La Communauté (1)
Récit érotique écrit par Eliciana [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Communauté (1)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Un jeudi Monsieur Ernest vint frapper à la porte de mon appartement. Je lui ouvrai un sourire tendu aux lèvres, et il me dit « prépare tes affaires, dans 3 mois tu seras acceptée dans notre communauté » puis il partit. Aussitôt je mis tout en place pour quitter cette société qui ne m'avait jusqu'alors apporté que tristesse et incompréhension.
Le jour dit, je me suis rendue sur le lieu du rendez-vous avec pour seul bagage un sac à dos qui contenait mes petites économies et quelques vêtements.
Monsieur Ernest pris mon sac, et me fit monter dans la petite camionnette de la Communauté où se tenait déjà 2 autres femmes plus âgées que moi.
La camionnette ne nous permettait pas de voir la route, mais cela nous était totalement égal, nous étions si heureuses d'être enfin acceptées dans la Communauté qui nous offrirait une place en son sein.
Nous avons roulé longtemps et la camionnette s’arrêta. Monsieur Ernest ouvrit la portière. Quand je suis descendue, devant moi il y avait un hameau encerclé par de hauts murs. Enfin, j'étais dans le village de la Communauté !
Le soir, je fus soumise au rituel d'entrée, je promis donc de vouer ma vie à la Communauté, de la servir et de travailler pour ses membres et d'effacer toute vie antérieure à se jour. On me rebaptisa et Monsieur Ernest choisit « Eliciana ».
Après la cérémonie, une vieille femme m'amena dans une grande maison un peu à l'écart du village puis referma la porte derrière moi.
Une jeune fille me pris par la main et m'introduisit dans une pièce sans fenêtre. Elle m'ordonna de ma déshabiller entièrement pour mettre le vêtement qui était posé sur la chaise, et de me rendre dans la pièce suivante lorsque ce serait fait. Le vêtement était une simple tunique orange très courte et très légère, je la mis et poussai la porte de l'autre pièce.
Il y avait là une dizaine de femmes habillées comme moi, couchées au sol. Je passai la nuit là, avec ces femmes qui semblaient fatiguées et qui ne parlaient pas.
Le lendemain un homme entra dans la pièce et m'appela. Il m'emmena dans un bureau et il me dit :
Tu as été acceptée dans la Communauté tu en as donc accepté les règles. Tu dois t'incliner devant chaque homme, le respecter et lui obéir. Tu ne dois parler que si on te l'autorise. Sinon tu seras privée de nourriture et punie.
Je hochais la tête, les yeux à terre.
Bien. Allons, viens là, m'ordonna-t-il, puis il me caressa le corps à travers la tunique. Tu es pas trop mal faite, je pense que tu peux être choisie pour servir le Grand Maitre, mais il faudra t’entraîner avant.
Le servir ? Je ne comprends pas, lui demandai-je alors.
Tais-toi ! Tu vas vite comprendre ! Je t'avais dit que tu ne devais parler que lorsque tu y étais autorisée. Là je ne t'avais pas donné l’autorisation ! Mets toi à genoux, dit-il en m'obligeant à lui obéir en me tordant le bras. Suce !!! Suce moi pour le bien de la Communauté !
Devant mes yeux se tenait son sexe tendu, et bien que son odeur me repoussait, je me souvenait des paroles de Monsieur Ernest qui m'avait plus ou moins expliqué ce qu'étaient les devoirs des femmes envers les besoins des hommes qui leur assurerait protection. Je pris donc le sexe dans ma bouche et commençai les va-et-vient. Je l'entendis grogner, il prit ma tête dans ses mains et m'imposa son rythme. Je n'étais pas très douée et j'avais l'impression que j'allais étouffer mais je continuais, essayant de bouger ma langue et de saliver pour lui faire plaisir. Bientôt il se retira et son sperme s'écoula sur mes cheveux.
C'est bien, tu as besoin d’entraînement mais tu accepte tes devoirs, tu seras récompensée, dit-il avant de frotter son sexe mou sur mon visage. Il y a une douche dans la pièce à ta droite, laves-toi et retourne avec les femmes novices. Tu feras ton apprentissage et si tu es suffisamment dévouée tu graviras les échelons.D'accord ?
Oui Monsieur.
Je passe pour cette fois, mais tu aurais pu me remercier de t'avoir honorée ainsi ! Allez, pars ! Reposes-toi, aujourd'hui n'a été qu'un amuse-bouche !!
Un jeudi Monsieur Ernest vint frapper à la porte de mon appartement. Je lui ouvrai un sourire tendu aux lèvres, et il me dit « prépare tes affaires, dans 3 mois tu seras acceptée dans notre communauté » puis il partit. Aussitôt je mis tout en place pour quitter cette société qui ne m'avait jusqu'alors apporté que tristesse et incompréhension.
Le jour dit, je me suis rendue sur le lieu du rendez-vous avec pour seul bagage un sac à dos qui contenait mes petites économies et quelques vêtements.
Monsieur Ernest pris mon sac, et me fit monter dans la petite camionnette de la Communauté où se tenait déjà 2 autres femmes plus âgées que moi.
La camionnette ne nous permettait pas de voir la route, mais cela nous était totalement égal, nous étions si heureuses d'être enfin acceptées dans la Communauté qui nous offrirait une place en son sein.
Nous avons roulé longtemps et la camionnette s’arrêta. Monsieur Ernest ouvrit la portière. Quand je suis descendue, devant moi il y avait un hameau encerclé par de hauts murs. Enfin, j'étais dans le village de la Communauté !
Le soir, je fus soumise au rituel d'entrée, je promis donc de vouer ma vie à la Communauté, de la servir et de travailler pour ses membres et d'effacer toute vie antérieure à se jour. On me rebaptisa et Monsieur Ernest choisit « Eliciana ».
Après la cérémonie, une vieille femme m'amena dans une grande maison un peu à l'écart du village puis referma la porte derrière moi.
Une jeune fille me pris par la main et m'introduisit dans une pièce sans fenêtre. Elle m'ordonna de ma déshabiller entièrement pour mettre le vêtement qui était posé sur la chaise, et de me rendre dans la pièce suivante lorsque ce serait fait. Le vêtement était une simple tunique orange très courte et très légère, je la mis et poussai la porte de l'autre pièce.
Il y avait là une dizaine de femmes habillées comme moi, couchées au sol. Je passai la nuit là, avec ces femmes qui semblaient fatiguées et qui ne parlaient pas.
Le lendemain un homme entra dans la pièce et m'appela. Il m'emmena dans un bureau et il me dit :
Tu as été acceptée dans la Communauté tu en as donc accepté les règles. Tu dois t'incliner devant chaque homme, le respecter et lui obéir. Tu ne dois parler que si on te l'autorise. Sinon tu seras privée de nourriture et punie.
Je hochais la tête, les yeux à terre.
Bien. Allons, viens là, m'ordonna-t-il, puis il me caressa le corps à travers la tunique. Tu es pas trop mal faite, je pense que tu peux être choisie pour servir le Grand Maitre, mais il faudra t’entraîner avant.
Le servir ? Je ne comprends pas, lui demandai-je alors.
Tais-toi ! Tu vas vite comprendre ! Je t'avais dit que tu ne devais parler que lorsque tu y étais autorisée. Là je ne t'avais pas donné l’autorisation ! Mets toi à genoux, dit-il en m'obligeant à lui obéir en me tordant le bras. Suce !!! Suce moi pour le bien de la Communauté !
Devant mes yeux se tenait son sexe tendu, et bien que son odeur me repoussait, je me souvenait des paroles de Monsieur Ernest qui m'avait plus ou moins expliqué ce qu'étaient les devoirs des femmes envers les besoins des hommes qui leur assurerait protection. Je pris donc le sexe dans ma bouche et commençai les va-et-vient. Je l'entendis grogner, il prit ma tête dans ses mains et m'imposa son rythme. Je n'étais pas très douée et j'avais l'impression que j'allais étouffer mais je continuais, essayant de bouger ma langue et de saliver pour lui faire plaisir. Bientôt il se retira et son sperme s'écoula sur mes cheveux.
C'est bien, tu as besoin d’entraînement mais tu accepte tes devoirs, tu seras récompensée, dit-il avant de frotter son sexe mou sur mon visage. Il y a une douche dans la pièce à ta droite, laves-toi et retourne avec les femmes novices. Tu feras ton apprentissage et si tu es suffisamment dévouée tu graviras les échelons.D'accord ?
Oui Monsieur.
Je passe pour cette fois, mais tu aurais pu me remercier de t'avoir honorée ainsi ! Allez, pars ! Reposes-toi, aujourd'hui n'a été qu'un amuse-bouche !!
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