Marie-Line, ma belle maîtresse

- Par l'auteur HDS Très Chaud -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marie-Line, ma belle maîtresse Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Marie-Line, ma belle maîtresse
Je suis un homme marié, aujourd’hui de 56 ans, et j’ai déjà publié ici deux récits sous le pseudonyme « TrèsChaud ».
Si vous lisez ces deux récits, vous verrez qu’il y a un peu plus de dix ans, j’ai eu pendant longtemps une maîtresse, Christine, collègue de travail, femme mariée également, bi, extrêmement salope, avec qui nous avons vécu des fantasmes incroyables : exhibitionnisme, échangisme avec un autre couple, etc. Je suis comme ça : je ne peux pas me contenter de l’amour d’une seule femme (la mienne). Je l’aime et elle me fait divinement l’amour. Elle me suce très bien et elle adore se faire enculer et nous avons vécu, plus jeunes, quelques belles expériences, d’exhibitionnisme en voiture et sur des parkings, à trois, avec une collègue à elle que j’avais baisée sous ses yeux, et avec un ami à moi. Mais je n’ai jamais pu m’empêcher d’avoir de multiples aventures à côté, hommes, femmes et couples (je vous raconterai une autre fois mes aventures avec Françoise, jeune mère célibataire, véritable femme fontaine). Je suis très voyeur également et aussi exhibitionniste. J’aurais des tonnes d’histoires à raconter, en particulier sur les aires d’autoroute, que je fréquente pas mal de par mon métier.
Bref, il y a dix ans, en plus de Christine, j’ai eu une autre maîtresse, pendant un peu plus d’un an (Christine était au courant mais pas jalouse). Marie-Line était célibataire, elle avait dix ans de moins que moi. Très belle femme, brune (le contraire de Christine qui était une vraie blonde), pas très grande, mince, de gros seins fermes, un très beau cul et une chatte assez poilue (alors que Christine n’avait qu’un très fin duvet blond qui laissait voir intégralement ses lèvres et son clitoris). Nous faisions l’amour une ou deux fois par semaine, comme des fous. Marie-Line avait de très jolis sous-vêtements en dentelle noire. On s’embrassait fougueusement. Puis on se dévorait pendant de très longs moments. En particulier, elle me faisait mettre à quatre pattes, me demandait de me cambrer au maximum, m’écartait les fesses et me suçait le cul pendant de très longs moments, délicieux, qui semblaient ne jamais s’arrêter. Elle m’enfonçait très loin sa langue et la tournait délicieusement dans mon anus. C’était là l’une de ses caresses préférées, même si elle me suçait très bien la bite aussi (et avalait tout jusqu’à la dernière goutte). Je crois pouvoir dire que j’ai une sacrée expérience en matière de sexe. Eh bien, je n’ai jamais trouvé, sauf une seule fois avec un homme lors de l’un de mes déplacements à Poitiers, à l’hôtel, une personne qui me suçait le cul avec autant de plaisir, de savoir-faire et même d’ardeur. Je rêvais qu’un mec m’enculait et je lui faisais souvent part de mon fantasme : me faire enculer par un mec bien membré pendant qu’elle me sucerait à fond. Elle était tout à fait d’accord pour le réaliser, mais malheureusement cela n’a jamais pu se faire. Ensuite, elle s’allongeait sur le dos et je devais la prendre d’une certaine manière pour l’amener à jouir. Au moment de l’orgasme (ou des orgasmes car elle en avait souvent plusieurs coup sur coup), elle se mettait à hurler son plaisir de toutes ses forces, littéralement possédée (je pense que ses voisins connaissaient tout de sa vie sexuelle et certaines fois, lorsque nous avons baisé à l’hôtel, toutes les chambrées alentour en ont largement profité). C’était divin ! Nos séances duraient des heures. La différence avec Christine, qui ne cherchait qu’à s’éclater comme la bonne salope de femme mariée qu’elle était, c’est que Marie-Line devint amoureuse de moi. Mais c’est une autre histoire…Tous les deux, nous avons passé du très bon temps. A cette époque, j’ai quitté mon travail à Toulouse pour en prendre un autre à Montpellier. Le changement de poste s’étant fait rapidement, ma femme n’a pas pu me suivre tout de suite et est restée à Toulouse une année supplémentaire alors que j’avais trouvé un petit appartement meublé sur une plage proche de Montpellier. J’y ai passé une formidable année de liberté, de sexe et d’amour. En semaine, il m’arrivait souvent le soir de faire un tour dans les dunes du Petit-Travers (proches de Carnon) où l’on faisait toutes sortes de rencontres torrides : hommes, femmes et couples. J’allais souvent rencontrer des hommes.
En pleine nuit et en pleine nature, ces rendez-vous étaient très excitants. Je déambulais dans les dunes entièrement nu et lorsque je rencontrais un (ou des) homme(s), on se branlait, on se suçait, on se caressait le cul. Une fois, je me suis fait enculer. A l’époque, grâce au Minitel, je faisais aussi de très bonnes rencontres. Je me souviens, entre autres, de cet homme d’une trentaine d’années, bi, vivant en couple mais souvent libre le soir tard, qui me recevait de temps en temps chez lui, à Pérols, travesti (en jupe courte, string, entièrement épilé et que j’enculais à fond en regardant des vidéos X) ou encore de ce jeune black de 18 ans que j’avais invité chez moi, mince et très bien monté, et avec qui nous avons fait un 69 d’enfer. Mais le week-end, Marie-Line venait me rejoindre. Enfin pas tous les week-ends car je rentrais aussi chez moi de temps en temps. Mais assez souvent, je prétextais du travail pour rester à Montpellier. Et là, le vendredi soir, Marie-Line me rejoignait pour un week-end torride, en amoureux. On se faisait de bonnes bouffes, bien arrosées, puis on baisait comme des fous. Les volets ouverts (même dans le noir, au rez-de-chaussée, avec la lumière du réverbère en face de mon appartement, tout se voyait. Une fois, entièrement nus, sur le lit, debout, moi derrière elle lui malaxant les seins à pleines mains, nous nous sommes exhibés devant ma petite voisine du dessus, étudiante, qui venait de garer sa voiture et que j’avais une envie folle de sauter. Je l’avais d’ailleurs dit à Marie-Line qui avait rigolé à cette idée). Une autre fois, nous sommes allés sur la plage. Marie-Line m’a sucé à fond, moi debout et elle accroupie, nue, au clair de lune : je pense que les pêcheurs présents sur les rochers de la digue n’ont pas trop dû regarder leur bouchon à ce moment-là (on les devinait à leur bouchon lumineux. Marie-Line ne les avait pas vus mais, moi, je savais qu’ils étaient là, nombreux, à mater). Une autre fois, nous avons baisé, entièrement nus, sur le sable. Et au bout d’un moment, un autre couple est venu baiser à une dizaine de mètres ! Enfin, ma résidence avait ceci de particulier que les volets, roulants, étaient percés de petits trous. Souvent le soir tard, dans l’année, alors que tout était très calme (comme il s’agissait d’une résidence de vacances, la plupart des logements étaient vides dans l’année), j’allais faire un tour au pied des immeubles (protégés par des haies de buissons et dans l’obscurité). Je m’approchais doucement des rares fenêtres éclairées (j’enjambais les balcons des terrasses) et je venais mater par ces petits trous de belles filles nues, ou des couples qui baisaient.
J’ai passé ainsi d’excellents moments car il y avait 4 ou 5 appartements (locations à l’année) avec de très jolies jeunes filles (étudiantes déambulant seins nus et en petite culotte, s’épilant, etc.) et des couples très chauds (deux appartements à côté du mien, au rez-de-chaussée aussi, un couple illégitime, assez jeune, se retrouvait de temps à autre et baisait comme des tarés). Assez vite, j’ai compris que je n’étais pas seul à faire le voyeur. J’avais repéré, en effet, une ombre qui se déplaçait furtivement au pied des immeubles. Un jour, nous nous sommes rencontrés et nous avons discuté. Cet homme, de mon âge, était aussi très voyeur et nous avons pratiqué cette activité ensemble.
Il avait repéré quelques appartements très chauds qu’il m’a indiqués et il était encore plus téméraire que moi. Un jour, je l’ai prévenu que Marie-Line devait venir le week-end et que, s’il voulait, il pourrait venir nous mater. Le soir venu, j’ai baissé mon volet, mais pas à fond, afin que les petits trous restent bien ouverts et j’ai laissé la lumière allumée. A un moment, j’ai vu que le volet bougeait légèrement. J’ai compris : il était là à nous mater (mon appartement était en rez-de-chaussée). Alors, nous sommes partis dans une baise effrénée et Marie-Line là aussi m’a très longuement dévoré le cul. J’étais très heureux de m’exhiber et aussi de l’exhiber, elle, cette belle salope. Je m’arrangeai pour que sa chatte et son cul soient bien tournés vers le volet. Comme le lit n’était qu’à 50 cm de la baie vitrée, le spectacle devait être superbe ! J’imaginais mon comparse se branlant énergiquement (il m’a avoué ensuite avoir joui à plusieurs reprises).
Bref, j’ai passé une année de rêve, de plaisir, de liberté, d’amour, de sexe total, sans limites et sans tabous, avec Marie-Line et de nombreux autres hommes. Malheureusement, comme je l’ai dit plus haut, Marie-Line est devenue très amoureuse et attendait de moi que je quitte ma femme et pour vivre avec elle. Je n’ai pas osé franchir ce pas et je l’ai perdue de vue. Cela ne m’a pas empêché de vivre par la suite pas mal de belles aventures, surtout avec des hommes. Mais je la regrette vraiment.
Je ne pense pas qu’elle vienne sur ce site et qu’elle lise cette lettre. Mais si elle le fait et qu’elle se reconnaît (j’ai légèrement changé son prénom), qu’elle sache que je recommencerais bien de temps à autre, même si elle est aujourd’hui mariée.

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Texte coquin : Marie-Line, ma belle maîtresse
Histoire sexe : Une rose rouge
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