Le Deal 2

- Par l'auteur HDS Kerian -
Récit érotique écrit par Kerian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le Deal 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Deal 2
Je n'en reviens tout de même pas. J'ai pris un plaisir insensé pendant tout ce temps
et j'ai réussi à ne pas décharger même pendant la séance de la salle bain. Je suis un
peu perdu dans mes pensées et c'est alors que Karine réapparaît. Elle est toujours
aussi nue, toujours aussi incroyablement belle mais la fureur a laissé la place à
l'apaisement. Elle vient s'asseoir dans un fauteuil près du sofa sur lequel je suis
allongé. Elle croise ses longues jambes bronzées, sa voix est douce, sensuelle,
presque protectrice:
-"Comment te sens-tu, Jo? Je me dois de te féliciter car grâce à toi, j'ai passé un
moment d'une intensité rare. Je me suis aperçue que tu comprenais mes désirs profonds
sans que j'ai besoin de demander quoi que ce soit et c'est toi, grâce à ton attitude
au cours de cette séance, qui a su m'emmener jusqu'à cet orgasme foudroyant que je
n'avais pas vécu depuis bien longtemps. Te regarder t'offrir à moi de cette façon dès
la première séance est un fait unique, qui ne s'était jamais produit dans cette
maison. Cependant, ne t'enflamme pas trop quand même, cette étape n'est que la
première d'un long, très long périple qu'il te faudra accomplir pour moi."
Pour toute réponse, je lui adresse mon plus beau sourire d'acquiescement. Si tu savais
ma belle ce que je serais capable de faire pour toi. Je me sens fier de moi,
indestructible. Je suis sur que rien ne pourra m'empêcher de satisfaire pleinement
cette femme. Après un court moment de silence, le bruit d'une voiture roulant dans
l'allée d'accès finement gravillonnée se fait entendre. Je me redresse et dit:
-"Ce doit être Pierre...
-Oui et alors?
-Ma tenue n'est peut-être pas..."
Elle m'interromps sèchement:
-"Que t'ai-je dit tout à l'heure? Alors allonge-toi, détends-toi, tout va bien se
passer."
Pierre arrive peu de temps après sur la terrasse, et nous apercevant confortablement
installés à l'ombre de la tonnelle nous dit avec un large sourire:
-"Ah, je vois que vous avez eu le temps de faire connaissance!
-Oui amour, et tu avais une nouvelle fois parfaitement raison. Jo est quelqu'un de
réellement unique.
-A ce point là? Toutes mes félicitations, Jo. Je n'avais jamais vu Karine aussi
enjouée et visiblement conquise dès la première entrevue.
-Je te remercie, Pierre, même si ce fût un peu plus qu'une simple entrevue." réponds-
je avec un air un peu embarrassé.
-"Ne t'inquiète surtout pas, Jo. La seule chose qui m'importe réellement, c'est le
bonheur de Karine. J'ai toujours oeuvré dans le seul but qu'elle atteigne la plénitude
de son épanouissement. Alors, si en plus tu es acteur de cette aventure, rien ne me
fera plus plaisir, car saches que je t'apprécie beaucoup.
-Ce sentiment est partagé, Pierre.
-Dis-moi, amour, c'est bien joli tout ça, mais où sont mes cigarettes?
-Mince, où avais-je la tête, elles sont restées dans la voiture. Je vais les
chercher."
Je me lève alors d'un bond:
-"Laisse Pierre, j'en ai dans mes affaires près de la piscine." lui dis-je en me
dirigeant vers celle-ci. C'est alors qu'il m'interpelle:
-"Ah oui, c'est clair, vous avez vraiment eu le temps de faire connaissance!" dit-il
amusé à la vue de mon cul encore bien rougi.
Nous devisons ensuite tous les trois pendant un long moment profitant de la quiétude
de cette fin d'après-midi, quand Pierre se tourne vers Karine:
-"Tu sais, ma chérie, j'ai bien envie d'annuler cette partie de poker ce soir...
-J'allais te le demander, amour. Appelle tout le monde et appelle également
l'intendante pour qu'elle ne se déplace pas ce soir. Commande plutôt un bon dîner pour
trois au traiteur qu'il nous livrera pour 20h30. Tu sais qu'il ne peut rien me refuser
celui-là. Et de grâce déshabille-toi, tu sais que j'ai horreur de te voir habillé dans
cette maison!
-Oui ma chérie, je m'occupe de tout immédiatement." Et il disparaît dans la maison.
Alors, Karine reprenant la parole avec ce ton plus dur qui annonce, je le crois, à
chaque fois, le début d'évènements aussi torrides qu'inattendus me dit:
-"Ecoute-moi bien, Jo. Le test de cet après-midi a été extrêmement positif pour moi,
de plus tu plais beaucoup à Pierre. Saches qu'il ne sera jamais question d'amour entre
nous. Parle-moi d'amitié sincère ou même mieux, de dévotion à mon égard et ce sera
parfait. Mais j'ai tout de même besoin d'être sure que tu seras capable et que tu
auras l'endurance nécessaire pour avancer avec nous dans cette aventure. Tu n'as pas
idée de ce qui t'attend à partir d'aujourd'hui; tu baiseras pour moi, tu seras baisé
par et pour moi, tu subira toutes sortes d'humiliations, tu seras maltraité de mille
façons différentes. Tu n'auras pas un instant de répit tant que je ne t'aurai pas
intimé l'ordre de te reposer. Tu es un des seuls à m'avoir vue dans cet état de quasi
transe tout à l'heure et je pense que tu devines sans trop de mal de quoi je suis
capable dans ces moments-là. Cette montée d'adrénaline, j'en ai besoin en permanence
pour mon équilibre personnel. Tout cela ne te fait-il pas peur?
-Peur? Pourquoi aurais-je peur et de quoi? Tu me proposes une expérience unique que
bien peu d'hommes auront jamais l'occasion de vivre dans de telles conditions. Saches
qu'à partir d'aujourd'hui, je suis ton unique serviteur et même ton unique jouet,
celui à qui tu pourras faire ce que bon te semble et également celui à qui tu pourras
faire faire ce que tu souhaite sans limites et sans tabous aucun."
Elle semble rassurée par mes propos, mais reste néanmoins tendue et je sens qu'il ne
va pas tarder à se passer des choses. Pierre revient vers nous visiblement content
d'avoir rempli sa mission:
"-Voilà ma chérie, pas de poker, pas d'intendante et le repas sera livré à 20h30."
Il s'est complètement dévêtu laissant apparaître un corps d'athlète superbement
proportionné, aussi intégralement bronzé que celui de sa femme et bien qu'encore
hétéro à ce moment précis, je ne peux pas m'empêcher d'attarder mon regard sur sa
queue, qui bien que totalement au repos a une taille plus qu'impressionnante. Bien
évidemment, ce détail n'échappe pas à Karine qui me dit:
-"T'as vu cette queue, Jo? Elle est pas énorme?"
Pendant que je confirme d'un hochement de tête elle continue de plus belle:
-"Eh bien tu vois cette grosse bite, Pierre va me la mettre immédiatement! Pas vrai
mon grand?"
Elle ne l'appelle plus amour, la furie dont j'ai fait la connaissance dans l'après-
midi vient de se réveiller. Pierre, lui se tient debout, immobile attendant les ordres
de cette salope. Elle se lève et tourne le cul vers Pierre en se pliant en deux. D'une
main elle prend appui sur le coin de la table basse et de l'autre elle commence à
maltraiter ses seins. Pierre n'est visiblement pas du tout insensible à ce qui se
passe car sa queue déjà énorme au repos a maintenant doublé de volume sans même qu'il
y touche. On croirait voir un pieux de 31cm de long et 5 cm de diamètre. J'ai déjà vu
des beaux étalons dans certains films porno, mais là, je n'en croit pas mes yeux. Et
elle en remet une couche:
-"Alors mon grand c'est bon là? Ca y est? T'es chaud? Tu vas me la défoncer ma chatte
ou pas?"
Et là tout devient surréaliste. Le gentil Pierre qui trois minutes plus tôt était aux
petits soins pour sa princesse lui répond en commençant par lui claquer les fesses:
-"Ecoute-moi bien sale pute. Que tu veuilles te donner en spectacle à ton nouveau
jouet, j'en ai rien à foutre. J'espère au moins que tu le feras participer. En
attendant je vais commencer par te bouffer le cul et après on verra!"
Il écarte bien ses cuisses pour avoir un meilleur accès à son intimité et s'affaire à
lui lécher le clito. Cette salope adore vraiment ça, elle a le souffle très court et
je peux apercevoir la mouille qui dégouline le long de ses cuisses. Des petits
gémissements aigus sortent de sa bouche asséchée par sa respiration rapide. Alors, a
l'aide de sa main libre, elle récupère le précieux jus et s'en humecte les lèvres
avant de lécher ses doigts et de tout avaler avec délectation. Pendant ce temps
Pierre est remonté plus haut et travaille maintenant son anus. Il a un coup de langue
d'expert et après quelque minutes d'un traitement intensif la rondelle de cette
chienne est bien dilatée et prête a accueillir le membre infernal de Pierre.
-"Tu vas m'enculer, hein mon salaud? Tu sais que j'adore ça.
- Pas du tout espèce de truie! J'ai plutôt envie de te bourrer la chatte jusqu'à plus
soif! Si t'es une bonne fille, t'auras peut-être ta récompense après."
Et il commence à la besogner avec des coups de reins d'une puissance exceptionnelle
qui arrachent à Karine des soupirs rauques à chaque poussée. Il l'interpelle de
nouveau:
-"Et ton jouet, t'en fais quoi? Tu vas le laisser tout seul comme un con dans son
coin?
-Vous êtes deux beaux enfoirés quand même. Il y a qu'une fille ici et vous en
profitez! Je vous en filerai moi des séances!" Et s'adressant à moi:
-" Eh ben approche, vas-y approche! Mais ne me touche pas!"
Je déplace un fauteuil et m'assoie en face d'elle. Elle est toujours pliée en deux,
alors je me laisse glisser un peu au fond de mon siège, de sorte que ma queue soit à
quelques centimètres de sa bouche. Je commence à branler ma verge doucement car elle a
subi un tel traitement toute cette journée que je ne sais pas si je résisterai bien
longtemps à une cadence plus élevée. Cette image a l'air de la satisfaire. Derrière
elle un pieux de plus de trente centimètres qui la pilonne avec acharnement sans
discontinuer, et devant ses yeux un mec qui se branle en douceur avec dextérité.
J'aurais aimé continuer comme ça encore un moment, mais Pierre sentant sa sève
commencer à monter lui dit:
-"Maintenant je vais prendre ton cul ma salope!
-Oui c'est ça mon grand, burine-moi bien le cul, ça j'adore!
-Non ,non pas de grosse séance! Je vais juste t'enculer pour gicler à l'intérieur.
C'est tout ce que tu auras mérité.
-Ouais d'accord, fais comme tu veux, mais d'abord met-la moi! On aura le temps d'en
reparler une autre fois.
Il se retire d'abord de sa chatte béante après un tel traitement. Puis avant de
l'enculer, méthodiquement, il introduit un, puis deux, puis trois doigts dans son cul
et après quelques mouvements de va et vient et de rotation cet anus parfaitement
élastique et bien entraîné s'ouvre de lui même pour autoriser le passage de cet engin
hors norme. Elle n'en peut plus d'attendre, s'est saisi de ma bite et la branle sans
ménagement. Un effort extrême de concentration me permet de résister à l'explosion
encore et encore:
-"Alors mon grand, tu vois pas que je suis prête à t'accueillir? Qu'est-ce que
t'attends?
-Tu la veux vraiment? Alors la voilà sale garce!"
Et c'est sans aucune retenue qu'il entreprend de la pénétrer en forçant le passage,
car pour un mec normalement constitué comme je le suis s'introduire dans un orifice
aussi dilaté n'aurait pas posé de problème, pour la queue de Pierre, il en va tout
autrement. L'entrée de cette bite gigantesque dans le rectum de Karine provoque chez
elle un cri de douleur atroce mêlé à un plaisir infini, elle qui a tellement
l'habitude d'être maltraitée par cette machine à défoncer. Pierre ne peut plus se
contenir:
-"Tiens sale pute! Prends ça! Je vais me vider entièrement dans ton cul de pouffiasse!
- Oui mon salaud, vas-y inonde-moi!"
Au même moment, n'y tenant plus moi-même, Karine continuant à me branler à un rythme
dingue m'ordonne alors:
-"Viens maintenant!"
Aussitôt, je m'abandonne totalement et lui décharge trois jets épais et étonnamment
longs en pleine figure. Je suis une vraie fontaine à foutre. Plusieurs autres jets de
moindre importance s'échapperont encore de mon sexe en feu, mais déjà Pierre s'est
retiré de son cul et elle s'effondre immédiatement à même le dallage d'ardoise de la
terrasse, anéantie par le traitement extrême qu'elle vient de s'infliger. Sa chatte et
son cul ne sont plus que deux trous béants, ses fesses sont rouges du fait des
nombreuses claques données par Pierre, sa figure et ses cheveux sont maculés de ma
semence et pourtant, son beau visage me paraît serein et apaisé.
-"Laisse-la comme elle est, c'est toujours comme ça que ça se passe, elle reprendra
ses esprits dans quelques minutes" me dit Pierre, puis après un long silence que nous
passons à admirer cette guerrière de l'amour épuisée après une de ses nombreuses
batailles:
-"Il est déjà 20h. Allons prendre une douche et enfiler un peignoir. Notre tenue sera
ainsi plus correcte quand le traiteur passera livrer notre repas. A tout à l'heure
Jo."
Le son de sa voix a de nouveau changé. Il est redevenu calme et posé comme à
l'accoutumé, juste simplement beau.

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