nouvelle voisine - histoire érotique

Marc était affalé dans son canapé en train de regarder un match de football.
Quelqu’un frappa à la porte
« Mais qui vient me déranger en plein OM-Lens !! » se dit-il
« J’arrive »
Il ouvrit la porte.
« Ah ! bonjour Sophia »
« Excuse- moi, je te dérange pas ? »
« Non »
Sophia était la voisine de Marc. Jeune brune, elle venait d’emménager, dans
l’appartement d’a coté. Ils ne s’étaient vus qu’une fois, sur le pallier, à l’occasion du
vif échange de bienvenue.
« Je peux entrer ? »
« Oui va y »
« Ah ! tu fais partie de ces hommes qui sont accros au football ? »
« Non pas vraiment » répondit-il, d’une voix embarrassée. Ils ne se connaissaient
pas et voilà qu’elle le cataloguait avec les beaufs aux bérets et bière a la main !

Sophia était au milieu de la pièce, près du canapé. Elle portait un haut mauve collant
qui mettait en valeur ses 95 C.

« Que puis-je pour toi ? »
« En fait, je suis seule, et comme il fait pas très beau en ce dimanche après midi, je
me suis dit que j’allais faire le tour du pallier pour mieux connaître mes voisins et
voisines. Comme tu es le voisin le plus proche »
« Heu oui... tu as bien fait » Marc n’y croyait pas. On venait le déranger pendant son
match de football. C’était un sacrilège !
« Tu peux prendre place sur le canapé »
Sophia s’exécuta.

« J’ai emmené un dvd ça te dit ? »
« oui ça va attends- moi ».

Marc revint avec deux verres et une bouteille de vin. Il servit Sophia. Il remarqua au
passage ses beaux seins contenus dans ce tissu mauve.

« Alors ça va ? » lui demanda Sophia ?
« Oui ça va bien. Je m’occupe comme je peux un dimanche après midi »
« ah... tu n’as pas de petite amie ? »
Marc failli s’étrangler devant cette attitude directe de Sophia
« heu.. non… »
« Moi aussi... »
« Tu n’as pas de petite amie alors » lui demanda Marc
« Non » répondit elle en souriant
« Ça fait longtemps que tu n’as pas de copine ? »
« Oh ça fait 3 mois »
Marc commençait à être à l’aise. La direction que prenait la conversation
commençait à lui plaire.
« Et tu t’en sers plus depuis 3 mois ? »
« De quoi ? »
« Ben de ce que dame nature t’as donnée »
« ah çà !..... heu… Si de temps à autre »
« Tu es adepte des plaisirs solitaires ? »
« oui parfois ça détend. Mais je préfère le faire en vrai »
C’était une invitation que Marc lui lançait.

« Et toi ça fait longtemps que t’as pas de petit ami ? »
« 3 mois pareil. Mais moi aussi je me détends, mais je préfère le faire en vrai … »

Marc commença à mettre ses bras autour de Sophia. Il approcha ses lèvres et
l’introduit dans la bouche de Sophia. C’était chaud à l’intérieur, une véritable
fournaise ! les deux langues se battaient en duel. Ils s’embrassaient goulûment. On
sentait une passion ardente dans leur baiser. La langue de Sophia répondait aux
répliques de celle de Marc. Elle s’aventura dans la bouche de Marc. Le rythme de
leur respiration s’accélérait. Ils s’embrassaient violemment. Marc tenait lui tenait la
tête des deux mains. C’était un règlement de compte qui se déroulait. Un filet de
bave collant commençait à dégouliner : c’était intense.

« Waouh !! tu es une experte »
« Oui toi aussi »

Et ils repartirent de plus belle. Tout en s’embrassant les mains de Marcs
descendirent à hauteur des seins. Ceux-ci étaient prisonniers de ce tissu mauve. Il
les caressa et trouva le téton droit. Il joua avec lui. Il prenait du plaisir à toucher ses
deux boules, d’une douceur inouïe. Il les sentait tout chauds prêts à bondir. Il les
caressait les pelotait. Il entreprit de lui ôter ce haut mauve. Il découvrit alors deux
beaux seins contenus dans un soutien gorge noir. Deux nichons qui ne
demandaient qu’à êtres bien traités. Ses doigts s’infiltrèrent dans le soutien gorge
de Sophia. La nature l’avait bien gâtée ! se dit-il ! ses deux mains avaient trouvé une
occupation : elles les pétrissaient, les malaxait, jouait avec ses tétons.

« Oh oui j’aime ça va y continue » dit Sophia d’une voix chaude

La bouche de Marc descendit à hauteur des seins. Il prit le sein droit dans sa
bouche. Elle sentait son téton dans sa bouche. Sa langue se frottait contre lui. Il
suçait ses seins, peut être dans l’espoir d’en dégager du lait. Il s’appliqua avec sa
langue à lécher le téton de Sophia. Il avait l’impression d’être un enfant à qui l’on
donne le lait. Sa main gauche continuait à masser son sein gauche. Il aimait ça. Il
suçait violement son sein.

« Oh oui, va y continue !»

Cela faisait deux minutes qu’il était dessus. Il s’arrêta pour voir son œuvre : Sophia
avait un suçon. Elle avait une trace de son passage. Elle ne l’oublierait jamais. Les
autres hommes qui lui feraient l’amour sauront désormais que Marc était passé par
là.

Sophia se cabra et se mit au-dessus de Marc
« À moi maintenant ».
Il en profitait pour masser ses seins. Sophia se donnait à lui. Elle lui offrait son
corps, il pouvait en disposer. Sophia descendit sa jupe sui laissa s’afficher une
chatte toute rasée.

« Elle est pour toi. Je suis pour toi. Nous sommes pour toi ! »dit elle.

Elle fit descendre le short de Marc et découvrit un sexe gonflé qui n’attendait que de
servir. Elle descendit du canapé pour enlever complètement sa jupe. Il admira ce
corps qu’il allait consommer , elle revint sur lui. Par un jeu de jambe, elle se mit en
position. Le sexe de Marc était en érection et les attendait : elle et sa chatte. Elle
approcha son sexe de celui de Marc

« Ça va arriver mon chéri »

Le sexe de Marc devenait de plus en plus dur. Il allait l’utiliser son sexe qui n’avait
pas rencontré de vagin depuis trois mois. Sophia l’attrapa par la main droite et
l’aida à l’introduire dans sa chatte

« Oh oui !!!! ah ouiiiiii !!! »

Elle l’avait en lui , elle le sentait dans son corps , un missile qui était en érection. Il
était chaud. Elle commença ses vas et vient. Marc lui tenait toujours les seins, il les
malaxait. Il sentait son sexe dans la chatte de Sophia. Elle exécutait ses va-et-vient
de plus en plus fort.
L’expression du visage de Sophia montrait un bonheur qu’elle ne dissimulait pas,
elle était heureuse de cette partie de baise. Ses mouvements montraient qu’elle
prenait son pied. Un homme et une femme s’unissaient, accomplissait un acte
naturel qui leur procurait du plaisir. Elle maîtrisait la situation. Elle la sentait au fond
d’elle. Elle poussait de toutes ses forces pour que son sexe aille au plus profond de
ses entrailles. Elle voulait le consommer tout de suite. La nature avait donné à
Sophia, aux femmes, un outil qui semblait inépuisable, sans fond. Elle voulait
repousser les limites. Le sexe de Marc butait contres ses parois et elle aimait ça.
Marc sentait monter la jouissance. Elle lui faisait vivre un moment qu’il n’oublierait
jamais !
Sophia lui paraissait innocente, mais au fond d’elle se cachait un caractère de feu,
un volcan.

« Je vais jouir ! » cria-t’il !

À ces mots, Sophia s’arrêta et se retira de Marc

« Je veux que tu jouisses dans ma bouche mon Marcounet »

Il se leva, le sexe rouge et raidit comme un élastique. Elle se mit à genoux devant
lui, mis ses mains autour de ses reins. Sophia approcha sa bouche du sexe de Marc.

« Jouis dans moi »

Elle englouti son sexe dans la bouche. À l’intérieur c’était un volcan , son sexe
n’avait jamais trouvé meilleur refuge de toute sa vie !Elle sentait son sexe. Par un
jeu de langue, elle le caressait, en prenait soin. Elle aimait sucer ! elle adorait ça.
Sentir son instrument dans sa bouche l’excitait tellement qu’elle joui ! Sa sève
coulait. Marc la regarda , elle avait pris du plaisir et avait joui. C’était à son tour
maintenant.

« Je vais jouir ! »

À ces mots, Marc, lâcha une décharge dans la bouche de Sophia. Un liquide chaud,
qui la remplissait. Et ça continua. Son abstinence de ces derniers mois payait :il
éjaculait abondement. La bouche de Sophia accueillait ce sperme avec bonheur. Elle
recevait le liquide de la fertilité dans sa bouche. Marc se retira. Sophia qui avait
emmagasiné tout le liquide lui montra sa bouche remplie de ce liquide blanchâtre.

« Avale le ! » lui intima Marc.

Elle s’exécuta. On entendit ce liquide passer au travers de sa gorge.

« Oh Marc, tu m’as comblée ! »
« Toi aussi Sophia ! »
« Je pense que je reviendrais plus souvent chez toi ! »
« Tu es la bienvenue Sophia »

Et c’est ainsi que débuta une relation de bon voisinage entre Marc et Sophia.