A l’ombre des maris – Série 2 Quatrième partie : Imène l’autre amour de Farida

- Par l'auteur HDS GERACHE -
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Récit libertin : A l’ombre des maris – Série 2   Quatrième partie : Imène l’autre amour de Farida Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2012 dans la catégorie Plus on est
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A l’ombre des maris – Série 2 Quatrième partie : Imène l’autre amour de Farida
La première fellation que me fit Farida resta dans ma mémoire comme un souvenir
érotique incomparable. Nous étions partis pour une gentille fellation, avec peut-être
– certainement serait le mot le plus juste, tant j’avais toujours adoré cela – une
éjaculation buccale et faciale, avec ou sans consommation voulue ou forcée de sperme.
Mais au lieu de cela, je fis subir à mon amante un pilonnage en règle de sa gorge.
Sans son assentiment au début, puis contrainte et forcé, avec participation. Tout
commença quand Farida, après avoir pris son pied sous les coups de mon manche, debout
adossée à la porte d’entrée de mon appartement, se mit à lécher et à sucer ma queue
encore vigoureuse en me disant dans son langage fleuri, qu’elle était la reine de la
fellation. Et elle se mit aussitôt à m’en fournir la preuve.
Elle commença par titiller l’engin avec le bout de sa langue en s’occupant autant du
gland que de la hampe et des bourses et m’emmena dans un état d’excitation
insupportable. J’étais déjà très fortement excité après avoir l’avoir tirée longuement
sa chatte et l’ai faite jouir intensément, mais trop précocement pour moi, qui n’avait
pas totalement pris mon pied et n’avais pas joui. Et quand elle fit pénétrer, au début
avec beaucoup de précaution, parce que j’avais un sexe de bonne dimension et que sa
bouche à elle n’était pas très grande, mon manche dans sa bouche, j’avais senti un
bien-être immense pénétrer en moi. L’endroit était tellement suave, chaud, humide et
doux, qu’il m’avait donné l’impression qu’il s’agissait d’une chatte étroite et
moulante. Inconsciemment, je fis avancer mon bassin pour faire pénétrer mon manche
jusqu’au plus profond de sa gorge. C’était magnifique ! Mais seulement pour moi !
Elle par contre eut la réaction normale de vomir, tant mon manche avait été trop loin.
Au-delà de sa glotte. Elle me repoussa avec force pour éloigner le monstre qui la
torturait ainsi. Je me retirai, un peu honteux et m’excusai auprès d’elle. Pour me
faire pardonner, je lui dis que sa bouche était tellement accueillante que j’ai eu une
envie irrépressible d’aller le plus loin possible à l’intérieur. Elle était toujours à
genoux devant moi, tenant mon sexe dans sa main droite. Je me mis moi aussi dans la
même position qu’elle en lui faisant face. Elle ne lâcha pas mon manche. Je lui dis
qu’elle ne devait pas m’en vouloir pour ce geste.
- Ga’3 ensa li nekt‘houm a’3taw-ni foum‘houm ou charbou ezzel en-ta’3i ! Bezzaf
hebbou ! Oukhrin lalla ! (Toutes les femmes que j’ai tirées m’ont offert leurs bouches
et ont bu mon foutre ! Beaucoup ont aimé ! D’autres non !)
- Hetta ana enn-heb ezzal! Enn-heb en-charbou! Walakin machi ‘hakdha! Machi
bezzour fi foumi! En-haklek zebek hetta ett-farragh ! Fi foumui ila bghit ! Oula fi
wedj’hi ! Oula foug zouïazi ! Ou enn-charbou ! En-dirou hak dha ? (Même moi j’aime le
sperme ! J’aime en boire ! Mais pas comme cela ! Pas avec cette brutalité dans ma
bouche ! Je vais te branler jusqu’à ce que tu éjacules ! Dans ma bouche, si tu veux !
Ou sur mon visage ! Ou sur mes seins ! Et je le boirai ! On fait comme ça ?)
Inutile de dire que pour moi, c’était un pis-aller. Mais c’était mieux que rien !
Farida qui me regardait droit dans les yeux pendant qu’elle me décrivait ce qu’elle
voulait faire, comprit très vite que sa proposition n’était pas vraiment ce que
j’attendais. Elle venait de comprendre que la baiser par la bouche était pour moi
aussi jouissif que de la tirer par sa chatte ou par son cul. Elle ne lâchait toujours
pas mon manche, qui continuait de palpiter dans sa main. Elle le serrait de temps en
temps très fort, tirant de moi un petit gémissement de plaisir. Elle semblait
réfléchir à la suite qu’elle allait donner à notre relation. Elle avait l’intuition
que même si elle m’emmenait au plus haut du ciel en m’offrant tout ce qu’elle avait à
m’offrir, y compris toute son expérience sexuelle auprès d’amants multiples qu’elle
avait eus auparavant, elle n’arriverait pas à m’enlever de l’esprit qu’elle m’avait
refusé une de mes échelles préférées pour monter au septième ciel. Et tout à coup,
elle se décida.
- Ni k-ni mel foum ! (Baise-moi par la bouche !)
Je fis semblant de ne pas comprendre. Je lui demandais si elle voulait me faire une
fellation.
- Lalla ! Bghit ett-nikni men foumi ! Kima dert m’3a ensa lekhourin! Walakin
nik-ni bela’3kel ! Nodh ! Eddini le-chambra ! (Non ! Je veux que tu me baises par la
bouche ! Comme tu le fais avec les autres femmes ! Mais doucement ! Debout ! Amène-moi
dans la chambre !)
Je me levai la pris par la main et l’entraina dans ma chambre au fond de
l’appartement. Tout ce temps-là elle n’avait pas lâché mon manche qu’elle avait gardé
dans sa main droite. Elle jeta un œil rapide à la chambre qui sembla être à son goût
et alla, toujours en tenant mon zob, s’assoir au bord du lit. Elle fit en sorte, en me
guidant avec mon manche, que je me mette en face d’elle. J’avais le sexe presque à la
hauteur de sa bouche. Elle devait se pencher un peu pour être tout à fait à la bonne
hauteur. Et sans aucune hésitation elle ouvrit sa bouche, écarta les dents et avança
la tête pour faire pénétrer elle-même l’engin. Doucement jusqu’à la limite de la
gorge. Visiblement, elle avait peur de la douleur ou de la sensation d’étouffement
qu’elle allait ressentir si elle laissait l’engin aller trop loin. Elle fit faire à sa
tête un mouvement de recul jusqu’à ce que mon sexe sortît totalement de sa bouche et
lui fit refaire le chemin inverse. Elle refit la manœuvre plusieurs fois, toujours
sans dépasser la limite du supportable pour elle. C’est-à-dire l’entrée de sa gorge.
C’était ce quelle voulait que je lui fasse. La baiser en faisant attention à ne pas
aller trop loin.
Elle tenait toujours fermement la base de la hampe et arrêta le mouvement de d’allers-
retours de sa tête. Elle me fit signe en tirant vers l’avant mon manche de faire moi-
même le travail. Je ne me fis pas prier pour entamer un mouvement de va-et-vient dans
sa bouche grandement ouverte, en faisant pénétrer le manche doucement dans sa bouche
et en le ressortant totalement de quelques centimètres. Je le réintroduisais jusqu’à
l’entrée de la gorge et repartais vers la sortie, après avoir stationné quelques
secondes au fond de sa bouche. En vrai sadique que j’étais, je m’étais dit qu’il
fallait seulement que j’habitue petit-à-petit sa gorge à la présence du monstre. Et
qu’après quelque temps, elle ne s’apercevra même pas que j’avais dépassé la limite
fixée. Et cela se passa effectivement ainsi. Après une dizaine d’allers-retours «
gentils » je me mis à dépasser insensiblement l’entrée de la gorge, jusqu’à aller
cogner sur la glotte. Elle eut un instant un début de réflexe pour me repousser, puis
elle se ravisa et laissa faire, probablement vaincue par mon désir de lui faire mal.
A partir de là, je ne pris plus aucune précaution et me mis à enfoncer ma queue de
plus en plus fort et de plus en plus profondément dans la gorge de Farida. De temps en
temps, certainement par fatigue – ou peut-être aussi pour se venger de la souffrance
que je lui causais, elle refermait un peu sa bouche et rapprochait ses dents, qui
raclaient ainsi mon sexe qui continuait ses va-et-vient. Elle me faisait mal, mais je
m’en fichais éperdument. J’en étais maintenant à tirer fortement sur ses cheveux et à
lui faire mal presque volontairement. Par pur sadisme ! Je la tirais violemment par
les cheveux et faisait faire à mon membre de longs mouvements de va-et-vient. Je
sortais l’engin à quelques centimètres de sa bouche pour lui permettre de respirer une
seconde (j’étais conscient qu’elle était en permanence à la limite de l’étouffement et
du vomissement) puis je le replongeais brusquement jusqu’au fond de sa gorge en tirant
avec force sur ses cheveux. Je ne sais pas trop pourquoi, mais Farida abandonna assez
rapidement le combat et se soumit à ma violence. Elle n’utilisa même plus ses dents
pour me dissuader d’aller trop loin et de lui faire trop mal.
Je voyais ses yeux qui se remplissaient de larmes qui se déversaient en abondance le
long de se joues. Je voyais son nez qui coulait comme une fontaine et je voyais les
efforts inutiles qu’elle faisait pour faire réintégrer la morve dans ses narines. Elle
était pitoyable et j’adorais ça ! J’étais le maître et cela me donnait tous les droits
! Même celui de torturer ! J’étais le mâle prétentieux qui prenait son pied en
profitant de la bonne volonté et de la gentillesse de sa femelle. Je dois à la vérité
de dire, que sur le moment, je ne me posais absolument aucune question de morale.
J’étais heureux, et c’était tout ce qui comptait. Maintenant, le gland de mon sexe
atteignait et dépassait à chaque fois la glotte de Farida. Et quand le manche
ressortait de sa bouche, il entrainait avec lui des flots de salive qui allaient
s’étaler par terre. Elle semblait souffrir le martyre et cette souffrance me
paraissait tellement érotique, qu’elle accroissait mon excitation et mon plaisir.
Parfois, je sentais Farida se crisper et sa main, qui n’avait toujours pas lâché la
base de mon manche serrait très fort pour m’indiquer qu’il fallait que j’arrête au
moins une seconde pour qu’elle ne vomisse pas toutes ses tripes. Elle vomissait
pourtant de temps en temps sur mon manche, quand il ressortait. Mais ce n’était un
vomissement de malade qui faisait sortir tout le contenu de l’estomac. C’était le
surplus de salive que les frottements de mon sexe lui faisaient produire à profusion
qu’elle déversait. Et je trouvais cela encore plus érotique. J’étais conscient que
Farida ne prenait absolument aucun plaisir au pilonnage de sa bouche et de sa gorge.
Mais je n’en avais cure ! C’était tellement merveilleux de la baiser comme cela ! Je
continuai donc imperturbablement les va-et-vient, jusqu’à ce que l’irrésistible
torrent de jouissance dévale et me fasse exploser dans la gorge de Farida. J’éjaculais
en un jet presque continu, et en hurlant à la mort, une quantité incroyable de foutre
dans la gorge et la bouche de mon amante. Je la voyais étouffer en essayant d’avaler
la part qui s’était logée au fond de sa gorge et recracher celle qui lui avait rempli
la bouche. Après un effort surhumain, elle réussit à ne pas étouffer et à avaler une
bonne quantité de mon sperme.
Elle leva la tête pour me regarder et voir dans quel état j’étais. C’était comme si
elle avait peur de m’avoir déçue. Elle se mit alors à faire une chose merveilleuse.
Elle me branla avec force pour faire sortir le reste de sperme que je n’avais pas
encore totalement éjaculé et à ouvrir la bouche pour qu’il y aille directement. Il ne
m’en restait pas des tonnes, mais le peu qu’elle avala de cette façon m’avait rendu
encore plus heureux. Quand, elle vit que mon engin avait totalement ramolli, elle le
lâcha et se mit à ramasser avec ses doigts tout le foutre qu’elle pouvait, sur son
visage et son cou. Elle lécha soigneusement chacun de ses doigts, en me regardant
d’une manière provocante, comme pour me dire, qu’elle avait été plus forte que moi.
Qu’elle n’avait pas flanché.
Un peu honteux de ce que j’avais fait, je regardais Farida qui reprenait doucement sa
respiration, tout en s’essuyant le visage avec un pan de drap du lit sur lequel elle
était toujours assise. Elle essuyait surtout ses yeux que j’avais remplis de sperme et
qu’elle n’était arrivée à nettoyer totalement avec ses seuls doigts. J’étais anxieux
de connaître son verdict à propos de mon comportement sadique. Elle continuait de me
regarder un moment avec son air provocant, puis elle eut un large sourire (un vrai
sourire de triomphe) et me dit d’une voix que mes coups de boutoir dans sa gorge et
sur ses cordes vocales avaient rendu éraillée:
- Kiffach kount ? (Comment j’ai été ?)
Que répondre à une telle question. Je l’ai prise dans mes bras pour la serrer très
fort contre moi et lui ai susurré à l’oreille qu’elle avait été merveilleuse et
qu’elle était certainement la maîtresse la plus magnifique que j’avais eu depuis que
j’ai commencé à avoir des aventures avec les femmes. J’ajoutais que j’étais désolé
pour mon comportement de mufle. Pour ma décharge, j’ajoutai que dès le départ j’étais
sûr qu’elle était partante pour toutes les expériences.
…/…

Farida resta avec moi toute l’après-midi. Elle revint plusieurs autres après-midis et
pendant toute cette période, où nous n’étions que deux - elle et moi - nous avons
continué à faire l’amour comme des malades. C’était une maîtresse vraiment à la
hauteur : toujours partante ! Y compris quand elle était fatiguée et que mes besoins
sexuels tyranniques exigeaient d’elle encore plus de don d’elle-même. Et elle n’était
jamais passive. Elle participait à tout et d’évidence, elle ne simulait pas les
orgasmes intenses qu’elle avait sous mes furieux coups de rein. Et tous ces après-
midis passés ensemble, nous avons absolument tout fait. Elle ne m’avait jamais rien
refusé de ce que je lui avais demandé. Et bien entendu, moi non plus je ne lui avais
jamais rien refusé. Parce que Farida était une amante exigeante. Elle avait des
préférences et de fantasmes. Tous ses fantasmes que nous pouvions accomplir à deux,
nous les avions vécus.
Cela partait des positions du Kamasoutra qui l’inspiraient jusqu’aux ersatz de double
et même de triple pénétration qu’elle appelait de ses vœux pendant que je la possédais
par l’un ou l’autre de ses trous. Ces ersatz, elle s’était équipée pour les réaliser.
Elle avait avec elle toute une panoplie de godes qu’elle utilisait (ou me faisait
utiliser) pour remplacer un véritable zob dans son cul ou dans sa chatte pendant que
je m’occupais du trou vacant. Elle en tirait un énorme plaisir. Et moi aussi, tant
elle savait s’en servir et tant elle extériorisait toute la joie qui était en elle
pendant nos ébats. Farida aimait le sexe, et elle ne s’en cachait pas. Un jour, elle
m’avoua, après s’être assuré que cela ne scandalisait pas, qu’elle aimait aussi les
belles femmes. Et qu’elle voudrait bien en partager une – ou plusieurs avec moi.
Je n’étais absolument pas scandalisé. Gêné, peut-être. Parce qu’elle ajoutait tout le
temps, qu’elle aimait surtout les jeunes filles fraiches. Elles lui donnaient plus de
plaisir que « les vieille vaches » disait-elle en rigolant. Au bout de quelques
semaines, elle me demanda l’autorisation d’emmener avec sa dernière connaissance. La
plus jeune des filles d’une de ses voisines, qu’elle avait séduite et qui était
devenue depuis quelques mois « sa femme ». J’étais un peu dubitatif, mais j’acceptais
tout de même qu’elle l’amenât avec elle, le week-end suivant. J’avais espéré que le
fait que ça soit un week-end, la fille ne pourra pas se libérer. La tradition dans
notre société, voulait que les filles n’étaient réellement libre que les jours de
travail ou d’école. Les jours de repos, elles restaient la plupart du temps enfermées
chez elle ou se rendaient visite en famille.
C’était très mal connaître les trésors d’ingéniosité dont étaient capables Farida et
sa complice Imène. Elles concoctèrent le plan parfait, pour passer ensemble la journée
du samedi, sans que les parents d’Imène ne se doutent de rien. La jeune fille devait
accompagner Farida pour une sortie à Tipasa pour visiter les ruines romaines. Elle le
lui avait promis depuis longtemps mais n’avait pas encore trouvé le temps de tenir sa
promesse. Les parents d’Imène, qui étaient nouveaux dans le quartier, avaient trouvé
Farida très gentille avec eux, et lui faisaient confiance. D’autant qu’elle donnait
beaucoup de son temps pour aider la jeune fille à se perfectionner dans la langue
française. Sans aucune contrepartie, croyaient-ils ! S’agissant du mari de Farida, les
choses étaient claires depuis très longtemps. Elle faisait ce qu’elle voulait de son
temps. Et lui aussi. Et ils ne se cachaient rien l’un à l’autre. Mais ceci est une
autre histoire. Je n’en suis pas encore arrivé là.
Le samedi matin donc - il ne devait pas être plus de neuf heures- la sonnette de la
porte d’entrée retentit de manière insistante. Je reconnus immédiatement la manière de
sonner très autoritaire de Farida. J’ouvris la porte et me trouvai face à face ave
une créature de rêve ! Une jeune fille qui ne devait pas avoir plus de vingt ans. Une
était une superbe plante ! Grande, élancée, épaules larges, taille fine, hanches
étroites, une poitrine arrogante avec des seins, pourtant de taille moyenne, qui
pointaient tels de petits obus sous le coton de son tee-shirt gris. Elle avait des
jambes interminables, superbement galbées, moulées dans un jean en velours gris. Ses
cheveux noir corbeau, raides et longs, lui tombaient sur les épaules et étaient
visiblement soigneusement défrisés. Elle passait certainement de longs moments chez la
coiffeuse, pour les maintenir en l’état. Elle avait d’immenses yeux noirs, avec des
reflets tendant vers le rouge. Ils étaient surmontés de sourcils très fins, épilés
avec soin. Elle avait un nez droit, un peu trop long, mais qui ne dépareillait pas
avec l’ensemble de son visage. Visage lui-même long, avec un menton volontaire et une
immense bouche, légèrement avancée, tellement sensuelle qu’elle pouvait faire
fantasmer les anges eux-mêmes. Ses lèvres étaient un peu lippues, mais paraissaient
douces et très fermes. Et quand elle entra dans l’appartement et qu’elle me tourna le
dos, je remarquai son magnifique fessier rond et bombé qui créa immédiatement une
vague de douce chaleur dans mon bas ventre. Et pour corser le tout, la belle plante
était noire ! Une superbe noire du sud algérien, qui avait toujours été pour moi le
fantasme érotique absolu.
Farida, qui s’était cachée derrière son amie pour bien me faire profiter de la
surprise, entra derrière elle. Elle me lança un regard ironique et me dit :
- N’est-ce pas qu’elle est magnifique ?
- C’est peu dire qu’elle est magnifique ! Elle est vraiment canon ! Mais bien
trop jeune pour moi ! Je suis sûr qu’elle n’a pas plus de vingt ans ! Et qu’elle est
vierge ! Que veux-tu que je fasse d’une fille vierge, Même si elle est aussi canon ?
- C’est vrai qu’elle est encore vierge et qu’elle doit le rester. Ses parents -
des gens très traditionnels - la tueront s’ils venaient à découvrir que leur fille a
perdu son hymen. Ils viennent d’arriver à Alger. Le père est un grand commerçant de
Bechar. Il tient à ce que ses enfants – dont Imène – fassent des études sérieuses. Il
n’y a qu’à Alger que c’est possible. Il a donc tout vendu à Béchar pour investir à
Alger. Il a acheté la villa vide à côté de la notre. Mon mari et moi sommes les seules
personnes que la famille de la fille fréquente. Et ils n’ont confiance qu’en moi,
parce que je donne mon aide à la fille pour qu’elle puisse suivre ses études
supérieures en langue française. Et la suite tu la connais : Imène est tellement belle
que j’en suis devenue follement amoureuse. Elle a mis un certain temps pour accepter
mes avances. Mais tu me connais : on ne me résiste pas longtemps.
La fille était restée debout en retrait de nous et nous écoutait, Farida et moi,
parler d’elle. Elle ne semblait pas très gênée. Pas très à l’aise non plus. Elle nous
regardait à tour de rôle sans rien dire, avec ses magnifiques yeux noirs qui
brillaient de mille feux. Farida m’apprit que la fille n’avait encore jamais connu de
garçons, ni bien entendu, fait l’amour ou même flirté. Ses parents lui avaient
interdit toute fréquentation masculine, fût-elle celle d’un collègue de lycée et,
maintenant, d’université. Elle avait un esprit très curieux et avait soif d’apprendre.
Y compris les choses interdites. La seule chose qu’elle avait encore peur d’assumer,
c’était la perte de sa virginité. Son père et même ses jeunes frères, élevés dans la
pure tradition machiste, la tueraient sans aucun regret en cas de scandale.
- Farida m’a dit que tu étais un homme d’honneur. Que tu ne profiteras jamais de
moi. C’est vrai ?
C’était la première fois que j’entendais sa voix. Une voix forte et un peu rauque,
d’une femme du désert. Une voix d’une sensualité torride. Elle ne le faisait
certainement pas exprès, mais le son de sa voix me donnait des frissons. Et me
titillait le bas-ventre.
- Tu peux me faire confiance, répondis-je. D’ailleurs je viens de prendre la
décision de ne jamais te toucher. Tu es trop jeune et moi trop vieux ! Tu as tout ton
avenir pour toi. Avec ta beauté, tu ne tarderas pas à trouver le prince charmant qui
deviendra ton futur mari.
- Tu m’as promis qu’il me fera découvrir ce que c’est l’amour avec un homme. Et
voilà qu’il me dit qu’il ne me touchera pas ! Tu m’as menti !
La fille s’adressait à Farida. Je ne sais pas ce qu’elles avaient bien pu comploter
ensemble. Mais si j’avais bien compris le sens du reproche qu’elle venait de lui
faire, Imène voulait flirter avec un homme pour savoir ce que cela pouvait lui
procurer comme plaisir. Elle n’avait jusque là connu que le corps d’une femme -Farida
- qui semblait avoir pris beaucoup de plaisir avec elle et qui en était même tombée
amoureuse. Mais cela ne l’avait pas totalement satisfaite. Elle voulait connaître ce
que pouvait lui procurer l’étreinte d’un homme. Et Farida, qui semblait beaucoup tenir
à elle, lui avait proposé son propre amant. Elle lui avait certainement raconté
qu’elle couchait avec moi et qu’elle prenait énormément de plaisir dans mes bras. Elle
voulait donc me prêter à elle.
Je ne savais pas si je devais en être fier ou furieux. Fier parce que Farida me
mettait entre les bras une superbe plante, qui même si elle devait absolument rester
vierge, constituait un met de choix pour un coureur comme moi. D’un autre côté je
n’appréciais pas d’être traité comme un pion, dont on dispose à sa guise. Mais en fin
de compte, j’étais très content. La seule chose qui me faisait réfléchir et bridait
mes instincts de prédateur sexuel, c’était la peur d’un accident très vite arrivé dans
de telles circonstance. Personne ne peut raisonnablement garantir qu’il ne se laissera
pas entrainer par ses pulsions et aller vers l’irréparable. C’est ce que je dis à
Farida, n’osant pas encore m’adresser directement à Imène.
- Tu me connais mieux que n’importe qui. Peux-tu garantir à ton amie que je ne
me laisserais pas entrainer vers l’irréparable. Elle est super belle, et je suis
convaincu qu’elle est aussi très sensuelle et qu’elle adorera faire l’amour avec un
homme. Tant elle que moi, pourrions nous laisser entrainer par le plaisir et le désir.
L’accident peut arriver très vite.
- Je serai là pour vous empêcher d’aller trop loin. La seule chose qui vous est
interdite c’est la défloration. Cela tant qu’Imène gardera cette contrainte dans sa
tête. Je garde beaucoup d’espoir de la voir changer rapidement d’avis. Et si cela
venait à changer et que la fille devient autonome vis-à-vis de ses parents, alors tout
vous sera permis. Et à moi aussi ! J’aime vraiment cette fille, et je veux lui ouvrir
tous les horizons du bonheur amoureux.
…/…
A partir de là tout bascula. Imène devint ma deuxième maîtresse. Longtemps, nous fîmes
l’amour à trois. Pour moi, tout comme pour Imène, il nous manquait de nous lâcher
totalement et d’arrêter de faire attention en permanence pour ne pas dépasser les
limites qui nous étaient tracées. C’était Farida qui tout ce temps jouait au censeur.
Elle surveillait notamment la position de mon sexe quand il s’approchait trop de la
vulve de la fille. Imène et moi, désirions plus que tout dépasser cette limite. Elle
avait fait montre d’une sensualité torride. Elle adorait tout ce que je lui faisais :
caresses sur tout son corps (ses merveilleux seins étaient tellement sensibles,
qu’elle jouissait comme une folle sous mes caresses ou sous mes baisers), le pinceau
que je lui faisais de temps en temps, pour lui faire sentir la force et la douceur de
mon manche sur ses grandes lèvres, son clito et à l’entrée de son vagin. Et les
nombreux cunnilingus que je lui appliquais – parfois en concomitance avec Farida, qui
adorait lui bouffer la chatte.
Farida jouait à la perfection son rôle de gardienne de la virginité d’Imène. Même
quand cette dernière, vaincue par l’immense désir qu’elle avait de sentir mon zob en
elle, pleurait pour qu’elle me laisse l’éclater, elle opposait un refus catégorique.
Et quand c’était moi qui montrait des signes de faiblesses et qu’elle voyait que
j’étais sur le point de céder à mes pulsions et pénétrer au plus profond de l’intimité
d’Imène, elle se mettait à quatre pattes à côté de nous et m’ordonnait de la pénétrer
- par devant ou par derrière, elle s’en fichait - et de me vider en elle. C’était
d’ailleurs presque toujours comme cela que les choses finissaient.
Farida me refusa même que je sodomise la fille. Imène était d’accord. Elle plaidait sa
cause en lui affirmant que personne ne saura jamais qu’elle baisait par derrière.
Surtout pas son futur mari, à qui elle refusera l’accès de son anus, sur la base de la
morale et des tabous sociaux. Elle voulait vraiment goûter à mon manche lui défonçant
l’anneau. Elle me voyait souvent enculer Farida et lui procurer plusieurs orgasmes
successifs. Elle l’entendait crier que je lui faisais mal, et qu’elle adorait quand je
lui faisais mal. Et surtout, elle l’écoutait, avec presque de l’admiration dans les
yeux, prononcer ses fameuses phrases à la vulgarité exquise :
- Dekhel zebbek fi ga’3ri ! Edjbed bezzour ! Nik Farida ! Wari le-tefla
kiffache t’a3-ref ett-nik mra melour! Edjbed lekhra men ga’3ri! Zid kessarli ga’3ri!
Zid ! Zid ! Ziiiiiiiiiiiiiiid ! (Mets-moi ton zob dans le cul! Tire-moi en force !
Baise Farida ! Montre à la fille comment tu sais niquer une femme par derrière ! Tire
la merde de mon cul ! Continue de me détruire le cul ! Encore ! Encore ! Encoooooore !
Et à chaque fois, elle voyait grandir l’intensité de plaisir qu’elle prenait sous mes
coups de reins. C’était cette intensité de plaisir qu’elle voulait elle aussi
connaître et vivre. C’était aussi la série d’immenses orgasmes qu’elle voyait chez
Farida, quand je pilonnais sa chatte dans toutes les positions, qui lui donnait envie
de se faire éclater l’hymen et d’ouvrir la voie à ses orgasmes à elle. Plus le temps
passait, plus la fille voulait franchir le Rubicon. Farida, freinait des quatre fers :
elle ne voulait pas être la cause d’un drame. Peut-être aussi qu’elle était un peu
jalouse et qu’elle n’acceptait pas de bon cœur de me partager complètement avec elle.
Mais cela, elle ne le dit jamais.
Elle m’avait permis – difficilement parce qu’elle craignait que la fille ne supporte
pas la gêne et surtout la douleur que cela allait lui occasionner – de pratiquer sur
Imène la « baise buccale ». La fille qui m’avait vu le faire avec son amie, était
aussi un peu craintive. Surtout qu’elle n’avait pas vu que Farida eût pris un
quelconque plaisir, sauf celui de s’escrimer avec mon sperme et d’en jouer avec
volupté, avant de l’avaler. Mais elle accepta tout de même les séances de torture que
je lui infligeais et avait même fini par en devenir une véritable experte. Elle
savait, mieux que son amie, empêcher mon manche d’aller trop loin, en mettant
fermement sa main à la base de la hampe et de raccourcir ainsi la distance que devait
parcourir le zob dans sa bouche et sa gorge. J’en tirais autant de plaisir qu’avec
Farida, tout en bridant mes instincts sadiques.
La bouche d’Imène était aussi douce, chaude et humide que celle de Farida. Mais elle
était plus grande. Et ses lèvres lippues ressemblaient à une merveilleuse chatte.
Quand je pénétrais à l’intérieur, j’avais vraiment l’impression que mon sexe entrait
dans un superbe vagin bien serré : la même douceur, la même humidité, la même
viscosité après quelques allers-retours, et aussi la même étroitesse qui permettait à
mon sexe de se frotter, à chaque mouvement, aux parois. Et Imène avait très vite
appris à bien écarter ses dents, pour ne pas qu’elles raclent l’engin. C’était à
chaque fois divin !
Mais même comme cela, il nous manquait à tous les deux l’essentiel : la liberté
d’aller et venir dans ses tunnels. Et nous le faisions savoir de plus en plus
fréquemment et avec de plus en plus de virulence à Farida. Elle finit par céder. Elle
avait entendu parler d’une gynécologue installée dans une ville de Kabylie, qui
pratiquait des opérations de reconstruction d’hymens et avait pris contact avec elle
pour savoir, si c’était vrai et si elle accepterait le moment venu, de s’occuper d’une
jeune fille. La réponse ayant été positive, elle nous annonça un peu à contrecœur,
qu’elle donnait son accord pour ne plus tenir compte des limites imposées. Ni Imène,
ni moi ne montrâmes notre joie. Nous savions que pour Farida, ce n’était pas une bonne
nouvelle, et qu’elle n’acceptait la chose qu’à contrecœur. Nous savions qu’elle était
un peu jalouse de nous deux. Elle avait peur que la jeune fille prenne l’ascendant sur
elle, et devienne mon amante de cœur. D’une part elle aimait sincèrement Imène et ne
voulait pas la perdre. D’une autre, elle tenait aussi à moi, qui étais presque devenu
son second mari.
Imène et moi, ne voyons pas les choses comme elle. Imène, était elle aussi sincèrement
attachée à Farida. Ce n’était pas encore de l’amour, mais de la reconnaissance et de
la tendresse. Farida avait été pour elle la clé qui lui avait ouvert les portes de la
vie : estudiantine d’abord, parce que sans son aide, elle n’aurait pas pu réussir à
suivre les cours de la faculté, tant les cours en langue française lui étaient
inaccessibles. Sexuelle ensuite, parce qu’elle lui avait ouvert les portes du plaisir.
Quant-à-moi, coureur invétéré de jupons, j’avais trouvé avec Farida une stabilité que
je n’avais jamais connu : elle m’offrait absolument tout ce dont j’avais besoin en
émotions et en plaisir. Il n’était donc aucunement question pour elle et pour moi de
sacrifier Farida. Elle faisait partie de notre vie amoureuse, et elle le restera !
Farida nous avaient annoncé la nouvelle, au moment où elle et Imène quittaient
l’appartement pour retourner chez elles. Il n’était donc pas possible pour nous deux
de passer immédiatement à l’acte. Nous nous sommes donc donné rendez-vous pour le
lendemain matin. Imène décida immédiatement qu’elle n’ira pas à la fac ce matin là.
Elle était trop pressée de connaître ce moment où elle allait devenir une vraie femme.
Quant à Farida, elle avait déjà décidée que ce matin là elle ne sera pas présente.
Pour la première fois, elle nous laissera seuls Imène et moi. Ce fut la nuit, au
téléphone, qu’elle m’expliqua, que cette matinée sera tellement importante pour Imène,
qu’elle ne devait pas la lui gâcher. Et sa présence - et sa jalousie, ajouta-t-elle -
seraient de trop. Elle me donna rendez-vous pour plus tard, en me promettant que d’ici
là elle aurait surmonté sa petite jalousie.
…/…

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Texte coquin : A l’ombre des maris – Série 2   Quatrième partie : Imène l’autre amour de Farida
Histoire sexe : Une rose rouge
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