Léane ma soumise

- Par l'auteur HDS Effrontée -
Récit érotique écrit par Effrontée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Léane ma soumise Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Léane ma soumise
Un casting spécial. (1)
Un ami commun à Marcel et moi, se prépare à tourner un long métrage. Le scénario fait intervenir des jeunes femmes entre 24 et 28 ans. Sexy et très jolies bien entendu. Il nous a demandé de lui trouver des candidates, pas trop farouches … On a tout de suite compris … et on devrait bien profiter de la situation.
Je pense tout de suite à Léane, qui accepte tout de suite. Elle est belle, élégante et intelligente. Je la sais très attachée à moi et obéissante.
- Un film d’horreur demande-elle ?
- Oui ma belle, avec de vraies comédiennes.
Nous partons tous les trois en auto pour Liège. Léane est simplement vêtue d’un chemisier blanc et d’une jupette de tissus écossais qui arrive à mi cuisses. A l’arrière, elle s’est allongée en travers de la banquette et s’est endormie. En chien de fusil, sa jupe remonte haut et laisse voir ses fesses dégagées complètement par le string qu’elle a l’habitude de porter. Léane a la particularité d’avoir un très joli cul que prolongent des cuisses fines. On doit s’arrêter pou faire de l’essence. A la station service, le pompiste qui nous sert est collé à la vitre arrière et mate à loisir les cuisses et les fesses dénudées de notre amie le temps que dure le remplissage du réservoir. Marcel qui a repéré son manège lui fait un clin d’œil complice et tout doucement relève un peu plus la mini dévoilant entièrement les jolies fesses de la jeune fille endormie. Derrière la vitre le gars devient tout rouge, il a arrêté de servir pour mater le cul offert à sa vue. Dans son sommeil, Léane se retourne sur le dos, les jambes repliées vers la vitre. D’où il est, le gars doit maintenant voir son minou à peine caché par le petit triangle de tissu du string. Pervers, Marcel prend un genou de la jeune fille endormie et lentement, l’écarte et lui ouvre les cuisses exhibant son entre jambes. Le gars dehors a sorti sa bite et sans vergogne se branle devant le spectacle offert. Du coup Marcel qui sent que Léane dort profondément passe une main et écarte le tissu et dévoile le sexe rasé près mais surmonté d’un petit triangle de poils blonds que je lui impose de garder et soigner. C’en est trop pour le mateur branleur, il éjacule soudain une quantité phénoménale de sperme qui vient s’écraser sur la vitre de l’auto. On reprend la route, Léane dort toujours.

A l’heure du dîner, on s’arrête dans un restau route. Marcel me glisse à l’oreille qu’il aimerait bien exhiber la petite au restaurant. Elle si belle ! Je suis d’accord.
- Elle est très soumise tu sais. Fait semblant de rien on va la foutre presqu’à poil sans qu’elle se rebelle.
On la réveille, c’est la nuit, il fait chaud c’est l’été.
Notre apparition dans la salle du routier ne se fait pas discrètement. Tous les regards se portent sur moi mais surtout sur Léane qui resplendit de beauté. Deux femmes dans cet univers de mecs !
- Je vais aller faire pipi, dit-elle.
- Je t’accompagne dit Marcel, ces toilettes d’autoroute ne sont pas sûres.
- Oh Merci c’est gentil.
- Tu laisseras la porte ouverte, je surveille.
- D’accord dit Léane.
Elle ne s’est pas aperçue que Marcel l’avait conduite aux toilettes hommes.
Elle entre dans la cabine et laisse le loquet ouvert. Des routiers entrent, ils sont trois et se dirigent vers les urinoirs. Marcel entend que Léane a commencé à pisser et sous prétexte de lui demander si tout va bien, il ouvre la porte. Léane a baissé son string et est assise sur la lunette les cuisses largement ouvertes. On voit parfaitement l’urine s’échapper de sa vulve qu’elle tient ouverte avec eux doigts pour ne pas se mouiller les lèvres de son sexe. Elle a la tête baissée et regarde son jet qui s’écoule et ne voit pas que Marcel s’est écarté de la porte pour laisser voir les trois routiers qui n’ont encore rien vu, tournant le dos aux cabines. Quand Léane s’aperçoit dans quelle situation elle est, son premier réflexe est refermer ses cuisses et cacher son ventre. Mais aussitôt, Marcel lui fait signe de faire semblant de rien et de continuer. Docile, elle ouvre ses cuisses un peu plus largement d’ailleurs et reprends son petit besoin. C’est le bruit du pipi qui fait se retourner un premier routier. Il reste bouche bée. Puis les deux autres suivent. Ils n’en croient pas leurs yeux.
Léane fait celle qui ne se rend compte de rien et Marcel met son doigt sur ses lèvres pour signifier aux routiers de ne rien dire. Ils rigolent tous dans leur barbe et matent un max la jeune fille qui se soulage devant eux, les cuisses ouvertes. Quand elle a terminé, elle se lève et toujours le regard baissé, comme une petite fille timide, elle remonte son string. Les types regardent ses longues jambes bientôt recouvertes par la mini. La tête haute mais les joues rouges de honte, Léane rejoint Marcel qui lui prend la main.
- « Tu as un bien joli minou ma belle » dit un des routiers.
Ils regagnent ensembles la salle de restaurant, ravis de ce qu’ils viennent de voir.
Les trois routiers sont assis près e leur table et se marrent en la dévisageant. Elle entend un, le plus vieux dire :
- Alors la petite dame, on a bien pissé ?
Léane rougit et baisse les yeux, elle a honte et les trois hommes éclatent de rire en même temps.
A table, on s’assoit sur la banquette face à la salle. Marcel se place sur un des côtés de la table près de Léane. Il n’y a pas de nappe si bien que tous dans la salle peuvent voir nos cuisses sous la table.
Je dis à Léane que pour ne pas tâcher son chemisier blanc, il faut mettre une serviette.
- Je vais te la mettre, je lui dis, sournoise.
Comme je lui attache sur le bouton du haut de son chemisier, subrepticement, je détache deux boutons du chemisier. Elle tourne sa tête vers moi pour me faire comprendre qu’elle est n’est pas dupe. Je lui ai ouvert le vêtement presque jusqu’au nombril. Là encore, Léane docile ne dit rien et je lui souris pour le remercier d’accepter cette soumission
De la salle on peut voir une grande partie de ses seins et les voisins n’arrêtent pas de jeter des clins d’œil en coin pour mater.
Au milieu du repas, je le vois qui glisse une main sous la table vers les fesses de Léane. Je la vois se contorsionner se pencher d’un côté puis de l’autre, le nez dans son assiette. Il lui glisse un mot dans l’oreille et la jeune fille passe ses mains sous ma table et je devine qu’elle est en train d’enlever sa culotte devant tous les hommes de la salle. Je devine qu’elle doit lever une cuisse puis l’autre pour dégager son string et que cela doit bien exhiber son petit minou. De mon côté je mouille également et sans rien dire moi aussi je fais glisser ma culotte le long de mes cuisses en prenant soin d’aller lentement pour gâter les voyeurs.
A la fin du repas, au moment de partir, quand Léane se lève, je vois Marcel passer sa main dans le dos de Léane. Je pense, comme elle sans doutes, qu’il s’agit d’une petite tape amicale. En vérité habilement, il a accroché le bas de la mini-jupe à sa ceinture. Elle traverse la salle de restaurant les fesses nues. Les deux globes se balancent harmonieusement et de façon très excitante. Les hommes, la plupart des routiers pas très délicats, rigolent devant le ridicule de la situation surtout qu’ils pensent que Léane ne s’est aperçue de rien et qu’elle se ballade au milieu des tables le cul nu au regard de tous.
On regagne la voiture. Léane fatiguée s’endort très vite sur le dos à l’arrière de l’auto, ses jambes repliées en chien de fusil. Quand on double un camion, on entrevoit le chauffeur essayer de mater. Marcel est excité, il allume le plafonnier au dessus d’elle pour mieux la montrer. Cette fois c’est sa tête qui est près de la vitre arrière à droite. Doucement pour ne pas la réveiller, Marcel, ce cochon ouvre son chemisier et fait jaillir ses seins en pleine lumière. On double un tas de camions, on roule doucement à leurs côtés pour les laisser mater les seins superbes de Léane.
Il y en a un qui nous fait des appels de phare. On s’arrête sur une aire de stationnement. Il se gare derrière nous et deux énormes types arabes sortent de la cabine du camion et s’approchent. Ils se placent contre la vitre et matent de plus près les seins de la jeune fille. Ils sortent chacun une énorme bite et se mettent à se branler. Léane est agitée, elle se retourne. Les gars passent de l’autre côté de l’auto. Ils veulent voir le cul, l’autre face du corps presque nu de la jeune fille. En effet la mini est bien remontée et ne cache rien des fesses ni son petit œillet. Ils matent et quand Léane remue son bassin, sa raie devient visible au regard des arabes. On les voit qui accélèrent leur masturbation pour enfin se libérer sur la vitre de l’auto. On repart et Léane dort toujours ignorant tout ce qui se passe autour d’elle.
On arrive à Liège au petit matin. On a rendez-vous en fin de matinée. On gagne notre hôtel pour se faire une bonne toilette et se refaire une beauté, surtout pour Léane. Elle s’habille sobrement et remet des sous vêtements.
Vers 11h nous partons pour notre rendez-vous
Robert A. nous reçoit dans son bureau très spacieux. Sur le côté, une secrétaire assez âgée dans les 55 ans, obèse, le regard froid derrière de grosses lunettes. Je vois tout de suite qu’elle intimide la petite Léane, qui baisse les yeux.
Robert est un gros bonhomme, amateurs de femmes jeunes, ce qui les fait s’estimer. Il n’a presque plus de cheveux et frise les 70 ans. Il porte aussi de fines lunettes qui lui donnent un regard lubrique.
Tout de suite ses yeux se portent sur Léane, la détaillent, des pieds à la tête, la déshabillent. Léane intimidée regarde ses chaussures, toute rouge debout devant Robert.
- Tu as quel âge, jeune fille lui demande-t-il .
- 24 ans monsieur.
- Tu as déjà joué la comédie ?
- Non monsieur répond-elle tout doucement.
- Tu vas suivre Martine, ma secrétaire, elle va t’habiller pour passer une audition.
- Oui monsieur.
Martine, la grosse secrétaire se lève difficilement de sa chaise et prend Léane par le bras et l’invite à la suivre. Elles disparaissent dans une autre pièce. En rigolant, Robert nous dit :
- Elle a vraiment l’air docile cette belle jeune fille. J’espère qu’elle va faire l’affaire. Venez, en attendant, on va se rincer l’œil. Il y a une glace sans tain dans la pièce, on va pouvoir assister à l’habillage de la princesse. Il nous conduit dans une pièce attenante à son bureau.
Des fauteuils sont installés face à une sorte d’écran qui est en réalité une pièce très éclairée. Celle dans laquelle nous sommes est pratiquement dans le noir. On s’installe et la porte de la pièce voisine s’ouvre et Léane apparaît suivie de la grosse secrétaire.
Martine s’approche de Léane et on l’entend lui demander de se déshabiller qu’elle va revenir avec des vêtements. Elle quitte la pièce laissant la jeune femme toute seule. On la voit hésiter puis s’asseoir sur une chaise près d’une table. Quand la secrétaire réapparaît, elle se fâche en lui criant presque qu’elle n’avait pas de temps à perdre et qu’elle devait se déshabiller pour passer les vêtements du personnage du film. Léane se retrouve vite en string et soutien gorge. La femme lui tend une longue tunique noire. De simples bretelles fines sur les épaules, sous les bras deux seuls boutons la ferment, laissant sous les bras une très large échancrure qui descend jusqu’à la taille. Elle est fendue sur le devant jusqu’au niveau de son pubis et derrière à la naissance des fesses. Léane est grande et cette tunique lui donne une allure de déesse. On lui donne à chausser des chaussures fines avec des talons assez haut pour allonger encore sa silhouette. On a bien conscience qu’au moindre mouvement, la tunique va s’ouvrir découvrant ses jambes et même son sexe. Derrière rien ne va cacher ses fesses et sur le côté, le simple mouvement d’avancer la main découvre sur le côté sa généreuse poitrine. Léane se sent nue habillée de cette manière. La femme lui demande d’ôter son soutien gorge et même son string qui se voient sous le fin tissu de la robe noire. Les deux hommes à mes côtés remuent sur leurs sièges. Pour enlever ses sous vêtements, Léane doit enlever sa robe et elle nous apparaît nue quelques secondes devant nous. Elle est vraiment très belle. La robe repassée sur ses épaules, la dame lui demande de marcher devant elle et de se tourner lentement. Les deux hommes se régalent du spectacle, la grosse mémé la regarde avec un sourire qui laisse deviner qu’elle sait qu’on est derrière la glace en train de mater. Moi je mouille devant cette image de ma protégée exhibée à ces pervers.
Une fois la robe passée sur elle, la secrétaire s’approche et l’ajuste bien sur le corps de la jeune femme. Ce faisant elle frôle les seins qui aussitôt dressent leurs pointes. Cela fait sourire la grosse matrone qui s’empare des tétons par dessus la robe avec la ferme intention de les faire pointer de plus belle. Léane respire plus vite, la vieille a compris la puissance de ce toucher chez elle et elle a bien l’intention d’en profiter et de nous en faire profiter. Elle prends les pointes entre ses doigts, les pince, les fait rouler. Léane ferme ses yeux goûtant apparemment la caresse. Elle ne voit pas la grosse qui s’approche de son visage pour déposer ses lèvres sur les siennes. Sa langue sort de sa bouche et lèche les commissures encore fermées. Elle lui donne des petits coups de langues tout doux puis d’un seul coup elle se plaque contre elle et la force à ouvrir sa bouche pour y introduire sa langue. Ce baiser saphique nous excite, et me rend jalouse, derrière la glace, voyeurs invisibles. Léane remue son bassin et frotte son ventre contre celui de la grosse à la recherche d’une caresse. La grosse salope se frotte contre elle aussi et descend sa main entre ses cuisses et lui masse maintenant son sexe. Léane pousse de petits gémissements. Elle n’est pas lesbienne mais cette grosse et ses mains et sa bouche lui donnent des frissons partout. C’est la perversion qui l’excite, je la connais. Elle s’abandonne, incapable de résister à la jouissance qui l’envahit et soudain elle crie en jouissant quand la vieille vient de lui planter son doigt dans le cul et lui branle sa rondelle par dessus le tissu. A bout de souffle, elle se laisse porter jusqu’à la chaise au milieu de la pièce, les jambes coupées.
Elle se laisse faire également, docile, quand la grosse mémé lui pose un bandeau sur les yeux en disant que c’est pour le rôle.
(à suivre)

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Superbe histoire vite la suite !



Texte coquin : Léane ma soumise
Histoire sexe : Une rose rouge
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