Les débuts de Lenny au château

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les débuts de Lenny au château Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les débuts de Lenny au château
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

2- Les débuts de leeny au château -(suite écrit par Lenny)
La jeune femme resta immobile, patiente. Elle le devait, elle le savait, car elle ne devait pas désobéir à Ses ordres. Il avait le pouvoir absolu sur elle. Il lui avait dit « Pas bougé ! », elle ne bougerait pas. Ainsi, elle se retrouvait à quatre pattes, dans sa niche, le cul à l’extérieur et bien tendu. Elle attendait sa sentence qui, elle le savait, ne viendrait pas maintenant. Car Il aimait la faire attendre, la faire languir. Au bout d’un moment, elle perdit la notion du temps. Cela devait faire une heure qu’elle n’avait pas changé de position, tous ses membres étaient engourdis et la faisait souffrir. Soudain, elle eut un doute. Et si c’était cela, sa punition ? Rester à quatre pattes dans sa niche ? Une vague de déception l’envahit et sa position s’affaissa quelque peu. Elle aurait imaginé plus sévère, plus douloureux. Car elle avait commis une faute grave, presque impardonnable. Non ! Elle ne devait pas baisser les bras. Son Maître ne la laisserait pas s’en sortir aussi facilement, elle le savait. Petit à petit, elle reprit espoir et corrigea sa position, les fesses offertes à l’extérieur, le reste de son corps dans sa niche. Une demi-heure passa, mais elle gardait toujours espoir. Soudain, un coup violent sur sa fesse droite lui tira un cri. Un autre s’abattit sur la gauche. Elle retint, cette, fois, son gémissement et esquissa un sourire. Son Maître était là, elle sentait sa poigne de fer, qu’elle reconnaîtrait entre mille, sur ses fesses.

* Sors de ta niche, sale chienne. Et viens prendre ta punition.
Elle sortit à reculons de sa niche, le sourire toujours aux lèvres.
* Mais c’est qu’elle aime ça la petite salope !

Il la mit à genoux, empoigna sa chevelure bouclée et abattit son fouet sur l’un de ses seins. Le sourire de la soumise s’estompa. Elle resta agenouillée, sagement, pour ne pas mettre son Maître, le Marquis d’Evans en colère. Il continua à la fouetter et y prit du plaisir. Retenant ses cris, elle sentit la vague de douleur se répandre dans tout son être. Le Maître fouetta ses seins dix fois chacun, puis il passa à son ventre qu’il battit le même nombre de fois. Enfin, il fit la chienne s’asseoir et écarter ses pattes, puis il abattit son fouet vingt fois sur la chatte offerte. Elle retenait toujours ses cris, en chienne bien dressée. Elle fut surprise de voir son Maître lui enfiler son collier. Ainsi, la punition n’était pas terminée ? Elle qui se plaignait d’une punition trop peu sévère, elle allait être servie. Il la traîna à quatre pattes hors du hangar qui abritait les niches des esclaves punis, puis ils cheminèrent ainsi jusqu’à la porte d’entrée du château. Le Marquis eut la gentillesse de ralentir lors de la montée des marches pour faciliter l’évolution de l’esclave. La soumise fit l’effort de marcher un pas derrière le Maître et à la même allure, pour ne pas tirer sur sa laisse, comme son Maître le lui avait appris. Elle gardait la tête baissée et observait les chaussures haut de gamme de son Vénéré Maître. Cette inattention lui valut un coup de fouet sur le dos car elle réagit trop tard face à l’arrêt brutal de son Maître. Elle avait avancé d’un pas de trop.

* Je vous prie de me pardonner, Maître.
* Ne t’inquiète pas, chienne, tu auras le temps de demander pardon.

Elle savait que cela signifiait que la punition continuait. Et cette pensée fut confirmée lorsqu’elle vit dans quelle salle ils se trouvaient. Des crochets au plafond, des barres de métal, des machines toutes plus complexes et énormes les unes que les autres, malgré l’hygiène parfaite de la salle de punition, il en ressortait une aura terrifiante. Au fond de la salle, il y avait une dizaine de magnifiques cages en fer forgé, fabriquée par un ami artisan du Marquis d’Evans. Une nouvelle y avait été ajoutée à l’arrivée de la soumise Leeny.

* Entre dans ta cage, petite chienne. Je vais dans mon bureau méditer sur la suite de ta punition. En attendant, reste sagement dans ta cellule.

Le Marquis claqua des doigts, une jolie esclave blonde apparut, vêtue uniquement d’un collier en velours rouge.
* Emmène la pâtée à ta chienne de sœur.

Elle hocha docilement la tête et se retira pour réapparaître cinq minutes plus tard, une gamelle en argent dans les mains, où l’on remarquait l’inscription « esclaveLeenyMDE ». Malgré sa punition, la soumise fut émue de constater que le Maître l’aimait toujours et ne lui servait pas sa pâtée dans une vieille gamelle en métal, comme elle le pensait au début. Elle devait s’avouer que chaque jour elle découvrait un nouvel aspect de son Maître, et chaque jour, elle l’aimait plus encore. Sa pâtée devant elle, la soumise se mit à manger, bénissant son Maître de lui offrir ce délicieux repas. Une fois qu’elle eut happé toute la pâtée, la belle esclave réapparut comme par enchantement et versa dans la gamelle des croquettes pour chien.

* Le Maître m’a ordonné de te servir ceci. Cela fait blanchir les dents et en renforce l’émail. Je reviendrai quand tu auras finit pour te brosser les dents.
* Je remercie infiniment notre Maître.
* Je le sais, répondit l’esclave avec un sourire.

Et elle se retira à nouveau. Esclave Leeny se remit à manger. Elle ne savait même plus déterminer à quel point elle aimait son Maître. Il était si prévenant, si attentionné, malgré la faute impardonnable qu’elle avait commit. Elle regrettait tellement ce qu’elle avait fait ! Comment avait-elle osé lever la voix sur Son Cher Maître ! C’était insensé. Et le fait qu’elle soit nouvelle ne lui pardonnait pas cette grave erreur, elle en était consciente. Rien ne pouvait pardonner cette erreur, et même la punition que Son Maître n’allait pas tarder à lui donner ne suffirait pas. Elle s’en voudrait toute sa vie d’avoir fait cela. Une larme coula sur sa joue. Son Maître tant aimé, tant admiré, elle avait levé la voix sur lui, et il était toujours aussi bon avec elle. Elle eut bientôt finit sa gamelle. Cette fois, la servante blonde mit plus de temps à arriver. Sans doute un ordre du Marquis. Elle entra environ trente minutes plus tard, munie, comme promis, d’une brosse à dent et d’une bassine remplis d’eau. L’esclave Leeny fût surpris de remarquer que cette dernière était séparée en deux parties et que dans l’une s’y trouvait une éponge et une brosse ainsi qu’un shampoing.

* Maître m’a également ordonné de te nettoyer.

L’esclave se mit à l’œuvre. Au travers des barreaux, elle lava les dents de sa sœur. Et quand celles-ci furent blanches et propres, elle s’attaqua au corps de la chienne enfermée. Elle suivit les ordres de son Maître : « fais en sorte de bien l’exciter, mais pas trop ». Elle insista donc sur le clitoris et les tétons de sa sœur. Elle utilisa sur ces derniers la brosse avec laquelle elle frotta fort, comme lui avait indiqué son Maître. Puis elle disparut un instant, laissant la bassine sur place, et réapparut avec un tuyau. Elle se mit à nettoyer l’intérieur du cul de la chienne. Quand tout fût bien propre, elle disparut comme elle était venue, laissant une chienne pantelante et excitée. Le Maître fit Son entrée un court instant plus tard.

* Bien, ma petite salope. Tu es maintenant bien préparée, j’en suis ravi.
* Oui, Maître.

Le Marquis d’Evans ouvrit la cage et laissa sortir la chienne. Celle-ci s’extirpa gracieusement de sa prison dans une démarche féline. Elle était maintenant habituée à marcher à quatre pattes, et ce grâce à son Maître. Elle en était très fière. Maître attacha ses bras à des liens pendu au plafond, ainsi que ses chevilles, de manière à ce qu’elle soit suspendue à un mètre du sol, face contre terre. Seule une barre de métal verticale qui jaillissait du sol maintenait succinctement son ventre. Elle devait rester ainsi, en équilibre, contractant ses abdos, ses bras et ses jambes pour ne pas laisser son corps flancher. Après avoir placé deux pinces munies de petites boules en guise de poids sur les tétons de la soumise, Le Marquis reprit ses séries de flagellation. L’esclave femelle retint son souffle pour ne pas crier. Les coups se faisaient de plus en plus forts. Elle se cambra, mais la barre de métal s’enfonça dans son ventre, lui rappelant de ne pas bouger la douleur était presque insoutenable, mais en même temps elle y prenait du plaisir.

Elle pria pour que le Marquis ne s’en rende pas compte, car une punition ne devait pas être plaisante. Elle endura ces coups sur tout son corps durant plus d’une demi-heure. « Elle est résistante, c’est une bonne chienne », pensa le Maître. Il s’arrêta enfin. Une fois de plus, la chienne retint son soupir de soulagement. Aucun son ne devait sortir de sa bouche, elle en était consciente. Il fit coulisser les cordes qui maintenaient les chevilles de manière à ce que les pieds de la soumise se retrouvent à plus de deux mètres du sol, puis il détacha les poignets de la chienne. Elle se retrouva donc la tête à en bas, ses longs cheveux ondulant jusqu’au sol. Le Marquis savait qu’il ne pouvait la laisser longtemps ainsi, aussi commença-t-Il tout de suite à faire ce qu’il avait prévu. Il abattit quelques coups de fouet pour s’amuser du tortillement de ce corps déjà strié de marques rouge. Quelque petites plaies c’étaient ouvertes sur les fesses rebondies, l’endroit où Il avait le plus insister. Il immobilisa le corps de la chienne, qui tournoyait sur lui-même, en attachant les bras à deux anneaux fixés sur le sol. Puis Il ordonna à une autre chienne de lui apporter un siège. Il s’assit devant la bouche renversée de la punie.

* Ouvre la bouche, petite chienne, et viens donc prendre ton dessert.
Elle ouvrit docilement la bouche, mais le Maître se recula et attrapa les cheveux de la chienne.
* Je n’ai rien entendu.
* Merci, mon Maître adoré, pour cet appétissant dessert que vous m’offrez. Permettez-moi de prendre en bouche votre magnifique verge, s’il vous plait Maître.
* J’aime mieux ça. Prends petite salope, et régale-toi.

Elle se lécha discrètement les babines et commença à sucer. Elle se régalait, effectivement. Car c’était toujours un plaisir pour elle de goûter à Son sexe, si gros et si bon. Mais ce qu’elle aimait le plus, c’était les gémissements de plaisir de son adorable Maître. Elle aimait savoir qu’il appréciait son pompage de queue. Elle lécha, suça, mordilla, sentant le vit tendu buter contre le fond de sa gorge. Sa position ne l’aidait pas vraiment, car elle aurait voulu lui caresser les boules, le masser pour lui donner davantage de plaisir. Mais c’est ainsi que son Maître voulait qu’elle le suce, alors elle le sucerait ainsi. Elle sentit la verge de Maître gonfler et grandir entre ses lèvres. Mais elle savait que ce n’était pas fini. Car le Marquis d’Evans prenait beaucoup plus de temps pour se lâcher, prolongeant ainsi la punition. Mais au bout de quelques minutes, elle commença à se sentir mal. Elle ne sentait plus pieds ni ses jambes et avait de plus en plus chaud. Heureusement, son Maître s’en rendit compte bien assez tôt. Et prévenant comme Il était, Il la fit détacher par deux esclaves mâles. Elle se retrouva alors agenouillée entre les jambes de son Maître, là où était sa place, les poignets liés par un sparadrap noir luisant, les petites boules pendant à ses seins, et retourna à son ouvrage.

Mais Le Marquis l’arrêta, Il avait prévu autre chose. Il lui donna deux petites claques au visage et empoigna sa laisse. Il la guida jusqu’à la table et la fit monter, sans qu’elle ne se lève, comme une chienne devait monter sur une table. Aussi eut-elle beaucoup de difficulté, car elle n’était pas habituée. Enfin, à quatre pattes sur le meuble, Il appuya sur sa tête, lui indiquant de mettre sa croupe en l’air. Il la fouetta encore dix fois sur chaque fesse. Ces dernières étaient rouges sang, au grand plaisir du Marquis. Il enleva alors le sparadrap autour des poignets de la jeune esclave et les lui attacha derrière le dos. Il se plaça à l’extrémité de la longue table, Son Vit posé dessus. L’esclave femelle rampa vers son délicieux dessert. Une fois devant, elle attendit l’approbation de son Maître, observant avec appétit la longue verge tendue comme un chien observerait une belle et grosse saucisse qu’il s’apprêterait à déguster. Il lui donna une tape sur la tête, lui octroyant ainsi Son accord. Elle lécha donc le dessus de Son Sexe avant de l’attirer, à l’aide de sa langue, dans sa bouche.

* C’est bien, petite chienne, tu deviens obéissante, je suis fière de toi.
« Si seulement toutes les punitions pouvaient être ainsi », pensa la chienne tout en se régalant de son dessert.

Elle était si heureuse d’avoir un Maître comme le sien. Il était si attentionné avec elle. Elle se concentra sur son œuvre. A son grand désarroi, le Marquis d’Evans resta silencieux. Il faut dire qu’elle ne pouvait pas lui procurer autant de plaisir qu’avec ses mains. Mais si son Maître ne gémissait pas, c’est qu’il n’aimait pas. Et sont devoir d’esclave était de faire plaisir à son Maître. Elle y mit donc encore plus d’ardeur. Sa langue tournoyait autour du gland, sa gorge s’ouvrait davantage. Enfin, elle entendit un râle rauque sortir de La Bouche du Marquis. Elle se sentit alors comblée. Et se sentiment de bonheur s’amplifia davantage lorsqu’elle sentit, enfin, un liquide chaud et épais se déverser dans sa bouche. Son dessert. Elle le dégusta, heureuse.

* Tu aimes ça, ma salope, hein ?
* Oui, Maître, j’aime ça.
* Je sais. Et tu as de la chance, aujourd’hui j’étais de bonne humeur. La prochaine fois, la punition sera bien pire ! Tes petits orifices souffriront tellement que tu ne pourras te lever avant trois jours.
* Merci, Maître.
* Bien, maintenant, au panier. Tu y resteras toute la nuit. Ainsi, tu pourras réfléchir à ton acte et à ta condition d’esclave. Tu te rendras alors comptes qu’il y a une façon de parler à son Maître. Et demain, du me nettoieras de ta bouche tous les sexes de tes dix-huit frères. Nous avons sept couples d’homosexuel qui nous rendent visite demain après-midi, et je veux que tes frères soient parés pour cette occasion. Ainsi, ta seule nourriture demain sera les sauces de tes frangins.
* Oui Maître, merci, Maître.

Il lui tapota la tête avant de la faire descendre de la table en la tirant par la laisse. Il la guida jusqu’au grand panier noir de la salle à manger, détacha sa laisse, retira les pinces sur ses tétons et la laissa là, excitée et insatisfaite. Elle se frotta douloureusement les tétons ainsi que le reste de son corps, s’installa et se roula en boule. La dernière pensée qui s’offrit à elle fut l’image de la magnifique verge de son Maître. Puis elle s’endormit, le cœur débordant d’amour pour son bien-aimé Maître, le Marquis d’Evans.

(A suivre …)

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