Le jour où la terre s'arrêta...

- Par l'auteur HDS Ash -
Récit érotique écrit par Ash [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le jour où la terre s'arrêta... Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le jour où la terre s'arrêta...
2006. Je suis en Nouvelle Calédonie depuis un an et demi.
Tout juste marié avant de partir pour cette île incroyablement belle et accueillante, ma femme m’a rejoint trois semaines après mon arrivée dans notre brousse, loin de Nouméa, la capitale.
Hétéro, 25 ans à ce moment là, l’île et la vie en brousse, la connaissance des locaux, ont sur moi un effet plutôt bienfaiteur. Brun, de taille moyenne, plutôt fin et athlétique, ma peau s’est assombrie tandis que mes yeux ont pris des reflets noisette. Ma bouche, mes grandes mains de pianiste ainsi que le bombé des mes fesses restent a priori un atout pour les yeux d’une partie de la gent féminine.

Hétéro… oui, mais…

Il y a eu ces moments troublants, en Métropole, quand quelques hommes m’ont branché, dont un en particulier, ce brésilien qui me suivit un jour, à Nancy, pendant mes études. Je l’accueillais chez moi (j’étais fou… !) pour finalement beaucoup de déception, une très belle éjaculation cependant de sa part, mais pour moi une frustration, un désir inassouvi. La pipe que je lui prodiguais était maladroite, et je n’avais jamais pu m’accorder à son enthousiasme, puisque plutôt peureux et inexpérimenté…

Retour en Calédonie. Ma femme travaille, et dans mon job, je passe pas mal de temps à bosser à la maison.
Nous sommes après un an et demi de brousse logés sur la capitale. Et moi de me reprendre ces foutues bouffées de chaleur, à balader, et à laisser grandir cette espèce de pulsion infernale me poussant à fantasmer et bander pour les mecs, l’idée d’en avoir un pour moi…

J’ai envie d’être possédé. Pris, défoncé, pénétré.

Je passe du temps sur des sites de cul, hétéros, et je bande de plus en plus sérieusement en matant les hommes baiser sauvagement leurs comparses actrices… Les éjaculations me troublent particulièrement… je me surprends à réfuter violemment après de longues masturbations le plaisir éprouvé, intellectuellement, je n’arrive pas à admettre ce penchant, ce goût…

Quoique… Ce goût, que j’aimerai pourtant avoir, en bouche… Ce sperme que j’aimerai sentir couler sur ma langue, mes lèvres… mmh…
Du calme Ash, t’es hétéro, arrête ça.
Mais je n’arrête pas, je me surprends à regarder plus attentivement ces films pornos où les actrices deviennent un modèle, et petit à petit, sans que je m’en aperçoive, mes branlettes et explosions de jus me font reprendre conscience, de moi, un doigt dans mon cul, mes attitudes ayant été plus que féminines, disons femelles… je me défends de continuer, je me défends alors violemment d’y penser, et j’arrive peu à peu pendant un mois à tenir.
A ce moment là, comprenez que je vis ces pulsions comme quelque chose des plus magnifiquement troublants, mais tellement dérangeants, que je lutte de toutes mes forces pour éviter de devenir ce que je crois alors… être une perturbation sans retour, au point de ne plus désirer ma femme, de penser devenir gay…
Sourire…

Ce matin là, je me réveille en sursaut, je bande, je suis seul, ma femme est partie bosser. J’ai le cul en feu, je le sens… vide. C’est étrange. Je caresse une de mes fesses et je sens comme dans mes délires masturbatoires les plus fous mon petit trou palpiter…
Je prends ma douche, et l’eau sur ma peau, entre mes fesses, sur mes couilles et mon gland me font chavirer… Je me regarde dans le miroir, et d’un coup d’un seul, mon cœur s’accélère.
J’ai envie d’être une chienne, je veux satisfaire un mec, le faire jouir de toutes mes forces, lui appartenir, et devenir sa pute. C’est décidé.

Ce sera aujourd’hui.

C’est dans cet état d’esprit, fébrile, plutôt de délire, m’agitant et tortillant mon cul sur la chaise que je fais des recherches, et trouve quelques lieux gays à fréquenter, au petit bonheur la chance, dans Nouméa ou ses environs. En effet, l’île n’est pas grande, la capitale encore moins, et la discrétion on ne peut plus importante quant à l’homosexualité et les rapports entre hommes.

Je me rends vers un lieu, assez chose, troublé, fumant une puis des cigarettes dans ma voiture, ma queue en éveil, légèrement gonflée…
Me voici en bord de mer.
J’ai pris un bouquin, histoire de me donner une contenance.
Arrivé sur les lieux, je me gare.
Mon cœur tambourine.

Je marche le long d’un sentier, me sentant comme Alice s’en allant pêcher ses merveilles.
Las…
Pas de beau mec, ni de mec du tout…
Pas de scènes folles où un homme en suce un autre, ou encore une sodomie sauvage fait crier un mec en rut, tandis qu’un autre éjacule copieusement de magnifiques giclées de ce sperme que je veux chaud, abondant, gluant… sur le visage du bienheureux troué…

Rien ! Nada, que(ue) dalle…
Je croise sur le retour plutôt énervé je dois dire, un gars en survêt (je déteste !!!!), promenant un simili chien version naine de ce qui aurait pu être un caniche. Il porte des lunettes lui donnant un air de mouche. Manquerait plus qu’il s’appelle JP (je trouve ce prénom d’un beauf !)
Bref, je suis dégouté, vraiment écoeuré. Je le croise, me retourne peu après, et vois qu’il s’est arrêté, me regarde, en a profité pour ôter sa veste de survêt et j’aperçois fugitivement deux bras super musclés.
Put… que je m’énerve, ça me trouble et je dégage, la peur au ventre.

Je reprends mes esprits vers la voiture, m’y adosse, et ouvre mon bouquin en essayant de lire. Je n’y arrive pas, mais alors… Pas du tout…
Mes fesses palpitent, et je bande à moitié en pensant à ce type, ses bras, et j’enrage encore plus contre moi-même tellement il ne devrait pourtant pas me plaire.

Je le vois débouler à l’autre bout du parking, et allumer tranquillement une cigarette.
Merde ! il me regarde, moi. Je plonge dans mon bouquin, j’ai l’air tellement con planté contre ma voiture. Mon cœur bat à deux mille à l’heure, j’ai chaud !
Ah le con il s’approche, ça me plait. Mais qu’est ce que je raconte ?!
Ça y est, il est sur moi.
-« Bonjour, une cigarette ? »
Merde, il a une belle voix.
-« je m’appelle JP, et toi ? » J’ai envie de pleurer.
« fais attention ! » Je viens de laisser s’échapper la cigarette de ma main, je me rends compte que je tremble.
Il me la remet en bouche. Il enlève ses lunettes, et me regarde de ses beaux yeux bleus.
Il m’allume.
-« merci.
-Ah tu parles aussi ?
-Aussi ?
-Ben oui, t’es plutôt mignon. T’a trouvé ton bonheur là haut ? »
Merde. Il sait. Il a compris.
J’ai l’impression que mon cœur fait tout pour s’échapper de mon corps et se barrer en courant.
-Non, euh, pourquoi ?
- Ben tu sais, les mecs ici sont pas légions. Tu viens chez moi ? On sera plus tranquille. »
La vache ! il perd pas de temps. Suis tout ramolli. Mais dans ma tête, ça tourne à plein régime. Puis ça s’enraye. Cours jus !
-« oui, ok.
- tu me suis ?
- Voui vi »

Il prend sa voiture.
Je le suis…
Put… Je le suis ! ma peur se mue en euphorie, je remue sur mon siège, écarte mes cuisses de sorte que je sente mes fesses ouvertes. Je bande à moitié…
« Je vais bouffer une queue ! je vais me faire enculer, comme une bonne petite chienne ! a y est Ash ! tu vas te faire défoncer comme une bonne petite pute… ! »
J’en reviens pas de mon attitude, de mes mots, je parle tout seul ! mais ça me plait, c’est quasiment en transe que nous arrivons chez lui.
Un petit portail, un escalier qui descend.
La porte qui s’ouvre, j’entre.
Il referme.
C’est beau chez lui, une magnifique terrasse donne sur le lagon, pas de vis-à-vis, un grand matelas futon sur le sol, des coussins…
-« c’est beau chez toi… »
Il me prend la bouche. Il râpe.
Sa langue touche la mienne, j’ouvre mes lèvres, et gémis car d’office il attrape mon cul de ses mains. Je fonds. C’est dingue, j’adore l’embrasser, je lui bouffe littéralement la bouche, lui suce avidement sa langue, le regarde… Il me pétrit les fesses, je me fais femelle. Mes mains saisissent son visage, sur ses joues, je le serre dans mes bras quand il me presse contre lui…

Et là… Le bonheur.
Il bande, très dur. Je touche.
C’est gros, je sens que ça queue est un peu courbée. Il me désappe, puis finit par me libérer de mon boxer. Ma queue bondit, palpite. Je souffle comme un bœuf, de joie, de peur, de plaisir.
-« ça va ?
- ouii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Il vient de s’agenouiller et de lécher ma queue, tout en continuant à me caresser mon cul, en feu.
Il m’avale, me lèche les couilles, sa bouche est brûlante, je me tortille… C’est à moi de le sucer !
Il comprend, se redresse. M’embrasse à nouveau, à nouveau je fais la femelle, redresse et entoure sa taille de ma jambe droite. Je le déshabille, et là, je manque jouir de bonheur… Il est musclé comme un apollon. Ses tablettes, ses pecs, son cul bombé, ses bras puissants… Un désir vertigineux de lui appartenir me saisit…

Mon cul s’ouvre, et tandis qu’il suce ma langue, me mordille merveilleusement mes lèvres, un de ses doigts vient agacer mon petit trou. Je vibre, la tête en arrière, je gémis comme une chienne quand il me met son doigt dans la bouche, et que je le suce voracement… Puis il me doigte. Je sens son doigt m’ouvrir le cul. J’en peux plus.
-« j’adooore, ouiiiiii, vas-y… c’est trop bon… put… t’es un miracle toi !!! »
IL s’arrête, me regarde, souris…
-Sois tranquille, c’est nouveau pour toi ?
-oui
-ça se sent… Tu es très beau, t’as un corps de rêve, tu m’excites tu sais ? »
Je le sais, je me rends compte que naturellement ma main a saisi sa belle grosse queue et entamé un va et vient délicat…
-laisse toi aller surtout, ne t’en fais pas, le plaisir est un truc qui se partage… Si quoique ce soit ne te plait pas, tu me dis, je ferai très attention… » Je veux tout, vas y mon beau, fais moi mal…
Je commence à pleurer, je me rue sur lui, l’embrasse, le caresse, le presse contre moi… Je craque alors littéralement, et une explosion de désir et d’amour me submergent…

Il m’emmène sur sa terrasse, m’allonge sur le futon, et commence à me lécher mon cul, à m’ouvrir… Je me cambre, me laisse complètement emporter dans un délire de langue, de salive, de sensations folles… Je me sens bien… Il me suce merveilleusement, me regarde et me doigte en même temps… Je mets mes mains sur sa tête non pas pour baiser sa bouche, mais juste par tendresse, pour le toucher, lui faire comprendre que j’aime ce qu’il me fait… alors, il accélère, me bourre le cul de son doigt…
Je délire…
Il me retourne d’un coup… je soulève mes fesses, le regarde effrontément, et luis dis :
-vas y JP, je suis à toi, prends moi… je veux être ta chienne, ta pute, ton trou. Défonce moi… »
Le froid sur mon cul. Le gel. L’emballage de la capote. Ca y est j’y suis…
Et son gland… je souffle fais tout pour pousser, je délire complètement, reprend conscience lorsque sa belle queue a rempli mon cul. Même pas mal ! je bouge. Ça me lance des ondes de plaisir dans le ventre…
Je suis en train de me faire enculer ! et mon dieu, que c’est booooooonnnnn….

Il commence à bouger, m’agrippe les fesses, et je sens sa bonne grosse queue coulisser dans mon trou, me remplir le ventre, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ses couilles tapent les miennes, je suis au paradis, ça fait un bien fou… ! Je pars alors dans un exutoire, verbal, gestuel…
-ouiiiiiiii que c’est bon, vas y encore ! encore ! plus fort ! prends mon cul ! ouiiiiiiiiii ! prends mon ventre ! tu l’aimes ma petite chatte ! je suis à toi, t’es mon mec, je suis ta chienne, ouiiiiiiiiiiii…. Oooh ! ouiiiiii, ahaah ! bourre moi comme une pute ! ouiiii ! ta pute ! rien qu’à toi ! ouiiiiiiiiii ! ahahhh ! je t’aime ! »

Il s’arrête, je le supplie de continuer, il me prend violemment dans ses bras, m’assoit sur lui, brutalement sur sa queue, que j’aime définitivement…. Il m’empale d’un coup, et m’embrasse, je me sens sa femelle dans ses bras, le regarde, l’embrasse, lui lèche les oreilles, le cou… mord ses lèvres…
Il remue dans mon ventre, c’est incroyablement bon. Je me sens en plénitude totale…

A nouveau il me reprend dans ses bras, me fait me tenir droit face au mur. Un miroir. Il se met derrière moi, j’écarte mes cuisses. Il m’encule à nouveau, brusquement, attrape d’une main mes cheveux, tire violemment en arrière et commence à me bourrer tellement violemment que ma queue dure et bandée tape contre mon ventre à chaque coup de queue qu’il me donne. Je me vois. Et ce que je vois est magnifique… Je me regarde, en train de me faire baiser comme une chienne, je me reconnais, je m’accepte, et je le vois me sourire tandis que ses grands coups de queue justifie toutes mes envies, mes pulsions, mes désirs le plus fous… Il me possède, me le fais sentir…

Il me baise pendant deux heures, je me découvre fou raide de lui, de son sourire, de son corps, et de sa bonne grosse queue que j’adore…

Il s’allonge, en sueur, je le lèche partout, j’ai compris qu’il voulait jouir… son odeur est à pleurer de joie, je redescends vers sa queue, pleine d’odeurs malgré les capotes, lui lèche avec amour sa tige, crache sur son gland, le branle en lui suçant les couilles… Puis embouche sa belle queue, jusqu’au haut le corps, je tousse, reviens, salivant, puis le suce fiévreusement mais délicatement, en le branlant à la base de la queue…
Son corps se tend, il veut me pousser hors pour ne pas jouir dans ma bouche, je résiste, accentue la pression de mes lèvres autour de sa colonne qui grossit, et c’est l’explosion.
Le premier jet vient au fond de ma gorge, je manque vomir, mais m’accroche, et sens alors toutes ses giclées de foutre remplir ma bouche, ça ne s’arrête pas… J’avale… c’est salé… chaud… Je continue à le sucer avec bonheur, du sperme a coulé le long de sa tige, je le lèche, le nettoie, finis par lui gober les couilles amoureusement en le branlant tout doucement, puis il m’attrape.
Je m’allonge contre lui, il m’embrasse, et nous restons pendant une demi heure tous les deux, l’un contre l’autre, béats, heureux, lui vidé et apaisé. Moi comblé et tellement heureux, me sentant étrangement…
Un homme…

Voici mon histoire, ce fut le jour où la terre s’arrêta… pour me permettre d’accéder à un nouveau monde… Ma véritable première fois. Tout est vrai, entièrement. Je serai réellement heureux d’avoir vos avis, commentaires et critiques. Avoir écris enfin ce moment de ma vie me plait, m’a terriblement excité, et j’espère vous avoir donné du… plaisir à le lire… Ecrivez moi ?
Bien à vous,

Ash.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Ash très belle histoire.J'ai vécu a peu près la même chose mais à un âge plus avance
que le tien...On se dit "tu ne le vivras jamais" et pourtant...
c'était merveilleux et ce l'est toujours puisque nous continuons à nous voir.
Une question : l'as tu revu ???

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ton histoire est merveilleuse si tu le veux j'aurai aussi envie de toi tu me fait bander j aimerais aussi que tu me la mettre bien profond et plein de sperme

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Bonjour Ash.J ai lu ton récit,et putain!que ça a du etre bon pour toi.Je n' ai "connu"
que 2 hommes,et ça n'a pas été terrible.Comme toi avec ton brésilien, branlette,
pipe,merci et au revoir.Comme toi avant,je cherche un mec pour l'aimer vraiment
quelques heures, etre entierement à lui,comme tu l'as été avec ton JP.Je cherche et je
trouverai,je l'espère.je t'envies vraiment pour cette folle aventure de sexe,de
tendresse et d'amour que tu a vécu.Merci pour ta belle histoire.

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Je suis bouche-bée, sans double sens haha!

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Excellent. Bien écrit. Captivant.
On souhaite une suite à la hauteur. Vite

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c'est une très bonne histoire ,vraie en plus !
si tu avais une suite ,ce serait sympa de l'écrire
merci et bises

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Salut
J ai pris beaucoup de plaisir à lire ton histoire, bi j aimerai pouvoir vivre ma 1ère sodo comme tu l as vécu

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magnifique! Non seulement tu m'a donné du plaisir à te lire mais, pendant quelques instant, j'aurais voulu être à ta place.
J'espère qu'il y aura une suite et que tu te seras vraiment transformé en soumi à un ou plusieurs beaux mecs
Merci encore pour ce récit

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Superbe ton histoire. Si elle est vrai comme tu le dis, belle façon de se faire dépuceler. J'espère que tu as eu d'autres expériences aussi bandantes depuis et que tu les partageras avec nous. Grosse bise XXXXXXXXXX.

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sympas ton récit bien écrit en plus as tu une suite à raconter bientôt

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Ton Histoire est superbe je suis marié aussi et cela à failli m'arrivé l'an dernier avec un homme d'une cinquantaine d'année mais il ne ma pas mis assez en confiance pour que je me donne totalement à lui . Donc je t'envie d'avoir vecu ça et tu m'a donné un grand plaisir, moi aussi j'ai les mêmes ressenti que toi je me sent des fois terriblement femelle .Encore merci .

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bonjour, ayant pris connaissance e votre histoire, et comme vous l'en douté un peu cela a donné un bonne erection, au sujet de la suite est ce que cela a donné d'autres rencontres avec JP ou bien ou avait rompu avec votre femme ou resté avec les 2 pour etre finalement avec lui quand la femme est allé travaillé etc..
moi perso je veux en connaitre la suite de cette belle histoire cordialement max



Texte coquin : Le jour où la terre s'arrêta...
Histoire sexe : Une rose rouge
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