Premiere expérience sans culotte...et ce qui s'en suivit 2 - histoire érotique

"Desolee pour les fautes, je suis d origine latine, le francais est ma deuxieme langue."

Je suis debout devant cet homme qui me scrute des pieds à la tete, intimidee, comme paralysee. Il appuis sur le bouton d une telecommande et sur un grand ecran commence a defiler mes photos, nue marchant devant la voiture, accroupie en train d uriner, et a genoux sur le perron a sucer mon mari.
Madame, vont maintenant defiler les sites pornographiques ou je pourrais envoyer vos photos….sortez ou deshabillez vous.
Je reste sur place, vous appelez :
Firmin deshabille la, madame est timide, elle l etait moins hier soir quand elle jouais a la prostituee.
Je suis figee par le regard de cet homme, et sans reaction quand firmin deboutonne mon chemisier qui l enleve, mon soutient gorge est ote, devoilant mes gros seins avec leur larges areoles foncees et gros Tetons, je commence a respire court et a la chaleur dans mon bas ventre, je sens que je mouille.
Quel nichons elle a la salope s exclame t- il alors que ma jupe tombe et que ma petite culotte, dernier rempart tombe, je suis nue, je me sent comme exhibee dans une foire.
Il s approche de moi, je sens son souffle sur mon visage alors qu'il tripote mes seins, en pince les tétons, sa main empogne ma chatte puis un doigt inquisiteur lui procure un ricanement, déjà mouillée la salope, tourne toi que je vois ta croupe,.
J obei et je suis face a Firmin qui sourie en me contemplant, les ordres fusent, ecartes les jambes dit le colonel en tapotant entre mes cuisses avec la cravache pour me les faire ouvrir.
Tu as un beau cul de jument, Firmin, met lui le collier, c est un collier de cuir avec un petit boitier noir.
C est un collier pour chienne rebelle a eduquer, grace a cette petite telecommande, je peus t envoyer une decharge electrique, aussitot dit aussitot fait je ressent une decharge qui me provoque un cri.
Vous allez souffrir madame, en effet, ca me provoque un immense plaisir de voir une femme BCBG, bourgeoise, humiliée, rabaissée au rang d'une PUTE de base categorie, au rang de chienne, et voir qu'elle aime ca, ce qui me fait dire que toutes les femmes, toutes sans exception, sont des putes qui s'ignorent, il suffit de faire revenir a la surface cette aptitude ancestrale au plus vieux metier du monde…
Firmin, conduis dans la salle de “travail”
Firmin tirant la laisse m'emmene dans le fond de la piece ou il y a une petite porte cochere donnant sur une alcove qui parait sortir de la sainte inquisition. Je peux voir, pilori, croix de saint andre, anneaux, chaines, palans, des instruments sur une table, comme poire d angoisse, une foule d objets…
Sur une estrade, un cheval d arcon ou firmin m installe, liant mes poignets sur le devant, ma croupe est exposee impudiquement. Mes seins ne sont pas ecrases sur le cuir, parceque deux degagements permette de les laisser pendre…
Firmin m installe deux poids de coucou Suisse en forme de pomme de pins dotes de pinces, c est lourds, mes deux nichons etires ressemblent a des bouteilles de coca cola de 1,5 litres ou deux pis de vache pleins de lait… J ai l air d une vache prete a traire…
Le colonel ordonne, “cravache la Firmin, une dizaine de coups sur son cul rebondit lui feront le plus grand bien.
Firmin me cravache les fesses sous les yeux du colonel, sans compassion, mes fesses sont vite striées de marques rouge, des larmes coulent sur mes joues, mais ma chatte degouline…
Firmin presente devant moi un petit banc de bois, le colonel monte dessus, il s est enleve le pantaloon et presente face a ma bouche, un chibre court, mais tres epais emergeant d une foret de poils noirs, drus. “Suce salope !!! trainee, putain, chienne, Suces la queue de ton Maitre…
Je prends en bouche ce chibre au gros gland violacie alors que Firmin explore mon cul avec son plus long doigt, le vicieux introduit un autre doigt dans mon vagin et bouge les deux doigts comme pour les faire se rejoinder, c est trop bon, je libere de la cyprine comme une fontaine…
Le gros chibre va et vient dans ma bouche de salope BCBG, de la putain que je suis devenue…le colonel impose la cadence, Firmin vient de remplacer son doigt par quelque chose de plus gros et me bourre le cul, mes nichons ballottent comme des cloches, mes yeux sont exorbite, le foutre du colonel rempli ma bouche, j avale ce que je peux et le reste coule a la comissure de mes levres.
Firmin, arrete de l enculer, cherche Rudy le palfrenier nous allons nous amuser un peu.
Je vois entrer dans la salle un homme a l air mongol, niais, un vrai nabot, petit, bossu, un vrai casimodo, il bave de me voir, sa queue bande et est enorme, il enleve les poids de mes seins et commence a les tripoter, a les traire, il suce, mords mes tetons…puis il passe derriere moi ou Firmin a installe le petit banc, La, il penetre ma chatte de son gros molbard d une seule poussee, m arrachant un cris de bete blessee, Il me laboure sans menagement, me claquant les fesses et en grognant son plaisir de me defoncer.
Ca le change des putes qu on lui offre d habitude, dit le colonel. Riant, c est difficile d en trouver une pour copuler avec ce monstre.
Firmin, regarde la bourgeoise, elle jouit, en effet, sous les coups de buttoir du nabot, je jouie comme une folle, il alterne, ce plantant dans ma chatte, dans mon cul , c est trop bon, je n ai jamais jouie tant intensement. Je crie ma jouissance alors que le nabot decharge son foutre dans mon trou a foutre, je dodeline la tete, gemie, secoue ma croupe, je ne suis plus qu une femelle en chaleur qui crie ENCORE, PLUS VITE, PLUS FORT…
Le colonel et Firmin ricane, ce n est que le debut de son avillissement…
A suivre