un chaud voyage 2 et 3

- Par l'auteur HDS Mico79 -
Récit érotique écrit par Mico79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : un chaud voyage 2 et 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-07-2011 dans la catégorie Plus on est
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un chaud voyage 2 et 3
Une longue traversée 2me partie

le lendemain matin, vers 5h Mico se réveilla, et constatant qu’elle ne nous avait pas rejoint, eut soudain honte des larmes s’échappèrent de ses paupières, encore endormies ; avec de douces caresses dans ses cheveux et sur le cou, je la rassurais et lui dit combien nous avions été heureux de la soirée et qu’elle n’avait rien à regretter et qu’au contraire j’étais heureux de sa jouissance ainsi fistée et que je me promettais de le faire le plus rapidement possible ; mes paroles la calmèrent et je sentis qu’à nouveau, le sommeil réparateur la plongeait sans doute dans de jolis et ardents rêves.

Vers 10h, le dernier marin se présenta au bateau ; Joël, de son prénom ,avait 25 ans, assez mince grand,1.80m, le teint pale, le parfait portrait de l’étudiant ; en effet il devait passer son brevet de marine marchande, avant la fin de l’année, et c’était le dernier convoyage qu’il assurait ; son installation, et la reconnaissance des divers instruments, l’étude du projet de route et les conditions météo nous occupèrent toute la journée, finissant nos derniers achats de produits frais ;
Une rapide description du bateau, pour comprendre la suite :
Une nacelle centrale, poste de navigation, salle à manger (carré), et cuisine, deux coques avec deux cabines séparées par un cabinet de toilette avec douche, à l’avant entre les deux coques un grand filet, très confortable et très agréable en navigation pour les bains de soleil et à l’arrière un grand salon extérieur où souvent nous prenions nos repas. Dans la première coque, à l’avant notre jeune comparse et à l’arrière la notre, plus large, avec un lit de 2m sur 2 ; dans l’autre coque la cabine du propriétaire et en demi niveau, une petite table salon, où nous avions passé la première soirée.

Dès 5 heures du matin, nous prenions la mer après une bonne et calme nuit de repos, le grand large nous attendait ,et pendant les trois jours suivants, la vie à bord se déroulât avec son lot de répétition : calcul de la route, repas, lecture, farniente sur le trampoline à l’avant, et pêche, sans compter la prise de photo des dauphins et baleines, fréquents dans ces eaux ;lors d’ une séance de bronzette ,mico, max et moi, je remarquais que notre Joël matait à partir de sa cabine ; il faut dire que trois corps nus devaient valoir le coup d’œil ; je le signalais discrètement à Mico et lui proposais d’aller faire un petit câlin ; elle accepta et après un sourire coquin à Max, nous partons main dans la main vers notre cabine ; nous fermons rarement la porte, mais cette fois ci, je le fis volontairement ; le coquin voulait mater, il allait entendre ; mico étant déjà nue, il me fut facile d’atteindre ses points sensibles et le souvenir de la soirée d’arrivée me mit rapidement le feu au corps, ma Mico embouchât avec délice ma verge tendue, la quittant pour me lécher jusqu’aux boules, les prenant dans sa bouche, glissant parfois jusqu’à mon petit trou ; un vrai bonheur, mais ne voulant pas jouir trop vte je rompis le combat et la renversant sur la couchette, je lui titillais le clito avec ma langue, puis pénétrais l’entrée de son vagin ,goutant avec délice les premiers prémices de son plaisir ;très vite, Joël dut profiter de nos ébats car dans la cabine, Mico ne se retenait pas, ses plaintes et ses petits cris devaient être très perceptibles, y compris du trampoline ; je la soupçonne même d’en avoir un peu rajouté au début, car par la suite pas de faux fuyant ; je plongeais dans sa vulve, les cuisses écartées pour pouvoir la lécher profondément, une onde commençait à envahir son corps et sans préavis je remplaçais ma langue par mon sexe tendu ; la réaction fut immédiate et elle se mit à ronronner de plaisir, je la baisais en lui parlant à haute voie de notre voisin qui devait écouter, car il n’avait pas bouger de sa cabine qui maintenant était entrouverte ; je la pistonnais avec délice et la retournant ,je m’attaquais à son anneau, qui sous la pression lâcha aussitôt ; avec un han de satisfaction, j’attaquais sa cavité et mico s’empressa de me dire, « oh oui, continue, encule moi, vas-y fort , va bien au fond »la séance fut courte car nos pensées pour le voisin et notre baise fougueuse se termina par une jouissance commune et je déversais mon jus dans ses entrailles, pendant que ma main dans son sexe recueillais sa mouille ;
Je retournais alors vers le trampoline et en passant, par la porte entre-ouverte, je vis enfin notre jeunot, rouge comme une pivoine ; il avait bien entendu notre baise ; dehors, la chaleur me surprend, puis je retrouve Max, toujours nu, le sexe encore en érection, il se caresse doucement et je dois dire que le tableau est bandant ; mico nous rejoignant ,je lui fit remarquer qu’elle se devait de calmer notre capitaine après l’avoir laissé hier soir ; sans dire un mot, elle s’assit sur son ventre et me regardant bien dans les yeux se planta sur son sexe ;max n’eut pas grand-chose à faire car elle se vautrait avec vigueur sur lui et les mouvements du bateau accéléraient la pénétration ; ni tenant plus, je me plantais derrière elle et je la sodomisais ; prise en sandwich, elle se laissait faire, embrassant à pleine bouche notre ami et c’est de concert que nous lui donnèrent sa récompense en de puissants giclées de sperme ; repue, elle s’allongea sur sa serviette, et nos deux langues s’appliquèrent à nettoyer les traces du sperme qui coulait de ses cavités ; nos langues se touchaient le long des lèvres et nous prenant la tête elle nous demanda de nous embrasser ; je regardais l’homme en face de moi et timidement ,ne sachant sa réaction , je posais mes lèvres sur sa bouche ;il me surpris et il se mis à me rouler une pelle, pénétrant mes lèvres avec sa langue, je cédais à la pression et passant au-dessus de mico, je l’embrassais avec fougue ; l’arrivée de Joël, arrêta nos ébats , mais je savais qu’il nous avait vu.
Les deux jours qui suivirent, le mauvais temps nous occupât tous les trois( mico ne prenait pas les quarts), pas question de batifoler , le cœur n’y était pas ; enfin à la tombée de la troisième nuit, le ciel se découvrit et enfin la chaleur revint ;c’est Joël qui était de quart et dans notre cabine la chaleur était étouffante, mico dormait et pour prendre un peu de frais, je quittais la cabine et je remontais dans le carré, pensant y voir Joël ; rien dans le carré et très étonné je fis le tour du bateau ; notre homme était à l’avant, le peu de vent lui apportant un peu de fraicheur ; il était en slip et sursauta à mon arrivée ; « désolé de te surprendre, mais je ne pensais pas te trouver là »
« Pas de problème, j’avais trop chaud et avec ce calme, rien à faire »
« Ok, si tu veux je peux passer un moment avec toi, je n’arrive pas à dormir »
« Si tu veux, la nuit sera moins longue, encore trois heures de quart »
Nous nous asseyons dans le salon extérieur et après un long moment de silence, je lui demandais si nos relations parfois bruyantes ne le gênaient pas
« Plus maintenant mais je suis surpris de votre liberté et je me demande comment tu supportes que ta femme soit prise par un autre homme » ;
J’essayais de lui expliquer le candaulisme et le plaisir que nous avions tous les deux à voir l’autre faire l’amour et que depuis le début de nos aventures, notre amour n’a pas diminué d’un pouce et qu’au contraire, notre confiance réciproque n’avait jamais été aussi forte et que nos relations amoureux n’en étaient que plus performantes
« Et vous êtes tous les deux bisexuels ? Sa voix était plus sourde et il ne me regardait plus
« Bien sur, nous profitons ainsi de la plénitude de nos relations quand l’occasion le permet ; nous t’avons choqué ? Et toi, comment vis tu ce voyage ? Je crois que tu as assisté à la majorité de nos ébats, car maintenant tu ne fermes plus ta porte. Son silence me donne une idée de sa gène ;
« Que ressens-tu quand tu nous regardes ou quand tu nous entends » pas de réponse
« Et toi, tu es bi, homo ou hétéro » en parlant j’ai posé ma main sur son bras et je le sens qui frisonne
« Tu as froid ou cela te donne envie ? Il ne retire pas son bras et j’en déduis que ses pensées sont plutôt portés vers ce qu’il a vu ; honnêtement, cela t’a plut ? Ma main lui caresse doucement le bras
« Vous voir m’a souvent donné des envies » sa voix est plus ferme et il ne refuse pas le contact
« Qu’est ce qui t’a le plus ému (je veux qu’il arrive à se situer par rapport à mes premières questions) le corps de mico, nos ébats dans la cabine, alors que tu étais derrière ta porte, ou nos derniers jeux sur le trampoline ? » Enfin il se livre et répond avec plein de douceur dans la voix
« Je n’ai pas eu beaucoup de conquêtes féminines et une fois, un début d’aventure avec un autre étudiant ; et pour répondre à plusieurs de tes questions, c’est l’ensemble de vos jeux qui m’excite ; ta femme ayant un beau corps me plait, mais je n’oserais jamais la toucher et vous voir vous embrasser, toi et max a réveillé des souvenir que je croyais avoir oubliés » je me rapproche de lui et mes lèvres viennent se poser sur son visage, un petit mouvement de recul, puis ses lèvres se joignent aux miennes ; mes mains se promènent sur son corps dévêtu et descendent vers son sexe, la bosse est significative, mon Joël est pris du même désir que moi, et baisant son slip, mes mains caressent sa verge, elle est fine , tendue au maximum et d’une belle longueur ; mes mains jouent avec ses boules ; lui empoignant les fesses, ma bouche vient engloutir ce chibre plein de fougue ; elle tressaute dans ma bouche et mes va et vient le mettent au supplice ; sa respiration s’accélère et ses mains me prenant la tête m’immobilise et son bassin enfin pousse sa verge au fond de ma gorge, il vient buter contre mon voile et se mordant le bras pour ne pas crier, se repend dans mon gosier en longs jets ; sa jeunesse se vide et ne voulant pas avaler, je laisse couler son sperme le long de son sexe ; me redressant, je lui redonne sa semence dans un baiser fougueux, qu’il me rend avec bonheur ; voulant garder une marge de manœuvre, je le laisse et je retourne discrètement dans ma cabine, le laissant finir seul la fin de sa veille ; je veux qu’il ai faim de sexe. (À suivre)





Voyages aux Antilles (3)
Le lendemain, je fais l’indifférant, et je promets à mico le soir venu de lui compter de belles aventures ; se faisant chatte, elle essaie de me faire parler, mettant tous ses arguments en avant, mais je reste de marbre ; mais les événements modifièrent mes projets.
Un bon vent poussa le bateau vers notre arrivée et en fin de matinée, nous avions presque deux jours d’avance sur le programme ; il ne nous restait donc plus que trois à quatre jours de navigation avant de revoir la terre ferme ; un bon repas, et pour l’occasion nous ouvrons deux bonnes bouteilles de vin et dans le carré l’ambiance est pleine de bonne humeur ; rien à l’horizon, tout va bien et Mico se dirige vers l’avant pour sa séance de bronzage et langoureusement elle retire son tee short , fait glissé son short , et debout face à nous fait glisser son shorty ; elle glisse un regard vers nous et s’allonge sur sa serviette, écartant ses jambes , dévoilant son impudique pubis ; son attitude me prouve qu’elle a décidé de prendre le commandement des événements et excité j’attends la suite ;c’est Joël qui sort le premier ; il s’installe à coté d’elle mais à bonne distance, semblant ignoré le corps chaud qui se prélasse à portée de bras ; max a lui aussi compris que notre amante a des envies et il s’installe à mes cotés pour suivre la suite de la conquête espérée de Mico ; il fait très chaud et devant le peu d’ardeur visible de Joël, Mico décide de prendre une douche et se plaçant sous la douchette de pont commence à s’arroser le corps ,elle écarte les cuisses et les filets d’eau s’écoulent entre ses cuisses et sa mince pilosité, taillée courte ne cache plus rien de sa fente ; elle tourne sur elle-même, et je devine qu’elle doit ronronner ; Joël semble stoïque, mais son short prouve son intérêt pour le tableau ; maintenant la main vient caresser les seins ,puis progresse vers le triangle d’amour ; les doigts s’infiltrent dans la fente et son corps ondule sous les caresses ; appuyée sur le mat elle se masturbe franchement les genoux pliés, son autre main pinçant ses tétons.
« Tu n’as pas envie de moi ? Pas de réponse
« regarde , je me branle pour toi, j’imagine que c’est ta queue qui me fouille) la main de Joël est maintenant en train de se branler une bite bien tendue, le regard braqué sur Mico ; elle quitte alors son jeu solitaire et s’approche de lui et le renversant sur le trampoline, elle lui retire son slip et s’empale sur le membre tendu « baise moi, je suis à toi profite de ma chatte » ; enfin il se décide et la renversant, il la pilonne avec violence, ses couilles frappant, à chaque poussée, le sillon de Mico ; rapidement je l’entends jouir, de plus en plus fort ; elle a agrippé les hanches de son amant, accentuant à chaque coup de queue, la pénétration du sexe ; Joël ne s’est pas aperçu de notre arrivée, la queue à la main ; ses fesses bien rondes sont tentantes et je m’approche et je le doigte doucement , prenant la cyprine qui s’écoule de la chatte pour le lubrifier ; il veut réagir mais prisonnier entre nous deux, nous le maintenons et je plaque mon gland contre son anneau, il se rebiffe « non pas cela » , mais le souvenir de la nuit dernière m’encourage et doucement mais sans répits ,je m’enfonce dans le cul offert ; quand l’anneau cède, il pousse un cri de douleur, puis peu à peu sa résistance diminue, pour laisser place à des gémissements ; ma queue est à fond dans son cul et je le pilonne avec puissance ; mes couilles frappant les siennes ; il est serré et je ne vais pas tardé à jouir quand d’un seul coup il se libère « putain c’est bon … je jouis « et un long cri s’échappe de ses lèvres ; il ne m’en faut pas plus et je lui décharge ma semence en de longs jets ; je me retire et il s’écarte de Mico ; de sa chatte s’écoule du sperme, preuve de la jouissance de son amant ; soudainement il semble gêner et rapidement il nous quitte ; max est le seul à avoir la queue haute ; sans un regard vers moi, il s’approche de Mico et la mettant à quatre pattes, il s’empale dans on sexe, tout en lui dilatant l’anneau avec un puis deux doigts ; habituée à la sodomie l’anneau s’ouvre très vite « prend moi, encule moi, j’ai encore envie de me faire baiser « se retirant de sa chatte , il glisse son gland sur l’anneau et d’une seule poussée il l’encule jusqu’aux couilles ; elle ne peut retenir un cri tant la saillie a été puissante, puis très vite elle rugit de plaisir ; la queue, de bonne dimension lui laboure les entrailles et bientôt elle hurle son plaisir ; il la défonce , se retirant totalement pour à nouveau la reprendre sans ménagement ; les yeux dilatés, elle jouit en continue l’encourageant vulgairement « putain tu me défonces le fion , continue , encule moi encore » ses c ris ont faits revenir Joël qui maintenant se masturbe devant elle et lui largue ses giclées sur le visage ; les coulées atteignent ses lèvres et sa langue les lape ; soudain max se cabre, signe de sa jouissance « je te remplis le cul « il continue à la pilonner et sur les cuisses de Mico, s’écoule la jute en filet à chaque coup de piston ; Mico n’est plus qu’une loque de plaisir et quand il se retire, elle s’écroule sur le trampoline, les mains serrées sur sa chatte.
Les derniers jours du voyages ont été chauds, max partageant notre couchette, Mico a été plusieurs fois, fistée, prise en double ; comme je n’y attendais , elle a voulu que max me sodomise, pour mon plus grand plaisir d’ailleurs car sa queue de bonne dimension m’a apporté une grande jouissance ; seul Joël est resté un peu à part, et il a fallu que Mico aille dans sa cabine pour qu’il la baise à deux reprises ; à chaque fois, en attendant à son retour, nous en profitions pour nous branler, nous sucer et plus ; à son retour nous l’avons léchée, nous abreuvant de la jute déversée, avant de jouer avec son corps, ne laissant aucun orifice libre .
Arrivée à fort de France ? Joël nous a quittés, et nous avons repris l’avion ; épuisés, le sommeil nous a bercés pendant toute la durée du voyage. Puis ce fut la séparation et Mico fit promettre à Max de nous appeler s’il avait un autre convoyage.

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