IV – Tribulations charnelles (2ème partie & fin)

- Par l'auteur HDS Guts - Perledo -
Auteur femme.
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Récit libertin : IV – Tribulations charnelles (2ème partie & fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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IV – Tribulations charnelles (2ème partie & fin)
Allongés sur la couverture, Monsieur sur le ventre, sa chemise noire déboutonnée… je suis sage, à ses côtés.

Je me relève légèrement et entreprend timidement, de glisser ma main sous le fin tissu. Aucune réaction. Donc, je continue et progresse très doucement. Je me lève et enjambe son corps pour positionner mon fessier sur ses cuisses. Mes mains relèvent lentement sa chemise. Du bout des doigts, elles frôlent sa peau, montent jusqu’à sa nuque. Mes ongles la griffent imperceptiblement. Mes doigts effleurent son cou délicat, en appréciant la texture soyeuse. Mes phalanges étreignent son cou. Je malaxe sa chair pétrissant vaporeusement sa peau. Je prends le haut de ses épaules entre mes pouces et index. J’applique une technique masseuse en faisant rouler les muscles. Mes mains descendent. Elles longent les vertèbres et pincent la peau avec les pouces. Les autres doigts s’étendent sur les côtes, en ronds de plus en plus larges. Monsieur ne dit rien, mais je sais qu’il se relaxe. Je sais qu’il aime ce moment de détente. Je poursuis mon cheminement alternant massages et caresses… dureté musculaire suivie de douceurs sensuelles Mes doigts agiles n’oublient aucune parcelle d’épiderme. J’active sérieusement le flux de délices que procure ce genre d’action. Mes paumes écrasent agréablement, du moins je l’espère (sourire)… ses reins en des petits cercles qui s’agrandissent à chaque passage. Mes phalanges pianotent le bas du dos, telles une virtuosité qui enchante les oreilles. Sur sa peau, des frissons apparaissent, preuve de ma dextérité. Mais… toujours aucune réaction de sa part, pas un mot… j’entrevois le haut de son sillon fessier. Il est là… à ma merci… et je vais pouvoir en profiter, c’est si rare.

D’un coup sec, ma main s’abat sur une de ses fesses. La réaction est immédiate. Son corps se tord sous moi. La surprise du geste fait que son torse se relève, néanmoins mon poids lui bloque les jambes. Monsieur essaye de m’attraper, mais ses bras volent dans le vide. Il réussit à se retourner et je me retrouve sur lui. Il écarte prestement ses jambes et du coup, les miennes sont obligées de s’ouvrir. Je suis plaquée contre lui. Cuisses contre cuisses, sexe contre sexe. Je sens une bosse cogner contre mon pubis. L'énorme érection dans le pantalon m’excite. Monsieur aurait-il voulu me cacher sa protubérance ? Mes petits massages ont fait leurs effets. Je me frotte dessus, pendant qu’il tente de prendre les poignets. J’en profite au maximum, car je sais que je vais « payer »… que je serais punie. Pour lui échapper, je me lève, mais il est plus rapide. Vif, il me renverse sur ses genoux et me fesse copieusement, mais avec calcul. Il compte tout haut, à chaque fois que la main s’abat sur un des monts. La force augmente à chaque descente claquante sur ma peau. Je me tortille pour y échapper, en vain.

« Chipie !… ma douce et tendre chipie…» répète-t-il en appliquant ses larges mains sur mes lunes joufflues qui commence à rosir. Il me soulève et m’attache aux accroches murales. Pieds et poings liés… je me retrouve écartelée en croix, ouverte et offerte à sa vue et pas qu’à elle. Monsieur tient un foulard. Il le lie sur mes yeux. Je suis aveugle. J’entends des bruits, des sons que j’essaye de distinguer.

« Nooon, Monsieur, je vous en prie… » dis-je en murmurant d’une petite voix pour l’attendrir.

« Ha, ha, tu m’en pries… ma douce... alors, je vais exaucer ta prière ! » ricane-t-il en prenant à pleines mains… ma poitrine qu’il sait sensible. Il la malaxe et en pince les extrémités. Mes mamelons réagissent aussitôt. Il les serre de plus en plus fort, faisant tordre mon corps. Les fait rouler en les étirant longuement. Puis une morsure piquante m’indique qu’il pose les pinces. Il les bouge vérifiant qu’elles n’abîment pas les framboises gorgées qui s’affermissent. Monsieur profite de la moindre occasion pour passer une main fugace sur mon entrejambe. Là, elle se plaque fortement sur ma vulve. Seul, son majeur longe ma fente moite en appuyant et vise l’entrée de mon vagin. Il s’enfonce avec facilité dans mon fourreau étroit mais trempé. Fait des va-et-vient, puis remonte en écrasant mon clitoris. Il le décapuchonne, le tire vers l’extérieur, à nouveau, le presse. Monsieur le souhaite complètement décalotté… sorti de sa gaine, pour mieux le caresser, le titiller.

Soudain, il m’abandonne. Je reste quelques minutes comme seule. Aucun bruit. Que fait-il ?

Mes battements de mon cœur glissent vers la chamade… Des coups résonnent à mes tempes… les jambes se font cotonneuses.

J’entends un grattement, une odeur de souffre… Tout à coup, une piqûre brûlante… une deuxième… Des sons inaudibles sortent de ma bouche béante. Cette chaleur pénètre mes chairs. Elle me procure une douceur enivrante, jouissive, mais criarde. Mes seins, mon ventre, mon nombril, mon pubis sont atteints. Une bouffée de chaleur m’envahit. Mon corps se mit à tressaillir, à trembler. Ces pics de chaleur délicieux ne sont que la cire qui tombe en gouttelettes sur les parties sensibles de mon anatomie. Une euphorie sensuelle et très piquante s’amorce intérieurement.

Monsieur me parle doucement, très ca lmement dans l'oreille. je sens un grattement sur mon épiderme... su rmon ventre... des arabesques se forment. Je frémis au contact de cette dureté qu'il applique avec délicatesse.

« Tu es marqué par mon nom…ma tendre ! » souffle-t-il en continuant à dessiner sur mes chairs avec l’extrémité d’un bout de branche. Je sens un p’tit picotement. Des griffures sur ma peau… Un tatouage éphémère d’appartenance.

L’ensemble de ces excitations me coupe la respiration. Une montée de plaisirs engendre une nacre de transpiration qui se répand sur tout le corps. La brillance de ma peau salée reflète toute l’ambiance de nos envies. Impalpables et pourtant si présent ce bonheur parfait. Monsieur aime pétrir mes chairs arrondies, tendres. Mon mont de vénus est renflé et propulse, en avant la vulve et facilite le cunnilingus. Le nez de Monsieur est enfoui dans mon pubis et augmente le plaisir de sentir mes effluves acidulés. Mon ventre rond et les seins lourds aux pointes raidies, sont accessibles à ses caresses aussi douces qu’appuyées. Mes rondeurs, un véritable ravissement pour lui, tactile comme il est. Voyageuses, ses mains errent sur ma peau. Elles viennent se plaquer sur mon postérieur comme pour pouvoir s’enfoncer encore plus dans mon être. Puis elles glissent le long de mon sillon fessier, il s’amuse à chatouiller une étoile jeune et fraîche. Il longe ce cercle charnu, joue avec son doigt pour l’ouvrir, le dilater, mais sans excès, car il sait que je suis fragile. Délicatement, il réussit y mettre sa première phalange. Je ne peux m’y soustraire. Une main remonte et s’applique sur l’entrée de ma vallée juteuse, ce gouffre gluant, brûlant… elle s’empare de mes p’tites lèvres, les triture, les étire. Pinçant la dentelle enflée, je ne peux m’empêcher de pousser un cri aigu. Mon corps se tord en spasmes. Il augmente sa pression pendant que sa bouche s’accapare d’un bouton bleu s’érigeant de sa cachette… le suçotant. Ses doigts relâchent la pression et se plantent jusqu’à se perdre dans un vagin offert à l’extrême. Ils sont engloutis et progressent frôlant la peau fine, cette séparation avec l’autre orifice. Puis ils massent le col de l’utérus. Ils sont méticuleux. Aucun centimètre de chair n’est oublié. Brusquement, Monsieur, amorce un va-et-vient. Comme des coups de reins, ça bouscule mon corps. Il accélère... de plus en plus profond, de plus en plus fort. Un feu me ronge. Des soubresauts incontrôlables agitent ma personne. Monsieur sourit, je le sais. Il en rit. Il est heureux. Heureux, de mes réactions à ses touchers. Un tourbillon m’emporte dans des cris. Des râles animals, profonds… des râles de jouissance intense. Aussitôt tus, car Monsieur m’offre à lécher ses doigts humectés de mon jus de femme. Dans l’excitation, je ne me suis pas aperçue pas que les pierres ont râpé mon dos, échauffé ma peau jusqu’à l’irriter et à laisser par le frottement… des marques rouges.

Monsieur me détache délicatement. Je me laisse glisser lentement et merveilleusement sur son corps. Il m’entoure de ses bras puissants… me porte sur la couverture à ras du sol. Je me love contre lui, ma tête sur son thorax. Tendrement, nous nous endormons, l’un dans l’autre… sereins.

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vite la suite:)



Texte coquin : IV – Tribulations charnelles (2ème partie & fin)
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