Contes de la main gauche : une visite impromptue

- Par l'auteur HDS Jpj -
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Contes de la main gauche : une visite impromptue Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Contes de la main gauche : une visite impromptue
Castelnau-le-Lez jpj, 10/2012

Pourquoi diable les gens sonnent-ils toujours à ma porte quand je suis dans mon bain, tranquillette à jouer au savon et à faire des bulles avec mon éponge ?
Je sors de l'eau, je m'ébroue en maudissant cette fichue loi de la tartine beurrée, me drape dans une grande serviette blanche et vais ouvrir en patinant sur la descente de bain. Mes seins gonflent la serviette et font blouser. Les pans battent mes cuisses mais quand je ne bouge plus, tout est pudiquement fermé. L'eau ruisselle sur mes jambes, j'aurais pu me sécher un peu au lieu de me précipiter, tant je suis cruche.

Cette histoire de la tartine beurrée m'a toujours interpelée.
C'est vrai que quand la tartine tombe coté pain, on la prend et on la mange. Alors que quand elle tombe coté beurre, elle ramasse tout et on n'a plus du tout envie de la croquer, pleine de saloperies collées sur le dessus qu'elle est.
Surtout que souvent elle roule, bascule, pivote, rebondit et toujours finit par s'immobiliser là où elle est, bien collée sur le sol, coté beurre.

Bon, juste pour vous dire que je me souviens d'un tas de fois où je me suis retrouvée quasi à poil devant la porte avec un visiteur ou une visiteuse, alors que j'ai complètement oublié ces moments parfaitement insignifiants où personne n'est venu sonner à ma porte quand j'étais bêtement dans ma baignoire à me caresser toute seule.

Alors j'étais là, la touffe dégoulinante sur mes pieds nus, pas fière derrière ma porte à me demander qui pouvait bien avoir sonné et attendre là.
De l'autre coté ça rigolait et chahutait, c'était plutôt sympa alors j'ai ouvert.

Une fois encore, j'étais bien contente : c'étaient mes trois copines du boulot qui venaient me chercher pour une aventure de vendredi soir à la ville. La ville c'est Montpellier, comme dit la pub, la ville oùsque le soleil se couche jamais.
Elles ont dit qu'est ce que tu fais pas encore sapée, on y va, grouille. Elles m'ont chahutée et pris ma serviette. J'étais là toute nue, la chatte mouillée de l'eau du bain et les nichons qui regardaient en louchant les trois filles qui se marraient.
Elles ont dit, on va aller diner à un karaoké qui fait dancing après. On t'emmène dans l'Ax, dépèche-toi. Met une robe, qu'on soit toutes les quatre pareilles.
J'ai mis ma jolie robe d'été qui me serre les seins et les rend tous plats avec les tétons qui pointent. Quand je suis revenue, elles m'ont sauté dessus et m'ont basculée sur le canapé du salon. Deux m'ont tenue et l'autre m'a enlevé ma culotte. Elles se sont mises en ringuette devant moi et elles ont levé leurs robes : elles étaient toutes les trois à poil, enfin sauf Sophie qui, elle, est toute tondue et qui n'a plus rien du tout sur le coquillard. Elles ont dit en rigolant, ce soir on va guincher le cul à l'air libre.

On est parties dans l'Ax direction le karaoké. J'étais à l'arrière et déjà Sophie me passait la main dans la touffe en me bouffant les petits cheveux du cou. Bonjour l'ambiance ! Sophie je l'aime bien mais elle n'a pas du tout de poitrine, alors elle porte des soutifs rembourrés qui font illusion ; mais je voudrais pas être le garçon qui découvre la supercherie... Y a de quoi débander illico !
Moi je lui ai mis la main à l'oigne qu'elle a toute lisse comme une gamine. C'est doux et sympa, j'aime bien ça. Ca compense ces seins qu'elle a pas. Je serais un mec, je passerais mon temps à lui pourlécher le berlingot tellement il est doux et tellement il coule du jus de l'amour. Sophie, elle, me passait les mains sur la robe pour faire venir mes pointus sur le devant. Enfin derrière dans l'Ax on se gouinait à fond aque c'était super.
On est arrivées. Le resto était du genre tropical avec des palmiers en plastique et des guirlandes d'ananas. On a eu une table sur le devant sous les projos. On a picolé du punch histoire d'être dans le ton.
On avait toutes la fente à l'air mais on n'y pensait plus, à rigoler qu'on était de voir les gars et les filles chanter Johnny dans le micro en faisant semblant d'être stars.

On a voulu y aller aussi quand un gars est venu chanter Cloclo. On est montées danser clodettes derrière lui sur la scène. Je vous dis pas le succès quand ils ont vus qu'on était cul nu ! Le disc-jockey ne passait plus que Alexandrie, Alexandra et tous les autres tubes. Et nous, on voulait plus nous laisser revenir à notre table, tellement ils étaient contents qu'on fasse clodettes...

Comme tout le monde avait fini de crouter, ils ont poussé les tables du milieu et ils ont passé des rocks. Vous pouvez pas imaginer le succès qu'on a eu toutes les quatre. Ils voulaient tous nous faire danser. Et c'était à qui nous ferait tourner le plus vite. Faut reconnaître que c'est Sophie qu'était la plus classe. Moi avec ma touffe sauvage même pas taillée au carré, je fais néandertal. Mais je m'aime bien comme ça même si ça me descend un peu sur l'intérieur des cuisses. D'ailleurs jamais personne ne s'est plaint.
Mais Sophie, elle était discrète. Presqu'on aurait cru qu'elle avait un slip couleur chair. Il s'est quand même trouvé un malin pour lui faire des passes acrobatiques et exposer son bulbe sous les strobos.

Après cette série de rocks ils ont repris le karaoké pour les slows avec des clients qui venaient chanter en regardant les paroles à la télé. A part la boule qui envoie des étoiles tournantes et la scène éclairée de rouge, le dancing était dans le noir et, nous, on était là toutes les quatre, en main, avec des cavaliers costauds et sympas, à frotter.
Le mien, il a vite compris que j'avais pas non plus de soutif. Il s'amusait avec son torse à m'agacer les tétons. J'en pouvais plus surtout que j'avais déjà ma grosse touffe trempée des 5 ou 6 rocks et des mains baladeuses sur mes fesses.
Lui, il avait ses mains à ma taille et me caressait les hanches en troussant petit à petit la robe. Heureusement qu'on était dans le noir car elle était déjà au ras.
Moi je ne me suis pas dégonflée et, le ventre en avant, je suis allé voir s'il bandait. Il bandait. Alors j'ai filé au zip et d'un coup direct vers le bas j'ai ouvert le pantalon. J'ai attrapé son engin par la fente du calbut et j'ai serré. Je sentais parfaitement bien son gland dégagé et la peau du col roulé dans ma paume et je serrais la tige et je me serrais contre lui en le frottant de haut en bas de mon pubis poilu à travers le fin tissu de la robe.
C'est venu d'un coup, comme d'une bouteille de Blanquette. J'ai remis mes bras à son cou et suis restée bien collée à lui en me disant que ma robe serait à tordre après cette anecdote. Il avait l'air content, sa queue bien au chaud entre nos deux ventres.

Quand on est revenues à la table, les garçons sont arrivés avec de nouvelles rations de punch. On en avait bien besoin.
Sophie était tombé sur un jeune qui lui triturait le soutif molletonné intensément. Je rigolais en pensant que le gars s'excitait sur du chiffon. Mais bon, vu qu'il le savait pas, ça lui faisait quand même de l'effet. Et toutes les quatre on rigolait en regardant le mec, qui se demandait pourquoi.
On discutait pendant que le karaoké faisait une pause faute de stars volontaires. Les gars étaient de Nîmes et ce dancing leur plaisait bien. Moi je me disais qu'il me fallait changer de cavalier vu que le mien n'aurait plus grand chose à donner.
Nos gars de Nîmes avaient de plus en plus de mal à tenir leur chasse gardée : un grand baraqué est venu me chercher pour faire un nouveau rock.

C'était le genre sportif qui t'envoie à bout de bras et t'emporte dans de grands mouvements. Moi, ça ne me déplait pas car je suis grande et vigoureuse et j'aime bien cette gymnastique synchro en musique. En plus le gars me passait en douce les mains partout. Mes tétons n'en pouvaient plus, à déchirer le coton chaque fois que sa main glissait sur mon poitrail alors qu'il me faisait tourner. Mes fesses me faisaient un peu honte qui trempaient le bas de la robe à chaque fois qu'il me serrait à la taille. A la fin du gigolo j'étais à bout de souffle, la sueur en fine couche sur les bras et les jambes. La robe collait à mon ventre et à mes cuisses et faisait bosse devant le buisson de ma touffe.

Il m'a dit, viens on va prendre l'air, tu es en nage.

Dehors on est allé à un parapet, il a tombé son pantalon et m'a soulevée par la taille. J'ai mis mes bras autour de son cou et j'ai levé mes genoux au menton en grenouille. J'étais béate d'émotion et c'est entré d'un coup d'un seul. J'en voulais tellement que je suis partie tout de suite. Il ne m'en n'a pas voulu et a attendu, debout, en me tenant sous les fesses, mes jambes croisées haut dans son dos et pendouillant la tête en arrière accrochée à son cou. J'étais calmée.

Il a commencé à me soulever les fesses doucement en se serrant contre moi pour entrer plus à fond et m'écraser le clito contre ses poils rêches. Je pensais mes fesses sont toutes mouillées, est-ce qu'au moins ça lui plait ?
Et puis mon ventre s'est serré autour de lui et j'avais envie. On a continué la gymnastique de la danse comme des fous, en cadence, synchros de plaisir. Quand il s'est éclaté, un ouragan est monté du fond de moi et je lui ai pompé son os jusqu'à la moelle.
Il était trop vidé et m'a posé les fesses sur le parapet de pierre froide. Je suis restée les cuisses ouvertes les pieds croisés derrière son dos, mes longs bras à son cou, le front posé sur sa poitrine. On est restés longtemps comme ça. Il était toujours en moi, solidement bandé.
On s'est séparé. Il m'a dit tu vas attraper froid, tu es toute mouillée, il faut rentrer. On est rentrés main dans la main. Mon cavalier nîmois tirait la gueule. Sophie et les deux autres sirotaient leur punch, les autres garçons étaient au bar.

Quand on est rentrées, derrière dans l'Ax Sophie a voulu me bouffer. Elle disait j'adore l'odeur du foutre dans ta chatte. Quand elle m'a eu bien tout pourléché et aspiré, elle s'est relevée, s'est assise contre moi et m'a embrassée d'un gros palot gluant. Elle m'a dit, on est copines, on partage tout à fond.

C'était une sacrée bonne soirée, ce karaoké !

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