Gil

- Par l'auteur HDS Huguette34 -
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Gil Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Tags : Lesbiennes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Gil
Il ne s’en n’est jamais douté. Je l’ai épousé pour son fric, même si j’ai avec lui les rapports qu’une femme aimante doit à son époux. Je connaissais André avant mon mariage comme sa collaboratrice dans cette étude florissante d’avocat. Côté dans notre ville comme un excellant défenseur, il était spécialisé dans les crimes passionnels. Le cabinet comprenait 25 personnes, donc l’argent entrait facilement, moi-même j’étais payé deux fois plus que dans une autre étude.
J’en profitais pour me faire remarquer. Il est tombé dans le panneau. Un soir, quand la journée finissait il me demande de venir prendre un courrier dans son bureau personnel. Je vais le voir en ayant enlevé mon string que je range dans mon sac à main.
Il me dicte son petit courrier que je prends en sténo. Puis :
- Vous êtes aguichante ce soir.
- Merci monsieur.
- Voulez vous diner avec moi ce soir.
- Bien sur maître.
- Commençons de suite.
Il se lève pour venir près de moi qui suis toujours assise. Ma robé décolletée laisse voir mes seins nus. Il les regarde avec insistance. Je vois une bosse se former sur son pantalon. J’attends qu’il bande complètement. Je ne demande qu’une seule chose : qu’il commence à me baiser au bureau. Je ne serais pas ma première qui couche avec son patron.
En se penchant sur moi, il voit mieux mes seins. Je reçois sa bouche sur la mienne. Sans attendre il pose une main sur un genou. Il peut le faire, je me laisserais faire jusqu’au bout. Je n’attends qu’une chose, qu’il me branle avant. Il me fait lever pour être en meilleure position pour caresser ma chatte. Il m’excite bien, mais il ne sait pas me faire jouir. Je simule un orgasme auquel il croit. Je sors sa bite pour le caresser aussi. Je sais bien branler les hommes, depuis le temps que je l’ai fait la première fois, avant que….je couche avec une copine avec qui j’ai toujours eu ma dose d’orgasme profonds.
J’aime les filles, même s’il m’arrive rarement de me faire enculer. Mais avec mon patron je voyais les choses différemment. Avec lui j’étais casée. Nous nous sommes bien sur rencontré assez souvent pour baiser. Il ma la mise partout. Je simulais toujours. Les rare fois où je jouissais réellement avec lui était quand il me suçait : il savait bien faire les cunnilingus.
Je suis restée sans fréquenter de femmes pendant trop longtemps. Un peu avant le mariage je lui présentais une belle femme avec qui j’avais des rapports singuliers, ma chérie Gil. Nous nous aimions longuement toutes les deux nues dans un lit. Sapho était notre guide. Elle était mariée depuis un peu plus d’un an pour se caser uniquement. Comme j’allais le faire. Parce qu’on fond mon véritable amour était une autre femme. Mais comment vivre à l’aise sans celui que j’allais épouser. C’est Gil qui allait devenir mon témoin pour le mariage civil, puisque je rejetais le religieux.
Sous prétexte d’enterrer ma vie de jeune fille je passais une bonne partie de la soirée et de la nuit avec elle seule. C’était une véritable nuit de débauche à deux filles seule. Nous aurions pu inviter une autre amie pour partager notre débauche.
Nous étions dans un grand hôtel ou le personnel ne pose pas de questions même s’il se doute que deux femmes seules dans un tel établissement ne sont pas là pour enfiler des perles.
Nous n’avions aucun bagage compromettant, une seule mallette pour nous farder et contenir les engins utiles pour nous rendre heureuses.
Nous sommes arrivées vers 16 heures uniquement pour faire l’amour longuement. Dès l’entrée dans la chambre nous avons traversé le petit couloir qui mène à la chambre proprement dite, oublié les rangements sur le coté droit, vue rapidement la salle de bain pour aller poser nos affaire sur la grande tablette qui longe le mur en face du grand lit, à côté du téléviseur
Nous nous sommes embrassées longuement, calmement, surtout en nous caressant déjà les chattes. Une fois nues, ce qui a été rapide nous nous sommes senties crasseuses : une douche s’imposait. La salle de bain était bonne pour une première jouissance.
Sous la couche chaude, nous avons partagé le jet pour nous caresser les seins, la chatte, le cul. J’ai jouis la première un gémissant. Gil est partie un peu après moi en m’embrassant. En sortant de la baignoire je l‘ai faite asseoir sur le rebord en étant moi, assise sur le tapis de sol.. Elle-même elle a écarté ses jambes pour que la langue fasse ce qu’il faut sur son con.
Ses mains sont sur ma tête comme pour me diriger, moi qui connais toutes les parties de sa chatte. Ce qu’elle veut est des plus simples, ma langue sur son anus. Sa cyprine déborde de son sexe pour venir jusqu’à son rectum. Je raidis un peu ma langue pour pouvoir un peu entrer. Son cul est attirant, surtout pour ma langue ou mes doigts.
J’entre lentement dans son cul. J’ai beau étirer la langue je suis limitée, alors je la ressors avant d’enter à nouveau. Ses pressions sur la tête sont plus fortes. Enfin elle se cabre et jouissant. Elle pose ses deux mains sur son sexe, comme pour retenir encore l’orgasme.
Elle voudrait me lécher là, dans la salle de bains. Je préfère largement le lit. Nous nous y retrouvons couchées en biais, les jambes encore en dehors. Gil prend un petit engin en plastique qui semble innocent. Elle le tient dans la paume de la main, le pose à peine sur le clitoris. Il bande seul depuis que je l’ai enculée. Je sursaute, c’est sa première utilisation. C’est meilleur que ses doigts. C’est comme si deux ou trois langue me branlaient. Je suis émerveillée de ce nouveau plaisir. Ca change du canard qu’elle emploi normalement.
Je lui demande de venir me donner son con à sucer pendant qu’elle continue à me branler. Elle est encore mouillée de mon dernier cunni, elle en rajoute encore quand ma langue entre dans son puits. Déchainées nous allons le plus loin possible dans le plaisir que nous partageons.
Elle évoque nos premiers souvenirs quand nous nous sommes rencontré dans un magasin de vêtement. J’allais essayer un maillot deux pièces mini, je pouvais l’essayer dans une cabine. J’entrais donc dans une petite cabine à peine fermée par un rideau. J’étais surprise de voir une femme forte attirante se masturber, surtout que prise par le plaisir qu’elle se donnait elle ne me disait pas de partir. J’en avais profité pour remplacer sa main par la mienne. Elle me rendait le plaisir en léchant ma chatte. Nous sommes sorties pour aller chez elle. Là nous avons fait l’amour tout le restant de la journée. Depuis nous ne nous sommes plus quittées, sauf pour nous marier.
Tout en parlant je lui entre un œuf vibrant que je fais fonctionner aussitôt qu’il est dedans. Elle se bouche la chatte tout le temps du fonctionnement de l’œuf. Je lui embrasse encore une fois les seins que j’aime tant.
Mais l’heure avançant nous commandons deux repas par le room service. Restant nues, nous voulons scandaliser le serveur. Ce n’est pas un serveur, c’est une magnifique fille rousse. Elle pose son plateau sur la table, nous regard longuement pour finir par dire :
- J’aimerais partager votre jeu.
- Viens si tu veux, répond Gil, sans me consulter.
- Je fini dans 5 minutes. Je reviens.
Pour nous prouver qu’elle revient elle enlève sa petite culotte qu’elle jette sur le lit.
- Tu te rends compte, une autre fille va venir baiser avec nous.
- Je lui mettrais mon double gode. Je nous baiserais toutes les deux ensemble.
- Et moi ?
- Tu as le tiens, tu te baiseras et t’enculeras. Je sais que te aime de mettre comme ça.
La serveuse, n’a pas menti, elle est vite dans la pièce, elle se met nue dans le petit couloir pour se montrer dans la tenue d’Eve. Nous l’attentons depuis tout à l’heure en nous caressant à peine chacune le clitoris.
Si un homme la voyait, il se précipiterait sur elle tellement elle est sexy.
- Je suis une fille bi. J’ai un copain que je trompe souvent ici soit avec des hommes bien montés soit avec des femmes comme vous. Mais les femmes sont plus rares. Aussi, baisez-moi bien.
- Ne t’en fais pas nous sommes bien avec les femmes, surtout excitante comme toi. Viens nous embrasser.
Elle ne se précipite pas, mais elle commence par Gil, je regarde, elle fait un baiser prononcé. J’en serais jalouse si elle ne venait pas me donner ses lèvres pulpeuses à moi aussi. Sa langue est agile dans ma bouche. Elle me met la main au panier, cherche mon bouton avant de me branler. Gil la caresse de son coté.
Je remets l’œuf en vibration, toujours dans le vagin de Gil. Elle gémit encore pour en jouir toujours. Elle le sort pour le mettre dans le ventre de la serveuse. Elle ne tarde pas à partir dans les vapes de plaisir. J’arrive à sortir le double gode de mon sac. Je le montre à la nouvelle qui le veut.
Nous nous couchons toutes les deux. Nos fesses sont voisines. C’est Gil qui entre les bouts, dans le con de la serveuse, selon ses veux, et dans mon cul. Elle fait les manœuvres utiles pour faire aller et venir le gode dans nos ventres. Nous sommes ses deux seules amantes. Elle ne s’occupe que de notre plaisir. Sa main va de plus en plus vite. Nos plaisirs aussi. Je pars la première, suivie de près par notre maitresse, qui sait s’imposer en proposant un fist à Gil.
Je n’avis jamais réussi à en faire un de normal à mon amante. La serveuse fait mettre notre commune amie sur le dos. Je regarde en me masturbant. Elle entre les doigts lentement (ce que je ne faisais pas) elle arrive sans difficulté à mettre toute sa main et la moitié du poignet. Gil murmure des insanités comme quand elle jouit longtemps. Puis, quand la main tourne en elle, Gil gémit du plus en plus fort.
J’ai repris le gode pour me le mettre dans le vagin. Je ne peux pas voir ce fistage sans réagir. Je me baise seule pendant que Gil jouit sans cesse. Notre compagne voit que j’ai le gode dans le ventre, elle s’allonge tout en continuant ce qu’elle fait. J’arrive à lui donner le bout du gode qu’elle s’installe dans le con. Cette fois c’est moi seule qui fais marcher l’engin. Ma main est agile pour nous baiser.
Gil ne gémit plus, elle est presque évanouie des orgasmes dans fin. Nous ne restons qu’avec l’autre pour nous baiser.
Au petit matin nous partons en laissant dormir la serveuse que nous ne reverrons plus.
J’ai une foultitude de chose à faire avant de ma marier. Au moment de la cérémonie, Gil me fait un clin d’œil. Je comprends ce qu’elle veut dire : nous continuons ensemble. Après la cérémonie, nous partons avec André pour un voyage de noce en croisière de luxe bien sur. C’est là que je commence à simuler, même quand il m’encule. Je profite de lui, même si j’ai une remplaçante au bureau. Une remplaçante que je surveille. Je tiens trop au fric de mon mari.

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Texte coquin : Gil
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