Ma masseuse et moi

- Par l'auteur HDS Marcoman91150 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma masseuse et  moi Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma masseuse et moi
Voilà, je souhaiterais vous confier une histoire très agréable qui m’est arrivée il y
a quelques années. Si j’en parle aujourd’hui, c’est parce qu’elle me revient souvent
comme un rêve que je n’arrive pas à évacuer. Ou peut-être que je rêve secrètement de
la revivre en réalité. Ou peut-être que ce ne fut justement qu’un rêve, que j’assimile
à une histoire vraie.

Bon, voilà, je suis un homme célibataire (je ne l’ai pas toujours été), et à l’époque
je l’étais déjà. Alors, évidemment, je recherchais des aventures avec des femmes,
professionnelles ou non. Il m’arrivait de parcourir aussi les petites annonces «
rencontres », qui sont souvent très banales dans la formulation, mais ou j’essayais de
discerner le non-dit, des phantasmes cachés. Parfois, je tombais sur des annonces plus
originales, qui piquaient ma curiosité.

Il faut dire à ce stade que je recherchais particulièrement les annonces de masseuses.
J’ai toujours adoré les massages fait par des femmes, j’aime le contact sensuel de
leurs mains sur mon corps, les frissons qui me parcourent l’échine du haut jusqu’au
bas du dos, les picotements qui me remontent le long des jambes jusqu’à l’entre-jambe,
cette progression lente du désir, mon corps qui se tend, qui leur appartient. J’aime
cette sensation d’être entre les mains expertes d’une femme, qui me contrôle, qui
guide mon excitation jusqu’à l’explosion finale, la jouissance, l’abandon. Il faut
dire hélas que toutes les masseuses ne sont pas expertes, et qu’il est rare d’en
trouver une qui me fasse ressentir les sensations décrites plus haut.

Contrairement, parait-il, à beaucoup d’hommes, j’adore particulièrement les
préliminaires avant l’amour, les baisers, les caresses partagées. Le coït n’est
finalement qu’un acte fonctionnel, mais les préliminaires, les jeux sexuels sont un
ensemble beaucoup plus riche, parce ce que nous faisons jouer notre imagination, nos
désirs, nos fantasmes. Malheureusement, même certaines femmes ne le comprennent pas,
et se contentent de la classique position du missionnaire, avec à la rigueur une
fellation.

Pour en revenir à mon histoire, je suis tombé justement sur une masseuse fantastique,
sans encore savoir encore qu’elle l’était, en arrêtant mon attention sur une annonce
étrange, qui excita ma curiosité. Elle était à peu-près libellée ainsi, je cite de
mémoire : «Pour découvrir des sensations inconnues, viens dans mon palais des caresses
qui t’emmènerons au paradis des sens… ». Suivait un N° de tel . J’appelai donc ce N°,
et je tombai sur une voix féminine. J’expliquai donc que j’avais lu l’annonce et que
souhaitais en savoir plus. La femme m’expliqua alors aimablement qu’elle pratiquait
des massages, mais qu’elle les réservait plutôt à une clientèle féminine. Quelle
déception ! Ça aurait dû être la fin de la conversation. Mais je ne sais pas pourquoi,
peut-être avais-je senti dans sa voix, dans son intonation une ouverture d’esprit
possible, peut-être elle-même avait senti une lourde déception dans ma voix, toujours
est-il que je lui demandai pourquoi elle réservait la grâce de ses caresses aux
femmes, qu’après tout certains hommes méritaient peut-être de connaître son paradis.
Cela, sembla-t-il, l’amusa, alors elle m’expliqua qu’elle était orientée lesbienne,
suite à certaines déceptions avec les hommes. Je lui dis alors que je comprenais, mais
qu’après tout, tous les hommes n’étaient pas tous pareils, que je soupçonnais qu’elle
croyait qu’ils étaient tous d’horribles machos, mais qu’elle pourrait en rencontrer
qui contrediraient cette image qu’elle avait des hommes, à commencer par moi. Petit à
petit, elle fut sensible à mes arguments, me disant même qu’il y avait longtemps
qu’elle n’avait pas parlé à un homme comme moi. Je la remerciai du compliment, en même
temps, je lui dis qu’après tout, elle avait parfaitement le droit de choisir ses
client(es), et que je ne voulais pas l’incommoder, mais d’un autre côté, je la
remerciai pour cette conversation intéressante, et que j’aimais beaucoup le son de sa
voix. Elle me dit elle aussi qu’elle avait trouvé notre conversation agréable, et que
puisque j’avais piqué sa curiosité, ce serait peut-être bien d’avoir des échanges par
mail, pour se connaître mieux, avant, qui sait, de se voir ou pas. Je lui dis « ok »
et nous échangeâmes nos adresses email.

Sans raconter par le menu le contenu de nos échanges, je dirais simplement qu’ils
permirent de mieux nous connaître et de nous apprécier. En gros, elle m’expliqua
qu’elle préférait effectuer des massages sur des femmes parce qu’elles étaient plus
douces, qu’elles ressentaient plus de sensations. Les hommes pouvaient avoir des
réactions inattendues, et elle craignait pour sa sécurité si un homme se montrait
violent, alors qu’avec des femmes, a priori, elle ne courait pas ce genre de risque.
Elle me raconta aussi qu’elle avait été mariée avec un homme macho et violent, et
qu’elle était maintenant rebutée par les hommes en général. En fait, m’expliqua-t-
elle, elle appréciait uniquement un certain type d’homme, c’est -à-dire des hommes
doux, tendres, et à vrai dire m’avoua-t-elle, un peu efféminés, qui seraient capables
de comprendre les femmes, de ressentir des sensations de femme. En fait, elle
préférait les hommes un peu soumis

Pour moi, ce fut une révélation, car, sans me l’avouer, j’étais ce type d’homme, je
recherchais ce genre de sensation, mais je dois le dire, je ne suis pas homo ; je
préfère faire l’amour à des femmes, mais il y avoir quelque chose de je ne sais quoi
de féminin en moi.

Je lui expliquai tout cela, et que justement, je souhaitais connaître et découvrir ma
part féminine, qu’elle pourrait m’y aider, qu’elle pourrait me faire découvrir des
sensations nouvelles. Arrivée à ce stade, elle me dit qu’elle était tentée, qu’en fait
elle avait senti ma féminité à travers nos échanges et que cela commençait à
l’exciter. Elle souhaitait, pour avoir l’eau à la bouche, que je lui envoie des photos
de moi, d’abord le visage, puis tout le corps, nu, dans des positions suggestives.

Je fis donc les photos souhaitées, et lui envoyai par email. Je dois préciser aussi
que j’avais le corps entièrement épilé, à la fois pour des raisons hygiéniques, et
parce que je que trouve qu’on a plus de sensations, mais chacun peut avoir son opinion
à ce sujet.

Toujours est-il que mes photos durent lui plaire, car elle me répondit qu’elle me
trouvait très mignon, selon ses canons de beauté masculine, et qu’elle était très
attirée, qu’elle souhaitait découvrir et toucher la peau douce de mon corps.

Elle me convia donc chez elle, car elle pratiquait ses massages chez elle. Muni de son
adresse qu’elle m’avait envoyée par email, j’arrivai donc chez elle un samedi en
début d’après-midi, comme elle me l’avait indiqué.

Je sonnai à la grille, et peu de temps après une femme vint m’ouvrir avec le sourire.
C’était une femme d’environ 45 ans, avec des cheveux mi- longs, blonds tirant sur le
roux, habillée assez simplement d’une robe chatoyante. Elle avait des formes assez
arrondies. Elle me fit la bise, et je trouvai ses lèvres généreuses et suaves sur ma
joue. Elle se présenta Maryse. Je fus aussi enivré par son parfum à la fois naturel et
sensuel. Elle était chaleureuse, aimable, et m’invita à la suivre chez elle. J’avais
peur de rencontrer une femme un peu froide, et autoritaire, ce qui m’aurait déplu.

Elle me fit assoir dans son salon sur un canapé, et nous servit un café, avec des
biscuits, ce qui donna un côté détendu et chaleureux à l’ambiance. Il faut dire que
j’étais un peu intimidé, cette femme était encore belle et impressionnante, et je
pensais à nos échanges, aux photos que je lui avais envoyé…
Nous commençâmes à discuter de tout et de rien, si j’avais trouvé son adresse
facilement, si j’habitais loin, ce que je faisais dans la vie, si j’étais célibataire
(oui, je l’étais) etc…
Elle me dit que c’était dommage que je sois célibataire, car je pourrais sûrement
contenter beaucoup de femmes. Je rougis sous le compliment, et la remerciai.
Elle me dit aussi qu’elle préférait recevoir ses clientes dans un cadre chaleureux,
car elle aimait discuter avec elles, que c’était plus sympa, avant de passer au côté
coquin du rdv, que c’était pareil pour moi.
Je lui dis qu’effectivement, c’était plus sympa, car je m’attendais à quelque chose de
plus formel, plus « professionnel », ce qui rendait les choses parfois impersonnelles,
et que j’appréciais beaucoup son accueil.

Je lui demandai alors si j’étais le seul homme parmi ses clientes, et elle me répondit
que oui dans un grand sourire. Je lui dis que j’en étais très flatté, et lui demandai
pourquoi elle avait accepté de me recevoir, alors qu’elle avait dû en refuser beaucoup
d’autres. Elle me répondit mystérieusement qu’elle me le dirait après la séance de
massage, si elle se sentait confirmée dans son choix.

Je lui demandais alors justement comment allaient se dérouler les choses, combien de
temps cela durait, pas le tarif car elle me l’avait déjà indiqué par email.
Elle m’expliqua alors que ses séances se déroulaient au feeling, qu’il n’y avait pas
de notion de durée. Si elle sentait sa cliente réceptive, alors la séance durait plus
longtemps, avant d’aboutir à l’orgasme, ou à plusieurs. De même, si elle-même
ressentait le plaisir de sa cliente, elle-même était excitée et prolongeait ainsi la
séance. Elle n’agissait pas vraiment en professionnelle, mais était sensible au
ressenti des clientes, à l’ambiance sensuelle qu’elle essayait de créer.
D’ailleurs, d’habitude, elle ne pratiquait ses massages qu’en semaine, mais pour moi,
elle avait choisi un samedi, ce qui nous laissait tout le temps de ne pas nous
presser. Je fus assez ému et excité par ses paroles. Elle le ressentit. Elle me
demanda si j’étais intimidé. Je lui avouai que oui. Elle me rassura, me détendit en
posant sa main sur ma jambe, mais en même temps, cela lui plut. Cela signifiait
qu’elle était la maîtresse du jeu, ce qui la rassurait, et qu’elle prenait alors un
ascendant sur moi, ce que je lui consentais volontiers.

Elle me fit ensuite visiter sa maison, et me raconta un peu sa vie, qu’elle avait été
mariée, puis qu’elle avait quitté son mari, qu’elle devait se débrouiller seule, et
que c’est en partie pour compléter ses revenus qu’elle pratiquait des massages. Elle
était satisfaite car elle avait une clientèle fidèle, et certaines étaient devenues
des amies. La plupart de ses clientes étaient mariées, mais soit elles étaient
insatisfaites, soit elles avaient des fantasmes impossibles à réaliser avec leur
maris.

Elle disait en riant qu’elle était au courant de beaucoup de secrets de couples, dont
certains étaient des notables de la ville. En fait, elle avait un certain ascendant
sur ses clientes, et elle en était venue à conseiller certaines d’entre elles sur la
façon de procéder avec leur maris, à défendre leurs intérêts, car elle recueillait
leurs confidences en général, et les plus intimes en particulier.
Je lui dis en riant qu’elle devrait constituer des fiches sur les notables, et
qu’ainsi elle pourrait, par ce moyen de pression diriger quasiment la ville.

Ensuite, elle me conduisit dans la pièce qu’elle avait spécialement aménagée pour ses
massages. Elle avait réussi par la décoration, par les meubles, les photos aux murs, à
créer une ambiance sensuelle dans cette pièce. Il y avait aussi des bibelots sculptés
très suggestifs. Il y avait une table de massage dressée à mi-hauteur, recouverte de
serviettes, et entourée d’un voile presque transparent, ce qui créait une sorte
d’intimité toute féminine. Une odeur agréable de parfum fait de mélange de fleurs
orientales invitait à la lascivité.
Sur des étagères reposaient des parfums, des huiles, des fleurs.
Il y avait aussi un canapé bas, recouvert de coussins en soie
Tout cela était extrêmement agréable, j’avais l’impression d’être entrainé dans un
univers nouveau, inconnu, qui m’emprisonnait dans ses voluptés.

Il y avait aussi une cabine de douche dans un coin. Elle me demanda si je voulais bien
en prendre une. Bien que j’en ai pris une avant de partir de chez moi, je pensais
qu’il était de bon ton d’accepter. Comme pour m’encourager, elle me dit qu’il y avait
un gel douche spécial, parfumé, et qui détendait les pores de la peau, rendant ainsi
mon corps plus sensible aux caresses. Je ne me fis pas prier et répondis que j’en
étais enchanté. Elle m’invita donc à me déshabiller sous son regard, j’étais un peu
gêné, ce qui était ridicule, mais elle me dit qu’elle voulait avoir un premier aperçu
de mon corps, ce qui lui permettait de se mettre en condition psychologique pour la
séance. Je lui obéi donc sans difficulté. Je pris donc une douche complète, très
agréable, car effectivement le gel douche était enivrant. Je me frottai
consciencieusement tout le corps, et spécialement mes parties intimes, mon sexe et mon
anus.

Pendant ce temps, elle ouvrit un placard, et se déshabilla complètement pour mettre
une tenue plus sexy, un genre de maillot de bain uni-pièce de couleur, qui mettait
sensiblement en valeur ses seins et ses fesses, et qui était légèrement transparent.
Je pus ainsi deviner ses larges aréoles, ses tétons légèrement dressés, son pubis
soigneusement rasé, ses fesses assez rondes et généreuses. Comme la baie vitrée de la
cabine douche était transparente, je ne pouvais rien ignorer du spectacle, elle le
savait, c’était sans doute une mise en condition de sa part.

Quand je sortis de la douche, elle me tendit une serviette et m’invita à m’essuyer
soigneusement.
Elle m’observait, souriait.

J’étais nu, elle vint vers moi, senti longuement mon corps, au point que je sentais sa
respiration sur ma peau. Elle explorait mon corps, ses mains glissant parfois
fugitivement sur ma peau. Cet affleurement me procura quelques frissons. Elle me dit
que j’avais bien utilisé le gel douche, et que mon corps était bien parfumé, que
maintenant j’étais prêt pour découvrir son paradis.

Elle me prit doucement par la main, et l’autre main dans le bas du dos, me guida vers
la table de massage. Elle me fit allonger doucement d’abord sur le dos, jambes
légèrement écartées. Elle mit une musique d’ambiance, invitant à l’abandon, pas trop
forte.

Elle prit un peu d’huile parfumée, et commença à me masser les épaules, les bras, le
torse très longuement et très doucement en appuyant parfois. Elle me dit qu’elle
mettait très peu d’huile, car cela gâchait les sensations, et la sensualité du
toucher. J’étais bien d’accord, et lui dit que les masseuses qui mettaient beaucoup
d’huile le faisaient pour cacher leur incompétence, et aller plus vite, pour passer au
client suivant. Cela la fit rire, et elle me dit que je devais être expert en massage,
que j’avais fréquenté beaucoup de masseuses. Je lui dis qu’en fait je n’étais pas
suffisamment expert, parce que je n’avais jamais rencontré une masseuse aussi agréable
qu’elle. Elle me dit qu’au moins je savais flatter les femmes, et que c’était vraiment
dommage qu’au moins une ne profite pas de mon corps. Il y avait dans ce propos quelque
chose de mystérieux comme si elle avait quelque chose en tête, mais je ne le saurais
que plus tard.
Je rougis et sentis des frissons me parcourir le long du corps, elle le ressenti et
appuya à ce moment-là ses main sur mes hanches, comme pour me posséder. J’eus comme un
spasme, et mon corps se tendit, elle me murmura alors qu’elle sentait que j’étais
réceptif à son massage, que cela devenais agréable pour elle aussi. Mes frissons
augmentaient alors et mon sexe commença à s’allonger, car l’excitation me gagnait peu
à peu sous l’effet de ses caresses variées et de ses paroles suaves. Ma respiration
devint plus rapide, petit à petit, mon corps ondulait au rythme de ses caresses.

A ce stade, faut-il le préciser, le massage n’avait rien d’érotique ni sexuel, mais
ses caresses sur mon torse, mon ventre envahissaient mon corps l’enveloppait, me
mettaient petit à petit dans une sorte de transe.

Après, elle abandonna le haut du corps pour s’occuper de mes jambes, d’abord mes
pieds, puis les mollets, puis les cuisses, très longuement, très doucement. Ce
faisant, en remontant le long de mes cuisses, elle relevait à chaque fois
imperceptiblement mes jambes, et les écartait légèrement à chaque fois aussi. A un
moment, arrivés au haut de mes cuisses, ses doigts commençaient à titiller mon
scrotum, et mes testicules. Ainsi, je me trouvais dans une position totalement
ouverte, offerte à ses caresses, mon sexe s’allongea et durcit encore. A chaque fois
qu’elle touchait mon entrejambe offert, je gémissais doucement, et mon ventre
commençait à se tordre doucement, langoureusement. Elle le sentait, mon excitation
montait doucement, je la regardai, elle me rendit mon regard, elle souriait
doucement, ses yeux commençaient à briller. Elle me dit : « Tu es vraiment très
réceptif, très sensible à mes caresses, je crois que vais bien m’occuper de toi. ». Je
lui répondis en gémissant que ses caresses étaient vraiment très agréables, que je
ressentais des frissons sur toute la peau. Elle sembla flattée, me sourit. Elle me dit
même que certaines de ses clientes n’étaient pas aussi réceptives que moi.

Elle sembla alors faire une pause, puis revint sur mon torse, mon ventre ou elle fit
des caresses plus appuyées. Une de ses mains approchait, affleurait le bout de mon
sexe. En appuyant sur mon ventre, sur mon torse, elle sentait ma respiration
s’accélérer, elle semblait en profiter, s’en imprégner et m’encourager à me laisser
aller. Elle me caressait et me griffait doucement aussi de temps en temps sur le
ventre, d’une hanche à l’autre, et sur mon torse d’un téton à l’autre.

Justement, à ce moment-là, je sentais une excitation poindre dans mes tétons, et ils
devaient durcir. Elle le sentit, et me dit : «Ooh je vois que tes jolis tétons sont
bien dressés, je devrais peut-être m’en occuper ». Alors elle commença doucement à
pétrir ma poitrine autour de mes tétons, puis ses doigts se rapprochant firent le tour
de mes aréoles en appuyant de plus en plus. Mes sensations devinrent alors plus
fortes, je tirai la tête en arrière, et gémit. Elle commença à frotter mes tétons avec
le bout de ses doigts, doucement, puis de plus en plus fort. Elle continua longuement,
puis elle les pinçait entre ses doigts, les pétrissait. Mes gémissements devenaient
plus forts, ma respiration plus haletante, j’écartais et resserrais mes jambes, tout
cela à un rythme de plus en plus élevé. Puis, elle se mit à sucer mes tétons, à les
lécher, à les mordiller, à les pincer entre ses dents. Elle s’était positionné
derrière la table, si bien que ma tête étant tirée en arrière, je voyais son pubis
tout proche, et à un moment elle s’est approchée, et l’a frotté contre ma bouche. J’ai
alors sorti ma langue, et lui ai léché, malgré le tissu qui était assez fin, elle a dû
le ressentir, car je l’ai entendu gémir. J’ai senti aussi qu’elle était mouillée. Cela
dura assez longtemps, mais j’avais perdu la notion du temps, j’étais entré dans une
sorte de transe.

J’avais comme des spasmes, mon corps ondulant et s’étirant, se tendant, pendant
longtemps, le temps qu’elle me torturait les tétons justement. Ce fut comme un long
orgasme sans éjaculation (si, si, ça existe). Mon sexe était depuis longtemps durci au
maximum.
Puis elle ralentit petit à petit, me caressant ensuite un peu partout le long du
corps, et elle m’embrassa langoureusement. Mes spasmes se calmaient petit à petit,
mais j’étais encore très excité. Elle me caressait maintenant doucement, tendrement,
touchant de temps à autre mon sexe. Après un moment, elle me dit : «bien, c’était
vraiment intense et agréable, mais ce n’est pas fini. Je vais te laisser te remettre
un peu, ensuite, tu vas t’allonger sur le ventre ».

Après quelques minutes ou elle continua à me caresser de plus en plus doucement, pour
me faire descendre lentement de mon orgasme, elle m’invita à me mettre sur le ventre,
les jambes légèrement écartées.

Elle commença par se mettre un peu d’huile sur les mains et commença à me masser la
nuque, les épaules, le haut du dos très doucement. Ensuite elle me massa le long de la
colonne vertébrale, parfois en appuyant plus fort. Elle commença alors à s’attarder au
bas de mon dos, me pétrit les hanches, de temps en temps sa main me caressait plus
précisément la naissance de ma raie fessière. Elle pétrit ensuite mes fesses d’abord
lentement, puis de plus en plus fort, dans le sens transversal, puis longitudinal.

De plus en plus au cours de ces mouvements, elle écartait mes fesses d’abord pas très
longtemps, puis de plus en plus longtemps, et je sentais ses doigts s’approcher de
plus en plus de mon anus. Petit à petit, insensiblement, mes fesses s’étaient
relevées, soit sous l’effet de ses caresses, soit sous l’effet de mon excitation qui
montait. Ses caresses, en effet, m’avaient à nouveau procuré de nouveaux frissons, et
je sentais une chaleur, une excitation envahir mon anus. Sans m’en apercevoir, j’avais
inconsciemment écarté les jambes offrant ainsi la vue de mon anus qui se contractait
et se détendait. Je commençais à onduler du corps, mes fesses se relevant encore et
descendant, je respirais plus fort. Elle dut le sentir car elle passa une main sous
mon ventre, et tata mon sexe qui était à nouveau durci. Elle me dit alors : « Huum, je
vois que mes caresses à cet endroit te font de l’effet. Je dois avouer que tu as un
très joli cul, et j’aimerais bien m’en occuper ». Je lui dit alors que j’étais très
excité, qu’elle pouvait disposer de mon cul offert à elle.

Elle alla alors chercher une sorte de coussin rond, de forme tubulaire, et le passa
doucement sous mon ventre. Puis elle écarta encore mes jambes. Je me trouvais
maintenant dans cette position, les fesses relevées et les jambes écartées. Mon anus
était ainsi offert à ses caresses.
Mais, peut-être par une sorte de perversité, comme pour me faire languir, elle
commença par me masser les mollets, les cuisses. Elle remontait ainsi doucement vers
mon entre-jambe, sans jamais le toucher. Elle en profita d’ailleurs pour écarter
encore plus mes jambes.

Mais j’étais encore plus excité, mon bassin ondulait au rythme de ses caresses. Puis
elle remonta franchement en haut de mes jambes, touchant mes testicules et mon sexe,
passant un doigt appuyé sur la hampe de mon pénis. Puis, enfin, elle appuya sur mon
scrotum, déclenchant des contractions de mon anus et des gémissements. Elle semblait
se repaître du spectacle de mon cul ondulant, de mon anus s’ouvrant et se fermant
comme une jeune rose. Elle me murmura : « Ton cul m’excite, je vais l’ouvrir comme une
jeune fleur. Tu réagis très bien à mes caresses, laisse-toi faire maintenant, tu vas
hurler sous mes caresses. »

Elle prit alors de l’huile et la versa directement sur mon anus, et j’eus une sorte de
spasme, je sentis mon anus se contracter et s’ouvrir, laissant ainsi l’huile me
pénétrer. Remontant le scrotum lentement, un doigt s’insinua sur mon anus d’abord
lentement répartissant ainsi bien l’huile et décontractant mon anus, puis elle fit le
tour, caressant de plus en plus vite le pourtour, et finalement l’enfonça lentement,
puis le ressortit. Je gémis alors à chaque fois qu’elle me pénétrait ainsi. Elle me
fit ce va et viens de plus en plus rapidement, puis quand son doigt était complètement
enfoncé, elle le tournait dans mon anus, le fouillant de fond en comble. Elle continua
en insérant 2 doigts, et me pénétra ainsi de plus en plus fort. Au bout d’un certain
temps, elle insista sur ma prostate, et une vague de plaisir immense commença à
m’envahir, à me submerger totalement. Ne me contrôlant plus, je finis par jouir
longuement, mais de manière différente. C’était beaucoup plus fort, une véritable onde
de choc, et le sperme ne jaillit pas par saccades, mais en une seule longue coulée.

Elle-même, je l’avais senti, semblait avoir joui de ma propre jouissance, elle
s’allongea sur moi et m’embrassa dans le cou, sur les lobes des oreilles, me tenant
par les hanches. Je sentais son corps secoué de spasmes sur mon dos, son pubis mouillé
frottait sur mon cul, et j’en étais encore excité.

Doucement, elle se releva et elle me déposa un doux baiser sur mes fesses, sur mes
testicules, sur mon sexe. Puis, elle alla chercher un chiffon papier et m’essuya
doucement le sexe couvert de sperme, elle titilla encore un peu mon anus. Je finis par
me relever, et alors elle m’embrassa longuement, sa langue longuement enfoncée dans ma
bouche, ses mains descendant le long de mon dos, caressant mes fesses, les écartant,
elle me pénétra encore doucement, de manière douce et tendre.

Nous finîmes par nous détendre l’un et l’autre.
Puis, elle m’invita si je le souhaitais à prendre une douche, ce que je fis.

Ensuite, nous nous revêtîmes, et passèrent au salon, pour discuter un peu, elle me
resservit un café.
« Alors, comment te sens sens-tu ? As-tu apprécié ? » me demanda-t-elle
Je lui dis que je j’avais encore du mal à décrire mes sensations, mais que c’était
vraiment fantastique, que j’avais énormément apprécié cet après-midi du début à la
fin.
Elle m’avoua alors, avec quelque hésitation, qu’elle était très agréablement surprise
de ma sensualité à fleur de peau, qu’elle-même avait ressenti beaucoup de sensations
fortes pendant cette séance, et qu’elle s’était retenue pour ne pas aller plus loin.
Elle suggéra que je pourrai revenir la voir autant que le voulais, et que nous
pourrions aller plus loin dans nos sensations, qu’elle pourrait me rendre encore plus
sensuel.

Je lui dis que je reviendrai certainement, que j’étais trop attiré par ses caresses
pour m’en passer.

Nous nous quittâmes ainsi. Sur le pas de la porte, elle m’embrassa encore en me
caressant les fesses.
Je fis encore avec elle plusieurs séances, ou elle poussa effectivement plus loin mes
sensations.
Je ne les décrirai pas ici par le détail. Peut-être plus tard.
Elle m’avait aidé à découvrir et à développer la part féminine qui était en moi, et à
l’assumer.
Grâce à elle, j’avais découvert des sensations incroyables, des possibilités de
jouissance infinies…
Mais l’histoire ne se termine pas là.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
belle histoire

Histoire Erotique
quelle belle histoire !! j'ai eu même genre de massage en Tunisie et je n'arrive pas à
oublié. Continuez.



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