Le Bagne (7)

- Par l'auteur HDS Opaline -
Récit érotique écrit par Opaline [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Le Bagne (7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le Bagne (7)
- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-

Opale était trop heureuse de ne pas avoir été contrainte de dormir dans ce bagne dont elle ne soupçonnait même pas l’existence, une heure plus tôt. Elle se précipita dans sa chambre et se planta devant un grand miroir poussiéreux. Elle alluma le spot qui le surplombait et le dirigea vers son pubis. Rien à faire. Quelque soit la position qu'elle prenne, son petit fruit refusait de regagner son nid. Elle maudit la nature de lui avait fait une entaille aussi longue et d'avoir planté aussi haut sa protubérance.
Deux fois ces derniers mois, elle avait été confrontée avec le même phénomène. La première fois, elle s'en était amusée près de quarante huit heures. La seconde lui restait en mémoire comme le pire cauchemar de sa vie. Il fallut sept jours à sa belle-mère pour prendre conscience de la gravité du phénomène. Même en l'absence de désir ou de stimulation sexuelle, son excitation génitale ne faisait qu'amplifier. Sous les quolibets des complices de sa belle-mère, ils parvenaient à la gratifier de plusieurs séries d’orgasmes quasi spontanés rien qu’en l’obligeant à se déculotter. Amusés par l’activité sexuelle débordante de la gosse, Christelle et quelques comparses lui firent faire la tournée des clubs. Opale accumulait des orgasmes déraisonnables qui ne la soulageaient plus que très temporairement. Elle finit par en éprouver une forte culpabilité et une honte indicible. Cette hyperexcitation sexuelle la minait tellement qu’elle ne parvenait même plus à s'alimenter. Ce n’est que lorsqu’elle la trouva recluse et totalement fourbue que la marâtre décida de la faire examiner.
Le gynécologue consulté fit preuve d'une psychologie rare. Consciencieusement, il l'interrogea sur les circonstances qui avaient précédé l'apparition de cette pathologie. Avec ses mots savants, il lui expliqua que la cause de ce phénomène était à la fois génétique et anatomique et qu'il ne fallait surtout pas culpabiliser. Toutefois, il la mit en garde contre tout abus avant, pendant et après l'apparition du syndrome. Syndrome qu'il qualifia d'hyperexcitation sexuelle compliqué de clitorisme. Les jours suivants, Opale devint terriblement irritable. Ce n'est qu'après quarante huit heures de confinement que la situation s'arrangea graduellement. Pour s'occuper l'esprit, elle s'était lancée, à corps perdu, dans les jeux en lignes du net, auxquels elle concourut quasiment jour et nuit.


Ce matin, sa tension sexuelle devenait à nouveau intolérable. A tout hasard, elle brancha sur son notebook. Elle remarqua, à sa grande surprise, qu’elle était connectée sur le réseau de l’ONG, sensé ne pas fonctionner. Elle ouvrit sa boîte mail et découvrit ses messages. Sourire. Son confident avait respecté sa promesse. Un mail par jour et pas de cachoteries entre eux.
« Pas beaucoup le temps ! Super ambiance ! Je suis déjà bien adoptée. Te raconterai plus tard. Changement d’affectation demain. Mes fesses vont chauffer. Ici, ce n’est pas une ONG mais une OMG…Oh My God ! »
Un fichier était joint à sa missive. Une photo d’elle en jupette, blouse boléro, fleurs dans les cheveux et couettes coquines. Elle ne pouvait avoir été prise qu’au tout début du drink de bienvenue. Une légende sous le fichier : « Jouet lubrique »
« Il faudra que tu m’expliques comment tu as obtenu cette photo »
Opale n’avait pas pour habitude de lire les messages envoyés par des inconnus mais celui-là lui sembla intéressant par son intitulé : « Plaisirs et perversions ». Il émanait du père d’Elsa. Après des « Ne me remercie pour la statue ! » et des « Ton corps captivant mériterait d’être représenté sur certaines scènes de tableaux de l’Inquisition », il entra dans le vif du sujet en lui écrivant un pensum sur les plaisirs masochistes.
- Le vieux cochon. Et il a l’audace de m’avouer que rien ne le ferait plus jouir que de me voir torturée. Quelle horreur ! Encore une photo jointe ! Pas croyable ! Le même portrait, quatre heures plus tard. C’est le jour des photos cochonnes.
Le fichier joint montrait Opale nue présentant ses seins dans les mains.
- Ces deux photos ? Je ne crois pas au hasard. Le père d’Elsa serait mon confident depuis plus de deux ans ! Deux ans que je lui livre mon âme ! Il ne faut pas me prendre pour une conne, non plus.
« Il faudra que vous m’expliquiez comment vous avez obtenu CES photos. »
- Non ! Trop fort ! Il est en ligne.
- Par le miracle d’internet, jeune innocente ! Et par le canal de mon excellente amie Jade qui connait mes goûts pour les filles à la silhouette d’éphèbe.
- Vous connaissez Jade !
- Oui, ma jolie! Nous nous parlons quasiment tous les jours sur le net. Elle te connaissait déjà sur le bout des doigts, si je puis dire, avant de t'avoir rencontrée réellement.
- Parlez-vous aussi, avec elle, de vos perversions sexuelles comme vous le faites avec moi depuis quelques années ?
- De tes déviances sexuelles, assurément et depuis quelques années! De son passé, de ses goûts et ses centres d’intérêt, je connais tout aussi. Nos fantasmes se superposent parfaitement. Ta jeunesse et ton aspect physique irréprochable ont stimulé notre boulimie sadique des nuits entières. J'ai toujours su que vous étiez faites pour vous rencontrer. Pas seulement parce que les opposés s’attirent mais parce que vous êtes toutes les deux des tourmentées de la libido, chacune à votre façon. Jade vient d’ailleurs de m’envoyer un mail qui me parle de toi.
- Transférez-le ou je ne vous parle plus ! C'est trop important pour moi.
- Il n'y a pas grand chose à dire de ce courrier, hormis les sempiternels palabres de la femme amoureuse. Elle me fait part de ses doutes, de la crainte de se tromper encore une fois de route, etc.
- Ses doutes?
- Oui, ses doutes! Tu te rapproches de sa vision de la femme idéale mais...
- Mais...
- Mais elle te trouve trop indécente et pas assez rebelle. Elle a peur de se lasser très vite d'une fille qui ne contesterait aucun de ses ordres.
- Indécente! Elle a dit indécente alors que c'est son Cobra qui m'a exposée au pilori ! Quel culot!
- Dans son esprit, l'indécence n'est pas de montrer son cul, bien au contraire, mais de dévoiler trop rapidement ses sentiments. Elle a adoré ta hardiesse vestimentaire et plus encore ton attitude provocatrice lorsque tu t'es exhibée sans complexe devant la troupe. Tiens! Lis ce passage! Tu comprendras mieux.
" Elle a vingt ans mais en fait seize à peine. Elle m’a immédiatement captivée avec longues jambes halées, son minou de bébé et ses seins trop opulents pour sa corpulence. Cette nymphette, naïve et intrépide à la fois, est un véritable cadeau du ciel. Sa peau veloutée, bronzée et lumineuse, ses ongles, très important les ongles, soigneusement vernis et manucurés, tout me fascine en elle. Tout, à part ses cheveux longs légèrement bouclés qui auraient pu m'éblouir si elle ne les avait agencé sous forme de deux nattes stupides.
Toi, tu as eu un coup de foudre.
Un coup de foudre physique, c’est clair. Ce qui m'a rendue hystérique, c'est d'observer comment se comportait sa minette quand elle était stimulée sur ces zones érogènes. La tonicité ahurissante de ses sphincters et son fascinant bouton d'amour qui surgit de sa fourche, comme un joyau évadé de ses nymphes,...Oui! Elle m'inspire énormément. D'autant plus que le substrat est vierge et qu'elle a tout à découvrir. Il ne lui manque vraiment pas grand chose pour qu'elle devienne la sauvageonne de mes rêves. Ce qui me dérange, c’est son côté fille facile, ses yeux énamourés quand elle me regarde, ses déclarations d’amour, alors que nous ne nous connaissons que depuis quelques heures. J'aime les filles qui me résistent, qui se refusent, qui désobéissent et se rebellent. Celles qui m'obligent à les enfermer pour les garder, qui combattent encore quand leur défaite est consommée. Pas celles qui, comme elle, se proposent sans révolte aux chaînes, pour se faire peur, en se disant que rien ne leur arrivera. Il ne manque vraiment pas grand chose à Opale pour que de pierre brute, elle devienne précieuse.
Tu es trop exigeante, Jade. Aucune femme ne rencontrera jamais tes critères. Contente-toi de profiter de son humour, de sa dérision, de sa disponibilité ! Elle est ingénue et fière, peut-être a-t-elle d'autres qualités insoupçonnées?
Tu as raison. Je suis sans doute trop exigeante, trop tyrannique aussi. La sauvageonne de mes rêves, celle que je choisirai de chérir, ne saura jamais me rendre l'amour que je lui donnerai. Tu connais mes outrances sadiques quand je suis amoureuse. Je serai incapable de lui faire l'amour classiquement. Je suis une excessive dans tout ce que j'aborde. Je la dépouillerais de toutes ses forces après lui avoir affamé le ventre pour qu'elle ne trouve son plaisir qu'au bord de l'épuisement. Je me nourrirais de sa vitalité sexuelle jusqu'à plus soif. Je la ferais martyriser tant que son sexe crie famine."
- Si elle recherche une masochiste, elle n’a pas frappé à la bonne porte.
- Tu te trompes lourdement. Elle se délectera de la souffrance de la fille qu'elle aimera mais la jettera si son instinct lui dit qu'elle prend du plaisir à ses brimades ou si elle cherche maladroitement des punitions. Ce qui l’a fait craquer chez toi, c’est, outre ta beauté candide et ton un petit nez mutin, le fait que tu ne pleures pas facilement.
- Elle est encore mille fois plus perverse que je ne le pensais. C'est çà. C'est Lucifer, parfois tentateur, parfois tentatrice qui dispense les plaisirs, pour ensuite mieux vous châtier dans les flammes éternelles. Et vous pensez que je vais avaler cette couleuvre? Vous voulez me faire croire que Jade serait un démon à tête d'ange. En fait, vous ne supportez pas que je l’aime. Vous ne cherchez qu’à m’enfoncer dans le cerveau que seule une fille irresponsable ou complètement folle pourrait accepter de s'abandonner entre les mains de cette tortionnaire et de son armée de barbares.
- Mais n'es-tu pas déjà folle de cette fille démoniaque? C'est en tout cas ce que je lui ai laissé sous-entendre.
- Vous êtes Satan en personne pour avoir oser lui dire cela. Vade retro Satanas ! Et emmenez Lucifer avec vous, tant que vous y êtes ! Dites-moi, avant que j'aille me coucher ! Lui avez-vous sorti encore d'autres inepties du même style?
- D'autres conseils, assurément ! De notre réflexion, il en est ressorti qu'il conviendrait de te mettre sérieusement à l'épreuve avant qu’elle prenne la décision de t'adopter ou non.
- Je ne vous parlerai plus si vous continuer à me manipuler pour m'éloigner de cette fille.
- J'ai l'intime conviction que tu es capable de te lancer des défis utopiques par amour. Je te promets que Jade ne sera pas tenue au courant de notre conversation. Cobra et Lise seront les seules à connaître le code et sa signification. Cela t'évitera de paraître demandeuse vis-à-vis de Jade. Ne me remercie pas!
- Adieu! Et gardez vos salades pour les demeurées! Vous me faites pitié.
- Si tu ne me crois pas, tu ne risques rien à lire ce qui suit. Si tu veux connaître les intentions réelles de ta bien-aimée, renvoie ce mail à mon adresse et je le transférai à qui de droit ! Il faut souffrir pour être belle mais parfois aussi pour se faire aimer. Réfléchis bien à cette pensée!
" Une fleur dans les cheveux pour t'offrir mon corps"


Il était plus de six heures du matin quand la douche glacée acheva de purifier son corps profané. L’espoir que l’eau fraîche la soulage de la tension de son point sensible fut de courte durée. Océane apparut dans l’encoignure de la cabine de douche en tapotant son carnet de jouissance, ouvert à la deuxième page.
- Je suppose que tu as eu le temps de récupérer des forces devant ton ordinateur.
- Zut! Attends ! Je n'ai pas encore lu la fin du canular de mon correspondant.
- Dépêche-toi! Nous n'avons plus que quelques heures pour remplir la deuxième page de tes devoirs quotidiens aussi bien que la première.
- Tu es sérieuse ? Vous n’allez pas recommencer à me stimuler à cette heure? Pas avec ce vibromasseur qui ressemble à un marteau-pic?
- Bien sûr que si! Nous sommes payées pour ça mais nous le faisons de bon coeur.
- Puisqu'il paraît qu'il est plus indécent de dire à une fille qu'on l'aime à la folie que de montrer ses fesses, je vais me mettre à genoux sur ma chaise et finir de consulter mes mails. Je compte sur vous deux pour m'épuiser à fond car demain je ne veux plus apparaître comme une nympho devant les allemandes.
- Je suis peut-être un peu curieuse mais, si je ne me trompe, tu écris à Jade ?
- Un taré veut me faire croire que j’écris à Jade. Le père d’Elsa, en personne, vois-tu. Incroyable mais vrai. Plus crédible en tout cas que les idioties qu’il déblatère.
-Le père d’Elsa ! On le connait bien aux WSS. Il est complètement à la masse. C’est un sale voyeur qui distribue son fric pour recevoir des images obscènes de lesbiennes faisant l’amour. Toutes les femmes du comité d’administration le tolèrent car il les arrose continuellement. C’est cette déclaration d’amour bidon qu’il veut que tu signes ? Il ne s’arrange pas le vieux. MDR ! Lise et Cobra vont se rouler par terre quand elles recevront cette blague.
- Si c’est une blague ? Les coups qu'elle m'a portés à la poitrine et sur les fesses étaient bien réels.
- Pour moi, il n’y a aucun doute. Tes images ne sont jamais sorties du camp. La responsable est à rechercher parmi celles qui ont assistées au cocktail. Pourquoi pas Elsa, d’ailleurs ? Elle était l’une des premières à aller se coucher. Je ne peux pas imaginer Cobra ou Jade aussi machiavélique. Par contre, pour faire des farces de mauvais goût, Lise et Elsa sont imbattables.
- Si vous voulez rigoler, mettons nos idées en commun pour modifier ce torchon et en prendre le contre-pied !
- Ajoute « le feu au ventre » !
…aux WSS…
- aux féroces WSS
- Son clitorisme, en tout cas, ce n’était pas une plaisanterie. Océane ! Elle est déjà en extase. Je ne la lâche plus. Occupe-toi « d’améliorer sa confession » ! J’ai trouvé son petit point rigolo. Je sens que je vais l’exploser.
Quand Opale redescendit sur terre, Mégane venait de terminer la correction du mail. Une sublime démonstration de servilité ! Quasiment un appel au meurtre.
- Vous avez fait fort. De trois lignes, vous avez sorti un discours. Pas mal! Le ton est ironique à souhait. J'y ajouterai bien un soupçon d'impertinence pour leur ouvrir les yeux.

Jade, mon amour,
Dans quelques heures, je ferai librement le choix me de livrer, le feu au ventre, aux féroces WSS, pour qu'elles me conduisent au bagne. J’y subirai la juste peine de mes égarements impardonnables de la nuit dernière.
La fleur que je porterai dans les cheveux sera le symbole du renoncement définitif à ma liberté.
Je n'ai aucune excuse à faire valoir. Cobra ne saura jamais me corriger assez durement pour avoir osé courtiser sa compagne devant ses yeux. Je ne lui tiendrai pas grief de faire de ma vie de captive un calvaire. Les travaux forcés à perpétuité me paraissent un châtiment bien dérisoire pour effacer ma faute. Même si Cobra pourra user ses fouets jour et nuit sur ma croupe, jamais je ne renierai l'amour que je te porte, ma Jade adorée. Soit dit en passant, un fouet usé peut se remplacer avantageusement pas une chaîne rouillée.
Jade, je t'offre mon corps, ou ce qu'il en restera, pour que tu m'achèves. Il m'aura fallu trop de temps pour réaliser les sacrifices que tu attendais de ta pouliche. Fais-moi regretter amèrement d'avoir mis aussi longtemps à comprendre tes attentes !
Je me sens entièrement responsable des pensées sadiques que je t 'ai 'inspirées.
J'ai honte d'avoir provoqué, en m'exhibant, la jalousie de ton bataillon de grosses vaches nazies. Il était stupide de ma part de dévoiler les charmes d'une jeune fille rayonnante à ces femmes obèses et flétries par une ménopause cruelle. Je suis consciente qu'elles s'acharneront sur mes cuisses et mes seins dans l'espoir illusoire d'oublier leurs disgrâces et leurs difformités en se défoulant sur mon corps sanguinolent. Quand l'orgasme humide m'emportera au-delà des cimes, exige qu'elles me torturent le sexe aussi longtemps qu'il faudra pour me faire pardonner mes insanités!
Tu ne peux imaginer l'excitation que je ressens en sachant que je payerai les plaisirs qui m'attendent au prix fort. Surtout que l’inflexible Lise m'obligera à remplir mon carnet journalier sans échappatoire possible.
Cependant, je ne te cache pas que j'attends avec une certaine anxiété, teintée d'impatience certaine, ce que vous allez me faire subir. Il est évident, Jade, que la perfection de mes formes attisera les fantasmes sadiques de ta troupe de dégénérées. Elles seraient stupides de ne pas profiter de l'endurance d'une jolie fille de vingt ans, pour infliger à ses chairs délicates, les supplices les plus ignobles, enfouis au fond de leur cerveau étriqué.
J'accueillerai, avec une grande jouissance intérieure, pareille preuve d'amour. Pour une miette de ton affection, j'accepterai de dépasser les limites de la souffrance. Ma satisfaction sera de parvenir à supporter ces tourments sans me plaindre et sans pleurer. Tu sais bien que je ne pleure jamais.
Voilà! Je me suis offerte comme tu le voulais. Je ressens une grande fierté de t'avoir confié comment je conçois ma vie à tes côtés, choyée par ta garde qui fantasme déjà sur mon anatomie aguichante. Décidemment je suis incorrigible. Mes angoisses à peine refoulées, me voilà à nouveau assaillie par les pulsations rythmiques de mon clitoris. Qui parviendra un jour à dompter cette chatte rebelle? La difficulté de son dressage en a déjà épuisée plus d'une. Moi, je t'avoue mon impuissance. Une femme amoureuse, toi Jade par exemple, pourrait peut-être se charger de son éducation. Bien sûr, tu es libre de me refuser ce bonheur si tu ne veux pas déplaire à Cobra. Je connais quelques femmes impatientes de servir une si noble cause. N'est-ce pas, Lise et consœurs ? Du choix, je n'en ai que l'embarras. C'est le privilège de la beauté. Tiens! Il me vient une idée. Pourquoi ne pas proposer ce pénible labeur au bataillon de WSS. Elles sont friandes d'éjaculations féminines et de chair fraîche. Au moins, au milieu d'elles, les doux yeux de Jade seront toujours là pour m'apaiser.
- Envoyer!
- Plus que trois heures à dormir ! C'est foutu pour la grasse matinée.


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