Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 102)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les Origines de la Saga des esclaves au Château...  (épisode 102) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 102)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

Année 1784 – ‘’L'initiation d'une jeune aristocrate (6) : La découverte’’

Après avoir été apprêtée, son corps débarrassé de toute pilosité inesthétique et couvert d'un onguent faisant comme un voile de fraîcheur sur sa peau, emma avait été préparée...Un épais collier de cuir s'était refermé autour de son cou gracile, tandis que de lourdes menottes de fer se refermaient sur ses fins poignets tirés dans son dos. Emma de Fontanges n'opposait aucune résistance. Au contraire, elle était comme une poupée à laquelle on pouvait faire prendre n'importe quelle position, les esclaves chargées de la préparer avaient ainsi pu rendre son corps parfaitement lisse sans qu'elle esquisse le moindre geste de refus. Puis elle avait été d'une parfaite docilité en recevant le collier et les chaînes... Puis les bas de soie blanche et jarretières assorties, ainsi que les hautes chaussures à boucle qui constituaient désormais les seuls ornements de son corps exposé aux regards dans sa plus prime nudité. Si la jeune femme avait immédiatement compris une chose depuis qu'elle s'était lancée...à corps perdu (car tel était bien ce qu'elle ressentait)... dans cette aventure, c'est qu'il était plus prudent de ne pas s'exprimer, de suivre le cours des choses et de se montrer souple et docile en toutes circonstances. Elle évitait ainsi toute réprimande qui se serait sans aucun doute accompagnée d'un châtiment et pouvait se concentrer sur cet univers dont, quelques heurs plus tôt, elle ne soupçonnait même pas qu'il puisse exister.

Et puis, tout ce qui comptait pour elle, c'était de combler celui qui avait ainsi captivé et capturé son coeur, son corps et son âme... Le Marquis d'Evans, son bien aimé, qui la tenait maintenant en laisse et lui faisait les honneurs d'un dédale de couloirs et de salles que tant de séjours en cette demeure jamais ne lui avaient été révélés. Comment aurait-elle pu soupçonner, lors de ses allées et venues en compagnie de la cousine de son si cher Marquis, qu'existait sous leurs pieds dans les bas fonds du château un véritable petit monde servile, de femmes et d'hommes voués à une appartenance totale. Pas à pas, menée comme une chienne docile par son Seigneur et Maître, elle arpentait les couloirs, découvrant des cachots où croupissaient des esclaves punis au corps marqué par les traces de flagellation, des salles où femelles et mâles étaient livrés aux plus lubriques pratiques... S'appliquant à suivre le rythme imposé par Le Marquis, emma avait le sentiment de s'enfoncer dans un monde nouveau, inquiétant, mais tellement excitant aussi. Elle était abasourdie de la façon si naturelle dont elle avait cédé aux exigences de celui qu'elle aimait et admirait tant, depuis tant d'années. Elle si timide, si... godiche face aux choses du corps, elle avait franchi d'un seul bond le plus infranchissable des précipices et s'effrayait presque de ressentir un vrai plaisir à s'y livrer !

Car oui, elle aimait ce qu'elle vivait là et la honte si forte qu'elle ressentait n'était rien en comparaison de l'incroyable désir qui brûlait entre ses cuisses....A l'issue de cette visite, durant laquelle, sans un mot, Le Marquis d'Evans l'avait promenée dans tous les coins et recoins des sous-sols du château, emma avait ensuite suivi son Maître adoré jusque dans Sa chambre. Là, Il l'avait simplement laissée au centre de la pièce, la délaissant comme un objet sans utilité immédiate et s'abandonnant aux soins de ses deux esclaves noires favorites qui Le vêtirent pour la nuit, non sans Lui avoir prodigué maintes délicieuses agaceries tout en Lui ôtant Sa tenue de la journée. Kilima et Njaro s'étaient appliquées à égayer leur Maître, leurs bouches gourmandes et leurs mains expertes faisant monter un Lui un irrépressible désir, mais qu'Il ne leur avait pas permis de mener à Son terme, car Il entendait, ce soir, se réserver pour sa nouvelle petite poupée soumise, ce parangon de pureté qu'Il pliait et plierait encore bien plus à Ses plus pervers Caprices... Il claque dans les mains et les deux femelles s'éclipsent, conscientes que cette nuit, elles n'ont été que des boute-en-train et que c'est une autre qui subira Les Assauts Du Maître auxquels jalousement, elles aspirent également. Maigre satisfaction, pour les consoler, Le Marquis a consenti à les faire dormir dans la même cellule et les a autorisées à s'ébattre de concert et à se livrer l'une à l'autre dans de saphiques plaisirs...

Emma, immobile au centre de la si vaste chambre Du Marquis, attend... Inexpérimentée, elle se sent mal à l'aise dans ce silence soudain, alors que quelques minutes plus tôt flottaient dans l'air les gémissements et frôlements des deux négresses et Du Marquis, son Maître... Elle ne sait quelle attitude adopter... si elle doit attendre... les menottes de vulgaire mais fort solide acier pèsent lourdement à ses poignets, la laisse pend sur le devant de son corps, entre ses seins et jusqu'à la pointe de son intimité... Elle attend, anxieuse... Mais Le Marquis prend son temps... Il sent Son membre viril tendu à l'extrême. Les deux petites catins noires ont parfaitement joué leur partition. Leur habileté dans les choses du sexe est une évidence... Elles ont su faire monter en Lui le désir, ce désir qu'il va étancher en chevauchant la tendre et prude Emma de Fontanges. La timide pupille de sa cousine, dont il va faire la plus fieffée catin, ouverte à tous Ses Désirs, offerte à Tous Ses Plaisirs. Il avance vers elle, tout près... lui caresse la joue, le cou, les cheveux... docile, elle garde les yeux baissés, mais ne peut retenir le faible tremblement qui gagne tout son corps... Le Marquis prend tout Son temps. Il la caresse tendrement, lentement, ne délaisse pas la moindre parcelle de ce corps aux courbes idéales, les seins petits mais ronds et fermes, les fesses juste cambrées, le sexe désormais parfaitement épilé laissant entrevoir les chairs plus colorées d'un sexe qui même à l'oeil paraît humide... Il passe sa main entre les cuisses, enfonce un, deux, trois doigts dans le sexe trempé de la jeune femme qui ne peut retenir un faible gémissement. Le Marquis retient la main qui a failli gifler l'insolente. Il ne veut pas trop l'effrayer... pas encore. Le dressage n'en est qu'à ses prémices. Elle apprendra, sous le joug de son Seigneur tout puissant... Mais quand Il l'aura décidé. Pour l'instant, Il veut encore lui laisser un brin d'illusion, une étincelle d'espoir d'être Sa favorite. C'est pour cela qu'Il l'a faite conduire ici ce soir. Pour cela qu'Il titille ses sens avant que de la posséder en Maître Tout Puissant qu'Il est.

Pas un mot, Il porte Ses lèvres contre celles d'emma et lui offre un long et tendre baiser auquel elle s'abandonne avec délices... Il lui insuffle ainsi les plus grands espoirs, les plus folles espérances. Puis, Il l'entraîne jusqu'au lit et la fait s'allonger, toujours menottée. Avec douceur, mais fermeté, il lui écarte largement les cuisses, se couche sur elle et la prend une nouvelle fois. Force aisément cette porte de chair qu'il a conquise quelques heures plus tôt, déchirant à jamais cette virginité qu'elle croyait encore, la veille, être sa plus précieuse qualité. Il la pénètre et la possède, longuement... Elle se donne, totalement, frénétiquement ! Gémissante, râlante... oubliée la pure jeune femme. Le Marquis sent sous Lui une femelle en chaleur, une chienne dont le corps n'aspire qu'à être sailli... Et Le Marquis ne s'en prive pas... Ce soir, emma perd une autre virginité, non sans douleur, mais inondée du plaisir de combler les désirs de Ce Maître tant adulé. Docilement, elle se laisse retourner et se tient prosternée sur le vaste lit. Le visage écrasé dans les draps, les poignets toujours enferrés, elle cambre ses reins et écarte les cuisses... Le Marquis doigte l'anus tellement étroit. Il y glisse Le Majeur, le fait aller et venir, d'abord lentement puis de plus en plus vite, avant d'y ajouter un second, puis un troisième doigt... Elle gémit, rend un profond son de gorge rauque... Le Marquis ne lui cède aucun répit... Il retire ses doigts et pose Son gland à l'entrée du petit cul encore fort serré... Il appuie, appuie de toutes ses forces et sent la rosette qui s'élargit, s'ouvre et malgré le cri strident qu'elle ne peut retenir, s'enfonce en elle, profondément, implacablement... Il l'encule, se saisissant à deux mains de ses hanches pour la forcer à demeurer immobile et à le recevoir au plus profond de son être. Et il l'encule et l'encule encore, lui imposant le va et vient inflexible de ses coups de boutoir qui la déchirent et la font Sienne plus qu'elle n'a jamais été. Il ne cesse d'aller et venir en elle, jusqu'à ce qu'elle abdique toute résistance et ne devienne plus qu'un pantin désarticulé dont Il use et abuse comme bon Lui semble...

Longtemps, dédaigneux des quelques sanglots qu'elle ne peut retenir. Puis, Il se retire, la force à descendre du lit et la fait mettre à genoux, forçant alors sans difficulté ses jolies lèvres charnues et enfonçant jusqu'à la garde Son sexe jusque dans sa gorge. Et c'est là, après quelques lentes allées et venues qu'il inonde la gorge et la bouche d'Emma de Fontanges du flot épais et abondant de Son Plaisir. Il n'a même pas à maintenir sa nuque, docilement elle avale, comme avec avidité la semence de son Seigneur et Maître. Et lorsqu'Il Se retire et la contemple, à Ses Pieds, elle lève vers Lui des yeux inondés de larmes mais qui n'expriment qu'adoration et reconnaissance... Rompue, brisée, à bout de forces, elle tend pourtant les bras en un geste rapide et se saisit de La Main Du Marquis afin d'y déposer le plus humble et délicat des baisers... Un baiser qui incarne à la fois l'abandon et la passion, la honte et la reconnaissance, l'avilissement accepté et l'Amour exalté... Puis épuisée, les yeux de la jeune femme se ferment et elle s'effondre dans un sommeil profond que son Maître choisit de ne point troubler. A l'issue d'une telle nuit, la jeune esclave mérite, juge-t-il, un peu de repos... Dernier jour... Ce soir, emma sera ramenée jusqu'au domaine de La cousine Du Marquis.

Ce dernier l'a réveillée ce matin, alors qu'elle gisait encore sur les tapis qui jonchent le sol de Sa chambre. Un cinglant coup de cravache que sa croupe l'a tirée brusquement du profond sommeil dans lequel elle avait sombré la veille, épuisée et rompue, mais tellement comblée malgré la douleur... Ce matin, la brûlure de la cravache la tire brutalement de ses rêves où elle se voyait éternelle esclave, liée à jamais aux pas de son Seigneur et Maître. Immédiatement elle se redresse et se met droite, toujours menottée et ressentant soudain la douleur d'une crampe dans l'épaule sur laquelle son corps a pesé tout au long de la nuit et d'un sommeil si pesant... Mal éveillée encore, elle a du mal à reprendre sa position d'immobilité apprise la veille... Mais alors qu'elle dodeline quelque peu, une nouveau coup de cravache la cingle et précipite l'application de la jeune femme pour une meilleure attitude. Le Marquis d'Evans n'est pas seul. A Ses côtés, son inséparable ami Le Marquis de Sade la regarde, narquois... Il s'approche d'elle qui demeure immobile et pose sa main sur la fesse, suivant du bout des doigts la longue estafilade rougie laissée par la cravache un instant plus tôt.

- "Quelle charmante décoration ! Sur cette peau si pâle, si pure, comme un éclair rougeoyant, voilà qui émerveille ma vue ! Cher Marquis, Vous êtes un esthète !" lance-t-il en s'esclaffant
- "Je dois malheureusement modérer mon sens artistique cher Donatien, car je ne veux point que la chienne revienne marquée chez ma cousine. Il convient donc de ne point abuser de tels instruments", dit Le Marquis d'Evans en laissant choir la cravache sur le sol, "mais n'ayez crainte,avant que la douce nous quitte, j'ai pour elle, une ultime découverte et vous y aurez Votre part"...
- "Voilà qui me réjouit" rugit Le Marquis de Sade,

Tandis que son ami d'Evans se saisit de la laisse et entraîne emma à Sa suite, laissant de Sade fermer la marche, en excellente position pour profiter de ce beau cul ondoyant sous ses yeux et dont il flatte la rondeur d'une main conquérante !Il fait grand jour ce matin et tout un petit monde s'affaire dans les couloirs et pièces du Château. C'est la première fois qu'emma traverse ainsi les parties nobles de La Demeure d'Evans dans sa position d'esclave. Elle se recroqueville presque en croisant au détour d'un couloir des laquais et soubrettes auxquels elle donnait naguère des ordres... Les yeux baissés, elle prie intérieurement dans l'espoir de n'être point reconnue. Mais Le Marquis sent une tension dans la laisse dont Il devine le sens. Il s'arrête et s'approche de la jeune captive, saisir son petit menton entre ses doigts et la force à relever la tête :

- "Tiens toi bien droite et je t'ordonne de regarder dans les yeux toute valetaille que nous viendrons à croiser ! Ils t'ont connue hautaine, je veux qu'ils te voient asservie. Tu leur a donné des ordres, je veux qu'ils sachent que désormais tu es aussi docile que mes chiens. Je veux qu'ils sachent ce que tu es ! Et lorsque tu reviendras en compagnie de ma cousine, s'ils se comporteront toujours avec célérité et dévouement, tu sauras qu'aucun, ni aucune, n'ignore celle que tu es, moins qu'une domestique, moins que mon bétail, juste une esclave qu'ils auront contemplée offerte nue à leurs regards. Allons ! Redresse la tête et sois fière de la seule fierté qui te soit désormais admise, fière de m'appartenir et que je consente à te tenir ainsi ne laisse.

Sans un mot de plus, sans un regard, le Marquis reprend sa marche et prend un malin plaisir à traverser tout le Château, chaque pièce, chaque couloir, partout où sa maisonnée s'affaire et où, au moment de saluer bien bas le Maître des lieux, découvre l'humble position de celle qu'ils ont vue grandir au fil des ans, tant en beauté qu'en noblesse. Lorsqu'il juge que la situation d'emma a fait le tour des communs, Le Marquis entraîne sa nouvelle esclave vers les sous-sols. S'il a pris un tel plaisir à promener ainsi emma à travers Sa demeure, c'est aussi parce qu'il avait donné, dès l'aube, des ordres afin que l'on prépare la grande salle des Plaisirs pour l'ultime épreuve destinée à la jeune femme. Ils entrent dans cette vaste salle voûtée, où ils découvrent un spectacle rare... Le Marquis a fait sélectionner dix esclaves mâles et autant de femelles. Les mâles depuis des semaines ont été privés de tout accès au plaisir. L'abstinence ainsi imposée en a fait de véritables bêtes aux sens exacerbés. Les vingt esclaves sont ainsi enchevêtrés sur le sol, totalement nus, ils se livrent aux plus lubrique des sabbats. Les corps se mêlent et s'entremêlent, les sexes se frottent et se pénètrent, les culs s'offrent, les langues se fourrent dans le moindre repli de chairs, les doigts palpent pelotent, caressent, fouillent... cela fait comme un tapis de chairs mouvantes, où les membres et les corps ne font plus qu'un, sous le contrôle de quatre gardes, armés de longs fouets, prêts à dissuader tout manque d'enthousiasme.

Emma découvre avec effarement ce spectacle, cette orgie. Le Marquis la mène jusqu'à un pilier, où est accrochée une manivelle. Il défait la laisse et attache à l'anneau du collier une fine corde, reliée à un jeu de poulies... La corde est courte pour l'instant et Les Marquis s'installent dans deux fauteuils, tandis qu'un garde vient se positionner près de la manivelle. Sur un geste d'Evans, le garde tourne la manivelle et donne du mou à la corde qui retient emma... Du manche de son fouet, le garde fait comprendre à la jeune femme qu'elle doit avancer, afin de se rapprocher de la masse des corps enchevêtrés. Emma de Fontanges est loin d'être bête. Une poignée de secondes lui suffit à comprendre le jeu qui se joue aujourd'hui. Le garde peu à peu relâche la corde et elle s'avance vers la horde grouillante. Lorsque au contraire la corde de tend brusquement, elle recule un peu... Le jeu se poursuit et déjà certains mâles ont repéré la proie qui leur est ainsi tendue... S'ils tentent de trop l'approcher, les fouets claquent. Mais du coin de l'oeil, ils ne cessent d'observer la nouvelle femelle... Le jeu de la corde se poursuit longuement. Effrayée, emma sent pourtant un flot de désir qui dégouline entre ses cuisses...

Comment a-t-elle pu devenir en si peu de temps aussi lubrique ? Elle sent son ventre, son sexe qui brûlent de désir... ce spectacle orgiaque suscite en elle un mélange inextricable de dégoût et de désir. Elle est dévorée du désir que l'on relâche enfin la corde, assez pour qu'elle puisse se joindre à cette perverse orgie. Et son voeu inexprimé est exaucé. La corde se relâche assez pour qu'elle avance encore et entre d'un pas timide encore dans le courant mouvant des corps qui se mélangent et se livrent à des actes dont elle n'avait seulement envisagé la possibilité. Elle a la sensation de s'avancer dans un lac de chair, les corps s'écartent sur son passage et le flot se referme dès qu'elle est passée, jusqu'à ce qu'elle atteigne le centre de cet incroyable scène. Alors, la corde lui signifie qu'elle est arrivée et les vingt corps qui jusque là s'enchevêtraient se tournent vers elle et convergent... Peu à peu, la voilà submergée, entraînée comme vers un abîme... On la tire vers le bas, lui lèche les pieds, les cuisses, s'abandonnant au mouvement. Emma se laisse coucher sur le sol, où femelles et mâles se consacrent à faire vibrer une parcelle de son corps. Les langues ne négligent rien d'elle, les caresses se multiplient... Mais nul ne la pénètre, car les ordres ont été stricts, les orifices de la belle femelle sont sacrés ! Elle doit être menée jusqu'à la plus extrême jouissance, mais sans aucune pénétration...

Et ainsi, durant des heures, emma est livrée à vingt esclaves rendus fous par le désir et le sexe... Les orgasmes la foudroient, son corps palpite, sa gorge gémit... elle se laisse emporter par le magma de chairs qui l'enveloppe, par ces langues multiples qui lèchent et humectent son anus, sa chatte, ses lèvres... Elle tremble, saisie d'un irrépressible désir... elle vibre, hurle !!! C'est alors que la corde à nouveau se tend, la contraignant à se relever lentement, tremblante... A enjamber ces corps qui viennent de la noyer de plaisir... Et à revenir vers le pilier, tout près des fauteuils, tandis que les esclaves, plus excités encore désormais, se jettent les uns sur les autres, mâles et femelles mêlés, sans distinction, pour se faire jouir de tous leurs organes, de tous leurs trous... Emma revenue près des deux Marquis grelotte, non de froid mais d'émotion... Le Marquis d'Evans la contemple. Comme Il avait bien deviné la nature de cette femelle... Alors, Il s'adresse à Son ami de Sade ;

- "Donatien, mon cher, voulez vous disposer un moment de Mademoiselle de Fontanges ?"
- "Ma foi, Marquis, je la foutrai bien à vrai dire !"
- "Qu'il en soit donc ainsi, mon très cher ami. Il ne serait pas bon que la donzelle se crût ma seule propriété. Mienne elle sera toujours, mais j'ai bien l'intention de la voir en satisfaire tant et tant. Il me siérai de mon plaisir si cher que Vous fussiez le Premier".

Le Marquis Donatien de Sade se lève et s'approche d'Emma de Fontanges, il la fait se tourner vers la scène d'orgie qui se poursuit... La fait se pencher en avant, lui écarte les cuisses et délivrant Son Braquemard dur et tendu de tout ce qu'il vient de contempler, il la fourre d'un coup sec...

(A suivre …)

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