Métro Parisien

- Par l'auteur HDS Jupeau -
Récit érotique écrit par Jupeau [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Métro Parisien Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Métro Parisien
Il est 23heures je suis avec mon épouse dans le métro sur la ligne La défense ; nous rentrons du restaurant où je l'avais invitée. La rame est presque vide ; il ne reste que quelques passagers. Je regarde ma charmante épouse et me dis en moi-même "Dieu qu'elle est belle !" Elle porte une petite robe en lamé rouge d'où émergent des jambes galbées, gainées de voile satiné brillant ; robe qui épouse bien ses formes jusqu'à la taille et qui ensuite s'évase légèrement autour de ses hanches. La robe est plutôt courte et je suis sûr que si quelqu'un venait s'asseoir en face d'elle ; il n'ignorerait pas qu'elle porte des bas sous la robe. Ses seins se dessinent parfaitement sous la robe et l'on devine ses rondeurs fermes qui se soulèvent au gré de sa respiration. Je passe ma main autour de ses épaules et effleure sa poitrine ; ce qui la fait frémir ; je sens ses petits seins prendre du volume et durcir. Mon autre main se pose sur sa cuisse et cherche à deviner le large liseré des ses bas, j'ai très envie d'elle et lui masse les cuisses avec douceur en relevant légèrement sa robe. Les derniers passagers viennent de descendre ; nous sommes seuls et il nous reste deux stations pour aller au terminus ; où nous devons descendre. A la station suivante un homme ; la cinquantaine monte ; et voyant mon épouse n'hésite pas ; il s'assoit juste en face d'elle. Elle me regarde l'homme aussitôt porte son regard sur elle ; elle se sent déshabillée du regard et tire sur sa robe en serrant bien les genoux pour voiler ses jambes mais le regard de l'homme se fait insistant sur ses jambes. Le métro arrive au terminus ; la rame s'immobilise ; je reste assis ; les lumières s'éteignent à l'exception d'une veilleuse noire pointée sur Nathalie. L'homme ne bouge pas et observe ainsi mon épouse dans sa robe rouge ; ses bas brillent dans la pénombre et ses escarpins rouges mettent en valeur ses jolies jambes. Je la regarde droit dans les yeux et dit " Chérie cet homme semble intéressé par tes jambes ; soit gentille montre-lui qu'elles sont belles ; lève toi et relève ta jupe ; place-toi bien sous la lumière ". Le mien se fait dur et elle comprend que rien ne sert de résister. " Juste un peu dit-elle " N'obtenant pas de réponse elle se lève face à l'homme puis avec ostentation elle saisit le bas de sa robe qu'elle soulève dévoilant la naissance de ses cuisses " " Allons chérie, dis-je, plus haut on ne voit rien "; une parcelle de peau nue apparaît puis la naissance d'un petit vêtement blanc que l'on devine bien posé sur ses charmes. Je passe derrière elle et avec une douceur brutale l'oblige à relever la robe jusqu'à la taille dévoilant une adorable petite culotte blanche parfaitement tendue sur son ventre ; le blanc est mis en valeur par la lumière noire, elle est ainsi pathétique. L'homme sort de sa torpeur ; se lève s'approche une main posée au niveau de sa braguette et dit "Elle est vraiment superbe votre femme elle me fait bander ; quelle belle plante ! Des jambes de danseuse et sa culotte ohhhh elle est magnifique ; elle pourrait l'ôter pour voir les trésors qu'elle renferme ? "Faite le vous-même, dis-je " Je la vois trembler quand l'homme s'approche d'elle ; il la regarde droit dans les yeux ; pose délicatement sa main en conque sur la culotte au niveau du pubis de Nathalie et par petites pressions il épouse ainsi l'entre jambe de ma femme qui sans s'en rendre compte ouvre les cuisses; par de petites tapes sèches du plat de la main au niveau de la toison pubienne il fait comprendre à Nathalie qu'elle est en son pouvoir : il affirme ainsi une certaine domination. Ses mains apprécient la douceur du tissu et palpent le petit vêtement tendu sur toute sa surface ; elle sent sur elle les deux mains de l'homme ; l'une la frappe sur le pubis ; l'autre sur les fesses. D'un geste lent il fait glisser la culotte au bas du pubis dévoilant un triangle de poils noir soignés encore plaqués au pubis par la culotte qui forme un cordon blanc au bas du ventre plat de mon chaton. Elle pousse un petit cri l'homme les yeux rivés sur ses charmes dévoilés Il scrute sans vergogne le bas ventre de Nathalie dans ses moindres détails sans y toucher . "Et son cul ; il doit être beau ; je peux voir " Sans un mot je m'approche d'elle la place dos face à l'homme et l'oblige à se courber les jambes bien tendues ; Ses mains touchent le sol et sa superbe chevelure croule sur le sol. Je passe derrière ; relève la robe et sans ménagement dévoile ses petites fesses bien fermes que je caresse au passage ; puis je saisis la culotte que je fais glisser rapidement sur ses chevilles pour l 'ôter. Quelques petites tapes à l'intérieur des cuisses l'obligent à ouvrir ses jambes et je me dégage laissant l'homme se repaître du spectacle offert.
Dans son pantalon une énorme bosse pointe, il ouvre sa braguette et aussitôt un énorme membre jaillit, droit comme un I pointé vers le cul magnifique dévoilé devant lui. Il s'approche et son gland turgescent frôle la raie culière de Nathalie. Il m'interroge du regard et je fais signe que non ; il aurait bien aimé la pénétrer brutalement. Il se contente de palper ; écarter ; claquer le beau postérieur qui lui est offert. " Et les seins ? " Toujours sans un mot je relève Nathalie et ouvre la fermeture éclair de sa robe ; je dégage ses épaules et dévoile sa poitrine rehaussée par un soutien gorge balconnet que j'ouvre et ôte. Lui tenant les coudes je les tire en arrière ce qui fait jaillir ses seins superbes aux aréoles roses et aux tétons minuscules en érection. L'homme s'approche son membre pointe vers les seins comme s'il voulait les désigner, puis de plus en plus près il pose le bout de sa bite sur la toison pubienne de Nathalie que je dévoile en lui maintenant la robe à la taille Il touche le ventre de la belle qui soudain éclate en sanglot. Cela à pour effet d'accentuer son érection ; car il sent bien que la belle est à sa merci, il frotte son membre sur la belle toison de plus en plus vite de bas en haut de droite à gauche dérangeant ainsi la belle toison lisses et soignée de Nathalie ; Ses mains palpent sans ménagement la poitrine magnifique de la belle et son petit cul dévoilé. Son corps se cabre et soudain il inonde de son sperme le ventre et les cuisses de Nathalie. elle remet sa robe sur ses épaules et elle a juste le temps de la rabattre sur ses cuisses que les lumières se rallument et les passagers entrent.

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Texte coquin : Métro Parisien
Histoire sexe : Une rose rouge
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