J'ai donné mon cul dans un wagon lit

- Par l'auteur HDS Azeno2012 -
Récit érotique écrit par Azeno2012 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'ai donné mon cul dans un wagon lit Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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J'ai donné mon cul dans un wagon lit
J'ai donné mon cul dans un wagon lit

Je suis une personne qui en fait prend des décisions rapidement, mais dans ce cas, j'ai besoin de réfléchir un moment pour savoir si je dois entreprendre cette démarche. Mon côté angélique et diabolique se disputent sévèrement. Le diable en moi m'a vraiment séduit et il m'a dit :
"Prends le prochain train et va où cet homme t'attend," l'ange qui me rappellait toujours à la raison répondit ;"N'y va pas, il est beaucoup plus jeune que toi, il pourrait être ton fils. Alors mon diable me disait :
"En fait pourquoi pas," il n'y a rien à perdre et quand je ne serai plus de ce monde, je saurai au moins que j'aurai bien vêcu et que j'aurai connu des choses excitantes.
Bon alors, qui a finalement gagné, le diable qui est en moi et pas l'ange.
Le lendemain, je suis allée à la gare, j'ai acheté un billet et je réservais une place dans le wagon lit, car le train partait très tard le soir et je voulais dormir un peu. Je réglais quelques affaires, je retournais à la gare et j'attendais mon train.
Le train arriva juste à l'heure à la gare et j'avais encore 20 minutes à attendre avant son départ. Je cherchais le wagon lit, rangeais mes affaires, fermais la porte du compartiment et descendis sur le quai. Soudain je le vis le rêve de mes nuits blanches qui m'accompagnait dans mon sommeil troublé. Il était très jeune, mais extrêmement entreprenant. Il vint vers moi et me demanda où se trouvait le wagon lit.
Mes jambes tremblaient et je ne savais que dire. En bégayant je lui indiquait où il pouvait trouver le wagon lit. Il me sourit et me remercia en disant :"Je m'appelle Hans. Il passa â côté de moi et une odeur corporelle et de savon "afterschave" troublèrent mes sens.
Complètement étourdie avec ma culotte un peu mouillée je regagnais le train pour lui avouer mes fantasmes les plus sauvagement refoulés.
Je voulais fermer à clé la porte de mon compartiment, mais elle s'ouvrit de l'intérieur et Hans vint à ma rencontre. O!! non pensais-je, comment pourrais je résister à ce jeune homme aussi entreprenant. Cela va mal se passer. De plus je faisais ce voyage à cause d'un gentil jeune homme à qui j'allais rendre visite. Je me disais :"Que fais tu ici ?" Hans prit la parole et me demanda : "As tu déja dîné et comment t'appelles-tu ?"
Je lui dis que je m'appelais Ingrid et que je n'avais pas encore dîné. Il sentait que l'atmosphère s'était dégradé entre nous. Alors il me dit : "Allons manger vite quelque chose, avant qu'il n'y ait plus rien et que nous soyons obligés d'aller nous coucher affamés. Nous allâmes donc au wagon restaurant. Hans me tendit une chaise. Pour cela il se pencha légèrement et il me murmura à l'oreille : "Nous prendrons le dessert dans le compartiment".
Maintenant je ne pouvais plus me retenir, et je lui dis : "Allons prendre le dessert tout de suite dans le compartiment" ,je bondis et je retournais dans le compartiment, Hans me rejoint en riant et savait très bien ce qui allait se passer. Il ouvrit la porte du compartiment et déclara :"Ingrid vien vers moi, je sais que tu veux la même chose que moi."
Je m'approchais de lui et nous nous sommes embrassés passionnément. Il me serra contre lui et je pouvais sentir sa grosse bite contre ma cuisse. Lentement il retira mon tee-shirt et me caressa sur le dos. Il me dit :" Tu sens bon et il commença à grignoter le lobe de mon oreille, puis il ouvrit la fermetrure de mon soutien gorge qu'il caressa. Les pointes de mes nichons se dressaient comme un I. Hans les caressa et les mit dans sa bouche alternativement, les suçait et jouait avec la pointe de sa langue en faisant des petits cercles sur mes mamelons. Je devins de plus en plus nerveuse et je sentais que mon con était de plus en plus mouillé et il dirigea sa main dans la direction de mon trou à bébés.
"Tu sens comme tu m'excites ?" Il enfonça deux doigts dans ma fente mouillée et les retira, mais seulement pour les lécher. Je gémissais fortement et je me pressais contre lui, pour pouvoir sentir encore mieux sa grosse bite. Puis je ne pouvais plus me retenir et je lui ôtais sa chemise et je lui caressais son dos et son ventre jusqu'à sa ceinture.
Sa peau était délicate et m'excitait beaucoup. Je défis sa ceinture et je déboutonnais son pantalon et alors sa gigantesque bite me sauta au visage et je me demandais comment elle pourrait pénétrer mon con et le petit trou de mon cul, s'il advenait qu'il désire m'enculer. J'étais vierge du cul et mon trou du cul était très serré, bien sur, pas aussi étroit que le trou du cul de ma nièce de 12 ans que mon fils âgé de 15 ans avait pénétré l'été dernier sur une plage déserte au cours de nos dernières vacances.
Hans voulut introduire sa grosse verge dans ma bouche, très lentement ma langue jouait légèrement avec son gland tout rouge qui devait être très amoureux de ma bouche, de mon con et de mon cul. Je gémissait de plaisir très fort.
"Oui, chérie, continue surtout ne t'arrête pas, j'aime quand tu me gâtes comme ça." Ma langue entourait son gland exquis et mes mains saisissant son énorme pine frottaient la peau de sa bite d'avant en arrière. C'était succulent pour lui et moi j'adorais lui faire plaisir en branlant sa verge.
Hans baisa ma bouche et je pensais tant elle était longue qu'elle allait sortir par le trou de mon cul.
Je sentais qu'il allait décharger car je gouttais déjà aux premières gouttelletes de foutre. Il sortit sa queue et me tourna le visage vers le lit.Il fixa mes mains sur le lit et écarta mes jambes. J'étais complètement à sa merci. Son jus de chatte coula sur mes jambes. Hans s'agenouilla et lécha tout le foutre et continuait à me baiser avec ses doigts. Je gémissais fort et je criais dans le compartiment. Soudain, nous entendîmes des bruits et nous devînmes moins bruyants. Je murmurais totalement aphone d'avoir gémi et crié.
"As-tu entendu?" Il répondit :"Peut-être, avons nous des spectateurs!"
Il me demanda si ça me génait, je répondis par l'affirmative. Nous continuâmes et nous fîmes comme si nous étions seuls dans ce train.
Il me délia et me tourna de telle sorte que je lui offris mon cul.
Hans me disait : " Allez, penche toi et écarte tes deux trous de ton joli con et de ton beau cul pour que je puisse bien les voir et les lécher.
Je m'agenouillais sur le bord du lit et je tendis mon cul vers le haut.
Je passais ma langue dans la fente et je suçais son clitoris, c'était exquis.
Puis il me baisa avec les doigts. Je les mouillais copieusement, mais je ne put pas tout boire, ni tout lécher, j'avais trop de jus d'amour pour lui. Puis soudain j'eux sa bite pleine de foutre et prête à me baiser dans ma fente mouilllée.
"Oh ! Oui c'est bon quand tu me baises comme ça". Chaque fois qu'il était sur le point de décharger, il retirait sa bite et continuait à me baiser avec ses doigts.
Mais il ne pouvait se retenir éternellement. Je sentais que nous étions tous les deux prêts à jouir et je commençais à bouger mon bassin dans un mouvement circulaire, ce qui l'éxcitait davantage, et je sentais que nous nous vidions. C'était si bon, que nous ne pouvions plus nous arrêter à décharger des litres de foutre et de jus d'amour. Lentement nos pulsions diminuèrent et nous nous calmions petit à petit.
Je voulais encore dire quelque chose, mais je m'endormis dans ses bras. Peu de temps avant d'arriver à destination, Hans me secoua légèrement et me dit que nous étions arrivés.
J'étais toute étourdie et je remarquais soudainement que Hans n'était plus dans le compartiment. Je me rhabillais lentement, me raffraichissais et espérais que le jeune homme pour lequel j'étais dans le train ne connaitra jamais cette aventure. Le train arriva en gare et je descendis. Mais je ne vis pas le jeune homme à cause duquel j'avais fait ce voyage. Quand soudainement quelqu'un qui se trouvait derrère moi m'apostropha et me demanda comment le voyage s'était déroulé. Je me retournais lentement, la tête toute rouge. Devant moi se tenait Hans et il se présenta.
"Bonjour, chérie je suis Hans et je voulais venir te chercher à la gare" Maintenant je comprenais qu'il avait tout préparé pour que nous passions un magnifique week end. Il avait tout planifié jusqu'au moindre détail.
J'étais enchantée et fascinée. Notre week-end fut le plus merveilleux, le plus chaud, le plus excitant des week end que j'avais passé de toute ma vie.
Si je désirais quelque chose d'inoubliable, cela serait de revivre cette aventure dans ce train de l'amour.

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