A l’ombre des maris – Série 2 Neuvième partie : Wissam, ma vénus couleur chocolat

- Par l'auteur HDS GERACHE -
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Récit libertin : A l’ombre des maris – Série 2 Neuvième  partie : Wissam, ma vénus couleur chocolat Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2012 dans la catégorie Plus on est
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A l’ombre des maris – Série 2 Neuvième partie : Wissam, ma vénus couleur chocolat
Le lendemain, c’était la veille du week-end, Wissam arriva chez moi vers dix huit
heures. Elle sonna avec insistance, comme si elle ne voulait pas stationner trop
longtemps devant la porte d’entrée de mon appartement. J’ouvris rapidement et me
trouvai face à l’objet de mes fantasmes de la nuit. Je n’avais pas arrêté de penser à
elle depuis la veille. Elle était toujours aussi belle. Peut-être même plus belle,
tant j’étais en état d’impatience de la voir. Cette fois-ci, elle avait coiffé ses
cheveux noir-corbeau en une longue natte qui lui tombait sur le devant de l’épaule
droite. Comme le faisaient les indiennes, auxquelles elle voulait ressembler. Comme
l’autre fois, elle était toute habillée de blanc. Une couleur qui lui seyait à
merveille et qui mettait en valeur sa magnifique couleur de peau.
Wissam était consciente de son charme et de sa beauté. D’ailleurs elle en jouait en
permanence : elle adorait jouer au jeu de la séduction, même si, jusque là elle
n’avait jamais été trop loin (sauf bien entendu, quand il s’était agi de séduire celui
qui allait devenir son futur mari). Sa beauté résidait dans son physique réellement
harmonieux, dans ses formes et ses mensurations. Elle était petite de taille, mais
tout en elle était proportionné: cou gracieux, épaules rondes, poitrine petite mais
arrogante, taille fine, hanches étroites, fessiers petit mais rond et bombé, jambes
fines et galbées, mollets musculeux et rond, petits pieds mignons. Elle résidait aussi
dans la tessiture de sa peau lisse et brillante, qui donnait immédiatement envie d’y
mettre la main pour la caresser. Mais par-dessus tout, elle résidait dans la couleur
de sa peau vraiment exceptionnelle. Une couleur qui, selon la lumière dans laquelle
elle baignait, variait de celle, brun foncé, du chocolat à celle, plus transparente,
du miel.
Je la fis entrer rapidement dans le hall d’entrée et sans réfléchir plus d’une
seconde, je la pris dans mes bras, pour lui rouler un patin d’enfer. J’étais heureux
qu’elle soit là ; seule avec moi. Qu’elle vienne s’offrir à moi. Toute la nuit je
n’avais pas arrêté de rêver d’elle. D’elle et de Fadhéla, sa tante paternelle et mon
grand amour de jeunesse. Jusque dans mon inconscient, je n’arrivais pas à les séparer.
Chaque fois mes rêves commençaient avec Fadhéla – devenue vielle et laide – et
finissait avec Wissam, qui venait prendre sa place entre mes bras et m’offrir son
corps et son âme. Je lui dis que j’étais content qu’elle soit venue et surtout qu’elle
veuille bien passer la nuit avec moi. Dans mon lit. Entre mes bras. Comme si c’était
moi son mari ! Elle en rit et me dit qu’il s’agissait exactement de cela : qu’elle
allait avoir avec moi, la nuit de noces torride qu’elle n’avait pas eue avec son pédé
de mari. Je la trouvais un peu injuste d’accabler ainsi Rayan, mais je n’allais tout
de même pas m’en plaindre.
Je la fis entrer dans la cuisine, dans laquelle j’étais, quelques minutes plus tôt,
affairé à préparer une espèce de dîner d’amoureux, fait de steaks, de frites, de
salade et de fruit. J’avais même ouvert une bonne bouteille de vin – pour moi
seulement, parce que dans leur grande majorité les femmes de mon pays ne boivent pas
et sont même très réfractaires à l’alcool; par atavisme religieux, la plupart du
temps. Wissam, à qui, à tout hasard, je proposais un petit ballon de vin, le refusa
gentiment, non pas parce qu’elle était contre par principe, mais parce qu’elle avait
vu comment l’alcool avait détruit le foyer de ses parents. Elle me proposa par contre
de prendre ma place aux fourneaux, parce qu’elle voyait que j’étais très loin d’être
un as de la cuisine, comme pouvait l’être Salah, son beau père. Et puis pour elle, la
cuisine devait être le royaume des femmes, pas des hommes. Encore un atavisme qui
avait la vie dure.
Pendant qu’elle préparait les frites et les steaks, je m’étais assis sur une des
chaises de la cuisine et me mis à la contempler. Wissam bougeait avec la grâce des
danseuses sacrées des temples hindouistes. Je n’avais pas encore remarqué cet aspect
de sa personnalité. Quand elle marchait, j’avais l’impression qu’elle dansait. Elle
maniait couteaux, fourchette, ustensiles de cuisines et tout le reste, sans
brusquerie, avec des gestes harmonieux. Elle était gauchère, pourtant. Cela me permit
aussi de remarquer la longueur de ses doigts fins. Je me dis qu’elle devait avoir des
caresses très douces. Et, le cochon qui sommeillait en moi se réveillant, je me mis à
imaginer ces mains entrain de manipuler mon manche. Et je me mis à bander. Je ne
voulais pas qu’elle se rende compte immédiatement de mon état d’excitation. Je me mis
donc à lui parler de ce qui pour moi faisait sa caractéristique principale : sa beauté
et la couleur de sa peau.
Elle vint s’assoir sur la chaise vide à côté de moi (pendant que les frites cuisaient)
et se mit à me parler d’elle. Elle commença par m’avouer qu’elle avait beaucoup
souffert, étant enfant, des quolibets de ses camarades, garçons et filles, qui la
traitaient de « kahloucha » (négresse). Pendant longtemps, elle avait eu horreur de sa
couleur de peau et se trouvait très laide. Ce fut un jeune homme, un lointain cousin
– issu d’un couple mixte franco-algérien - qui était en vacances dans la famille, qui
lui ouvrit les yeux sur son exceptionnelle beauté. Elle me dit qu’il l’avait draguée à
mort et que si elle n’avait pas résisté de toutes ses forces, elle aurait cédé à
l’appel de la passion qu’il avait éveillée en elle. Ce fut depuis ce temps qu’elle
avait pris conscience de sa force de séduction, qu’elle devait en grande partie à la
couleur de sa peau.
Et depuis, elle s’en servait chaque fois qu’elle voulait plaire à des garçons. Elle
m’avoua un peu plus tard, qu’elle s’était beaucoup amusée à se jouer des garçons – au
collège, au lycée et même à l’université. Elle eut un grand nombre d’amoureux et de
prétendants, mais n’en garda aucun. Ils lui paraissaient tous, ou trop jeunes ou trop
grands, ou trop petits, ou pas assez beaux, ou pas intéressants. Elle était à la
recherche de la perle rare : celui qu’elle jugerait digne de devenir son ami, son
amant et son mari. Elle flirta beaucoup, mais jamais très sérieusement. Elle n’avait
jamais accepté d’aller plus loin que quelques caresses, sur sa poitrine et ses fesses
et bien sûr des baisers sur la bouche (sans y mettre la langue, ajoutait-elle). Et
puis elle décrocha son diplôme d’interprétariat et commença à travailler. Elle fit des
rencontres intéressantes pour elle ; mais malheureusement, tous les hommes
intéressants étaient mariés, ou sur le point de l’être. Cela ne l’empêcha pas de
continuer de flirter avec beaucoup de garçons, dont des hommes mariés, qui, disait-
elle étaient les plus grands obsédés sexuels. Elles devaient souvent se battre
physiquement avec eux, pour ne pas se faire violer.
Elle savait que la plupart du temps, c’était de sa faute, parce qu’elle adorait les
exciter jusqu’à mettre le feu sur le devant de leurs pantalons, et que souvent, ils
n’arrivaient pas à retenir leurs pulsions et lui sautaient dessus. Malgré sa petite
taille, elle avait de l’énergie à revendre, et savait se battre. Elle s’en sortait
toujours, mais était obligée de changer de partenaire. Et puis un jour, elle rencontra
Rayan. Il était vraiment beau. Elle avait immédiatement remarqué qu’il avait la beauté
d’une femme. Mais elle n’avait pas fait la liaison avec ses préférences sexuelles. Il
n’avait pas la démarche d’un homosexuel, ni même les gestes et les mimiques. Il
parlait, marchait, riait comme un homme normal. Et puis, il portait avec tellement
d’élégance l’uniforme blanc d’officier de marine. En y réfléchissant, beaucoup plus
tard, elle se dit que c’était certainement grâce (ou à cause) de son uniforme, qu’elle
tomba immédiatement amoureuse de lui et qu’elle entreprit de le séduire.
Car, en étant vraiment honnête, elle savait que c’était elle – et uniquement elle -
qui avait tout fait pour lui mettre le grappin dessus. Et le pauvre Rayan fut poussé à
en parler à ses parents, d’abord à sa mère, puis à son père, qui sautèrent de joie
d’apprendre que leur fils fréquentait – enfin ! – une fille, qui de plus était belle
et amoureuse de lui. Ils demandèrent à faire sa connaissance. Il l’emmena un jour à la
maison pour prendre un café et la présenta à Farida. Celle-ci, sut immédiatement que
cette fille ne ferait qu’une bouchée de son fils, dont, déjà, elle doutait de la
virilité. Elle ne savait pas exactement ce qu’il en était, mais elle était sûre que
Rayan n’aimait pas les filles. Et ceci depuis très longtemps. Ce qui lui était arrivé
sur le bateau - son viol par un marin qui devint par la suite son « mari » - elle ne
le sut que beaucoup plus tard ; bien après son mariage, de la bouche même de Wissam.
Mais malgré ses appréhensions envers la fille, elle fut contente qu’il la fréquentât
et quand il lui parla de mariage, elle accepta immédiatement. Et puis Wissam découvrit
l’homosexualité de son mari. Elle m’affirma qu’elle en aurait moins souffert, si Rayan
avait joué le jeu du mari. Si au moins il était bisexuel. Et qu’il lui avait fait
l’amour comme un homme. Mais elle se trouva devant un homosexuel passif. Exclusivement
passif. Elle se sentit trahie. Elle regretta amèrement de s’être laissée avoir, elle
qui jusque là s’était jouée de tous les garçons qui l’avaient approchée. Elle en
voulut à Rayan et, bizarrement elle en voulut encore plus à Farida, dont elle était
sûre qu’elle était au courant des particularités de son fils, mais qu’elle lui avait
tout caché par pure méchanceté et pour lui nuire.
…/…
Wissam avait fini de préparer le diner et nous le servit sur la table de la cuisine.
Ce fut un repas frugal, que nous mangeâmes dans la bonne humeur, en parlant de tout et
de rien. J’étais toujours très en chaleur et voulais que le repas finisse très vite
pour pouvoir emmener ma belle dans la chambre et m’occuper d’elle. Je voulais la
tirer. Lui faire sentir la vraie force d’un homme. Elle se plaignait de n’avoir encore
jamais vécue des ébats avec un véritable homme. Et je voulais lui en faire découvrir
un. Mais elle, elle ne semblait pas très pressée. Elle faisait durer le plaisir.
Probablement pour mieux mettre le feu à mes sens et me pousser à bout. Elle nous
prépara même un thé à la menthe qu’elle dégusta lentement, comme pour mieux apprécier
sa puissance de séduction et son pouvoir de faire monter en moi le désir animal de la
tirer.
- J’adore sentir que je suis désirée ! Cela me change de mon mari ! Plus cela
dure et plus je sens ton désir de me tirer grandir. Et plus je suis contente ! Tu
trouves que je suis sadique ?
- Oui ! Allons vite dans la chambre. Sinon, je vais te violer ici même ! Et tu
n’auras pas ta véritable nuit de noces !
Elle me regarda d’un air interrogateur, avec ses immenses yeux noirs et eut un rire
saccadé, comme si l’idée de se faire violer par moi l’interpellait vraiment. Comme si
elle voulait tenter cette aventure. Et puis, elle se leva d’un bond, me prit par la
main et m’entraîna vers la chambre ; presque en courant. Arrivée au bord du grand lit,
elle s’arrêta et se tourna vers moi pour me dire :
- Je ne veux pas que tu me violes. Je veux que tu me fasses l’amour, comme si
j’étais ta femme, et que c’est ce soir notre nuit de noces. Je veux connaître une
vraie nuit de noces ; avec un homme qui me désire vraiment et qui va prendre autant de
plaisir avec moi, qu’il m’en donnera. Jusqu’à maintenant, je n’ai pas encore joui sous
les coups de bite d’un homme. Je veux que toi, tu me fasses jouir avec ta queue.
Elle était encore totalement habillée. Je voulais la débarrasser de ses vêtements,
mais comme je savais que j’étais plutôt du genre maladroit, je lui ordonnai de se
dévêtir toute seule. Et vite ! Je me comportai avec elle comme un jeune jouvenceau,
excité, qui n’avait qu’une seule idée en tête : lui sauter dessus ! Elle comprit très
vite dans quel état d’excitation j’étais, et mon envie de la sauter sans plus
attendre. Elle se décida à enlever elle-même ses vêtements, mais en prenant son temps
et en accroissant d’autant mon impatience. Elle commença par la veste de son tailleur
qu’elle plia soigneusement et rangea dans le coin le plus bas du lit. Puis elle
enleva, toujours en prenant son temps, et en me lançant des coups d’œil provocants,
son chemiser de soie. Elle resta un moment, debout en face de moi, pour me faire
admirer son buste revêtu du seul soutien-gorge à balconnet qu’elle portait et qui
laissait apparaître ses petits seins fermes et arrogants. Elle finit tout de même par
faire passer le soutien par-dessus sa tête pour rester le torse totalement nu. Elle
continuait de me provoquer du regard. Elle se mit même à se caresser les seins et les
tétons avec ses deux mains, en riant doucement de la bonne blague qu’elle était
entrain de me faire.
Je fis le geste de me précipiter sur elle, mais elle m’arrêta avec sa main droite qui
m’ordonna de stopper. J’arrêtais donc et attendit la suite. Elle voyait pourtant que
je bavais de désir. Elle n’en tint aucun cas et poursuivit toujours sans se presser
son effeuillage. Elle dégrafa le bouton de sa jupe et descendit le zip de sa
fermeture. Elle l’enleva, en se déhanchant et en me regardant par en dessous, comme
une vraie professionnelle du strip-tease. Elle resta debout en face de moi, vêtue de
sa seule culotte blanche, en riant comme une folle, comme si l’état de surexcitation
dans lequel j’étais, l’amusait follement.
- Wach testena bach et-nehili culott-ti ? (Qu’est-ce que tu attends pour
m’enlever ma culotte ?)
Enfin ! Je m’élançai vers elle, me mis à genoux à ses pieds et commençai
frénétiquement à lui descendre la culotte sur ses cuisses, puis sur ses jambes, et ses
chevilles. J’avais maintenant devant moi, Wissam dans toute sa splendeur. Elle était
belle. Mais elle était surtout bandante. Avec sa culotte coincée sur ses chevilles,
elle était l’érotisme faite femme ! Je ne pus m’empêcher, moi qui étais au bord de
l’explosion, tellement je bandais, d’arrêter tout mouvement pour contempler le
spectacle que m’offrait sa splendide nudité. Elle était parfaite : par la couleur miel
de sa peau qui brillait comme un soleil sous la lumière électrique de la chambre ; par
la beauté de ses rondeurs juvéniles ; par son sourire lumineux qui indiquait combien
elle aimait que je la désire autant ; par ses immenses yeux noirs moqueurs et brillant
de mille étoiles. Et par son jardin d’éden qui était une promesse de plaisir et
bonheur ineffables. Elle avait le mont de vénus bombé, avec une mignonne petite touffe
de poils noirs et frisés. Une touffe qu’elle devait entretenir avec un soin infini, et
qui la rendait encore plus désirable. Le haut de ses grandes lèvres apparaissait
discrètement sous son pubis. Elles semblaient longues et superbement ourlées. Elles
avaient une couleur plus sombre encore que le reste de son corps. La même couleur que
les auréoles qu’elle avait autours de ses tétons.
J’étais incapable d’attendre plus longtemps. Je lui fis lever une jambe puis l’autre
pour la débarrasser de sa culotte, prisonnière de ses chevilles, puis en me levant
brusquement, je la soulevai du sol et la posai délicatement en travers du lit. Elle
resta ainsi allongée sur le dos, les jambes impudiquement écartées, pour me laisser
tout le temps d’admirer son intimité. Elle savait qu’elle était désirable et en
profitait. Elle savait l’effet qu’elle me faisait et semblait prendre un plaisir fou à
me regarder baver devant le spectacle qu’elle m’offrait. Elle avait replié ses jambes
et écarté les cuisses pour me laisser admirer sa chatte, totalement épilée. Ses
grandes lèvres, d’une couleur effectivement plus sombre que le reste de sa peau,
étaient longues et dodues, à l’image de sections d’oranges bien juteuses. Ce spectacle
me donna immédiatement envie de plonger ma tête entre ses cuisses pour aller gouter à
ces sections d’orange. Je voulais y mordre à pleine dents, comme je l’aurais fait
d’une vraie orange.
Les grandes lèvres n’étaient qu’entrouvertes mais cela suffisait pour laisser
apparaître de petites lèvres d’un rouge vif, brillantes d’humidité. La salope était
elle-même en chaleur, ne pus-je m’empêcher de penser, en voyant la brillance des lieux
qui ne pouvait provenir que de la mouille qu’elle était entrain de sécréter, sous
l’effet du désir. Je ne voyais rien d’autre, mais je ne pouvais m’empêcher d’imaginer
l’intérieur sombre et mystérieux de son vagin qui devait être étroit, chaud et
visqueux. Elle me regardait en souriant, se demandant certainement à quelle sauce
j’allais la manger.
Je venais de décider de lui bouffer la chatte, avant d’entamer quoi que ce soit
d’autre. J’étais attiré comme un aimant par cette chatte brillante. Je voulais sentir
son odeur. J’étais sûr qu’elle avait une odeur particulière. Je ne sais pas trop
pourquoi, le parfum de Fadhéla, mon amour de jeunesse et la tante paternelle de
Wissam, m’était revenu en mémoire : un parfum exotique, à base de girofle et de
vanille, qui m’avait tant marqué dans ma jeunesse. Ce fut exactement cette odeur que
dégageait d’entre les cuisses de Wissam. Une odeur enivrante et tellement
aphrodisiaque ! Je plongeai frénétiquement mon nez entre les cuisses écartées de ma
mie et me mit à humer l’endroit, à l’image d’un bouc ou d’un chien en rut. Je ne
savais pas si c’était ce qu’elle attendait – prendre tout mon temps pour la préparer
en lui appliquant un cunnilingus d’enfer – mais elle se laissa faire, sans montrer une
quelconque impatience.
J’étais toujours debout devant le lit en travers duquel elle était allongée. Je me mis
à genoux par terre pour me trouver à la bonne hauteur et lui fis relever les jambes
jusqu’à ce qu’elle les pose sur sa poitrine. J’avais sa chatte, offerte et palpitante,
au niveau de ma bouche que je posai sur ses grandes lèvres. Elles étaient
effectivement mouillées. Dès qu’elle sentit le contact de ma bouche, Wissam remonta
brusquement ses hanches et m’attrapa fermement la tête pour la maintenir sur place, ma
bouche étroitement collée à sa chatte. Je me mis à embrasser, lécher et sucer cette
chatte, au superbe goût légèrement salé et acidulé et à l’odeur enivrante de vanille
et de girofle. De temps en temps, je titillai, avec les lèvres et les dents, son petit
clitoris tellement sensible, qu’à chaque fois son corps se tendait et ses hanches se
soulevaient d’un cran supplémentaire. Et elle poussait un long sifflement de
satisfaction.
Elle ne disait rien; elle était totalement à l’écoute des sensations de son corps.
Elle découvrait le plaisir érotique. Un plaisir tellement différent de celui qu’elle
prenait auparavant, en se caressant ou en se masturbant. Ce plaisir là lui était
inconnu. Elle avait entendu parler de femmes qui se faisaient brouter la chatte par
des hommes - ou par des femmes - mais elle n’avait encore jamais ressenti le besoin
d’essayer, avec ses flirts, antérieurement à son mariage. Quant à le faire avec
Rayan... Et ce soir-là elle découvrait quelque chose de vraiment exceptionnel.
Et puis tout dérapa ! Elle n’arrivait plus à se contrôler. Elle se laissa totalement
aller à son plaisir et se mit à gigoter de plus en plus, en bougeant ses hanches de
manière désordonnée et en appuyant encore plus fort sur ma nuque pour forcer ma tête
à adopter le rythme qui lui donnait le plus de plaisir. La séance dura un long moment.
J’en profitai pour aspirer et avaler un maximum de jus sécrété par sa chatte
complètement noyée. C’était un vrai délice ! Le parfum de l’endroit et le goût
légèrement salé et acidulé des sécrétions, avaient sur moi un effet aphrodisiaque qui
avait fait atteindre à mon sexe, encore prisonnier de mon pantalon et de mon boxer,
des dimensions vraiment exceptionnelles. J’avais l’impression que, d’un moment à
l’autre, il allait exploser. Les sifflements du début se transformèrent en longs cris
rauques, accompagnés de paroles inaudibles, qui étaient certainement des appréciations
sur tout ce qu’elle était entrain de ressentir. Elle devait encore se retenir par peur
de choquer. Elle n’avait pas encore l’habitude de se laisser aller au plaisir.
Je sentais qu’elle n’allait pas tarder à jouir. Elle s’était saisie de mes cheveux et
tirait sur eux violemment pour commander aux mouvements de ma tête entre ses cuisses.
Comme si elle voulait la faire complètement entrer dans sa chatte. Et elle serrait ses
cuisses sur mon visage, m’empêchant presque de respirer. Elle n’avait aucune
conscience de la situation dans laquelle elle me mettait et continuait de tirer
violemment sur mes cheveux. Elle sentait un torrent de jouissance sur le point de
dévaler sur elle et elle voulait déclencher cette arrivée en forçant ma bouche à jouer
le rôle de déclencheur. J’entendis, atténuée par ses cuisses qui serraient ma tête, sa
respiration devenir de plus en plus haletante. Ses cris s’intensifièrent et devinrent
de plus saccadés. Et soudain, elle se crispa, poussa un long râle de mourante et
déchargea des tonnes de cyprine dans ma bouche. Tout son corps se détendit ; elle
relâcha tous ses muscles et s’affaissa au plus profond du lit. Je sortis ma tête
d’entre ses cuisses et vins m’allonger près d’elle. Elle avait fermé les yeux, mais
sur ses lèvres elle avait posé un merveilleux sourire de contentement. Elle était
heureuse ! Emu, je la regardai entrain de reprendre son souffle et sortir petit à
petit de la léthargie dans laquelle l’avait plongée l’immense orgasme qu’elle venait
d’avoir. Quand elle ouvrit les yeux, ces derniers brillaient de mille feux et le
sourire lumineux qu’elle m’envoya me fit comprendre qu’elle était vraiment heureuse.
…/…
Et le reste fut pour elle une autre merveilleuse découverte. Elle venait de jouir avec
ma bouche. Et j’allais la faire jouir avec mon manche. Quand elle sortit totalement de
l’état de léthargie dans lequel l’avait mise la séance précédente, elle se blottit
dans mes bras et me susurra à l’oreille qu’elle m’aimait. Et que je lui avais ouvert
la porte du paradis. Et elle lança sa main vers l’impudique boule que faisait le
devant de mon pantalon. Elle la regarda avec dans les yeux une lueur d’admiration et
la caressa un long moment.
- Ekhardjou‘h men essaroual ! Bghit en-choufou‘h ! Bghit en-chouf el-ghoul li-
yekessarli souwti ! Warri‘hou-li ! (Sors-le du pantalon ! Je veux voir le monstre qui
va me détruire la chatte ! Montre-le-moi !)
Je ne me fis pas prier pour faire ce qu’elle m’ordonnait. J’étais dans un état
d’excitation tel que je ne pouvais plus supporter d’attendre une seconde de plus. Il
fallait que mon manche prenne sa place dans la chatte de Wissam ! Qu’il ait sa part de
plaisir ! J’enlevais, en une seule fois, le pantalon et le boxer, et restai le manche
frémissant de désir, brandi vers le plafond tel un sabre.
- Mouhal yedkhoul fi souwti ! Kbir bezzaf ! Yeqtel-ni ! (Impossible qu’il
pénètre dans ma chatte ! il est trop grand ! Il va me tuer ! )
- Ma et-khafich ! Ye3raf kiffach i-dirlek bach ma yewoudj3ekch bezzaf ! Etwouli
et-habi‘h wa et-mouti a3li‘h ! (N’ai pas peur ! Il sait comment faire pour ne pas te
faire trop mal ! Tu finiras par l’aimer et l’adorer !).
J’étais tellement excité que je voulais la pénétrer immédiatement. Sans précaution. Je
me disais, pour me justifier, qu’elle était elle-même très excitée et que sa chatte
était tellement mouillée par le désir, qu’elle coulait comme une fontaine. J’avais
même oublié que Wissam était encore pratiquement vierge. Son mari l’avait bien sûr
dépucelée, mais sans conviction et sans désir. Il n’avait fait que lui déchirer
l’hymen. Il ne lui avait pratiquement plus jamais fait l’amour. En fait, son premier
amant, c’était moi. Mais en ce moment d’excitation, j’avais perdu le contrôle de moi-
même. J’étais décidé à la tirer, comme j’aurai tiré Farida, ou Soraya ou n’importe
quelle autre maîtresse : brutalement ! Je me mis entre ses cuisses, que j’avais
écartées presque violemment et lui fis lever ses jambes pour permettre l’accès de sa
chatte à mon manche qui palpitait d’impatience. Je posais le gland entre ses grandes
lèvres qui s’écartèrent sous la poussée et m’apprêtais à donner une forte poussée à
mon bassin pour pénétrer d’un coup dans le vagin de Wissam.
C’est à ce moment là que je vis les yeux de ma maîtresse et que j’y avais lu une peur
panique. Wissam avait peur ! Cela me refroidit un peu et calma mes ardeurs de satyre.
J’arrêtais pile le mouvement de poussée que j’allais entreprendre pour le remplacer
par une caresse du gland entre ses grandes lèvres. Je pris le manche dans ma main
droite et me mis à faire faire au gland un mouvement d’aller-retour vertical sur sa
chatte. Une caresse qui décrispa Wissam et lui remit un sourire sur les lèvres. Je
continuais un long le mouvement de va-et-vient de mon gland entre ses grandes lèvres,
en appuyant à chaque passage sur son petit clito dur et ferme, qui tirait d’elle un
petit gémissement de plaisir. Petit à petit elle se rassura sur mes intentions et se
permit même de prendre mon manche dans sa main et de lui faire faire elle-même le
mouvement d’aller-retour qu’elle trouvait tellement bon qu’elle s’était mise à parler.
C’était à elle-même qu’elle s’adressait :
- Yemma ach-hal mlih ‘hadha ezzeb ! Ach-hal Hlou ! Ach-hal kbir ! (Maman comme
il est bon ce zob! Comme il est doux ! Comme il est grand !)
Elle était enfermée dans un monde de plaisir et voulait le montrer. Elle bavait et sa
salive coulait en abondance de la commissure de ses lèvres. J’avais l’impression
qu’elle se masturbait, avec mon manche, mais comme si je n’existais pas ! Comme si mon
manche était autonome de moi et qu’il lui appartenait. Ses yeux étaient brumeux, dans
le vague, comme s’ils regardaient un spectacle qu’ils étaient seuls à pouvoir voir.
Elle serrait très fort mon manche dans sa main et lui faisait faire des mouvements
montant et descendant le long de la fente de ses grandes lèvres. De temps en temps,
elle essayait de le faire entrer précautionneusement à l’intérieur du tunnel et le
faisait ressortir immédiatement, sentant combien son vagin était trop étroit et
qu’elle s’attendait à avoir très mal. Et elle recommençait à se caresser fébrilement,
avant de faire une autre tentative de le faire pénétrer à l’intérieur du tunnel.
J’avais un mal fou à me retenir de donner une poussée à mes hanches pour occuper
totalement le vagin de ma belle. Mais je résistais, sachant pertinemment, qu’elle-même
ne résistera plus longtemps avant de céder au désir de sentir la bête prendre
possession d’elle. Et ce fut exactement comme cela que les choses se passèrent. Au
bout de quelques minutes de ce traitement, Wisssam ne résista plus et en tirant sur
mon manche pour faire pénétrer le gland jusqu’à l’entrée du tunnel, elle me cria :
- Dakhel‘hou-li ! Eddini ! Nik-ni ! Red-ni mra ! (Pénètre-moi ! Prends-moi !
Nique-moi ! Rend-moi femme !)
Et ce fut un vrai feu d’artifice qui suivit ! Je la pénétrai subitement et fis aller
mon manche jusqu’au plus profond de son vagin. Ce vagin était tellement étroit et
tellement serré sur mon mât, que j’avais l’impression de pénétrer dans le tunnel d’une
très jeune fille. Ce vagin ne donnait pas l’impression d’avoir été occupé une seule
fois par un sexe d’homme, aussi petit fût-il. Mais mon Dieu, ce que cette sensation de
vagin juvénile était sublime ! Mon manche était au paradis. Il allait et venait – sans
brutalité pour le moment – dans le tunnel qui le serrait très fort. Il avait presque
du mal, malgré que le tunnel était très fortement mouillé, à aller et venir à
l’intérieur. J’avais la délicieuse sensation d’une main invisible à l’intérieur du
vagin de ma belle, qui me masturbait avec une douceur infinie. C’était tellement
agréable que je ne pouvais plus arrêter les gémissements de plaisir qui sortaient de
mes entrailles et qui, au fur et à mesure que le temps avançait, se transformaient en
rugissements rauques. Je sentais que je n’allais pas tarder à avoir un énorme orgasme.
Mais je voulais que Wissam jouît en même temps que moi.
Je ralentis un moment le rythme de mes va-et-vient dans le vagin de ma belle et me mis
à son écoute pour savoir où elle en était dans sa jouissance. Elle respirait par la
bouche. Chacune de ses inspirations – concomitantes avec la pénétration de mon manche
au plus profond de son vagin - était accompagnée d’un sifflement aigu, qui était la
marque de l’intense plaisir qu’elle ressentait sous mes coups de boutoir. Elle avait
planté ses ongles dans mos dos et tirait sur ses bras pour accompagner les mouvements
montant et descendant de mes hanches. Elle ne parlait pas, ou alors très peu, et de
manière presque inaudible, quand l’intensité du plaisir était tellement forte qu’il
fallait qu’elle la commente.
- Echaaaaa‘h ! Rayan, ya 3attaye, martek innik‘ha radjel en-ta3 çah ! Radjel
li-3andou zeb ! Arrouah et-chouf ezzeb en-ta3 radjel ! Arrouah et-chouf ezzeb li tela3
eldjouf le-martek! (Bien faiiiit ! Rayan, espèce de pédé, ta femme est entrain de se
faire niquer par un homme vrai ! Un homme qui possède un zob ! Viens voir un zob
d’homme ! Viens voir le zob qui va engrosser ta femme !)
Elle ne parlait pas fort. Comme si elle ne voulait pas que j’entende et que je
comprenne ce qu’elle disait. Elle avait un peu honte d’elle et des sentiments de
vengeance qui l’animaient jusque sous mes coups de boutoir. Mais elle ne pouvait
s’empêcher de me montrer combien mon manche lui donnait de plaisir. Moi je voulais
qu’elle parle plus fort. Je voulais qu’elle s’adresse à moi ! Qu’elle me dise combien
elle aimait ce que je lui faisais ! Combien elle prenait de plaisir quand mon zob la
pilonne comme cela. Je voulais même qu’elle m’ordonne de la tirer sans ménagement !
Que je lui fasse sentir la force et la puissance de mon engin ! Que je lui fasse mal !
- Gouli-li en-heb ezzeb ! En-heb bezzaf ezzzeb ! Gouli-li en-heb zebek ! Ezzeb
li yewdja3 ! Ezzeb li yekessar-li hatchouni ! (Dis-moi, j’aime le zob ! J’aime
énormément le zob ! Dis-moi, j’aime ton zob ! Un zob qui fait mal! Un zob qui va me
démolir la chatte !)
- En-heb zebek ! En-mout a3la zebek ! Zid nik-ni ‘hakdha ! Nik Wissam ! Red‘ha
mra ! Kessarli hatchouni ! Teffi ennar fi hatchouni ! (J’aime ton zob ! J’adore ton
zob ! Continue de me niquer comme cela ! Nique Wissam ! Fais-en une femme ! Démolis-
moi la vulve ! Eteint le feu qui brule ma chatte !)
Elle n’alla pas plus loin. Ses paroles furent interrompues par un superbe orgasme qui
dévala en elle et qui l’emmena au bord de l’évanouissement. Elle haletait comme si
elle n’arrivait plus à respirer et qu’elle manquait d’air. Elle avait tout le corps
tendu comme s’il était tétanisé. Puis ses muscles se relâchèrent au moment où elle
déchargea et produisit des litres de cyprine, qui vinrent inonder le tunnel dans
lequel mon manche continuait ses allers-retours frénétiques. Son orgasme fut
accompagné d’un long râle de lionne repue. Elle resta en position pour me permettre de
continuer de pilonner sa chatte et de prendre moi aussi mon plaisir. Son corps avait
perdu tout son tonus, mais son vagin, malgré qu’il fût inondé de cyprine, continuait
de serrer très fortement mon manche et de me procurer un plaisir de plus en plus
intense. Au bout de quelques furieux allers-retours supplémentaires, je sentis arriver
un immense orgasme qui me fit éjaculer – en hurlant à la mort – dans son vagin,
plusieurs jets d’un sperme brulant, abondant, épais et visqueux. Une partie en
ressortit sous l’effet pompe de mon manche.
Wissam ouvrit les yeux en sentant la chaleur et la viscosité du foutre qui coulait en
elle et releva la tête pour tenter de voir le phénomène. J’avais sorti mon manche de
son vagin, tout en continuant d’éjaculer un reste de foutre sur son pubis et sur son
ventre. Je voyais ses yeux briller, comme si elle assistait à un spectacle
exceptionnel. Elle lança sa main droite pour toucher le liquide blanc qu’elle avait
sur le ventre. Elle en ramassa quelques gouttes avec ses doigts et se mit à les
contempler avec ébahissement.
- Avec un sperme comme celui-là, je suis sûre de tomber enceinte immédiatement !
Engrosse-moi ! Fais-moi un bébé ! Je veux un bébé !
…/…
Ce fut comme cela que commença mon aventure avec la superbe Wissam. Nous fîmes l’amour
toute la nuit et toute la journée qui suivit. C’était le week-end et Rayan était en
mer. Rien ne nous obligeait à sortir de chez moi. Les deux semaines qui suivirent,
nous avions pratiquement passés toutes les nuits ensemble. Même quand Rayan, n’était
pas en mer, elle refusait de rester dans leur appartement. Elle avait mis son mari au
courant de notre relation et il l’avait acceptée de bon cœur. Elle disait que cela le
laissait libre de rencontrer son marin et de continuer à terre la relation amoureuse
qu’ils avaient en mer. Wissam n’en était même pas jalouse. Elle attendait avec
impatience de tomber enceinte. J’avais même fini par croire qu’elle n’avait une
relation avec moi, que dans ce seul but : tomber enceinte et mettre au monde un bébé.
Je n’avais pas très bien compris pourquoi elle voulait un bébé aussi vite. Elle
n’avait pas plus de vingt-cinq ans et avait encore tout le temps pour avoir des
enfants. Mais elle en avait fait une vraie fixation. L’instinct maternel, peut-être.
Et de fait, au bout d’une quinzaine de jours, elle m’annonça qu’elle avait fait un
test de grossesse qui s’était avéré positif. Elle jubilait de bonheur. Elle me
remercia en m’embrassant tendrement. Elle me dit qu’elle était vraiment heureuse
d’avoir un enfant de moi. Il sera beau et bien portant. Et certainement très
intelligent ! Allez comprendre comment de telles idées peuvent passer par la tête des
femmes ! Elle passa une bonne partie de sa grossesse avec moi ! Mais il arriva quelque
chose de vraiment incompréhensible. Rayan, le mari de Wissam fut aussi heureux que son
épouse de son état de grossesse. Il se fit plus présent et attentionné envers sa
femme. Il s’inquiétait de tout : des efforts qu’elle faisait – même en faisant l’amour
avec moi !- du poids qu’elle prenait, de ce qu’elle mangeait, de l’état du fœtus, de
la clinique où elle allait accoucher, etc. Il se comportait comme un mari et comme un
futur père ! Comme un mari, excepté bien entendu, le devoir conjugal qui me revenait
de droit.
Wissam appréciait vraiment le nouveau comportement de son mari. Elle savait qu’il
avait gardé sa relation amoureuse avec son « mari », le marin, mais elle s’en
accommodait très bien. Elle m’avait moi, comme amant, et cela lui suffisait. Tant
qu’elle était en état de faire l’amour, sans risque pour le bébé, elle s’offrait à moi
avec autant de passion qu’avant. Et quand il lui était devenu impossible de lever les
jambes ou même de se mettre en position de levrette pour m’offrir sa chatte ou son
cul, elle se mit à la diète. Mais elle ne put me mettre moi aussi à la diète.
Jusqu’au moment où elle tomba enceinte, nous avions pris la décision, Wissam et moi,
de tenir Farida, sa belle-mère et ma maîtresse, dans l’ignorance de notre relation. Je
ne voulais pas rompre avec Farida que j’aimais beaucoup et qui, elle aussi, m’aimait
tendrement. Je ne voulais pas lui faire de peine et faire de la peine à son mari
Salah, qui était devenu mon ami. Wissam détestait sa belle-mère, qu’elle soupçonnait
de l’avoir piégée pour lui faire épouser son fils, tout en sachant qu’il était
homosexuel. Mais je réussis tout de même à la calmer en lui disant qu’il n’était pas
question pour moi de rendre malheureux ses beaux parents. Ils ne méritaient pas cela.
Je lui dis que j’allais continuer à fréquenter la maison de Farida, d’y passer de
temps en temps la nuit et de faire l’amour avec elle. Je lui dis même que j’avais
beaucoup de tendresse pour elle. Peut-être même de l’amour, ajoutai-je ! Un temps,
elle se révolta et me menaça de tout lui révéler, puis elle se calma, parce qu’elle ne
voulait pas me perdre. Je lui étais devenu indispensable. Elle était heureuse avec moi
et ne voulait pas me perdre.
Nous eûmes donc pendant environ trois mois, une vie de mensonge envers le couple
Farida et Salah. Puis un jour, par un concours de circonstances exceptionnel, Rayan
divulgua, sans le vouloir notre secret à sa maman. Ils étaient, Wissam et lui, invités
par ses parents. Wissam était à son troisième mois de grossesse et son ventre
commençait à prendre un peu de volume. Farida qui n’était pas encore au courant de la
chose, montra beaucoup de curiosité. Elle demanda à son fils, tout en regardant Wissam
d’un regard méfiant, s’il était sûr d’être le père.
- Bien sûr que non, répondit Rayan, sans même réfléchir à ce qu’il venait de
dire.
- Comment ça, non ? Qui est le père ? Tu sembles tellement heureux qu’il n’est
pas possible que ce soit quelqu’un d’autre que toi qui ait engrossé ta femme ! C’est
qui ?
Pendant un long moment, Rayan refusa de divulguer le secret. Mais comme elle insistait
tellement pour savoir. Il finit par lâcher la nouvelle. Il y eut un silence de mort
pendant quelques minutes. Farida était groggy. Son grand amour, l’avait trompé avec sa
belle-fille et l’avait même engrossée. Une trahison impardonnable. Elle faillit même
chasser de sa maison son fils et sa femme. Mais elle se retint, tout en continuant à
faire une tête d’enterrement. Salah, qui avait entendu la nouvelle en même temps que
sa femme, ne dit absolument rien pendant environ une demi-heure. Il semblait
réfléchir. Et puis, à la fin du lugubre repas, il prit la parole en s’adressant à sa
femme. Il avait un sourire énigmatique sur les lèvres. Comme s’il venait de prendre
une décision importante pour tout le monde.
- Je crois que c’est la meilleure nouvelle que nous avons reçue depuis une
année. Rayan va être père. Et nous allons devenir des grands parents. Nous n’avons
qu’un enfant, et nous savons pertinemment qu’il est incapable d’engrosser sa femme.
Nous étions donc condamnés à rester seuls, sans petits enfants pour aiguayer notre
vie. Et voila que Wissam est enceinte. Enceinte de l’homme que tous nous aimons
profondément. Mon ami ; ton amant ; et l’amant de Wissam, avec semble-t-il la
bénédiction de son mari. N’est-ce pas une situation merveilleuse ! Nous restons en
famille ! Qu’en penses-tu ?
- Tu es fou ! Tout le monde trahit tout le monde et toi tu dis que c’est
merveilleux! Je ne peux pas pardonner à Rafik de m’avoir trompée comme cela ! Si au
moins il avait eu le courage de me l’avouer ! Et puis avec qui il m’a trompée ! Avec
cette poufiasse de belle-fille ! Je savais dès le début que Rayan allait porter une
immense paire de cornes avec cette salope ! Mais avec Rafik ! Mon amant et mon
amoureux ! Impossible de pardonner !
Le sourire de Salah se fit plus lumineux. Comme s’il savait qu’il avait gagné la
partie. Il connaissait tellement bien sa femme, qu’il avait compris qu’elle avait déjà
pardonné et qu’elle s’était rangée à ses arguments à lui. Farida, quand elle était en
colère et qu’elle refusait réellement quelque chose, refusait même d’en parler. Elle
restait dans un silence pesant et ne disait absolument rien pendant des journées
complètes. Il n’était surtout pas question pour elle de discuter du sujet à l’origine
de la situation. En l’entendant me qualifier de son amant et de son amoureux – au lieu
de mettre tous les noms d’oiseaux sur mon nom – il avait su, qu’elle m’aimait trop
pour aller jusqu’à me chasser de sa vie.
Farida m’en voulut pendant environ une semaine, au cours de laquelle, elle refusa de
faire l’amour avec moi – comme si elle punissait un enfant en lui supprimant son
dessert – et puis, un jour, en riant comme une folle, elle sauta sur moi et en
m’embrassant avec passion, elle me demanda de l’emmener dans la chambre. Et je
l’emmenai dans la chambre. Et nous fîmes l’amour comme si rien d’important ne s’était
passé. Mais elle exigea de moi de l’aimer plus que les autres : plus que Wissam, qui
allait avoir un bébé qui allait lui prendre l’essentiel de son temps. Et plus que la
fidèle Soraya, dont j’avais oublié jusqu’à l’existence pendant toute cette période. Et
je promis ! Mais ne tins parole qu’un court moment. Mais cela est une autre histoire.

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Texte coquin : A l’ombre des maris – Série 2 Neuvième  partie : Wissam, ma vénus couleur chocolat
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