Ma femme se fait chienne II

- Par l'auteur HDS Père-vert -
Récit érotique écrit par Père-vert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme se fait chienne II Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma femme se fait chienne II
Elle a envie de recommencer ses infidélités. Elle a su que je l’avais espionné la dernière fois, et cela l'a excitée. Maintenant elle veut que je l’accompagne dans sa chasse. Ce soir, elle a revêtu ses habits les plus révélateurs. Des bas en filet, une jupe en cuir très courte et un corset au décolleté très révélateur. Sur ses pieds, une paire de botte en cuir à talons hauts lui fait relever sa croupe et amplifier ses courbes.
Nous nous rendons au lieu prévu. Une fête dans les bois, sur un terrain de camping. Il y a beaucoup de monde. L’alcool coule à flot. Elle ne se gêne pas et se retrouve enivrée par l’alcool. Je la retrouve vite à flirter avec deux hommes. L’un est jeune et grand et on voit à peine son visage derrière ses longs cheveux. Le deuxième est plus vieux, et un peu bedonnant. Il est très poilu et la regarde d’un air pervers. Ils lui ont payé à boire et elle ne se gêne pas. Ils en profitent pour se coller contre elle. Moi j’observe la scène de loin. Que va t-elle faire? Je la vois faire à la lueur des feux de camp. Elle frotte subtilement ses gros seins contre le plus grand. Ils discutent, mais je n’arrive pas à discerner ce qu’ils disent. Elle les regarde d’un air aguicheur. Les deux rient. Le grand la prend par la taille. Le plus vieux dresse son index sous son jolie nez. Elle le prend dans sa bouche et commence à le sucer tranquillement. Mon cœur bas très fort. Leurs regards trahissent une excitation extrême. Elle suce ainsi son doigt pendant plusieurs minutes. Le grand lui chuchote quelque chose à l’oreille. Elle répond par un petit rire gêné. L’autre en profite pour lui embrasser la partie découverte de ses seins. Il ne se contente pas que de prendre un petit baiser. Il pose sa bouche bien baveuse d’alcool et suce et lèche la peau. Elle semble excitée. Lorsqu’il retire sa bouche, un long filet de bave tombe de sa poitrine. J’attends de voir la suite mais malheureusement, boire trop d’alcool m'a donné envie de pisser. Je vais à l’écart me soulager, mais lorsque je reviens, à mon grand étonnement, ils ne sont plus là. Je suis soudainement nerveux. Un homme m’indique qu’ils sont partis tous les trois par un sentier qui s’enfonce dans les bois. La garce, elle va se les taper sous le couvert des arbres. Je prends le sentier et avance rapidement en essayant de faire le moins de bruit possible. Il ne fait pas si noir.
La lune éclaire les sentiers. J’erre ainsi pendant plusieurs minutes sans trouver un seul indice de leur passage. Ou est-elle? Là sur une branche, un bout de tissu. Ses petites culottes abandonné là. Voulait-elle me laisser un indice. Je les touche. Ils sont détrempés. La chienne doit se faire doigter a l’heure qu’il est. Je m’arrête et tend l’oreille. Il n’y a que les bruits de la fête un peu plus loin et des criquets. Non, j’entends un autre bruit. Presque imperceptible. Des voix! Je vais dans leur direction tranquillement en me faufilant entre les arbres. J’entends quelqu'un respirer très fort et des rires d’hommes en rute. Je vois leur silhouette, faiblement éclairée par la lune qui reflète seulement sur les peaux blanches. Ils ne m’ont pas vus. Elle est affalée dans les bras du grand au cheveux long. Dos à lui. L’autre est penché sur elle et lui lèche goulûment les seins percés, qu’il a sorti de son corset. La main droite du grand a remonté sa jupe et caresse sa chatte. Elle doit dégoûter à flot. Je devine qu'elle tâte leur énorme bosse par-dessus leur pantalon. Elle pousse de petit cris. Le grand a des mains expertes. Elle lève une jambe et l’accote sur une branche basse. Elle est maintenant debout bien écarté. L’adonis au cheveux longs fait maintenant un va et viens sous sa jupe. Combien de doigts a-t-il rentré? Il accélère la cadence, l’autre lui mange les seins. Elle répond par des cris de plus en plus forts et en ondulant ses hanches. Le vieux n’en peut plus de se caresser sous son pantalon. Il sort sa queue, longueur relativement moyenne mais très épaisse, avec un énorme gland au bout. Il lui prend les cheveux d’une main et l’abaisse vulgairement vers son membre.
« Suce saloppe » lui dit-il.
Elle le lèche du bout de la langue. Maintenant penché, l’autre lui relève sa jupe et je peux mieux voir ce qu’il lui fait. Il a trois doigts dans sa chatte dégoulinante et le petit-doigt dans le cul. Elle écarte ses fesses pour mieux s’accommoder. Un doigt supplémentaire quitte la chatte pour s’enfoncer dans son cul.
Elle pousse de long râle de jouissance tout en suçant la queue du plus vieux. Finalement, on arrête de s’acharner sur sa chatte et son anus. Ils lui ordonnent de se mettre a genou. Va t-elle le faire? Il y a beaucoup de boue par terre a cause de la pluie de la veille. Il y en a au moins jusqu’au cheville où elle est. Mais bien sûr qu’elle va le faire. Elle va s’accoupler avec eux comme une truie. Elle se jettent a genou sur le sol boueux et sort le pénis du plus jeune. Elle est aussi étonné que moi. J’ai a peine le temps d’apprécier la longueur qu’elle se l’est foutu a moitié dans la bouche. Il est énorme, avec de grosses testicules puissantes et un gland perforant. De grosse veines courent sur toute la longueur. L’ultime phallus dont elle rêvait. De son autre main libre, elle branle son autre amant. Les hommes poussent des gémissement de jouissance. Le vieux la prend par la chevelure et ramène son doux visage devant sa queue. Elle a déjà la bouche ouverte lorsqu’il lui enfonce son épieu dans la bouche. Jusqu’au fond de la gorge. Il commence à faire un va et viens, lui pompant la figure. Le deuxième n’est pas en reste et elle alterne entre les deux hommes. Chacun leur tour, ils la prennent par les cheveux et lui lime la bouche jusqu’aux couilles de façon de plus en plus brutale. Elle n’en peut plus. Il lui font lécher leur couilles. Ils l’injurient, la traitent de pute, de traînée et de saloppe. Elle utilise sa main droite pour se caresser énergiquement la chatte sous sa jupe. Les pénis vont avec alternance au fond de sa gorge. De sa bouche, on voit de long filaments de bave s’écouler et tomber sur ses gros seins, dont le jeune pince parfois les tétons. Le spectacle est magnifique et dérangeant à la fois. Le vieux pervers se tourne, et la prend par les cheveux, lui enfonce la tête entre ses fesses poilues. Le va et viens de sa tête montre qu’elle suce tout. Puis le grand lui oblige à faire de même. Une fois le travail accomplit, ils retournent lui ravager la bouche avec leurs queues.
Elle se fait ainsi ramoner la bouche pendant au moins cinq a dix minutes. Les hommes sont surexcités par sa beauté et son énergie sexuelle qu’elle dégage. Ils en veulent encore d’avantage. Le plus vieux retire sans politesse son phallus baveux de sa gorge et la jette à quatre pattes dans la marre de boue. Ses seins dépoitraillé de leur corset sont tellement énormes qu’il pataugent dans la fange. Le vieux s’accroupi et la pénètre d’un coup dans sa chatte gluante de jute, de bave et de boue. Elle ne bronche pas et continue à sucer, malgré un gémissement continue. Le vieux accélère la cadence et la baise à fond. De temps à autre il lui donne une solide tape sur ses fesses dodues. L’autre se masturbe contre son visage. Parfois , il lui assène des claques au visage avec son énorme phallus. Puis il entre son pénis jusqu’au fond de sa gorge et voici ma chienne maintenant baisée par les deux bouts. L’autre lui relève la tete en tirant ses cheveux pour faciliter la pénétration buccale de son partenaire. Sa bouche est grande ouverte et bien baveuse. Le grand au cheveux longs donne de grands coups, pénétrant toute la longueur jusqu'à ses énormes couilles. Rendue à ce point, j’observe la scène discrètement en me masturbant frénétiquement. Ils accélèrent la cadence. Le scrotum du vieux claque contre ses fesses. Ils la font gémir. Le jeune est particulièrement vigoureux et ne se gêne pas pour violer sa bouche comme si c’était un vagin. Puisqu’il fait chaud, leur corps est maintenant ruisselant de sueur, rajoutant au mélange obscène de la perversion. Soudain, elle a un orgasme. Ses hanches se cambrent. En même temps, je vois le vieux grimacer, puis il sort d’un coup sa queue et lâche un gros paquet de foutre sur ses fesses en rallant de façon obscène. L’autre respire de plus en plus fort aussi. Ca ne saurait tarder. Il laisse pousser un long gémissement et retire sa queue gluante de bave et de sperme. Ma belle vomi une longue giclée de sperme très abondante qui tombe sur ses seins boueux. Celui-là vient décidément comme un taureau. Sûrement dû a ses énormes couilles et de longs jours de privation qui le rendent si bestial cette nuit. Elle reprend son souffle puis masturbe leurs pénis pour les faire durcir à nouveau. Ce n’est pas long qu’ils sont à nouveau bien dressés. La chienne en veut encore. Elle se couche sur le dos dans la boue et lèvent les jambes invitant le beau jeune homme a venir sur elle. Il la prend en missionnaire. Elle crie et grimace de se faire rentrer un tel pieu si profond. Ses jambes sont de chaque coté de lui, avec les talons bien dressés dans les airs, la lune luisant sur le cuir. Le jeune aux cheveux longs est énergique, ses belles fesses bombées et musclées se faisant aller pour pousser toujours de plus en plus vite. Elle jouie. Ses énormes seins rebondissent a chaque coup, salissant son menton. D’une main elle se frotte le clitoris et de l’autre, elle branle le vieux. Elle enserre avec ses jambes puissantes la taille de son étalon et lui dit d’y aller plus fort, de la traiter comme sa chienne. Comme seule réponse, il lui assène une solide gifle au visage et accélère encore plus le rythme. Elle est tellement lubrifiée qu’il sort sa queue au complet puis la rentre . Il lui malaxe les seins avec ses mains. Il lui ordonne de lécher ses gros seins. Elle s’exécute en les prenant par en-dessous pour les faire remonter à sa bouche. Le vieux prend les tétons de la belle par ses anneaux et tire au maximum. Puis il enfonce à son tour sa queue dans la bouche. Elle ne peut plus crier. Elle en est presque asphyxiée. Il retire a nouveau son membre, se met à califourchon sur son visage, prend ses énormes seins et se fait une branlette espagnole. Le jeune sort d’elle et la doigte un peu pour laisser son con se reposer un peu. Il crache dans sa main et lui mouille l’anus. Elle se remet à quatre patte, son cul et son dos dénudé sont recouvert de boue, lui donnant un aspect animal. Elle est prête à prendre la prochaine punition. Ancienneté oblige, c'est le vieux qui se fraye un chemin en premier. Il s’agenouille entre ses jambes et entre son gland à l’entrée de l’anus. L’autre l’aide en écartant ses fesses. Il entre tranquillement son phallus dans son trou étroit. Ses gémissements se sont transformés en beuglement presque inhumain. Une fois qu’il est bien rentré jusqu’au bout, il commence un long va et viens lent. Rien ne sert de la brusquer. Le jeune s’en chargera plus tard. Il lui lime son cul en la tirant par les cheveux. L’autre se branle en regardant la scène. Vient son tour. Le vieux cède la place. Le cul de ma belle est tellement élargi et lubrifié que le jeune, malgré l’impressionnante taille de son membre n’a aucune difficulté à rentrer. Le vieux quant à lui retourne à la bouche. Elle le suce allégrement. Son esprit est perdu dans les brumes de l’extase et de l’alcool. Elle ne perd pas de temps à avoir un second orgasme. Le jeune vient une seconde fois, mais cette fois, au fond de son cul. Les trois se relèvent. L’ébat est tellement excitant qu’ils sont encore durs. Elle les suces un peu, puis le jeune la prend dans ses bras et soulève ses jambes prenant appui sur un arbre. Elle s’empale la chatte sur son pieu. Le vieux arrive par derrière, lui mord le cou, lui malaxe les seins brutalement, puis entre son pénis dans son anus grand ouvert. Elle se fait maintenant défoncer les deux trous en même temps. Elle hurle comme une chienne. Les coups sont raides et brutaux. Elle peut en prendre. Elle est à son sommet de jouissance. La sueur, la salive, la boue et le sperme sur leurs corps se mélangent. Telle une union, les trois jouissent en même temps. Elle se laisse retomber sur le sol, extenuée.
« Tu est bien sale ma jolie !» dit le vieux,
« nous allons te nettoyer, ouvre grand la bouche et écarte tes jambes. »
Ils se mettent de chaque coté d’elle et lâchent deux grands jets d’urines pour lui asperger le corps. Elle se cabre, s’écarte, se masturbe et se roule sous cette pluie chaude. Non content de son extrême perversité, le vieux dirige son jet vers la bouche de la chienne. Elle ouvre et avale à grandes gorgées pendant qu’elle se soulage elle aussi dans la bouche du jeune qui s’est penché sur elle pour la brouter. De mon point relativement éloigné, je peux sentir l’odeur forte de leurs urines. Elle veut jouir une dernière fois. Le jeune lui entre des doigts pendant qu’elle se roule la bille. Elle jouie une dernière fois en laissant échapper un dernier cri. Tout les trois se relèvent et vont se laver à la rivière. La chaleur de cette nuit a vite fait de faire sécher les vêtements. C'est presque fraîche mais extenuée qu’elle retourne me voir.

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