Jean-Pierre, Catie

- Par l'auteur HDS Fabriss34 -
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Jean-Pierre, Catie Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2012 dans la catégorie Plus on est
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Jean-Pierre, Catie
Il fait beau pour le début de cet après midi. Les filles sont légèrement vêtues, comme
moi. Je ne sais pas pour elle, en tout cas j’ai envie d’un garçon. Je suis installée
au fond du bus, je n’ose pas écarter un peu les jambes; je ne porte rien sous la jupe
effrangée en jean, d’autant plus qu’un beau garçon vient près de moi: nous bavardons,
je sais beaucoup de choses sur lui, à commencer par son prénom: Jean-Pierre. Après un
charmant sourire, nous parlons à peine de la pluie et du beau temps. Il aime le
cinéma, comme moi, il aime lire, comme moi et il aime une autre chose dont il ne peut
parler. Je suis prête à parier que c’est la même. C’est bien la même: il se penche un
peu pour me coller un patin formidable. Nos langues sympathisent rapidement. Il ne
quitte pas ma bouche: il ose une main sur ma cuisse. Je l’aide en écartant les jambes.
Il ne semble pas étonné de ne pas rencontrer de slip ou autre string. Je n’ai aime pas
porter ce genre de vêtement qui me gêne. Il caresse à peine le clitoris, entre deux
doigts dans le vagin et un peu après un autre dans l’anus. J’aime cette double
pénétration. Il me fait jouir deux ou trois fois.
J’ai des difficultés pour sortir sa bite: c’est lui seul qui y arrive. Elle est grosse
et longue, comme je n’en ai jamais vue. Elle doit faire du bien dans un ventre.
Nous devions descendre à la même station, nous oublions. Du coup nous ne descendons
qu’au terminus. C’est presque isolé, il n’y a qu’un petit hôtel dans le quel il
m’invite: il aurait pu de demander si je voulais coucher avec lui.
Dans la chambre nous sommes vite nus. Je peux voir sa bite enfin: elle est grosse,
plus que la moyenne « miam », et plus longue: « remiam ». Enlacés je peux la sentir
sur mon ventre, elle me fait mouiller rien qu’à l’idée de l’avoir bientôt dans le
ventre. Je le masturbe lentement quand Jean-Pierre se couche pour mieux profiter de la
branlette.
J’abandonne sa queue pour venir me coucher à l’envers sur le lit. Après tout je ne
vais pas lui laisser prendre l’initiative. Je suis sur le ventre, sa queue dans la
bouche. Je le trouve bon et dur. Je tiens sa bite dans une main pendant que ma bouche
commence son œuvre. La langue le lèche avant que je l’avale. Mes vas et vient doivent
lui faire du bien puisqu’il gémit doucement. Je caresse légèrement ses couilles. Je
crois qu’il est le premier subir mon traitement. Je n’osais pas pour les autres. Il
me demande de lui donner mon sexe: je vais sur lui, il pend aussitôt ma chatte comme
terrains de jeu. Il lèche cette fois comme il faut le clitoris, en profite pour mettre
deux doigts dans la cul. Je ne peux pas tenir un tel rythme: je jouis volontiers. Une
musique extérieurs retendit: elle nous accompagne jusqu‘au bout. Ma bouche arrive au
résultat, je reçoit une bonne dose de sperme dans la bouche. Normalement je ne garde
jamais de semence dans la bouche, et maintenant, je ne sais trop pourquoi je la
déguste un bon de temps avant d’aller la partager avec lui.
Je vais me réfugier dans ses bras: il me cajole comme un enfant: c’est vrai que je
devient une enfant dans ces bras. Je l’embrasse sans cesse. Je caresse sa queue
longuement; Elle grossit petit à petit. Je suis fière de moi quand il bande
normalement. Il n’attend plus rien, il vient sur moi: j’ouvre les cuisses. Jean-Pierre
s’y pose. Nos jambes sont entremêlées. Il fait son bonhomme de chemin en venant tout
seul dans mon puits. Je sens mes chairs s’ouvrir quand il entre: c’est bon, si bon
qu’il me donne le premier coup de grâce. Je le veux bien au fond de mon cratère: il y
est trop vite à mon gré. Il me lime tellement bien que je jouis encore.
Je n’en peux plus qu’il soit dans ma chatte. Je le veux encore cette fois dans mon
petit trou. Il me fait mettre en levrette, me baise à peine, en me faisant jouir
encore une fois au passage.
Il est maintenant sur l’anus. C’est extrêmement lent: son gland met au moins deux
minutes à traverser mon anus. C’est trop bon, je voudrais qu’il me la mette en entier,
au fond complètement. C’est-ce qu’il fait doucement tellement il ne veut pas me faire
de mal. Par contre le plaisir augmente sans arrêt. C’est le premier à m’enculer si
sensuellement. Habituellement j’aime la sodomie, avec lui c’est un plat de chez
Bocuse. Il me caresse le clitoris et essai de mettre deux doigts dans la vagin.
C’est un baiseur exceptionnel. En plus il prend son temps pour jouir. C’est agréable
d’être sodomisée ainsi. Il est aussi dévoyé: il aimerai me voir avec une autre fille.
Je ne connais pas d’autre filles susceptibles de satisfaire son désir. Lui oui, il en
connait au moins une. J’ai peur d’entrer dans un engrenage qui me donne gout à une
foule d’interdits. Si c’est interdit, ce doit être bon, alors j’accepte.
Le soir même au, même hôtel je retrouve Jean-Pierre qui attend une autre fille qui
arrive: c’est notre compagne de ce soir. Catie est blonde, belle poitrine, belle
fesse. Ses joues sont là pour recevoir mon baiser, ses lèvres sont sur celles de Jean-
Pierre. J’en suis presque jalouse.
Nous sommes dans la même chambre, cette fois à trois. Nous ne perdons pas de temps à
nous chauffer: c’est déjà fait. Jean-Pierre nous demande de nous embrasser sur la
bouche, alors que nous sommes à peine nues. J’ai un moment de rejet quand la langue
vient sur la mienne. J’accepte surtout parce qu’il me caresse les fesses en même temps
qu’à l’autre. J’ai pu voir sa bite encore plus grosse que cet après midi.
J’espère qu’il sauras bien nous baiser les deux filles. En attendant je ne pensais
jamais mouiller en étant embrassée par une autre fille. Nos seins se caressent
lentement: je sens mes tétons durcir sous les siens. Finalement c’est agréable d’avoir
affaire à une autre du même sexe. Nous nous partageons les fesses de Jean-Pierre.
J’arrive la première sur son cul. Je n’hésite pas une seule seconde j’entre la moitié
du doigt. Je sens un autre doigt venir pour partager l’anus de notre amant. Il se
laisse faire avec deux doigts. Je ne pensais jamais lui perpétrer cet outrage auquel
il ne semble pas hostile.
J’ai une surprise qui m’attend quand la main de Carie est sur ma chatte. Il cherche
mon clitoris pour me faire du bien. Et du bien elle m’en fait, comme quand je me
branle. Mon autre main va aussi sur sa chatte. Je préfère la doigter, elle se laisse
faire pendant que nos lèvres sont toujours jointes. Je ne pensais jamais avoir et
donner autant de plaisir à une autre.
Reste maintenant à découvrir le reste. Je crois savoir qu’elle est la suite logique.
Je n’ai jamais fait cette chose qui me plairait d’essayer. Nous sommes couchées l’une
près de l’autre. Nous nous branlons lentement, nous nous caressons les seins devant
Jean-Pierre qui se branle devant nous. Il attend manifestement la suite. Elle arrive
sans que j’y soit pour quelque chose: c’est Catie qui se met la tête aux pied. Elle me
fait écarter les cuisses. Elle peut voir toute ma fente. Elle ouvre ses jambes pour
passer sur mon visage; à mon tour de la voir en détail. Je sens sa langue venir sur
mon bouton. Je suis tentée de fermer mes cuisses. Sa tête m’en empêche. Mon clitoris
est absorbée par sa bouche. Elle suce comme une reine. Je commence à comprendre les
lesbiennes qui ne se font que se sucer entre elles. J’écarte maintenant mes jambes
pour m’offrir complètement. Ma langue fait comme la sienne. Je suis étonnée de sentir
son orgasme en même temps que le mien. Je suis encore plus étonnée quand je vois la
bite de Jean-Pierre venir dans le cul de Catie. C’est drôlement excitant de voir une
bite aller dans un cul. Il me semble qu’une partie de l’anus entre aussi. Je caresse
le couille pour ensuite poser un doigt sur la cul de Jean-Pierre: je fais plus que le
poser, j’entre complètement. Je sens juste sa main venir vérifier ce que je fais. Que
je me régale, d’autant plus que nous changeons de place: je suis sur Catie, la bite
change de place, c’est à mon tour d’avoir sur ma fente, une bouche de fille et une
pine dans le cul. C’est un plaisir aussi bon qu’une bonne double pénétration.
J’aurais voulu faire une autre pénétration: ma main entière dans le cul de Catie qui
en a peur. Dommage, j’aime bien jouer avec une main dans mon cul. J’aime le fisting.

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Texte coquin : Jean-Pierre, Catie
Histoire sexe : Une rose rouge
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