pour me la mettre comme
jamais je crois. Il m’a faite jouir plusieurs fois.

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