9 JOURS TRANQUILLES À ANTIBES. 12e et dernier chapitre

- Par l'auteur HDS Henrivakan -
Récit érotique écrit par Henrivakan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : 9 JOURS TRANQUILLES À ANTIBES. 12e et dernier chapitre Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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9 JOURS TRANQUILLES À ANTIBES. 12e et dernier chapitre
(Pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents). Pour Henri c’est son dernier jour de vacances à Antibes. Décidément, les antiboises ne sont anti-baise.


En chemin je m’arrête pour acheter du Champagne frais, de la Vodka et quelques délices à grignoter.
Mon téléphone sonne. C’est Coralie (la fille boutonneuse). Je lui réponds. Elle m’annonce qu’elle a suivi mes conseils à la lettre :
-« L’animateur du camping dont je t’avais parlé m’a présenté un de ses potes. Un beau garçon d’une vingtaine d’année qui s’appelle François. Il est super sympa. Je suis sortie avec lui. Il m’a amené dans sa chambre et nous avons baisé. Il était très doué et j’ai eu un orgasme merveilleux. Après je l’ai sucé. Et après j’ai accepté une sodomie. Tu sais que je n’aime pas trop ça, mais il a insisté alors … Lui il a adoré. Il m’a dit que j’étais super bonne et que j’étais faite pour la double pénétration. J’étais vachement contente que ça lui ait plu à ce point. Il m’a proposé de faire venir un ami pour me prendre en double. J’ai pensé à ce que tu m’a dit et j’ai accepté. Je les vois tout à l’heure. Alors tu es content ? »
-« Oui ma chérie, tu t’es très bien débrouillée. L’important dans tout ça c’est que tu y prennes du plaisir et je vois que c’est le cas. Rappelle-moi pour me raconter la suite. Ce serait encore mieux si tu pouvais appeler quand ils seront en train de te prendre à deux. » Cette dernière remarque n’est qu’une boutade, mais Coralie semble se prendre au jeu.
-« Hi, Hi, Hi ! Tu es fou ! Je vais essayer. Je te rappelle. Bisous. »

Arrivé à mon appart, j’ai juste le temps de me laver et de me changer. Il est l’heure de partir chez Alain.

J’y arrive à 20 heures, comme convenu.
Françoise et Magali sont déjà là. La fête peut commencer. Nous discutons de mon héritage, du travail au magasin, des vacances. Nous buvons, nous mangeons, nous fumons quelques pétards.
L’alcool aidant, nous abordons des sujets plus sexuels.
La conversation arrive sur nos meilleurs souvenirs de sexe.
C’est moi qui commence.
Je parle de la fois ou j’ai baisé en alternance l’anus et la chatte d’une fille. Et que celle-ci a adoré ça, et qu’elle a jouit en hurlant. Je me tourne vers Françoise, elle me jette un regard courroucé. Elle doit avoir peur que Alain devine quelque chose. Il n’en est rien.
Alain se lance à son tour. Il nous raconte la fois ou une fille lui a fait « gorge profonde ». C’était bien évidemment super bon. Il a éjaculé sans prévenir la fille. Elle s’est étranglée et elle a vomi sur lui.
Comme meilleur souvenir, il aurait pu trouver mieux …
C’est au tour de Françoise. Mais elle refuse de raconter quoi que ce soit sous prétexte qu’il y a trop de bons souvenirs et qu’elle ne peut pas choisir.
Alain intervient.
-« Et la fois ou je t’ai baisée dans la cuisine alors que tes parents étaient dans le salon. Tu te souviens ? Quel pied ! » « Et puis le jour ou je t’ai acheté un vibro-masseur et que ...»
Françoise le coupe brutalement :
-« Tu ne va pas raconter toute notre vie ? Ça suffit ! »
Cette intervention clos le débat qui s’annonçait pourtant passionnant.

Nous décidons d’aller nous coucher, ce qui veut dire baiser.
Françoise et Alain s’enferment dans leur chambre.
Magali et moi nous installons sur le clic-clac.
Cette nuit d’adieu aurait du être mémorable. Elle fut d’une grande banalité.
Magali qui n’avait plus ses règles a accepté de baiser. Sans grand enthousiasme ni pour elle ni pour moi.
On est interrompu par la sonnerie de mon téléphone (je l’avais volontairement laissé allumé au cas ou …). Comme je l’espérais, c’est Coralie. Je sors du lit pour pouvoir écouter en toute tranquillité.
Je décroche et j’entends des bruits bizarres comme des soupirs :
-« AAAAAH, Hummmm, aaaaah … »
Moi : « Coralie, c’est toi ? Tout va bien ? »
Coralie : « Henri, je t’appelle –aaah- comme promis. –aaah- Je suis avec François et Rachid. –aaah- Tout se passe –aaah- très bien. »
Incroyable ! Elle n’a pas menti, elle est avec deux garçons. Et en pleine séance de baise !
-« Ils m’ont –aaah- d’abord baisée à tour de rôle. –aaah- J’ai adoré. »
Une voix de garçon se fait entendre : « Ta copine est une sacrée salope. Elle a déjà jouit 2 fois ! »
Coralie reprend la parole : « Puis François –aaah- m’a sodomisée –aaah- . J’ai bien aimé aussi. »
Une autre voix de garçon : «Son cul est super bon ! Quelle salope ! »
La première voix masculine : « On s’en occupe bien de ta copine. Faut pas t’inquiéter … »
Coralie : « Arrêtez de parler ! Maintenant je suis –aaah- sur Rachid qui pénètre mon vagin –aaah- , pendant que François –aaah- me prends par derrière. Ouaaah ! C’est très fort ! C’est très bon ! –aaah- C’est très bon ! -AAAhii- Moins vite François –aaah- s’il te plait. Ouaaa-ouaaah. Il faut que je te laisse –aaah- , il faut que je te laisse –aaaaaaaah !- » Et elle raccroche.
Putain ! Et dire que c’est moi qui l’ai pervertie…

-« C’était qui ? » Me demande Magali.
-« Juste une ex qui me raconte qu’elle vient d’essayer la double pénétration. »
-« Elle manque pas de culot celle-là ! Ça ne te dérange pas ? »
-« Je ne suis pas jaloux. Et j’adore quand mes ex me racontent leurs turpitudes. Il faudra que tu fasses pareil toi aussi. »

Je retourne m’occuper de Magali, je veux essayer quelque chose de plus jouissif : une sodomie. Mais à nouveau cela s’avère impossible.
A contre cœur il faut que je me contente de son vagin. Après ce que je viens d’entendre, c’est encore plus insipide que tout à l’heure. Pour la faire jouir plus vite et me débarrasser de cette corvée, je frotte son clito avec mes doigts. Elle jouit, enfin.
Et cela se finit, comme l’autre soir, par une fellation.

Vers 2 heures du mat je me décide à partir.
Je ne peux pas dire au revoir à Françoise et Alain car ils dorment déjà.
Magali veut que je la ramène chez elle (chez ses parents). Elle n’habite pas très loin, dans une petite maison genre pavillon de banlieue. Le trajet est rapide.
Nous nous disons adieu devant la porte. Magali veut que je reste, elle veut me revoir. Je lui explique que c’est impossible. Qu’il faut qu’elle trouve de nouveaux amants pour s’amuser. Que ce serait un gâchis qu’une fille si jolie ne profite pas de tous ces garçons qui lui tournent autours. Etc …
Pour toute réponse Magali s’accroupit, elle ouvre mon pantalon, elle extrait ma bite et elle commence une fellation.
Je la laisse faire quelques minutes car la situation est assez excitante. Puis je l’arrête. Je n’arriverais pas à éjaculer.
Je laisse mes coordonnées parisiennes à la petite coiffeuse. Ce n’est pour qu’elle vienne me voir, mais plutôt pour qu’elle m’écrive et me raconte ses diverses expériences sexuelles à venir.

Arrivé à mon studio, je m’endors immédiatement.

MERCREDI –le départ-
A 8 heures, mon réveil sonne.
Bon sang ! Je suis crevé.
Il faut que je termine ma valise. Après il faut que j’aille rendre le scooter. Puis rendre les clés à l’agence immobilière. Ensuite je dois prendre un car jusqu’à l’aéroport de Nice.
J’hésite à envoyer un SMS à toutes mes conquêtes. Le même SMS :
-« Rendez-vous chez moi à 10 heures pour des adieux mémorables. Bisous, Henri »
J’imagine Françoise, Gaëlle, Magali, Sarah, Sylvie, Léa, arrivant en même temps devant ma porte close … C’aurait été une fin très cinématographique.
Je n’en fais rien.
Je me contente d’envoyer des messages d’adieu d’une grande banalité.
Puis je fais ce qui était prévu.
Dans le car puis à l’aéroport, je reçois divers messages de réponse. Tous très gentils et très flatteurs pour moi.
J’ai même la surprise d’avoir un SMS de Carine qui dit qu’elle serait heureuse de me revoir. Youpi !!!

Dans l’avion je repense à mon séjour qui s’est déroulé idéalement, je sort mon carnet pour me remémorer tous les détails.
A faire ainsi l’inventaire des filles et des diverses pratiques sexuelles, ça me fait penser à un jeu que nous avions lancé avec des copains.

A 20 ans je m’étais inscrit à la fac de Jussieu (à Paris). Ce n’était pas les études qui m’intéressaient, mais les femelles qui fréquentent ce lieu.
La drague était fructueuse. Mais je n’étais pas le seul à en profiter. Beaucoup d’étudiants étaient ici pour la même chose que moi, et il y avait quelques professeurs qui se servaient aussi.
Avec le temps, j’ai fais connaissance avec d’autres dragueurs. Beaucoup de ces types étaient de vrais cons, égoïstes et jaloux. Mais j’ai réussi à créer un climat de confiance et d’entente avec quelques séducteurs du campus. Il aurait été stupide de se faire concurrence. Je suis devenu ami avec trois d’entre eux. Il y avait Alex (un petit brun aux yeux verts), Théo (un grand et beau blond) et Youss (un grand noir).
Nous avons décidé de nous aider mutuellement en nous donnant des conseils et en nous refilant des bons plans ou des bons coups.

Nous avons vite compris qu’il était plus facile de draguer par paire. 2 garçons qui abordent un groupe de 2 ou 3 filles c’est plus sympa et la conversation s’engage plus facilement.
J’étais le plus souvent avec Théo. La cafétéria était notre terrain de chasse privilégié.
Une fois le gibier appâté, la conversation était lancée sur des banalités (vie étudiante, cours, bouffe) et nous allions prendre un pot ou manger un morceau. Nous sympathisions en nous rapprochant chacun de l’une des filles. La conversation s’orientait vers des choses plus personnelles et intimes. Suivant l’attitude de l’étudiante on pouvait soit directement l’inviter chez nous (sous entendu pour baiser) soit l’inviter à une sortie dans un bar branché ou pour aller voir un spectacle.
Ça ne marchait pas à tous les coups, loin de là ! Beaucoup de meufs étaient déjà maquées, d’autres étaient gouines, d’autres (rares) très sages.

Tous les 4, nous nous retrouvions régulièrement. On se racontait nos aventures, nos méthodes, et tous les détails de nos pratiques sexuelles.

Pour rajouter encore du piment à nos jeux, on avait fini par lancer un pari entre nous.
Le vainqueur serait celui qui se serait fait le plus de meufs dans l’année et qui aurait fait les pratiques les plus « hard ».
Pour faire un calcul valable on avait établi un barème :
100 points par fille
+ 10 points si elle suce
+ 30 points si elle avale
+ 50 points si on arrive à la sodomiser
+ 50 points si elle accepte une double pénétration (avec un gode)
+ 100 points pour un fist-fucking (main entière dans le vagin)

Avec ce concours, plus question de partager nos conquêtes, au risque de donner des points à l’adversaire. Avant, il nous était arrivé de prendre une fille à deux. C’était assez facile : tu baise une fille, si elle accepte la sodomie il faut lui suggérer une double pénétration, si elle n’est pas hostile, tu fais venir un ami. C’est étonnant comme nombre d’étudiantes sont tentées par ce genre d’expérience.
Moi, je n’aime pas beaucoup partager. La nouvelle situation due au concours ne me gênait donc pas.

Pour ce genre de concours, tout le problème consiste à vérifier que les copains n’en rajoutent pas sur leurs exploits.
On arrivait parfois à filmer nos ébats, dans ce cas c’était parfait il n’y avait pas de contestation possible. Mais c’était pas toujours facile à réaliser. Il fallait une caméra, il ne fallait pas que la fille se rende compte qu’elle était filmée, il fallait bien voir les pénétrations (est-ce dans la chatte ou dans le cul, est-ce qu’elle avale ou pas ?), etc.
Moi j’avais installé dans ma chambre un ingénieux système de 2 caméras bien cachées. Je les mettais en marche dès l’arrivée de la fille. Quand la baise avait lieu chez moi, il n’y avait donc aucune contestation possible. Mon installation était tellement au point que Youss et Théo s’en servaient de temps en temps : ils amenaient leurs conquêtes chez moi (lorsque mon appart était libre, bien sur).
Alex quant à lui avait réussi plusieurs fois à faire des petits films avec son portable.
Par contre quand ça se passait chez la fille ou ailleurs, c’était plus coton.
Faute de film, on avait une autre méthode, il suffisait de téléphoner à la copine avec le haut parleur et de lui faire avouer tout ce qu’on lui avait fait. Si la fille était seule (il ne fallait pas qu’elle soit à son travail avec des collègues à coté, ni dans le métro, ni encore moins avec ses parents) elle acceptait généralement de faire des commentaires sur la partie de jambes en l’air de la veille (ou des heures précédentes).
La conversation pouvait être du genre « ça t’a plus quand je t’ai sodomisé hier soir ? », ou « c’était trop bon quand tu as avalé mon sperme ! ». Il suffisait que la fille confirme et on avait nos points validés.
Bien sur, on avait pensé au risque d’une entente. Si le garçon prévient la fille qu’il faut qu’elle dise ceci ou cela pour gagner un pari, le jeu est pipé. Aussi nous avions décidé que toute triche en ce domaine serait éliminatoire et le tricheur exclu de la bande.

Nous draguions sur le même terrain de chasse : la fac (et un peu sur internet). Il nous arrivait donc de coucher avec la même fille (pas en même temps). Avec les confidences sur l’oreiller on pouvait avoir la confirmation de ce qu’elle avait fait ou non avec ses ex. Même chose lorsqu’on baisait une fille qui était très amie avec l’une des maitresse d’un des gars de la bande. Les filles se font entre elles des confidences très intimes et elles n’hésitent pas entrer dans les détails les plus croustillants. Nous avions parfois des confessions comme :
-« Ma copine Carine est sortie hier avec ton pote Youss. Qu’est qu’il lui a mis ! Elle m’a dit qu’il avait une bite énorme. Ils ont baisé toute la nuit. Il l’a même sodomisée. » Etc …
La triche était donc quasi-impossible.

Lorsque nous baisions une fille et que nous savions qu’elle avait déjà couché avec l’un de nos potes, cela conduisait à des situations cocasses. Ainsi il est arrivé qu’une fille me dise qu’elle avait toujours refusé d’avaler, alors que je savais qu’elle l’avait déjà fait plusieurs fois avec Théo. Cette petite menteuse a été punie. Je l’ai enculée, chose qu’elle n’avait pas faite avec mon copain !

A la fin du concours, après 6 mois, j’en étais à 3210 points.
J’avais baisé 21 filles différentes : 2100 points.
Toutes m’avaient sucé : 210 points.
10 avaient avalé : 300 points.
J’en avais enculé 15 : 750 points.
3 avaient accepté une double : 150 points.
Fist : 0

N’avait pas été validée la fois ou j’ai baisé à son hôtel une touriste étrangère (Australienne) qui était repartie le lendemain.
Autre cas non validé : je n’avais pas voulu informer mes amis que j’avais baisé la petite soeur d’Alex. Le pauvre, il l’aurait très mal pris. Lui qui croyait que sa sœur était sage et vierge, ce n’était ni l’un ni l’autre. Je l’avais prise par tous les trous ! Le film des 3 séances de baise avec cette fille est toujours bien rangé chez moi. Je l’ai montré depuis à Théo et Youss, mais jamais à Alex.

J’étais arrivé le second de la compétition.
C’est Youss qui était largement en tète avec 5340 points. Il s’était tapé 29 filles en 6 mois ! En plus, je sais pas comment il faisait mais il les avait toutes enculées (sauf 3). Y compris une fille avec qui j’étais sorti peu de temps avant et qui avait catégoriquement refusé. C’était d’autant plus incroyable qu’il avait une très grosse bite, ça aurait dû poser des problèmes pour rentrer un tel morceau dans un petit trou.
Mais pas de triche. Plusieurs des filles qu’il avait sautées étaient passées ensuite dans mes bras ou ceux de Théo et Alex et elles avaient confirmées les diverses pratiques sexuelles qu’elles avaient eu avec Youss.
Une des explications possible c’est que les films pornos donnent l’image du noir endurant, bien monté, bestial, et qui encule les femmes. Quand une fille couche avec un noir, elle sait donc à quoi s’attendre. Probable même qu’elle serait déçue si il n’avait pas une grosse queue et si il n’essayait pas de la sodomiser.
Comme Youss avait rarement des films comme preuve, il fallait donc qu’il téléphone aux filles pour qu’on ait la confirmation, il s’y prenait assez bien :
-«C’était super ce qu’on a fait hier. Tu es partante pour qu’on fasse la même chose ce soir ? »
Et on avait souvent des réponses du genre :
-« Oui, c’était vachement bien. Je veux bien venir, mais ce soir pas de sodomie, tu m’as fait trop mal hier. »
Ça nous faisait marrer et ça rassurait Alex et Théo : une très grosse bite n’est pas toujours un avantage.
Une seule de ses copines avait répondu différemment :
-« J’ai adoré, tu baise comme un dieu. Et puis quand tu m’as enculée, quel pied ! C’est la première fois que je jouis par le cul, c’était sublime. J’ai hâte de recommencer. Rien que d’y penser j’ai des frissons. »
Une fille qui a un orgasme quand on l’encule c’est très rare. Nous avons eu des doutes, aussi nous avions insisté auprès de Youss pour qu’il l’amène chez moi pour être filmée. Il a accepté. Le film porno ainsi obtenu fut spectaculaire ! Et nous avions la preuve indiscutable sous les yeux avec labourage d’anus et orgasme anal à la clé. Et pas de simulation possible, les tétons pointus, la transpiration, la respiration accélérée, les halètements, les spasmes et la rougeur des joues : tous ces symptômes indiquaient que c’était pas du chiqué, la fille avait bien jouit par le cul.
Youss a revu plusieurs fois cette fille exceptionnelle. Mais c’était un boudin, elle était grosse et moche. Après qu’il ait réussi à lui faire un fist-fucking (et de gagner 100 points) il l’a larguée. Cette connasse l’a poursuivi pendant plusieurs semaines. Au téléphone ou à la fac elle venait le supplier pour qu’il revienne s’occuper d’elle. C’était pathétique. Youss s’en est débarrassé en lui présentant un de ses cousins qui était lui aussi gâté par la nature.

C’est Théo qui est arrivé dernier. Il s’était tapé seulement 12 filles en 6 mois. Mais d’un autre coté, rester longtemps avec une même fille permettait de l’amener à faire des choses plus perverses. 9 s’étaient faites enculées. 6 avaient accepté une double pénétration avec gode. Il avait réussi à fister 2 de ses victimes (il faut dire qu’il a des mains fines). Il en avait, semble-t-il, fisté une autre (c’était d’ailleurs la plus jeune), mais impossible de lui faire reconnaître au téléphone. Ses points n’ont donc pas été validés !
En plus, comme il est resté parfois plusieurs semaines avec les mêmes filles, il avait fini par en baiser plusieurs sans préservatif. Comble de la délicatesse, il s’était fait sucer après les avoir enculées (ce que l’on nomme dans le jargon Ass-To-Mouth). Mais, pas de chance pour lui, ces diverses perversions n’étaient pas comptabilisées dans notre jeu.

Alex n’avait obtenu que 2400 points. Il faut dire qu’il ne voulait coucher qu’avec des blondes, ce qui restreignait son gibier potentiel. Comme il était petit, il se faisait souvent rembarrer.
Heureusement il avait pour lui ses yeux verts et son bagout. Il n’arrêtait pas de parler et il était très insistant auprès des meufs. Beaucoup en avaient vite marre et l’envoyaient chier. Mais d’autres finissaient par céder à ses avances. C’était sa méthode : le harcèlement.
Il avait sauté 18 filles (toutes blondes) en 6 mois. Il en avait enculé 10. Pas de double. Pas de fist.

Il n’y avait rien à gagner à ce concours. C’était juste pour le fun. C’était surtout stupide et j’ai aujourd’hui un peu honte d’y avoir participé.

Mon avion se pose sur l’Aéroport d’Orly.
Paris me voici ! A moi les petites touristes étrangères.
Mes jours tranquilles à Antibes sont bien terminés. Je vais reprendre la vie trépidante parisienne.

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