35 ans encore célibataire - histoire érotique

Invités chez les beaux-parents, nous arrivons en même temps que le frère de Sylvie flanqué de sa fille, Nathalie. A 35 ans elle n’a pas trouvé d’homme pour s’occuper d’elle.
Bises traditionnelles puis, un peu à l’écart, la serrant par la taille, j’embrasse Nathalie très très près de ses lèvres. Nathalie tourne légèrement la tête, nos lèvres se rencontrent. Accident ou cherche-t-elle à m’embrasser ? Je la serre contre moi et tente le coup. Nous nous embrassons tendrement, une main descend sur ses fesses, l’autre passe de sa taille à son ventre puis remonte sous ses seins que je caresse doucement sans soulever de protestation. Il nous faut nous séparer, la famille pourrait se douter de quelque chose. Premier entré dans l’ascenseur, je me « trompe » et appuie sur le 4 au lieu du 2. Cela me donnera plus de temps pour peloter Nathalie si personne ne s’aperçoit de mon « erreur ». Collé contre Nathalie je lui pelote les fesses. Elle ne dit rien. Bien au contraire, elle tend ses fesses et recule pour se coller à moi. Ma main s’insinue entre ses cuisses et je lui masse la chatte à travers son short. De son côté, Nathalie envoie sa main en arrière et me tripote la queue. Le résultat ne se fait pas attendre : je bande. L’aller-retour RDC, 4ème, 2ème me permet de savourer la rondeur de ses fesses, la chaleur de son entrecuisse et ses caresses. A regret nous sortons de l’ascenseur pour suivre le reste de la famille. Elle me prend la main en la caressant et me regarde en souriant.
Les politesses passées, les anecdotes racontées, certains veulent aller se promener sur les quais de la Charente. Nathalie et moi déclinons cette proposition.
Dans la salle à manger, ne restent que le grand-père, Nathalie et moi. Michel est allongé et dort.
- Nathalie, allons dans ta chambre pour ne pas déranger Michel.
Je ferme la porte du couloir, laisse la porte de la chambre légèrement entrebâillée et nous nous asseyons sur le lit. Je lui pose la main sur la poitrine et la caresse.
- Alors ? tu as un amoureux ?
- Non.
- Non ?
- Non, les garçons ne m’aiment pas parce que je suis spéciale.
Je déboutonne son corsage.
- Moi je crois qu’ils ont peur.
- De moi ?
- Oui, s’ils t’embrassent ou s’ils te caressent, ils pensent que tu le raconteras à tes parents ou à quelqu’un et ils auraient beaucoup d’ennuis.
- Mais je ne dirais rien !
Je passe la main dans le soutien-gorge et lui sors un sein.
- Oui mais ils ne le savent pas… moi je t’ai embrassée et là je te caresse mais est-ce que tu vas le dire à tes parents ?
- Non.
- Tu as aimé ce qu’on a fait dans l’ascenseur ?
- Oui.
Je me penche sur elle et lui baise doucement ses lèvres. Nathalie semble apprécier. Je lui caresse le cou, l’embrasse, le lèche. Je descends sur sa gorge et lui embrasse le sein. Je lui lèche le téton. Elle gémit. J’ôte son chemisier. Je fais tomber les bretelles de son soutien gorge et découvre ses seins que j’embrasse et caresse.
- Tu m’excites Nathalie.
Je la tète. Ma main descend entre ses cuisses, déboutonne sa braguette et ouvre son short.
- Hummm, je caresse tes poils Nathalie. Ecarte les cuisses.
Nathalie obéit. Je peux ainsi lui empaumer la chatte. Durant de longues minutes je lui caresse la chatte, les fesses, les seins, l’embrasse sur la bouche. Je bande mais je sais qu’il ne serait pas prudent de la baiser maintenant, la famille n’est partie que pour une demi-heure maxi, aussi je sors ma queue et me contente de la lui faire sucer. Plus étonnée que réticente, Nathalie gobe ma bite et salive abondamment. Je lime dans sa bouche allant un peu plus profond à chaque va et vient.
- Je sens que ça vient Nathalie.
- Quoi ?
- Mon sperme. Je vais envoyer tout mon sperme dans ta bouche. Il ne faudra pas le recracher.
J’éjacule dans sa bouche et l’embrasse aussitôt pour profiter de mon sperme. Je sais que chez Michelette, il sera plus facile de pousser mon avantage.
- Rhabille-toi, va te rincer la bouche et reviens vite.
Nathalie se dépêche et la voilà assise à nouveau sur le lit. Je la renverse et l’embrasse sur la bouche. Sans enlever ses vêtements, je la pelote partout et me frotte sur elle. J’adore lui pétrir les seins et l’embrasser sur la bouche en même temps.
Du bruit dans la serrure de l’entrée, la famille est de retour. Vite nous nous redressons et faisons mine d’être absorbés par son jeu électronique que nous avions eu la prudence de laissé allumé à côté de nous.
Il est onze heures et toute la famille se prépare pour aller chez Michelette. Je réfléchis déjà à la manière de baiser avec Nathalie…