Les aventures de Heidi et Marjorie soumises au frère aîné de leurs maris. Episode 2.

- Par l'auteur HDS Galam -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Les aventures de Heidi et Marjorie soumises au frère aîné de leurs maris. Episode 2. Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2012 dans la catégorie Plus on est
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Les aventures de Heidi et Marjorie soumises au frère aîné de leurs maris. Episode 2.
Jamais Pascal n’avait autant apprécié une fête d’anniversaire. En revanche, pas sûr qu’Heidi et Marjorie aient été du même avis après la soirée qu’il leur avait fait passer. Leur beau-frère avait décidé de profiter de cette soirée particulière pour se venger encore plus de ses frères. Particulière ! La soirée l’avait été en effet pour ses deux ravissantes belles soeurs…
Heidi n’avait jamais eu la bouche aussi occupée à s’affairer à soulager un sexe que ce soir-là. Non pas qu’elle avait passé la soirée à sucer le même sexe pendant des heures mais qu’elle en avait plutôt sucé plusieurs. Pratiquement tous du même âge mais de tailles très différentes. Elle n’avait également jamais recueilli autant de quantité de sperme entre ses lèvres et sur son visage. Sur son visage surtout, car les gerbes blanches avaient été si nombreuses et parfois si épaisses qu’elle en avait eu plusieurs fois le visage collé. Une sensation qu’elle n’appréciait pas. Encore moins ce soir-là avec autant de partenaires différents.
De son côté, Marjorie n’avait jamais autant utilisé que ce soir sa poitrine de rêve pour procurer du plaisir à des hommes. Un vrai centre de vidange à sperme entre ses seins au regard du nombre de sexes qu’elle avait soulagés entre ses seins somptueux.
Bref, Pascal avait réussi son coup. Il faut dire qu’il avait tout minutieusement bien préparé. Il avait invité ses frères à passer avec lui un week-end entre hommes dans la maison de campagne familiale, laissant leurs ravissantes épouses passer la soirée ensemble chez Heidi qui avait organisé l’anniversaire du petit ami de sa fille pour ses dix-huit ans. Heidi en avait voulu à Michel d’avoir préféré passer un week-end avec ses frères plutôt que d’être présent pour les dix-huit ans du jeune dont leur fille était follement amoureuse. Elle en avait surtout voulu à Pascal qui avait tout planifié dans les moindres détails, à commencer par ce qu’il avait demandé à ses deux belles sœurs.
Elle savait que grâce aux nombreuses caméras qu’il avait dissimulées chez elle, non seulement Pascal n’allait rien perdre de la soirée mais qu’en plus il allait pouvoir communiquer ses instructions en temps réel. Et c’est ce qu’il avait fait.
Comme tous les invités avaient plus de dix-huit ans, Aline avait négocié avec ses parents l’autorisation de servir des boissons alcoolisées avec modération. Heidi et Marjorie avaient été choisies pour surveiller le bon déroulement de la soirée et éviter tout débordement. Question alcool la soirée avait été réussie. Il n’y avait eu aucun abus. Et pour cause ! Les invités masculins avaient passé la majeure partie de la soirée et de la nuit à s’occuper non pas des bouteilles mais d’Heidi et de Marjorie.
Le moins qu’on pouvait dire, c’était qu’effectivement les deux jeunes femmes avaient surveillé de près les jeunes hommes. De très près même !
A commencer par les deux premiers qui étaient arrivés très tôt pour aider aux préparatifs et qui n’avaient pas regretté de s’être portés volontaires. Ils avaient été récompensés au-delà de toute espérance. En effet, la porte s’était ouverte sur deux superbes créatures blondes. Heidi et Marjorie portaient des jeans moulants et des tee shirt également moulants mais surtout très décolletés ! La timidité avait tellement tétanisé les deux jeunes qu’ils n’avaient pas esquissé le moindre geste quand après les avoir fait rentrer dans le hall les deux jeunes femmes s’étaient agenouillées devant eux. Ils avaient laissé les deux jeunes femmes dégrafer leurs pantalons pour libérer les deux sexes. Ils n’en n’avaient pas cru leurs yeux quand ils avaient vu leurs membres disparaitre entre les lèvres expertes. Ils avaient fermé les yeux sous la douceur des fellations. Mais Heidi et Marjorie savaient qu’Aline et son petit ami Sébastien n’allaient pas tarder à arriver à leur tour. Du coup elles avaient accéléré les mouvements de leurs va et vient pour venir le plus vite possible à bout des deux jeunes dont les sexes n’avaient d’ailleurs pas tardé à palpiter entre leurs lèvres. Les deux jeunes avaient explosé dans les bouches accueillantes pratiquement en même temps, s’excusant presque d’avoir éjaculé ! Celui qui était en train de se vider dans la bouche d’Heidi avait lancé un « excusez-moi madame « qui avait fait rire la jeune femme au point qu’elle avait ouvert la bouche avant la fin de son éjaculation. Du coup, elle avait reçu ses dernières salves blanches sur son visage et elle avait laissé ressortir de sa bouche quelques filets de sperme qui avaient dégouliné sur son menton pour terminer sur son tee shirt.
De son côté, Marjorie avait dégluti lentement le sperme qu’elle avait reçu au fond de sa gorge tandis que deux mains pétrissaient ses seins à travers le tissu de son tee shirt. Enhardi par la vue de son sperme sur le visage d’Heidi, le jeune s’était mis à aller et venir à nouveau entre les lèvres de la jeune femme, aussitôt imité par son ami qui lui cette fois-ci s’était rué entre les seins de Marjorie après avoir les avoir dégagés du décolleté. Après avoir subi la première fellation, les deux jeunes avaient pris les choses en main pour la deuxième. Ca avait d’ailleurs été tout à fait le cas puisqu’ils s’étaient empoignés pour se masturber en fin de fellation pour diriger leurs éjaculations non pas cette fois-ci dans leurs bouches mais sur le visage d’Heidi pour l’un et sur la poitrine de Marjorie pour l’autre.
Les deux jeunes femmes avaient maudit Pascal. Elles venaient de soulager entre leurs lèvres et leurs seins deux amis proches d’Aline. Deux frères. L’un âgé de vingt ans et l’autre qui avait eu dix-huit ans récemment. Heidi avait reçu dans sa bouche et sur son visage le sperme de l’ainé. Le jeune frère de ce dernier avait demandé à échanger leur place. A son tour il s’était rué entre les lèvres d’Heidi avant d’exploser sur son visage en poussant des gémissements si intenses que la jeune femme en avait presque rougi de constater l’état d’extase dans lequel elle avait mis ce jeune homme. Puis les deux jeunes femmes s’étaient nettoyé le visage et les seins.
Pas pour longtemps…Deux autres jeunes étaient venus sonner à la porte un peu plus tard. Hélas pas Aline ni son petit ami !
Une nouvelle fellation et une nouvelle humiliation faciale pour Heidi. Et une nouvelle cravate de notaire suivie d’une nouvelle inondation de ses seins pour Marjorie.
Les fellations et les cravates de notaire s’étaient succédé au rythme des arrivées des invités. Au point que les lèvres d’Heidi avaient gonflé de volume au fur et à mesure des fellations et que les seins de Marjorie avaient fait de même au rythme des cravates. A un moment, la porte s’était ouverte sur six jeunes. Les deux jeunes femmes s’étaient occupé chacune de trois d’entre eux. Heidi en avait recueilli un entre ses lèvres et deux dans ses mains. Marjorie en avait masturbé un entre ses seins et deux autres avec ses mains. Au bout de quelques minutes, Marjorie avait souri en regardant le sperme jaillir des trois sexes pour inonder sa poitrine et ses globes. Non pas qu’elle avait pris goût à la vue du sperme mais elle avait échappé au bain de sperme sur son visage. Ce qui n’avait pas été le cas d’Heidi qui avait reçu sur son visage dans un premier temps les jets des trois premiers jeunes. Elle avait à peine porté ses mains sur son visage pour le nettoyer que les trois qui venaient de se soulager sur les seins de Marjorie s’étaient empoignés pour venir passer une deuxième couche à Heidi. Les six éjaculations faciales s’étaient transformées en humiliation faciale pour la jeune femme dont le visage avait disparu sous une épaisse couche blanche gluante.
Heidi et Marjorie avaient profité d’une pause dans l’arrivée des invités pour prendre une douche et mettre leurs robes de soirée. C’est à ce moment-là qu’Aline était enfin arrivée en compagnie de son petit ami Sébastien. Ce dernier n’avait tout d’abord pas compris pourquoi tous ses amis déjà présents lui avaient fait des clins d’œil. Un de ses meilleurs amis lui avait alors expliqué comment la superbe mère et la non moins superbe tante de sa petite amie les avaient fait patienter en douceur. Sébastien n’en n’avait rien cru. Jusqu’à ce que Pascal s’adresse à Heidi et à Marjorie au moyen des oreillettes dont il les avait équipées. Heidi avait soustrait Sébastien à Aline prétextant avoir besoin de son aide pour un problème à résoudre. La jeune femme avait entrainé le petit ami de sa fille dans sa chambre. Pour Heidi également ça avait été une grande première. Elle n’avait jamais fait l’amour avec un homme aussi jeune. Sébastien avait dix-huit depuis quelques heures à peine. Il avait compensé son manque évident d’expérience par une fougue encore plus évidente encore. Heidi n’avait rien pu dire contre un tel déchainement de fougue. Après tout elle n’avait pas pu lui en vouloir, c’était elle qui s’était jetée à ses genoux quelques minutes auparavant pour le prendre entre ses lèvres. La réaction du jeune homme avait été normale. Il n’avait fait que répondre à l’appel de la nature. D’ailleurs, l’appel lancé par Heidi n’avait pas pu être plus explicite. Elle l’avait laissé éjaculer sur son visage en fin de fellation. Quoi de plus normal que Sébastien se mette ensuite à la besogner avec toute la fougue de sa jeunesse ? En plus le sentiment d’interdit suscité par le fait qu’Heidi était la mère de sa propre petite amie avait eu raison de ses derniers remords. Il s’était rué dans le ventre d’Heidi avec la fougue d’un jeune étalon en rut. Puis çà avait été l’apothéose. Il avait sodomisé la superbe jeune femme dans son propre lit. Il avait pris la place du père de sa petite amie dans les reins somptueux d’Heidi. Une pensée qui avait décuplé sa fougue. Il s’était alors mis à aller et venir si vite entre les reins d’Heidi que la jeune femme avait eu l’impression qu’il allait les transpercer. Elle s’était mise à gémir de plaisir sous l’intensité des coups de butoirs. Une sensation inédite pour elle. Elle avait toujours refusé la sodomie à son mari, seuls son patron et Pascal avaient forcé ses reins récemment. Du coup non seulement cette pratique était récente pour elle, mais surtout les sensations provoquées par ce sexe qui lui avait foré les reins avec la fougue d’un jeune homme en rut, ce qu’était le petit ami de sa fille fiché dans son étroit conduit. Savourant ces moments inoubliables, Sébastien s’était déchainé dans les reins de la superbe mère d’Aline, offrant à la jeune femme trois sodomies à la suite entrecoupées de trois explosions d’un sperme jeune et abondant qui s’était collé aux parois les plus intimes d’Heidi.
Pendant ce temps-là, dans la chambre d’amis, Marjorie avait subi le même traitement de la part de deux autres jeunes qui s’étaient succédé dans ses reins. Mais auparavant, la jeune femme avait à nouveau masturbé les deux sexes entre ses seins somptueux avant que les deux jeunes gens ne lui offrent la première double pénétration de sa vie. Les deux jeunes avaient mis dans cette double pénétration la même fougue que Sébastien avec Heidi. Marjorie également avait poussé des gémissements de plaisir, sous le double assaut. Elle avait eu l’impression que les deux sexes allaient déchirer sa paroi la plus intime quand ils s’étaient touchés en fin de butée. Puis elle avait senti les flots de sperme envahir en même temps son ventre et ses reins. Puis les deux jeunes l’avaient installée à quatre pattes sur le sol pour la sodomiser à tour de rôle afin d’épuiser leurs dernières réserves de sperme au fond de ses reins pour terminer la soirée. Ils s’étaient tellement agrippé à ses seins quand ils l’avaient prise par derrière qu’elle avait eu l’impression que ses globes avaient gonflé de volume.
Pascal avait souri quand il avait raccompagné ses frères plus tôt que prévu au milieu de la nuit et qu’il avait vu le tissu encore plus déformé au niveau de la poitrine de Marjorie et les lèvres gonflées d’Heidi ainsi que son air épuisé. Mais le lendemain il avait encore plus souri en visionnant les images…

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