J’aime les soldes ! (3)

- Par l'auteur HDS André-pierre -
Auteur couple.
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Récit libertin : J’aime les soldes ! (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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J’aime les soldes ! (3)
C’est la fin de l’après midi je rentre de chez Micheline après ce mémorable après
midi. Je me rends à l’hôtel pour me doucher me changer et j’appelle Monique. Je tombe
sur Corinne qui me dit qu’ils ont fini les courses et sont à l’hôtel, j’entends des
bruits et avant que je pose la question Corinne me dit que Monique est occupée, je
demande : avec Michel ? Non avec deux jeux hommes qu’elle a draguée, puis elle ajoute
Michel est parti avec deux hommes qui l’ont dragué. Je te raconterai, et toi ? Je lui
explique rapidement et lui demande si elle a des nouvelles de Virginie, nôtre
vendeuse, elle me dit que oui, le rendez vous est confirmé pour 20h et elle a
l’adresse. Je me repose un peu quand on frappe, j’ouvre Michel est là l’air fatigué,
il me dit qu’il est vanné car ils vient de passer deux heures avec deux vicieux comme
pas permis, je voulais rentrer à l’hôtel mais Corinne m’a dit que Monique était en
train avec deux jeunes hommes et que je n’avais qu’à aller chez toi car tu sortais
avec elle pour retrouver vôtre vendeuse d’hier. Il me raconte qu’il a été dragué par
deux hommes 40ans environ et les a suivi chez l’un deux, là il a commencé à baiser
avec eux et bientôt trois autres sont arrivés, tu imagines me dit il ! Je me suis
retrouvé a en enfiler un en me faisant défoncer le cul tout en suçant et branlant les
trois autres, on a baisé ainsi jusqu’épuisement, j’ai mal au cul, aux couilles et à la
queue ainsi qu’aux tétons. Il se déshabille et je vois ses tétons bien rouges bien
étires et il me dit regarde et écarte ses fesses : son cul est légèrement béant. De
plus il sent le foutre à pleines narines et en a sur le corps par plaques séchées. Je
l’envoie à la douche tout en guettant l’heure, Michel sort propre comme un sou neuf de
la douche et je lui dis couches toit reposes toi, je passe chercher Corinne pour nôtre
rendez vous. Corinne m’attend devant l’hôtel en souriant et elle me dit ta femme a
demandé aux deux types si ils avaient des amis et deux autres mecs viennent d’arrivés,
elle va passer une sacré nuit ! J’espère lui dis-je. Je cherche l’adresse que virginie
nous a indiqué et j’arrive devant un petit immeuble, je me gare puis nous entrons.
C’est au rez de chaussée, on sonne, la porte s’ouvre Virginie est en robe courte et
mules les cheveux en chignon, on entre et à peine la porte fermée Corinne l’attrape et
lui roule une pelle profonde. Virginie se colle contre elle et la tripote fébrilement,
passant derrière elle je lève sa robe baisse sa culotte en coton avant de passer ma
main entre ses cuisses. Corinne a ôté sa robe et apparait nue avec juste ses bas et
ses talons hauts, Virginie se met à lui travailler les seins avec ses mais et sa
bouche pendant que je branle les deux doigts que je viens d’introduire dans sa chatte
trempée. Elle gémit bientôt et aussitôt je m’arrête puis je recommence m’arrêtant à
chaque fois qu’elle va jouir. Elle devient folle et Corinne s’allonge dans l’entrée en
lui disant : lèches moi ! Virginie s’exécute comme une furie, je me mets nu et passant
derrière je l’enfile et commence à aller et venir et elle part d’un coup, du liquide
me coule sur la queue, les cuisses. Je lime encore plus fort et plus vite elle jouit
encore comme une furie me broyant la queue et gueulant comme une malade. Sa chatte
reste serrée sur ma queue et elle halète. Corinne lui replonge la tête entre ses
cuisses et bientôt jouit sous les doigts et la langue de Virginie. J’ai sorti ma queue
toute raide et trempée et passant devant je la tends à Virginie et lui dis : suces
salope ! Elle me suce à mort et quand je sens que je vais jouir je tiens sa tête,
surprise elle ne s’étouffe pas et garde mon foutre en bouche. Elle attrape alors la
tête de Corinne entre ses mains et lui roule une pelle monstrueuse. Du foutre coule
aux coins des lèvres, puis on se relève et Virginie nous dit alors : vous prendrez
bien un café ? Cela semble incongru après ce que l’on vient de faire et on part à
rire. Je demande alors où sont les toilettes, Virginie m’y conduit pendant que Corinne
va s’asseoir au salon. Arrivé aux toilettes je vois Virginie mater ma queue et rougir,
je lui demande si il ya quelque chose de particulier qu’elle aimerait ? Elle me
murmure :
- cela te gênerait que je te boive ?
- T’es uro ?
- Oui.
- Pas de problème !
Elle s’assied sur la cuvette et prend ma queue en bouche et là j’essaie de pisser
doucement. Elle me boit comme une vieille habituée et je remarque qu’en même temps
elle-même pisse en se caressant. Quand j’ai fini elle essuie ma queue avec sa bouche
et se levant m’embrasse à pleine bouche et me demande le même service, enfin si je
veux ! Je me mets à genoux et lui nettoie la chatte avec ma langue, elle gémit et
ferme les yeux. J’en profite pour constater qu’elle a un clito court mais très épais
et je le lui suce. Elle a un nouvel orgasme et serre ses cuisses sur ma tête à me
faire mal. Quand elle relâche son étreinte je me relève et on se roule une pelle
longue et profonde. On regagne le salon où Corinne nous dit en souriant : alors et moi
? Virginie nous sert un café et on lui demande si il lui arrive souvent ce genre
d’aventures avec des clients, ce à quoi elle répond que cela arrive et qu’elle a déjà
fait d’incroyables rencontres de gens qui sous des dehors austères étaient de vrais
pervers. Discrètement je prends une des pilules que Roger m’a laissées. Puis on
installe Virginie sur le canapé entre nous deux et on commence à la tripoter, elle
ferme les yeux et se laisse faire. Bientôt je me mets à bander comme la veille, à en
avoir mal, la queue très raide. Corinne se met à quatre pattes et écartant les cuisses
de Virginie commence à la lécher et la doigter, je vois qu’elle lui doigte chatte et
cul. Virginie écarte largement les cuisses et tend son cul. Passant derrière Corinne
je lui fais une petite langue et elle gémit tendant son cul encore plus, je lui
travaille alors avec deux doigts. Quand je sens que c’est dilaté suffisamment je me
mets à genoux derrière Corinne et l’encule d’un coup, elle râle et me crie : enfin !
Je lui ramone le petit trou à grands coups. Une de ses mains a glissé entre ses
cuisses et elle se branle le clito tout en continuant à lécher Virginie qui part dans
un nouvel orgasme en serrant ses jambes sur Corinne. J’accélère le rythme Corinne
comme à gémir puis décolle en criant son plaisir. Je continue à l’enculer et elle part
pour la deuxième fois, dans un dernier coup de reins je jouis en sentant le cul de
Corinne se serrer à mort sur ma queue et en ayant l’impression, comme la veille,
qu’une main me broie les couilles. Virginie me regarde excitée et me dit viens donnes
moi ta queue ! Je décule, me lève et viens donner ma queue à virginie qui s’en empare
et la suce et lèche goulument, la nettoyant ainsi de mélange de foutre et autre qui la
barbouille. Ensuite elle fait venir Corinne, la fait pencher devant elle cul tendu et
fourre sa langue dans le cul de Corinne puis lèche et aspire. Corinne gémit et murmure
: t’es une vraie salope ! Après cela on prend une douche et Corinne me dit qu’il
faudrait songer à rentrer, on s’habille et on prend congé de Virginie en lui disant
qu’on la rappelle. Dehors Corinne me dit : je n’ai pas rêvé, elle est tendance uro-
scato ? Je confirme en souriant. On passe voir où en est Monique, mais la chambre est
vide, j’appelle alors et elle me dit qu’elle a fini et est rentrée se reposer à
l’hôtel où elle a trouvé Michel endormi. Elle me dit : vous n’avez qu’a rester tous
les deux et on se voit demain matin pour le reste des courses. Je raconte cela à
Corinne qui en souriant me dit : super je vais t’avoir pour moi seule ! Elle me
caresse la queue à travers le pantalon, je recommence à bander, elle me dit en riant :
mais t’es un satyre ! Elle se met totalement nue et on s’enlace tendrement en se
caressant doucement langoureusement comme des amants. On s’embrasse goulument,
langoureusement sur tout le corps avant de commencer un 69 lent où l’on s’arrête a
chaque fois que l’on sent l’autre prêt à jouir. On fait cela longtemps quand d’un coup
Corinne hurles : baises moi, maintenant ! Puis elle s’allonge en relevant ses jambes
que je prends sur mes avant bras tout en l’enfilant doucement tendrement. Elle gémit
et râle et je vais et viens lentement avec de grands et profonds mouvements. Elle
jouit rapidement et je continue au même rythme, elle a encore deux orgasmes puis un
dernier qui la tord dans tout les sens en grimaçant. Je sens sa chatte qui serre ma
queue dans un spasme qui n’en finit pas, je m’arrête, elle se relâche essoufflée
haletante. Avec elle m’attrape m’attire le visage vers elle et m’embrasse doucement
amoureusement et m’étreint d’un coup contre elle, serrant ses jambes autour de moi, ma
queue restée en elle. Elle caresse doucement mon visage et m’embrasse doucement
longuement puis me dit : tu n’a pas jouis mon amour, allonges toi laisses toi faire.
Ce qui me surprend c’est le mon amour mais je m’allonge et elle descend entre mes
jambes et me prenant en bouche me suce lentement tout en me malaxant les couilles
doucement. Elle lèche mon gland doucement, fourre le bout de sa langue dans mon méat
et en même temps branle la hampe de ma queue d’une main et avec l’autre main elle
griffe doucement le dessous de mes couilles. Elle s’arrête quand elle sent que je vais
éjaculer puis recommence. J’en peux plus au bout d’un moment j’ai la queue et les
couilles qui me font mal. Je lui crie alors : finit moi, fais moi jouir ! Elle enfonce
sa bouche autour de ma queue suce lentement sans s’arrêter et je lâche de longs jets
de foutre qu’elle avale. Elle nettoie ensuite ce qui finit de couler et remontant vers
moi elle m’embrasse en se lovant comme une chatte contre moi. Doucement elle me
murmure qu’elle veut qu’on se repose maintenant pour que je puisse remplir plus tard
sa chatte de mon foutre ainsi que son cul. On s’endort ainsi. Je sursaute, on frappe à
la porte, je crie entrez, c’est la femme de chambre, petite femme forte d’environ
45ans, qui amène le petit déjeuner. Corinne est lovée contre moi et s’éveille
doucement. Elle me sourit et m’embrasse doucement en me disant : bonjour mon amour et
une de ses mains sous le drap me caresse la queue. La femme de chambre a vu le manège
et mate discrètement en déposant le plateau sur la table. Corinne la regarde et lui
dit merci en souriant et écarte le drap on apparait nus et on voit la main de Corinne
qui branle ma queue raide maintenant. La femme de chambre rougit mais ses yeux restent
fixés sur cette queue raide que la main de Corinne branle doucement. Cette dernière
dit en souriant : il est viril mon homme hein ? La femme de chambre sort en rougissant
et je demande à Corinne pourquoi elle a fait cela ? Elle me dit j’étais fier de
montrer mon homme, celui qui me fait jouir ! Je lui dis : et Michel ? Elle répond que
c’est autre chose, que je suis la réponse à certaines de ses attentes. Elle me branle
toujours et me dit : prends moi de suite ! Je la fais mettre en levrette et l’enfile
doucement tendrement, heureux de l’entendre gémir. Je l’ai besogné longtemps et elle a
eu plusieurs orgasmes quand enfin j’ai explosé en elle. On s’est alors écroulés l’un à
côté de l’autre puis on s’est enlacés et embrassés longuement, voyant alors l’heure je
lui ai dit : déjeunons, on doit retrouver Michel et Monique à Glenn Mac Arthur. On a
déjeuné comme deux amoureux et pris nôtre douche ensemble puis quittés l’hôtel bras
dessus bras dessous. Dans le hall on a croisé la femme de chambre, Corinne la
regardant m’a passé la main au paquet puis a sourit et nous sommes sortis. Comme nous
montions en voiture mon téléphone a sonné, c’était Monique qui me dit : passez à
l’hôtel, on n’est pas prêt ! Sur le chemin mon téléphone sonne, c’est Micheline qui
demande si je suis libre demain après midi, je lui réponds : normalement oui mais que
je la rappelle d’ici ce soir pour lui confirmer. Arrivés à l’hôtel nous montons pour
trouver Monique et Michel en train de finir de s’habiller. Monique me dit aujourd’hui
journée sage, on récupère. Je regarde Corinne qui acquiesce en prenant mon bras, puis
ajoute : nous n’avons qu’a finir toutes nos courses aujourd’hui comme cela on pourra
faire ce que l’on veut les deux derniers jours. Monique sourit et dit : bien c’est
convenu comme cela. Corinne dit : je garde André-pierre tu gardes Michel ? Monique rit
et dit : tu l’aimes bien mon homme, c’est d’accord. On prend un seul véhicule et on
part, tout le reste de la matinée je déambule avec Corinne à mon bras en faisant mes
dernières emplettes. Souvent elle me regarde et me sourit puis m’embrasse dans le cou
ou sur la joue, quand je demande pourquoi elle me répond en souriant : pour rien,
comme ca. On déjeune ensuite tous les quatre comme de très vieux complices, incroyable
comment une telle connivence s’est nouée aussi vite. Corinne qui est assise en face de
moi me masse la bosse sous la table avec son pied. On prend un café en silence puis on
repart finir les achats, je dis alors à Corinne : tu veux venir avec moi chez
Micheline demain ? Elle me dit très vite : bien sur ! Je rappelle donc Micheline et
lui dis que c’est ok, elle ajoute : tâche d’être en forme. En fin d’après midi on
rentre et on discute de ce que l’on va faire ce soir et éventuellement cette nuit.
Corinne dit de suite qu’elle aimerait m’avoir pour elle seule ce soir et cette nuit,
Monique sourit et répond que c’est sans soucis j’ai des projets pour Michel et moi.
Michel rougit, Monique a déjà du élaborer un plan qu’elle lui a exposé. Je leur dis :
ok on vous laisse mais rendez vous demain midi ici et on se raconte tout. Je pars
alors avec Corinne direction son hôtel, elle me dit j’aimerai qu’on passe la soirée en
amoureux, oh là je m’inquiète, elle ajoute ensuite on verra ! Dans le hall on croise
la femme de chambre on lui sourit et Corinne la regardant bien me malaxe le paquet en
se léchant les lèvres. La femme de chambre devient très rouge mais son regard fixe
cette main qui malaxe une queue en train de bander. Corinne lui fait signe d’approcher
et comme elle ne bouge pas Corinne insiste en parlant à haute voix : vous pouvez venir
ici ? Là elle vient avec l’air gêné, Corinne lui demande à quelle heure elle finit,
elle murmure presque en disant : 22h madame. Corinne d’une voix autoritaire, la main
toujours sur ma bosse, lui dit : passez nous voir après vôtre service. On monte
Corinne se change, met un soutien gorge noir, des bas auto fixant noirs, passe dessus
une robe noire et bleue moulante pour finir par une paire d’escarpins à lanières à
très hauts talons qu’elle a acheté aujourd’hui avec moi. Elle se maquille et en
souriant me dit : allons diner maintenant. Le diner se passe dans la bonne humeur et
les rires, Corinne boit un peu et se raconte, elle me caresse avec son pied sous la
table. Il est 21h30quand on finit nos cafés et que je règle l’addition. Nous regagnons
la chambre et je dis à Corinne que la femme de chambre ne viendra pas, elle me sourit
et me dit : si, si elle va venir je l’ai vu dans ses yeux, une occasion d’échapper à
sa routine cela ne se refuse pas. Elle me dit mets toi à poil et branles toi, elle va
venir. Je guette l’heure quand soudain on frappe, Corinne ouvre : c’est elle. Corinne
la fait entrer et elle me voit nu en pleine érection, ses yeux sont fixés sur moi.
Corinne lui fait ôter son manteau, elle apparait avec une petite robe, qui moule ses
grosses formes, les jambes gainées de noir, sans doute un collant, des chaussures à
petits talons. Corinne venant vers moi la regarde me fixer et prenant ma queue pour la
branler elle lui dit : t’as envie de mon homme, je le sais alors je te l’offre pour
une nuit, maintenant devant moi ! Elle rougit, je m’approche, commence à la peloter,
comme elle ne dit rien je dépose un léger baiser sur ses lèvres et relève sa robe et
pelote son cul, je découvre qu’elle a bien un collant. Corinne allume les lampes de
chevet et éteint la lumière, je prends la main de la femme et la pose sur ma queue.
Elle la referme dessus tenant sa main sur ma queue je commence à la faire aller et
venir elle me regarde et respire vite, je l’embrasse doucement. Je lâche alors sa main
et elle continue à me branler frénétiquement, je l’arrête pour défaire sa robe puis
j’ôte son soutien gorge et commence à malaxer ses énormes seins tout en suçant
doucement ses très gros tétons courts. Elle respire plus vite et je m’agenouille,
lâchant ses seins je descends doucement le collant et la culotte en coton. Elle est
très poilue, le poil descend en pointes sur le haut des cuisses et cela sent la
femelle. Très excité je l’attire vers le lit, elle ne semble plus faire attention au
fait que Corinne est assise dans un coin sombre et regarde. Je l’allonge et doucement
lui fait écarter les cuisses pour y plonger ma tête, elle ne bronche pas et se laisse
faire j’écarte les poils et dégage doucement son clito, non de non il est énorme ! A
la fois long et épais, une bitte miniature ! Je le lèche doucement puis le suce, elle
râle et gémit je doigte sa chatte velue : elle est trempée cela dégouline, elle sent
la femelle, la sueur et l’urine, c’est très excitant. Je continue ainsi jusqu’à ce
quelle jouisse en gémissant et haletant. Me redressant je prends ses jambes sur mes
avant bras et l’enfile d’un coup, elle gémit doucement en fermant les yeux et je la
besogne lentement profondément je sens qu’elle dégouline et m’inonde les couilles et
sa chatte se serre sur ma queue. D’un coup elle repart pour un orgasme plus violent
que le précédent. J’accélère mon va et vient, sa chatte se desserre puis d’un coup, se
serre avec une puissance que j’ai rarement rencontré et elle se tord en se mordant les
lèvres et en haletant très fort puis se relâche en criant : oh oui ! J’accélère encore
et comme elle se tord en grimaçant à nouveau je lâche de longs jets de foutre. Elle
crie alors : ouiiiiiiiii ! Elle retombe et je me penche, encore planté en elle, pour
l’embrasser elle me saisit, m’enlace et m’embrasse fiévreusement tout en serrant ses
jambes autour de ma taille. Ma queue ramollit et glisse doucement hors de sa chatte.
Je m’allonge à côté et elle m’enlace en m’embrassant puis me dit : il faut que je
rentre mon mari va se demander ce que je fais. Je lui demande de m’excuser je n’ai pas
mis de capote ! A ce moment là Corinne sort de la pénombre et avance vers le lit. Sa
jupe est relevée et elle à la main sur sa chatte et respire vite. Elle regarde la
femme et lui dit : il est bon mon homme, t’as pas du souvent jouir comme cela ni te
taper un mec avec une queue si vaillante. La femme de chambre rougit baisse les yeux
puis elle s’habille tranquillement. Quand elle a terminé Corinne l’enlace et
l’embrasse avant qu’elle ait pu protester. Puis elle ajoute : ton prénom c’est comment
? Elle rougit et dit : Raymonde, en effet pas génial répond Corinne, puis elle lui dit
: si tu veux recommencer tu viens demain matin mais là il y aura une contre partie ! À
toi de voir. Raymonde sort en me regardant à la dérobée puis descend l’escalier.
Corinne referme la porte en disant : je suis sur qu’elle revient demain, mais
maintenant c’est à moi !
Elle se déshabille rapidement, s’allonge en écartant les cuisses et me dit : à moi
maintenant ! Je prends la pilule que Roger m’a donné en me disant que la nuit va être
longue et que je vais avoir intérêt à lui en demander d’autres !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour,
Bravo pour cette histoire très excitante. Elle l'est encore plus à mes yeux car bien
qu'étant parisien je me rends souvent faire les magasins à Troyes.
À ce propos j'avais une question:
Je pense que beaucoup de votre texte est romancé, cependant, l'aventure avec la
vendeuse est-elle réelle?

Libertinement



Texte coquin : J’aime les soldes ! (3)
Histoire sexe : Une rose rouge
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