Bungalow 6 Partouze pour un cocu heureux

- Par l'auteur HDS Veilleur -
Récit érotique écrit par Veilleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 26 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
  • • L'ensemble des récits érotiques de Veilleur ont reçu un total de 258 106 visites.
Récit libertin : Bungalow 6 Partouze pour un cocu heureux Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2012 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 5 823 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Bungalow 6 Partouze pour un cocu heureux
Bungalow 6 Partouze pour un cocu heureux

-Suffit pour ce soir. Le sphincter de Mylène a failli m’étrangler la queue. Mettons- nous en tenue pour l’accueil de la jeunesse. Comment fais-tu pour assister sans broncher aux relations sexuelles de ta femme. J’espère que Léa ne s’investira pas trop, sinon, je vais péter un câble. Je vais sur la terrasse pour fumer une cigarette.
Les deux femmes se rafraîchissent, se couvrent du même parfum, nouent des chiffons avec des rires. Elles voudraient alléger leur toison, manier des ciseaux, emprunter ma crème à raser et mon rasoir, pour devenir esthéticiennes, tailleuses de barbichettes. Je proteste, les poils contribuent à créer une atmosphère de mystère autour du sexe et le rendent encore plus attractif. Ma parole les rassure. Elles auraient pourtant aimé rajeunir. A mon tour je ressens le besoin d’aller respirer l’air du soir, je sors. D’où Léo revient-il?
-On va bien rire. Ta Mylène est trop gourmande, nous devons la protéger des abus. Elle a les yeux plus gros que le sexe et trois gaillards en plus dans les fesses ce soir, causeraient des dégâts irréparables. Je lui ai mis sa dose. Le reste du séjour serait compromis si elle avait du mal à marcher.
-Que faire? C’est Léa qui a passé commande et convoqué trois jeunes en leur promettant de pouvoir s’envoyer ma femme. J’aurais préféré une Mylène en pleine possession de ses moyens. Je crains de la voir souffrir au lieu de jouir. Mais elles ont des combines et se promettent du bon temps. Léa est décidée à profiter des circonstances et suppléera les insuffisances de Mylène.
-Elle se met le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Les trois gaillards arrivaient, je les ai accostés et je leur ai froidement demandé de payer avant d’entrer. Ca les a refroidis, ils pensaient défoncer gratuitement nos femmes. Le tarif annoncé les a découragés. Motus, nos femmes vont devoir attendre. Pour ce soir il leur reste la masturbation ou nous deux ou une chasse à l‘homme. Et comme il se fait tard, elles vont se rendre à l’évidence et se calmer.
L’attente a duré, Léa s’est lassée et nous a quittés avec Léo. Mylène se ronge les ongles, s’attriste, se demande pourquoi ces jeunes lui ont posé un lapin et finit par se blottir dans mes bras. Je lui accorde quelques caresses de consolation.
-Ma chérie, j’épargne ton anus, il servira demain avec Léo ou avec d’autres. Je comprends ta déception, demain soir nous irons danser.

-Dis-moi Jean, je parais vieille, je suis devenue moche, j’ai l’air idiote ou Léa a trop grossièrement insisté? Pourquoi ne sont-ils pas venus? C’est un horrible affront. Ils m’avaient draguée au bal, leur meneur, Gérard m’avait appréciée,
-Et hardment baisée, ne l’oublie pas!
-Je ne comprends pas leur défection, j’en suis malade pour moi et pour toi. Je voulais briller avec eux et te faire jouir d’un spectacle sexuel peu commun. Tu aurais adoré. J’enrage.
-Rassure-toi. Tu es jeune, belle, séduisante, attirante, tu as devant toi, si tu le veux, d’incroyables succès avec les hommes. Claque dans les doigts et ils accourront.
-Comme ce soir. Tu te moques. J’ai l’impression que ce flop te réjouit.
-Absolument pas puisque j’y perds un plaisir nouveau et attendu. Mais pourquoi te torturer les méninges. Est-ce que je me pose autant de questions? Par exemple je pourrais dire: Ai-je des rides,
est-ce que j’ai des cheveux gris, mon zizi n’est-il plus dans les normes, est-ce que je baise mal, ai-je un caractère insupportable, suis-je trop vieux pour que ma femme se mette à courir après les autres hommes?
-Oh, mon amour, pardon. Je suis égoïste. C’est ce que tu penses tout bas, sans oser me le dire. J’arrête tout. Si tu veux nous rentrons à la maison.
-Mais non, c’est les vacances, prends les choses comme elles viennent. Si tu réponds franchement à une question et si tu promets de ne pas te fâcher je te dévoilerai la cause de ta déception.
-Dis.
-Qu’est ton ami Léo pour toi?
-Voilà, tu veux rabaisser mon seul ami fidèle. Lui au moins était présent et actif ce soir.
-Trop ma douce, trop, beaucoup trop!
-Tu ne le supportes pas, tu ne veux pas l’avouer, mais tu es jaloux de lui. Je m’en doutais et c’est pour cela que je lui ai fourni les dates et le lieu de notre séjour de vacances. Tu ne le dévalueras pas à mes yeux. J’ai presque plus confiance en lui qu’en toi, c’est un véritable ami. Il est loyal et franc.
-Tu t’emportes. Bonne nuit
-Tu devais me dévoiler la cause.
-Tu réponds à côté de ma question et tu te fâches. Puisque tu as plus confiance en lui qu’en moi, tu lui poseras la question, il connaît d’ailleurs mieux la réponse que moi.
-Oh! Tu es soupe au lait. Idiot, tu es mon mari, lui n’est qu’un collègue de travail.
-C’est tout? Si tu as tenu à l’entraîner dans ce refuge, sachant que je ne le supportais pas, est-ce parce que vous étiez amants?
-J’ai bien vu, tu es jaloux de lui. Avant de faire l’amour avec lui, ici, devant toi, hier et aujourd’hui, il n’y a eu que des relations de travail ou amicales. Du désir peut-être et nous l’avons confessé, mais rien d’autre. Je le jure, ça te va? Alors tu parles, pourquoi ne sont-ils pas venus?
-Autant je peux me réjouir de tes succès, autant je prends part à ton plaisir, autant je jouis de te voir heureuse avec un autre homme qui te possède et te fait jouir, autant cela déplaît à ton ami Léo. Il te veut pour lui tout seul. C’est un égoïste, possessif et jaloux.
-Tu es incorrigible et tu cherches encore à accuser Léo. Trouve autre chose.
-Tu demanderas à tes petits copains comment il les a fait battre en retraite et nous reparlerons de jalousie et de loyauté.
-Ah! Ca suffit, à la fin. Tu parles ou je vais coucher chez Léa et Léo…. Alors… tu te décides? Qu’avez-vous fait Léo et toi?
-Léo a fait tout seul, je n’y étais pas. Tu entends: LEO …TOUT…. SEUL!!
-Bon, je ne suis pas sourde. Alors
-Il est sorti pour fumer. Il a rencontré tes trois amis et il les a découragés.
-Comment? Il leur a parlé de mes règles? La coupelle, Léa, tout était arrangé.
-Sauf pour Léo. Un il veille sur Léa, il ne la prête pas…
-Ben et toi? Il t’a offert sa Léa.
-C’est un échange, Léa contre toi et c’est toi qui les a aidés. Au départ je ne voulais pas. Souviens-toi, tu m’as coincé le nez entre tes fesses pour que Léa vienne s’embrocher sur ma queue, alors que je venais de refuser le marché que me proposait Léo. A priori Léa n’est pas mon type de femme.
-Hum… Tu es sûr… J’ai vu autre chose
-Les yeux brouillés par le plaisir d’embrasser Léo ou d’être enculée par lui, tu as vu quoi? De l’amour, de la passion ou un coït banal?
-Passons. Comment Léo les a-t-il éloignés? Il ne prête pas sa femme et après?
-Si j’interprète bien sa réaction, il protège de la même manière sa maîtresse, elle lui appartient et il ne veut pas la prêter
-Qui est sa maîtresse? Oh! Tu parles de moi. Je ne suis pas…Ooooh! Tu penses? Attends… moi, sa maîtresse. Mais je suis ta femme.
-L’un n’empêche pas l’autre. Hier et aujourd’hui avec qui as-tu passé des moments agréables, joui? Tu étais ma femme, l’es-tu encore?
-Bien sûr que oui et dès que mes règles seront passées je te le montrerai.

Ces règles ne sont un obstacle que pour « le mari ». Pour Jean, pas de combine. C’est à ça qu’on reconnaît mon statut de mari. Les étrangers auraient pu… Il faut que je défende mes intérêts.
-Les autres, malgré les règles étaient convoqués, désirés, attendus et maintenant regrettés. Et Léo a été à la fête ce soir. Il est effectivement un de tes amants depuis hier.
-Tu as l’art d’arranger la vérité. Mes amants? C’est nouveau. Qui sont-ils donc?
-Eh! bien, je connais Gérard, Léo et il y aura tous ceux avec lesquels tu feras l’amour si Léo le permet.
-Toi tu l’as permis, tu m’as donné carte blanche, ça ne regarde pas Léo. Finalement qu’avez-vous fait pour chasser ces chéris?
-Moi, je respecte ma parole, tu as carte blanche à condition de me prendre comme témoin.
-Et Léo, puisque tu l’accuses?
-Il a demandé à ces messieurs de payer avant d’entrer.
-Payer? Payer quoi?
-Comme au bordel, comme quand on va aux putes.
-Quoi, il a voulu me vendre?
-Toi et Léa! Mais Léo sait que les jeunes de vingt ans ont plus de liquide dans les bourses que de billets de banque dans les poches et pour preuve de l’estime qu’il a de toi et de Léa, il a réclamé une somme exorbitante.
-Combien?
-Beaucoup trop pour eux. Ils ont fui en râlant. Peu respectueux ils ont employés des termes vulgaires en parlant de toi
-Et tu as laissé faire, bien entendu. Vous êtes deux enfoirés. Vous me le paierez. Mais j’y pense, ma réputation! Je vais passer pour une putain dans tout le camp. Tu n’as pas honte!
-J’aurais honte d’être marié à une putain? Pourquoi? L’essentiel est que ma femme m’aime et me respecte. Jusqu’à présent, tu baises gratis; je le dirai à qui me posera la question. Pour couper court aux questions je mettrai si tu l’exiges, sur notre bungalow un panneau
ICI ON BAISE GRATIS ou Bungalow du cocu heureux.
-C’est malin!
-Comme ça ta réputation ne souffrira plus des interventions malencontreuses de ton amant jaloux. On ne pourra pas te traiter de putain. Tout au plus de libertine. C’est très prisé dans certains milieux, au Carlton par exemple. Et puis ça attirera ton gibier, ma Diane.
-Vraiment Jean, tu ris de tout. La situation est dramatique pour moi et tu blagues. J’envie ton caractère.
-Me voudrais-tu désespéré?
-Mais non, je t’aime.

Je ris pour ne pas pleurer. Mylène ne le sait pas. Elle pense à sa réputation, elle aspire à conquérir et à jouir, les contrariétés la fâchent. A moi sa colère, à moi la honte de sa réputation salie… Mon fantasme est réalisé. Je ne lui avais pas prévu une suite, des suites, des prolongements. Ma carte blanche cache mon désarroi, je suis dans un cul-de-sac, une voie sans issue? Mes vacances? Sa situation est dramatique! Et moi? Je n‘ai pas de situation. Je n’existe pas ou si peu; je suis celui qui est couché dans le lit, celui qui ajoute sa chaleur à la touffeur d‘une nuit sans vent, un réchaud inutile au cœur de la chaleur de l‘été. Elle gît à poil au-dessus du drap. Si je la touche, criera-t-elle qu’il fait trop chaud, qu’elle transpire sans « CA »
-Dire que tu m’as laissée attendre. Je ne sais pas si je te laisserai assister à mes prochaines rencontres amoureuses. Tu t’es trop moqué de moi ce soir. Tu mérites une punition.
Je fais semblant de ronfler, ça me dispense de répondre. Demain elle aura oublié la déclaration menaçante faite pendant mon sommeil. Et puis ce que j’ignorerai ne me fera pas mal. Je n’imaginais pas qu’en prenant du plaisir avec un autre, elle me ferait cocu. La notion entre peu à peu dans mon esprit.

-Oh! Tu es encore allé acheter des croissants. Tu es trop gentil. Comme je regrette les méchancetés que je t’ai dites au lit cette nuit
-Quoi? Je ne me souviens pas. J’ai réfléchi. Jusqu’à la fin de tes règles ta carte blanche est sans condition, tu peux faire l’amour où tu veux, comme, quand, avec qui tu veux et hors ma présence.
-C’est vrai? Tu es vraiment trop bon. Comment te remercier? Mais pourquoi?
-Si un type consent à plonger sa quéquette dans le sang menstruel ou dans la terre jaune, c’est qu’il est en situation de misère sexuelle extrême et c’est un devoir pour toute honnête femme de lui faire la charité en lui accordant ce minimum de secours.
-Dégoûtant! Tu ne changeras plus. Et moi, j’écoute tes âneries. A propos, tu me changeras la coupelle?
-C’est le travail des heureux bénéficiaires. Que ceux qui te pénètrent se donnent la peine de préparer leur chemin. En attendant tu peux te mettre un tampon. Par habitude et pour te plaire, à ta demande ancienne, je te fiche la paix pendant tes règles, donc pas d’obligation. En cas de besoin, fais appel à Léo, il adore te cajoler, te tâter le minou ou y enfourner des trucs.

Baignade, jeu de boules, courses, repas, promenade en bord de mer, dans les terres, sieste. Mylène disparaît, réapparait, tantôt heureuse, tantôt maussade. Souvent elle part avec Léo et Léa, parfois seule. Je me traîne, sans ressort, victime de la chaleur et démoralisé. Ils vont au bal. Pas moi.

-Mon amour, demain vendredi mes règles disparaissent. Tu sais, je n’ai pas utilisé ta carte blanche +. Je n’aurais pas pu si j’avais voulu: Léo et Léa ne m’ont pas lâchée. Et Léo n’a plus rien eu, je l’ai puni, pour le plus grand bonheur de Léa. Alors pour demain soir à vingt-et-une heures, j’ai organisé une petite sauterie ici, et mes jeunes copains sont d’accord pour que la fête se déroule avec Léo et sa femme et devant toi. Ils admirent tous ta conduite avec moi, ils te trouvent formidable, tu es un modèle de tolérance. Et à minuit nous irons tous à la plage pour le bain de minuit. Tu viendras avec nous?
-Mais oui.
-Chouette la semaine prochaine sera fabuleuse. Je t’aime.

Le vendredi en dehors des heures de repas elle s’est absentée sous prétexte de préparer la réunion du soir. Je l’ai aperçue à la piscine allongée sur un transat à côté de Léo. Curieusement sans le maître nageur. En passant à côté d’une cabine, j’ai entendu des gémissements, des chut, des halètements. Je me suis assis à proximité sur un tronc d’olivier coupé. De la cabine est sorti le fameux Gérard, il a examiné les environs et s’est dirigé vers le bassin. Au bout d’un moment est sortie Léa. Elle a examiné les environs, m’a vu et m’a rejoint.
-Jean, tu as vu? Oui? S’il te plaît n’en parle ni à Léo ni à ta femme. Je leur ai dit que j’allais prendre une douche au bungalow pour me rafraîchir.
-Je n’ai rien vu. Mais ce qui coule sur ta cuisse gauche n’est pas de l’eau. Va te doucher, imprudente
-Si tu veux, mais je voulais savoir ce que vaut ce gaillard. Entre lui et toi il n’y a pas photo. Tu es le meilleur. Alors, si ça te dit, où tu veux, quand tu veux, comme tu veux. Mais motus, s’il te plaît.
-Tu n’as pas besoin d’acheter mon silence. Réajuste ton maillot de bain, il est enroulé là, entre tes cuisses.
-Oh! Merci.

Il est dix-sept heures trente. Tout est prêt. Je suis sur un transat dans l’herbe, devant le bungalow où Mylène se promène nerveusement sur les matelas étalés. Léa passe dans un nouveau maillot de bain, me regarde, entre chez Mylène. Des bribes de conversation me parviennent. J’aurais l’air bizarre dit la voisine. Elle nous quitte. Mylène m’appelle
-Jean, j’ai besoin de ton avis.
Je me déplace. Elle a pris l’habitude en peu de temps de ne plus m’appeler « chéri », même quand nous sommes seuls.
-Que penses-tu de la disposition des meubles. Tu seras bien sur ta chaise dans ce coin?… Tu ne réponds pas? Qu’est-ce qui ne va pas? Je vois bien que tu rumines, d’ailleurs c’est Léa qui me l’a fait remarquer. Alors
-Qui suis-je pour toi, Mylène, quelle importance ai-je à tes yeux?
-Mais tu es mon mari et tu es tout pour moi. Cette fête je l’ai préparée en ton honneur, pour satisfaire pleinement ton fantasme.
-Que vas-tu faire pendant cette « fête »?
-Tu le sais, je ferai l’amour avec Léo et trois partenaires, devant toi, pour que tu puisses te réjouir de me voir heureuse avec eux.
-T’ai-je épousée pour te voir faire l’amour avec d’autres et m’as tu épousé dans l’unique but de me faire des démonstrations de jeux amoureux?
-Pourquoi, ça ne te fait plus plaisir? Tu aurais pu le dire avant. Maintenant il est trop tard pour décommander. Tu ne sais plus ce que tu veux. Dis-moi ce qui ne va pas. Sois clair et précis, je ferai tout mon possible pour te dérider.
-Voilà: je suis ton mari, est-ce que cela signifie que je suis uniquement le spectateur de tes relations sexuelles? Est-ce que le mari tolérant passe toujours après les autres, suis-je la cinquième roue du carrosse? Tes règles passées, tu te jettes sur les braguettes du camp, mais tu oublies la mienne…
-Ah! Tu veux participer. Je suis heureuse de l’apprendre. Ca va contrarier nos plans, mais on s’arrangera. Tu aurais pu te déclarer hier. On te trouvera une place dans le scénario. Par exemple dans les changements de tableaux tu pourrais me nettoyer la chatte, me sucer et me débarrasser des fluides. Euh! Non, c’est le rôle de Léo. Vous pourriez partager, une fois l’un, une fois l’autre. Et même vous battre pour avoir la place. Ca te plairait?
-Absolument pas. Veux-tu te moquer de moi. Pour être clair cette fois, je suis ton mari comme tu sembles parfois t’en souvenir. Tes règles sont passées, nous n’avons pas fait l’amour depuis une semaine et tu sembles ignorer que j’ai toujours eu du plaisir à t’aimer et à te rendre heureuse. Je réclame le droit d’être le premier à te posséder après tes règles. Jusqu’à présent, si je suis bien renseigné, c’était ma place et j’étais seul à l’occuper. Le fait de te partager n’inclut pas une rétrogradation. Je veux demeurer à ma place. Les autres après, avec le droit de te lécher et d’aspirer mon sperme.
-Oui, c’est vrai, mais ce soir
-Je refuse de passer après les autres. Cesse de tout sacrifier à l’idée de mon fantasme. Oui je peux ressentir de la joie à te voir heureuse. Mais par-dessus tout, ma joie vient du bonheur que je te donne.
-Ah! Que faire? Je suis maquillée, coiffée. Je te promets que demain.
-Tu tiens à me faire passer après les autres? Demain, il sera trop tard. Pourquoi ton mari ne profiterait-il pas de tes efforts pour être belle et désirable
-Jean, tu me désoles. Il est dix-huit heures. Léa et Léo viendront à vingt heures, les autres une heure plus tard.
-La couche est prête, tu es ravissante, j’ai envie de toi
-Oui, mais si les autres arrivent?
-S’ils t’aiment un tant soit peu, ils seront contents d’assister au spectacle de notre bonheur et ils n’en seront que plus désireux de te faire jouir, mais après moi. Passerons-nous encore longtemps à discuter?
Fermons portes et fenêtres. M’aimes-tu?
-T’ai-je donné l’occasion d’en douter, Jean?
-Oui, hélas.
Oh! Non, comment?
-En traînant au lieu de te jeter dans mes bras alors que le temps presse.
-Me voici, je suis à toi, prends moi vite mon ché… mon Jean.

Le baiser debout, en position instable, après une longue semaine de privation nous unit. Mylène est fiévreuse, pressée. A l’inverse je jouis pleinement de mon privilège de mari. Qui sait, c’est peut-être notre dernier baiser. Je la serre fortement contre moi, je fouille sa bouche, j’essaie de lui transmettre dans ce contact tout l’amour que j’ai pour elle. Sa hâte d’en terminer s’estompe, elle se noue à moi, elle lève sur moi ses jolis yeux. Nos sangs s’échauffent, nos mains vagabondent. Je m’embrouille en défaisant les nœuds de sa blouse et de ses sous-vêtements neufs et sexys.
-Attends, ne déchire rien. Tu vois je te présente ta femme en tenue d’amoureuse. Tu as la chance d’en profiter le premier. Tu es heureux?

Voilà encore. Ce résultat obtenu de haute lutte, devient le don de Mylène à Jean.
-Garde ta culotte, elle est trop belle. Je ferai attention.

Les seins libérés fondent dans mes doigts, je me suis placé dans son dos et pendant que ma bouche dévore la chair de son cou et de sa nuque, mes mains reprennent possession des parties charnues, des hanches de femme de trente ans, un peu enveloppées et mises en évidence par la minceur de la taille. Je passe sur le bombé de l’estomac, descend sur le renflement du pubis et sens avec bonheur les tressaillements de son dos et de ses fesses contre mon ventre. Elle ronronne d’aise et je bande contre ses reins. Elle envoie une main à la rencontre de mon sexe, l’emprisonne. Je fais un écart, elle se retourne, me fait face mais me garde prisonnier. Sa bouche reprend la mienne et son poignet donne à sa main un mouvement souple autour de ma verge. Une semaine sans cette main. Son retour est une bénédiction, Mylène peut le constater dans mes yeux. A mon tour j’allonge le bras pour atteindre sous la toison la surface des grandes lèvres.
-J’aurais dû raser ces poils, qu’en penses-tu?
-Pour moi c’est adorable, je te l’ai déjà dit et jamais tes bouclettes n’ont constitué un obstacle. La nature s’est montrée généreuse avec toi, ce paysage est somptueux. C’est un instant de bonheur de débroussailler pour atteindre le nid désiré. Maintenant si ta question concerne tes futurs hôtes, laisse leur découvrir aujourd’hui ton bas-ventre décoré, de façon à créer leur étonnement en te rasant pour eux à l’occasion de votre prochaine réunion. Ils pourront comparer et te dire leur préférence soit pour la moustache soit pour un pubis de fille impubère. Gérard t’a-t-il orientée vers une solution.
-Non, mais il s’est effectivement amusé à dénicher mon vagin. C’est vrai et tu l’as vu.
-Mes doigts sont habitués, mon majeur est passé et touche déjà tes lèvres humides. Je t’aime, Mylène, ma chérie.
-Allongeons-nous mon chéri. Dans ma main ton pénis enfle et sursaute.
Nous connaissons une sorte de renouveau. Le parcours cahoteux de cette semaine de vacances nous a rapprochés. Mylène, sans façon s’est couchée sur le dos, a ouvert ses jambes et relevé ses cuisses. Sous mes yeux, les poils se sont séparés, la fente d’amour est apparue, timide, comme une fleur prête à éclore. J’ai plié les genoux, j’ai regardé ce frifri offert et je lui ai fait un baiser amoureux, je l’ai ouvert du bout de ma langue et j’y ai plongé les doigts. Le jus qui les a accueillis m’a montré l’attente où vivait ma belle. Sur elle je me suis couché, en elle mon sexe a pénétré et nous avons longuement savouré le bienfait de cette union renouvelée. Des caresses réciproques, calmes, ont multiplié la joie de ces retrouvailles. Nos corps ont trouvé le mouvement et le rythme. Les gémissements doux de Mylène m’ont comblé, je l’ai fait jouir une première fois. Dans ses yeux j’ai retrouvé ces étincelles, j’ai su qu’elle était physiquement heureuse et elle m’a répété qu’elle m’aimait.
Léa a mis fin à notre union. En hâte nous avons remis de l’ordre dans notre tenue.
-Vous alors! Comme si c’était le moment. Regardez-moi ça. Mylène, vite à la salle de bain. Ton maquillage a coulé, tes cheveux sont en bataille. Viens que je te rende présentable. Jean tu n’es pas raisonnable.
-Que se passe-t-il? a grogné Léo dans la porte.
-Rien de particulier, ai-je assuré. On ne commence pas un match avec des muscles froids, j’ai donc entamé l’échauffement de ma chère femme. Ca l’a un peu dépeignée, mais je peux assurer que ses réactions sont excellentes. Vous allez bien vous amuser.
-Bof! On m’a assigné une tâche étrange ce soir. Je devrai recueillir les sécrétions de ces trois messieurs. Ils auraient pu engager un chien pour lécher le minou souillé. Une bonne langue de chien, bien rappeuse aurait ajouté du plaisir au plaisir. Mais si j’y mets le bec, je ne lâcherai pas le morceau aussi facilement. Mylène saura qui est au gouvernail et je te jure que tu l’entendras me supplier d’arrêter

Elles sont revenues, Mylène est venue m’embrasser:-
-Ca va mieux, mon chéri. N’oublie pas que je t’aime.
Impatiente, elle sort pour accueillir ces garçons qui l’ont séduite et qu’elle a engagés pour cette joute particulière. De ma chaise j’entends les embrassades, des cris de surprise et de joie.
-Comment, tu as pu venir, ils t’ont lâché. Quel bonheur. Venez que je vous présente.
Les trois mousquetaires sont quatre. Il y a Henri, Paul, Ahmed et, c’est la surprise, en marcel, tous muscles dehors, l’inattendu Gérard. Léa file doux, yeux baissés, Léo prend de haut celui qu’il a extirpé du sein de Mylène il y a huit jours. Le maître nageur me tend la main.
-Gérard. Tu es Jean, il paraît que tu me connais déjà. Permets-moi de louer au nom de tous ton esprit de tolérance et les preuves d’amour que tu donnes à Mylène. Tu en fais une vraie femme, complète, sans complexe et ça ne fait que rajouter à sa beauté. Merci, cher Jean, de nous offrir avec elle l’immense plaisir de faire l’amour à une merveilleuse créature.
-Tout le plaisir sera pour moi.

Comme dans un ballet bien ordonné, le groupe se scinde. Bizarre. Gérard attire Mylène dans le coin de la table. C’est pour échanger un baiser ardent, ce baiser que j’avais recommandé à mon épouse de réserver à son mari. C’est un défi. Ca commence bien! Ils sont enlacés, bouches cousues, se frottent avec envie. Qu’on ne me dise pas que Gérard n’était pas prévu; on me joue la comédie et l’effet de surprise est une supercherie, il doit faire taire mon envie de protester. Leur baiser dure, Gérard explore la bouche, la langue, ira-t-il jusqu’à l’estomac? Ils respirent fort quand leurs poumons se délivrent. L’étreinte se transforme, les seins de Mylène sont mis à nu, empoignés et pressés, jusqu’à la douleur et à la plainte. Elle répond en mordant les lèvres qui la font taire et elle envoie sa main sur la ceinture du pantalon. Leurs gestes aboutissent. Le torse de Mylène a perdu sa garniture de tissus et de dentelles et le pantalon de Gérard tombe sur ses pieds.

A l’autre bout, Léa a également perdu sa blouse mais son soutien -gorge demeure, il est passé au-dessus des seins et les rabat au lieu de les soutenir. Léa est accroupie ou à genoux selon son activité. Elle est entourée par Ahmed, Henri et Paul. Dans le cercle, Léo s’est fait une place, il est le mari et sa présence est justifiée. Léa donne des mains et de la bouche. La queue d’Ahmed, une longue tringle mince et dénuée de prépuce tient dans la menotte droite. Tient? Ca dépasse à chaque extrémité et même à deux mains Léa ne la cacherait pas. Dans la gauche Léa agite le manche épais et court de Paul et d’instinct la jeune assistante a pris en bouche un braquemart de taille plus que respectable, le plus impressionnant dans cette pièce, la sucette de l’ami Henri tout fier de ses dimensions, à croire qu’il y est pour quelque chose. Qui a dit que tous les hommes sont égaux?

Gérard a poussé un cri de surprise. Mylène a attrapé sa queue un peu fort et fait glisser sa main le long du sexe du bienheureux élu. J’ai eu droit à ce traitement et je connais son efficacité. Mylène m’a regardé et a haussé les épaules, complice. Comme moi Gérard trouve la parade, il abandonne les caresses sur les seins et les côtes de ma femme, pose ses mains sur ses épaules et la met à genoux. Elle n’a pas besoin d’explications, ses mains forment une coquille à la base du membre et ses lèvres viennent embrasser le sexe placé à sa hauteur. C’est une fellation de charme, faite pour séduire et convaincre, toute en douceur et limitée aux quatre ou cinq premiers centimètres de cette hampe. Gérard se tourne vers moi et du pouce levé me fait savoir combien Mylène est habile. De la tête j’approuve; s’il croit m’apprendre quelque chose ce morveux. Qui a tout appris à ma femme? Il est un peu trop jeune, juste assez mûr pour bénéficier de mon enseignement. Il encourage Mylène en posant une main dans ses cheveux et en taquinant ses seins de l’autre main.

De l’autre côté Léo occupe la bouche de sa femme, Ahmed a changé de main, Henri remplace Paul et Paul s’est placé derrière la croupe de Léa. Il hasarde des doigts sur le bas de la minijupe, se penche mais découvre comme moi que le fessier est emballé dans une ample culotte de coton blanc. Je vois là toute la roublardise de Léo. Il a obligé Léa à protéger ses arrières. Paul ignore le coton, ou plutôt exagère ses frottements sur le bandeau protecteur. Léa bondit et retombe sur la main qui insiste. Ahmed n’est pas venu tenir la chandelle. Léo doit quitter la bouche et la laisser à la longue tige. Mais Ahmed n’est pas un sauvage. Lui aussi sait se contenter de bisous et de léchouilles ou d’une introduction limitée. C’est Léa qui veut savoir si elle peut recevoir la totalité du morceau. Léo fait les gros yeux, Léa contracte ses mains sur Henri et sur Léo et pousse sa bouche sur la longue cheville enfoncée. Par étapes successives elle y arrivera. Elle retire sa tête, crache sur le sexe et le reprend. Le vilain mari jaloux pince un sein pour bloquer son élan. Paul occupé à passer ses mains sur la culotte de coton, se lasse et vient voler la place de Léo réduit à regarder l’un coller son ventre au nez de Léa, les autres se laisser masturber et jouer avec les deux seins secoués par les attaques d’Ahmed. Léa ne faiblit pas, branle et suce vaillamment, sous l’œil soucieux du collègue de Mylène. Il est mort de jalousie. Ca lui apprendra à courir après ma femme. Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse!

Gérard se met en marche arrière à petits pas et Mylène le suit, rampe sur ses genoux, la queue dans sa bouche est comme un crochet, ses mains se tiennent aux jambes. Le couple rejoint l’autre groupe. Gérard décide d’un entracte.
-Les filles entretenez le feu. Les garçons venez avec moi dehors. Léo profite du temps libre avec Léa et Mylène, gardez les à bonne température. Ca va Jean, heureux?

Ils sont sortis. Léo embrasse Léa, puis Mylène. Cette mission est plus intéressante. Et Mylène en string l’inspire. Il caresse les deux femmes, ses mains se posent sur les renflements des pubis, mais de façon plus franche et plus appuyée chez ma brune. Mylène ne manque pas une occasion de me faire un petit signe ou de me sourire, en quête d’approbation. Dehors le ton monte peu à peu.
-Je vous dis patientez
-Facile à dire. Et nous aussi on a droit à Mylène
-Vous l’aurez tous, mais pour l’instant patience. Celui qui crache son foutre avant la fin de l’heure sera hors-jeu.
-Moi je peux cracher cinq ou six fois. La règle est trop stricte.
-Ecoutez, le vieux con est d’accord, alors il faut lui faire plaisir. Je vous laisse Mylène, je m’occupe de la blonde. Léo, le mari va vous lâcher. Je veux entendre gémir la petite femelle. Tout sauf du jus pendant la prochaine demi-heure. Le cocu veut l’entendre jouir, alors faites la gueuler, comme à l’entraînement.

L’entraînement? Je croyais que Mylène n’avait pas utilisé sa carte blanche. Elle se serait entraînée, ils auraient mis au point le scénario. Ca explique ses absences et l’impossibilité d’organiser nos journées. Elle a tout sacrifié à son envie de cul. Pourquoi m’a-t-elle menti? Je lui avais donné totale liberté. Cette fois j’ai mal. Cette fois je me sens vraiment cocu.
-Psscht, pas si fort, ils vont nous entendre.
-Pas de risques, ils sont trop occupés. Regardez par la fenêtre. Léa embrasse Mylène et lui pince les tétons et l’autre grand con s’étouffe entre les cuisses de la brune. Oh! Mais il lui fait de l’effet, elle cambre son dos, se secoue. Vite reprenons la main.

-Ca va Jean, tu es satisfait de ce début?
Il joue à se payer ma fiole le bodybuildé. Il y a une minute dehors il me traitait de vieux con et de cocu et là il me sourit. Faux cul!
-Si vous voulez prendre un bain de minuit, il faudrait accélérer.
Les trois autres partagent mon avis, mais Gérard a dit. Ils sont étrangement disciplinés.

Gérard tend la main à Léa. Léa, hypocrite, joue l’étonnée, Léo pour rester doit l’encourager à gagner le coin où est poussée la table, mais il suit. Mylène s’est relevée pour se dégourdir les jambes et s’essuyer le visage en sueur. Léo n’a pas chômé. Sa dernière interprétation d’un air de mandoline sur les cordes sensibles du vagin de Mylène a eu un succès retentissant, il a vraiment devancé les autres dans ce domaine et elle a chanté son plaisir. Je devrais sauter de joie. Mais les nouvelles de l’extérieur m’ont sapé le moral.
Henri se place dans le dos de ma femme, tient un sein dans sa main droite, le modèle à son goût, y enfonce ses doigts, joue avec cette pâte malléable, sa gauche passe sur le ventre, l’auriculaire chatouille le nombril. La main arrive à la ficelle du string, passe dessous, descend, fait une bosse sous le mince tissu, une bosse qui bouge, les doigts cherchent le point vulnérable. Paul assis entre les jambes les palpe et les masse, des pieds jusqu’au creux en haut des cuisses et Ahmed fourre sa langue dans la bouche de Mylène. Ils attaquent à trois, touchent toute la surface de peau et recherchent les points névralgiques. Ne pas éjaculer pour l’instant mais la faire gueuler de plaisir devant son vieux con de cocu heureux; c’est la consigne. Qui veut participer doit s’y plier. Mylène ne résiste pas à l’assaut, ses genoux plient, elle veut s’allonger sur la couche. Ses compagnons l’assoient sur la banquette qui fait office de canapé et de lit. Paul se précipite, tire sur le string, l’enroule derrière une fesse qui s’est levée pour faciliter le geste: la foufoune poilue l’émerveille, il y plonge les doigts. Je vois.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Bungalow 6 Partouze pour un cocu heureux
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Veilleur

enceinte: qui est le père? - Récit érotique publié le 07-08-2012
Complot pervers - Récit érotique publié le 06-08-2012
Une tribu d’obsédés sexuels - Récit érotique publié le 04-08-2012
Une gamine géniale - Récit érotique publié le 02-08-2012
Du trio au quatuor - Récit érotique publié le 30-07-2012
On ne peut pas toujours dire NON - Récit érotique publié le 24-07-2012
Lesbienne ma femme ? - Récit érotique publié le 18-07-2012
De l'eau dans le gaz - Récit érotique publié le 14-07-2012
Insatisfaite, envieuse et vicieuse Véro - Récit érotique publié le 11-07-2012
La queue entre les jambes - Récit érotique publié le 03-07-2012